Le président du Comité de pilotage du Dialogue national n’a toujours pas entamé, depuis son lancement le 28 mai dernier, les travaux de cette initiative. La raison ? « Famara Ibrahima Sagna est à son domicile. Il attend du ministère de l’Intérieur, qui assure le secrétariat, la liste de tous les partisans, mais aussi son installation officielle, par le chef de l’État, conformément à la loi », a confié un de ses proches à L’AS. En clair, le retard dans le démarrage du dialogue national et politique est imputable à l’Exécutif et non à l’ancien président du Conseil économique et social (Ces).