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Dans « le Témoin » : Cité Fadia, le Tadjabone criminel des malfrats

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Sentract- KEEMTAAN GI – CES FÉMINISTES QUI SE DISPUTENT À PROPOS DE BA…
Mais que vous voulez que je dise sur la transhumance assumée d’un Pape Moustapha Diop ? Au plan de l’idéologie et de l’argumentaire, le type est un tonneau vide. Vous l’avez une seule fois entendu dire des choses lumineuses ? Il n’est pas un intellectuel, mais un businessman de la politique. Dire qu’il veut sauver le pays d’une crise ! Il veut sauver sa situation financière oui ! Cessez de rigoler bêtement. On se calme ! Tout comme lui, ses principaux lieutenants ne sont pas faits pour s’opposer. L’un a pour cible celui qui est considéré comme le plus grand opposant du Chef. L’autre émarge au budget du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT). Ce machin que l’opposition, la société civile, et toutes les personnes de bonne foi jugent improductif et que ces gens du secrétariat exécutif permanent de l’armée mexicaine et ses mercenaires parent de toutes les vertus. Pas si bêtes, ces messieurs et dames qui ne veulent pas mourir pauvres. De tous ces discours politiques à la noix, je m’en bats les c… en cette fin de weekend qui s’annonce torride. Ma préférence va aux féministes de Galsen. J’en ai entendu deux aux discours qui fleurent bon la canaillerie. Moi, le kàccoor et récent toubène, qui les pensais si chastes, découvre qu’elles sont comme moi. Sinon, pires. De polissonnes dames qui causent de sauteries au lit. Le must, c’est qu’il s’agit de deux enragées qui se réclament féministes radicales. Leur radicalité s’est illustrée à travers une dispute d’enfer entre bien b… et mal b… On ne les savait pas si intéressées à ces jeux érotiques pour être si exigeantes avec les hommes qu’elles fréquentent. Ah, les « Katiapans », comme elles savaient si bien cacher leurs vices ! Messieurs les coriaces, vous êtes avertis. L’une déplorait que sa camarade ne pense qu’à la b… si bien qu’elle est en passe de croire qu’elle est si mal b… qu’elle en soit malade. Tout en lui souhaitant un tireur d’élite afin qu’elle guérisse de son mal. Vous comprenez maintenant ma préférence pour ces dames si fripouilles que je croyais accrochées à de lumineuses réflexions empiriques. Quel désastre ! Puisque leur savoureuse chamaillerie se règlera au tribunal, on ne va pas s’ennuyer. Vivement le procès ! Le coté drôle de l’histoire est qu’une de nos deux féministes radicales se fera défendre par deux…mâles. Souriez !!!
KACCOOR BI (LE TEMOIN)

GUY MARIUS SAGNA  DE « FRANCE DÉGAGE » À « FRANCE ACCÉLÈRE »
Elu député suite aux dernières élections législatives dans le département de Ziguinchor, Guy Marius Sagna n’a pas attendu d’être installé pour porter ses habits de député. Un vrai député du peuple ! Pour ce coup-ci, il s’agit du peuple estudiantin en attendant le peuple du dur labeur. Tenez ! Dans un post, le leader du mouvement « Frapp-France dégage » s’est attaqué à l’ambassade de France au Sénégal. Il reproche à la représentation diplomatique de l’Hexagone à Dakar de bloquer les dossiers de demandes de visas des nouveaux bacheliers. Dans la même foulée, l’activiste dénonce les lenteurs notées dans la délivrance des visas aux étudiants postulants et ayant bénéficié de préinscriptions pour des écoles préparatoires et universités françaises. Guy Marius Sagna s’est aussi indigné des frais exorbitants (55.000 cfa) liés aux demandes de visas et aussi pour la livraison (11.000 cfa et 22.000 cfa). Sur ce plan, « Le Témoin » quotidien donne raison à Guy Marius Sagna. Et le leader du mouvement « Frapp-France dégage » d’inviter l’ambassade de France à Dakar d’accélérer les procédures d’obtention de visas pour les étudiants sénégalais désirant poursuivre leurs études en France dont la rentrée des classes est prévue le 1e septembre prochain. Donc vous conviendrez avec nous de « France Dégage », Guy Marius Sagna prône désormais « France Accélère ». Comme quoi, le courageux artilleur Guy Marius fait déjà entendre le sifflement des premières roquettes sur l’hémicycle. Diadieuf !

