Quel sens donnons-nous au terme « officiel » ? Plus il y a de sceaux, de signatures, de timbres, mieux c’est ? Regardons les choses de plus près.
Officiel: à quoi bon?
- Pour vivre à l’étranger. Passeports, relevés bancaires, certificats de casier judiciaire, etc. – tout ce qui est nécessaire pour le visa, l’emploi ou l’école, le mariage, en fin de compte.
- Pour étudier dans un collège ou une université à l’étranger, même à distance: diplômes d’études, certificats académiques, caractéristiques, bien que ces derniers soient à l’origine rédigés dans une langue étrangère.
- Pour les voyages. Quelquefois, pour entrer dans l’espace Schengen, une traduction certifiée de l’acte de mariage a été demandée comme garantie de stabilité financière.
- Pour travailler avec des personnes morales. Sur le marché international, les entreprises échangent des tonnes de papiers nécessaires pour conclure des contrats, participer à des appels d’offres, vendre – documents fondateurs et commerciaux, actes et comptes (et bien plus encore).
Ainsi, pour effectuer une traduction de qualité de l’un des documents ci-dessus, vous pouvez contacter un bureau de traduction fiable en cliquant sur le lien suivant https://www.protranslate.net/fr/traduction-officiels/.
Clients officiels
Les particuliers :
- les étudiants entrants et sortants,
- les émigrants et les immigrés,
- les expatriés et les travailleurs migrants.
Les personnes morales :
- Les entreprises locales et étrangères (d’ailleurs, il arrive que des entreprises étrangères s’adressent délibérément à des bureaux russes pour faire traduire des documents d’un pays étranger à un autre, car cela coûte moins cher et le niveau des spécialistes est assez élevé);
- les institutions de l’État (par exemple, nos compatriotes changent leur permis de conduire à l’étranger. La procédure implique une communication réglementée entre deux inspecteurs de la police routière – une traduction officielle est nécessaire);
- les fondations caritatives;
- les hôpitaux, etc.
Sceau du bureau
Cependant, certains services de migration de pays européens ou les universités exigent que les documents apportés soient traduits uniquement dans des bureaux sélectionnés, c’est-à-dire dans ceux auxquels la migration/université fait confiance.
Toutefois, toute organisation peut demander à utiliser les services d’un certain traducteur, de sorte qu’il est toujours nécessaire d’étudier au préalable les règles de la partie d’accueil.
Parfois, le sceau d’une société de traduction suffit à montrer un document aux organisations russes. Cette traduction est également considérée comme officielle. Mais là encore, vous devez garder à l’esprit les exigences de l’institution à laquelle le document est destiné.
Traduction non certifiée
Il arrive qu’une traduction non terminée soit traitée – et là encore, le client doit examiner la situation. Ainsi, alors que certaines universités « d’outre-mer » n’exigent pas du tout la certification des traductions de diplômes, d’autres exigent une apostille et, dans les endroits exotiques, une légalisation consulaire. Toutefois, l’absence d’exigences de certification pour le client n’annule en rien la règle selon laquelle la traduction doit être vérifiée et approfondie. Une agence de traduction Protranslate peut vous garantir une telle traduction.
L’unité de la terminologie, un formatage adéquat, l’utilisation correcte des noms et des noms de lieux, l’absence de fautes d’impression dans les nombres sont les conditions minimales pour une traduction de qualité des documents.
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