Tract- Voici le véritable capharnaüm qu’est le service de l’Etat civil de la commune de Diourbel.
C’est dans ce boxon indescriptible que sont éparpillés les registres des actes de naissance, de décès, de mariage, etc.
C’est hélas souvent la norme dans la quasi- totalité des bureaux d’Etat civil de ce pays dit émergent qu’est le Sénégal. A quand la numérisation de ces précieuses archives, utiles à tous les moments importants de la vie des citoyens et même après leur mort ?
A Diourbel, le préposé est à l’aise dans ce bordel : exemple type de l’accoutumance au désordre organisé qui caractérise notre pays.
Tract