OPÉRATION DOUANIÈRE  DES MÉDICAMENTS D’UNE VALEUR DE 322 MILLIONS CFA SAISIS À KEUR-AYIB
Les douaniers se distinguent encore dans la lutte contre le trafic et la vente illicite de produits pharmaceutiques et de faux médicaments. Avant-hier, les agents de la Brigade commerciale des Douanes de Keur-Ayib de la subdivision de Kaolack, ont intercepté un lot de médicaments, 02 armes à feu de type « Baïkal », ainsi que plusieurs autres produits dont l’importation est soumise à une réglementation particulière. Ces produits pharmaceutiques de contrebande, indique le communiqué du Bureau des relations publiques de la Douane, sont estimés à une valeur de près de 322 millions de francs CFA. La saisie a eu lieu à Keur-Ayib dans la région de Kaolack. Ce lot de médicaments est composé de plusieurs produits pharmaceutiques d’une valeur totale de 161 millions de francs. La valeur des autres produits saisis est estimée à 720 000 francs CFA. Cette saisie a eu lieu à hauteur de Ndiba Ndiayène, dans le département de Nioro du Rip, où la même unité douanière avait saisi 07 colis de faux médicaments d’une contre valeur totale de près de 138 millions de francs CFA, quelques semaines auparavant. Ces opérations de bouclage ont également permis de mettre la main sur une camionnette de type Toyota à Médina Sabakh. Selon les enquêteurs de la douane, le véhicule avait emprunté une piste sinueuse pour contourner le poste de contrôle des Douanes de Keur-Ayip en vue de rallier la route nationale à partir de Médina Sabakh. Des médicaments contrefaits d’une contre valeur de 22 millions de francs CFA y ont été retrouvés.

CITÉ FADIA  LE «TADIABONE» CRIMINEL DES MALFRATS
Alors qu’elle se rendait au domicile familial à la cité Fadia pour fêter la « Tamxarit » ou la nuit du « Tadiabone », la dame Mame Bousso Kane a été agressée par deux individus qui ont pris son sac contenant 50.000 FCFA ainsi que son téléphone portable. L’un des malfrats a été interpellé…En quittant son domicile à Ouest Foire pour se rendre chez ses de ses parents à la cité Fadia, la dame Mame Bousso Kane ne se doutait pas qu’elle croiserait le chemin de l’agresseur Moussa Biaye et de son acolyte qui l’ont tabassée avant de la délester de ses biens. « Au moment où j’attendais tranquillement un taxi, deux individus m’ont encerclée. Le nommé Moussa m’a sommée, sous la menace d’un couteau, de lui remettre mon sac à main qui contenait 50 000 FCFA et mon téléphone portable. Lorsque j’ai refusé d’obtempérer, le mis en cause m’a giflée à deux reprises avant de commencer à me rouer de coups de poings. J’ai titubé avant de me retrouver par terre. C’est alors qu’ils ont pris mon sac », a raconté la victime aux enquêteurs. Croyant être seuls avec la victime, les malfrats ont même pris leur temps pour faire le partage de leur butin. Mais manque de pot, un individu, qui les observait de loin, est venu au secours de la dame. Grâce à sa perspicacité, le nommé Moussa Biaye a été interpellé tandis que son acolyte a pris la fuite en emportant la moitié de l’argent et le téléphone portable. Face aux enquêteurs de la police, Moussa Biaye a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Selon lui, lui et son compagnon voulaient avoir de l’argent pour retourner au bar afin de poursuivre leur buverie. A en croire le mis en cause, ils avaient quitté le bar pour chercher une proie à agresser en cette nuit de « tadiabone ». Et c’est au moment où ils se partageaient le butin devant leur victime qu’un individu est intervenu. Lui, Biaye, a été interpellé pendant que son complice prenait la fuite avec sa part de l’argent et le téléphone portable de la victime. Après être passé aux aveux, le mis en cause a été arrêté tandis que son acolyte est activement recherché. SierrA Leone Des manifestations contre la vie chère en Sierra Leone ont tourné à l’émeute mercredi soir. Au moins deux personnes ont été tuées dans la capitale Freetown : deux policiers lynchés par la population. Un couvre-feu a été instauré. Des routes coupées, des barrages dressés et des pneus brûlés. À Freetown, les manifestations se sont rapidement transformées en affrontement entre jeunes et la police. Deux policiers ont été lynchés, des postes de police ont été détruits, des bâtiments publics saccagés et des bus incendiés. À l’origine de cette explosion de colère, un appel à un rassemblement pacifique initié par un groupe de femmes commerçantes pour protester contre la vie chère. Le rassemblement a été interdit par la police. Parallèlement, des appels à manifester ont été lancés sur les réseaux sociaux pour demander la démission du président Julius Maada Bio.

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