(Tract)- N’eut été son garde rapproché et par la grâce de Dieu, le chef de l’Etat Macky Sall, on parlerait défunt président, car son bourreau était prêt à lui faire sa fête. Et M. T. Ndiaye pour justifier son acte était devant la barre au Tribunal de Dakar pour justifier son désir de vouloir tuer le chef de l’Etat. D’après les explications de lues dans le journal « Rewmi », l’accusé qui avait tenté de commettre un crime lors de la visite de l’hôte du chef de l’Etat, Macky Sall, le président chinois. Ce, à quoi s’est opposé l’agent de sécurité de Macky Sall qui a su le maîtriser.
Mais d’après la source, le mis en cause ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales et a voulu déverser sa colère sur les Sénégalais, en l’occurrence Macky Sall parce que la chance ne lui a pas souri depuis son retour de l’Europe en 2015. « J’ai été en Europe pendant presque six années et je n’ai rien pu réaliser. Et à chaque fois qu’on me convoque pour un emploi, l’entreprise met la clé sous le paillasson », s’est-il défendu. Pourquoi ? Parce que, pour lui, les Sénégalais sont responsables de tous ses déboires.
Heureusement pour le président, l’agent de sécurité a assuré sa protection après avoir reçu 3 coups d’un couteau de 8 cm de la part du coupable. « Le jour des faits, il est arrivé par derrière. Je ne l’avais même pas vu. Il m’a surpris avant de m’assener 3 coups de couteau au niveau du flanc gauche. Malgré mes blessures, je me suis battu avec lui avant de le désarmer. C’est sur ses entrefaites que je lui ai donné un coup et il est tombé sur les barrières. C’est comme ça qu’il a été maitrisé avant d’être mis aux arrêts », narre le garde rapproché.
Vu son état psychologique, le représentant du parquet a demandé au président de la chambre de consulter un psychiatre pour évaluer son état mental. L’avocat constitué pour la défense a soutenu que cette affaire n’a pas de raison d’être appelée à la barre de la chambre criminelle car le prévenu est fou et que l’Etat doit lui remettre 10 milliards pour au moins qu’il puisse retrouver ses esprits.
L’affaire est mise en délibéré le 2 juin prochain.
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