SENtract – L’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis (nord), a confirmé, samedi, la découverte du corps sans vie d’une étudiante qui était durant portée disparue à partir de mercredi.
Le corps de Seynabou Ka Diallo, étudiante en licence à l’Unité de formation et de recherches des sciences agronomiques de l’aquaculture et des technologies alimentaires, a été retrouvé vendredi à Ndiawdioun, un quartier des faubourgs de l’université.
Dans un communiqué parvenu à l’APS, l’institution universitaire fait savoir que le corps de la victime, ’’morte dans des conditions non encore élucidées’’ a été retrouvé par la gendarmerie et conduit à la morgue de l’hôpital régional de Saint-Louis.
Une enquête a aussitôt été ouverte par la Brigade de recherches de la gendarmerie afin de déterminer les circonstances de la mort de l’étudiante.
Dans sa livraison de samedi, le journal Libération, s’appuyant sur des sources proches de l’enquête, a avancé la thèse du viol suivi de meurtre, faisant remarquer que des ’’traces de violences extrêmes’’ avaient été détectées sur le corps du défunt.