Moustapha Cissé Lô alias El Pistolero, le seul talibé mouride banni de la ville de Touba, vice-président de l’hémicycle et déshonorable député APR dont des constitutionnalistes soutiennent qu’il assurerait l’intérim de Macky Sall en cas de vacance du pouvoir, n’en finit pas de tendre les verges pour se faire battre.
Ces derniers jours, il est en Une des titres de la presse, en photo avec toujours un air hébété ou une mine hystérique.
Cest que la presse semble s’être donné le mot : tendre le crachoir à Cissé Lô pour qu’il déverse les pires incongruités, en fou du village certifié qu’il est. Ceci ne mènera qu’à une chose : persuader les Dakarois qu’il est hors de question de confier les clés de leur hôtel de ville à El Pistolero, tout président du parlement de la Cedeao qu’il est, instance où il a dernièrement invité un lutteur à titre de correspondant de presse, ce qui a suscité l’ire des journalistes et l’indignation du Synpics, leur syndicat .
Les locales pointent pour lar premier trimestre 2020 et les Sénégalais voteront directement pour choisir leur maire et non plus comme avant, pour élire des conseillers municipaux, qui a leur tour élisent un maire. Anesthésie « locales » pour El Pistolero ? En tout cas, la presse lui met la tête sous Lô.
Aujourd’hui, jeudi 5 décembre, c’est le quotidien Enquête qui titre » Le trublion », avec une photo d’illustration en Une pas piquée des hannetons.
Mais Lô n’est jamais las.
Damel Mor Macoumba Seck – Tract