Quatorze (14) personnes ont perdu la vie dont douze (12) sous les balles des forces de sécurité, selon Amnesty international, lors des manifestations de mars 2021, qui ont suivi l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko, dans le cadre de l’affaire l’opposant à la masseuse Adji Sarr.
Deux ans après leur disparition, leurs familles qui réclament que justice soit faite, ont décidé de saisir les juridictions internationales.
C’est dans ce sens qu’elles portent plainte devant la cour de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest).
Selon plusieurs médias de ce mardi, les familles des 14 victimes vont tenir un point de presse avec les avocats qui suivent de très près le dossier la semaine prochaine.