SENtract – L’artiste chanteur issu de la ville de Saint-Louis, Malick Diabou Seck, fils de Diabou Seck, la saint-louisienne et neveu de l’artiste Abdou Guité Seck s’est exprimé sur le dossier appelé « Affaire Mbathio Ndiaye-Oustaz Pape Hanne ».
Une affaire qui défraie la chronique et devient sujet à discussion jusque dans les lieux les plus huppés de Dakar. L’artiste musicien invite les Sénégalais à être plus tolérants car chacun fait des choses qu’il ne voudrait pas voir être exposées sur la place publique, selon Emedia.
C’est une ritournelle de dire que les Sénégalais aiment les persiflages et potins. Le divorce de la danseuse Mbathio Ndiaye, sujet de discussion dans toutes les places publiques, en est une preuve. Cette affaire est étalée sur la place publique avec des révélations les unes plus terrifiantes que les autres. Dans cette histoire de mariage qui a mal tourné, on y évoque le nom du prêcheur Pape Hanne qui aurait épousé en cachette la danseuse.
S’exprimant sur le sujet, le musicien Malick Diabou Seck, connu pour son franc-parler, appelle les Sénégalais à être plus tolérants à l’endroit de leur prochain.
Selon lui, certes nul n’est à l’abri des réseaux sociaux qui, en seul clic, peuvent basculer la vie d’une personne dans le noir, mais il pense que chacun doit essayer de s’occuper de ce qui le regarde pour ne pas dire de ses propres affaires. «Nous avons tous notre côté sombre qu’on ne voudrait pas voir être exposé sur la place publique. Personne ne voudrait voir son intimité, ses secrets étalés sur la place publique. Il faut être tolérant», a déclaré l’artiste chanteur.
Loin de lui la prétention de donner des leçons de morale mais, il veut juste que les gens vivent en paix et en tranquillité. «Je ne suis pas un saint. Je commets des erreurs comme tout le monde mais, quand vous êtes une personne d’une certaine dimension, il faut être prudent. C’est-à-dire savoir avec qui collaborer et où mettre les pieds. Nous sommes dans un monde très digitalisé et les choses vont très vite avec une manipulation», fait-il savoir.
Avant d’ajouter : « Il faut se méfier au maximum et bien choisir ses lieux de fréquentations. Je suis casanier et je me sens en sécurité ainsi. »