Tract-Découvrez les éphémérides de ce vendredi 16 août 2024
• 16 Aout 2019
Signature du mémorandum de Coopération relatif à l’Initiative pour la Santé et le Bien-être en Afrique entre les gouvernements du Japon et du Sénégal respectivement représentés par l’ambassadeur Tatsuo ARAI et le ministre de la Santé Abdoulaye Diouf SARR. L’empire du Japon a établi des relations diplomatiques avec le Sénégal le 4 octobre 1960 et a ouvert une ambassade à Dakar, la première en Afrique subsaharienne francophone, dès 1962.
• 16 Aout 1984
Le Sénégal ratifie la Convention sur le Droit de la Mer et étend sa Zone Économique Exclusive (ZEE) à 200 milles de ses côtes. Le Sénégal a 718 km de côtes et son plateau continental s’étale sur 23 800 km2.
• 16 Aout 1974
Cérémonie de décorations au camp militaire de Thiaroye à l’occasion du retour du premier contingent de soldats sénégalais mis à la disposition de la Force d’urgence des Nations Unies au Sinaï (Égypte). Le groupement parachutiste commandé par le chef de bataillon Almamy TAMBA a été décoré de la Croix de la valeur militaire avec étoile d’argent à l’ordre de l’armée à titre exceptionnel. L’opération FUNU II avait été mise sur pied le 25 octobre 1973 par la résolution 340 du Conseil de sécurité de l’ONU à la suite de la guerre du Kippour pour garantir le cessez-le-feu entre les forces israéliennes et égyptiennes, ainsi que le redéploiement des forces belligérantes, et pour maintenir l’ordre et la sécurité dans des zones tampons selon les accords du 18 janvier 1974 et du 4 septembre 1975. Le mandat de la FUNU II avait pris fin en juillet 1979.
• 16 Aout 1962Signature d’un protocole de coopération technique et scientifique entre la Confédération Suisse et la République du Sénégal. Ce protocole entrera en vigueur le 13 août 1964.
• 16 Aout 1912
Réorganisation de la justice indigène. Désormais sont justiciables des tribunaux de cercle les originaires d’Afrique Occidentale Française (AOF) n’ayant pas le statut de citoyen français dans leur territoire d’origine. Appliquée au Sénégal par un décret du 30 septembre 1887, la justice indigène était une justice administrative qui s’appliquait aux seules personnes définies comme «indigènes». Elle ne respectait pas les principes généraux du droit français, en particulier en autorisant des sanctions collectives, des déportations d’habitants et en sanctionnant des pratiques que la loi n’interdit pas, sans défense ni possibilité d’appel.