Tract-A la suite d’une ronde, les éléments du commissariat central de Kaolack ont mis la main au centre- ville dix-neuf belles de nuit dont dix-huit d’entre elles sont de nationalité nigériane.
Selon le journal Les Échos, les chefs d’accusation qui pèsent sur elles sont, entre autres, racolage et séjour irrégulier.
Pour rappel, la commune de Kaolack a reçu dernièrement une vague de prostituées venues du Nigéria.
Elles ont été toutes interpellées nuitamment devant un débit de boissons (bar), le jour de la coupure générale de l’électricité qui avait plongé tout le territoire dans le noir.