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GRAND MAGAL DE TOUBA : Le gouvernement octroie une enveloppe de 800 millions aux hôpitaux

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Tract-Le ministre de la Santé et de l’Action sociale a passé en revue le dispositif sanitaire prévu pour le grand Magal. Accompagné d’une forte délégation, Ibrahima Sy a visité l’hôpital de Ndamatou de Touba, le centre hospitalier national de Matlaboul Fawzainy et le centre hospitalier national Cheikh Ahmadou Khadim ainsi le dispositif du service d’hygiène.

A la fin de sa tournée, le ministre a assuré que tout est fin prêt pour une bonne couverture médicale.

Reçu par le porte-parole du khalife général des mourides, M. Sy annonce qu’une enveloppe de 800 millions F CFA sera mise à la disposition des trois hôpitaux de Touba, sur instruction du président de la République Bassirou Diomaye Faye et du chef du gouvernement.

 

En réponse, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr a salué cet apport du gouvernement pour assurer la couverture sanitaire.

TRAFIC DE COCAÏNE : La chambre d’accusation confirme la liberté provisoire d’Abdoulaye Seck

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Tract-Du nouveau dans l’affaire du fils de l’ancien premier ministre, Idrissa Seck qui a été arrêté pour trafic de drogue dure !

Après son audition dans le fond, Pape Abdoulaye Seck avait bénéficié d’une liberté provisoire au mois de juillet dernier.

Mais le procureur s’était opposé à sa libération en interjetant appel.

A cet effet, les avocats du fils du patron de Rewmi avaient saisi récemment la Chambre d’Accusation.

Cette haute juridiction vient de confirmer l’ordonnance du juge d’instruction du 3e cabinet, selon son avocat Me Alioune Badara Fall.

Au final, Pape Abdoulaye Seck vient d’obtenir la liberté provisoire assortie d’un contrôle judiciaire.

Mais, il séjourne toujours en prison parce que l’administration pénitentiaire n’a pas encore reçu la notification de la décision de la chambre d’Accusation.

KAOLACK : Un 4×4 fauche mortellement un talibé

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Tract-Ce mardi, un enfant d’une école coranique a perdu la vie dans un accident de la circulation. Il a été mortellement fauché par un véhicule de type 4×4. L’accident a eu lieu sur la route qui mène vers Passoire, dans commune de Kaolack. Selon une source digne de foi, le chauffeur roulait à vive allure.

Après l’accident, le chauffeur a pris la poudre d’escampette pour échapper au lynchage des jeunes riverains et c’est les policiers qui ont dispersé la foule en colère à coups de grenades lacrymogènes.

Selon Seneweb, le chauffeur n’ avait pas par-devers lui son permis de conduire et les pièces légales du véhicule.

La dépouille a été déposée à la morgue de l’hôpital El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack par les sapeurs-pompiers.

L’HOROSCOPE DE CE MERCREDI 14 AOÛT

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Tract- Découvrez votre horoscope de ce jour

Bélier : cette journée est plutôt encourageante, vous avez les moyens de vous évader !

Taureau : vous n’êtes pas à l’abri d’un petit coup de blues, mais c’est passager !

Gémeaux : belle journée avec un enjeu à l’appui, vous n’êtes pas seul et vous saurez vous adapter !

Cancer : vous avez intérêt à ne pas vous mettre trop en avant, préférez la fin de semaine pour briller !

Lion : c’est positif et ce qu’il y a de bien, c’est que vous ferez partager votre joie avec les autres !

Vierge : il vous appartient de prendre du recul vis-à-vis d’une situation qui vous travaille !

Balance : vous saurez tirer les bénéfices de cette conjoncture astrale, dépaysante à souhait !

Scorpion : faites un pas de côté, vous préserver sera préférable à trop vous exposer !

Sagittaire : une personne s’éloigne, s’oppose, ou une relation prend vie !

Capricorne : malgré les perturbations ambiantes, vous avez pour but de poursuivre votre chemin !

Verseau : le sort d’une personne à laquelle vous tenez vous préoccupe, et vous l’aidez !
Poissons : ah la famille, c’est compliqué ! Et vous aurez beaucoup à faire à elle aujourd’hui !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE JOUR

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Tract-Découvrez les éphémérides de ce mercredi 14 août

• 14 Aout 2014
L’étudiant Bassirou FAYE, inscrit en faculté des sciences, perd la vie au cours d’affrontements entre des étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) qui réclamaient le paiement de leurs bourses et les forces de l’ordre. Le policier responsable de la mort de l’étudiant sera condamné à 10 ans de prison ferme par la Cour d’appel de Dakar.

• 14 Aout 1997
Rappel à Dieu à Thiès à l’âge de 107 ans d’El Hadji Ahmadou Sakhir NDIÉGUÈNE, guide religieux de la tarikha tidiane et premier Khalife de la famille d’El Hadji Ahmadou Barro NDIÉGUÈNE. Ayant succédé à son père en 1936, il a consacré sa vie à la cause de la religion musulmane et à la promotion du savoir islamique. Il est le parrain de l’hôpital régional de Thiès depuis 2001.

• 14 Aout 1979
Retour à Dakar, au terme de sa mission, du premier contingent de 600 soldats qui participaient depuis juin 1978 à la Force d’intervention africaine au Shaba (Zaïre). En 1977 une force rebelle de 1500 hommes soutenue par le régime marxiste de l’Angola avait envahi la riche région minière du Shaba dans le sud du pays. Incapable de l’arrêter le président Mobutu Sese Seko avait fait appel à l’aide internationale pour enrayer la menace. Le Zaïre était le nom de la République Démocratique du Congo (RDC) entre 1971 et 1997.

• 14 Aout 1947
Inauguration de la piscine olympique du Lido à Dakar par René BARTHES, Haut-Commissaire de la République en Afrique Occidentale Française (AOF). Depuis le décret du 4 mai 1946, l’AOF n’était plus dirigée par un Gouverneur général mais par un Haut-Commissaire de la République.

• 14 Aout 1883
Les Chefs du Fouta central (Yirlaabe, Hebbiyaabe et Bosséa) s’engagent à laisser les Français construire une ligne télégraphique entre Saldé et Bakel. Entre 1880 et 1885, Abdoul Bocar KANE et ses hommes se sont farouchement opposés au passage à travers le Bosséa de cette ligne dont les sections Saint-Louis-Saldé et Kayes-Bakel étaient déjà réalisées.

JOURNÉE SANS PRESSE : Le mot d’ordre largement respecté par les médias

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Tract-La grande majorité des médias sénégalais ont suivi mardi le mot d’ordre de la « journée sans presse » pour alerter sur les mesures fiscales et économiques des nouvelles autorités qui leur font craindre pour leur survie.

La quasi-totalité des journaux n’est pas parue mardi. Les radios privées RFM et iRadio, deux des principales du pays, ont diffusé de la musique à l’heure du journal de la matinée.

Des télévisions privées comme TFM, ITV et 7 TV reprennent les visuels et les slogans des éditeurs de presse – trois poings brandis enserrant un crayon, couplé du slogan « journée sans presse » – pour marquer leur solidarité.

Quelques journaux ont choisi de ne pas respecter le mouvement, comme le quotidien pro-gouvernemental Le soleil et les journaux WalfQuotidien et Yoor Yoor, un journal dont la ligne éditoriale est favorable au pouvoir. Les chaînes de télévision RTS et Walf TV ont aussi continué à émettre.

Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de la presse au Sénégal (Cdeps, patronat), qui regroupe des éditeurs privés et publics, a indiqué que la liberté de la presse « est menacée au Sénégal », dans un éditorial commun publié lundi par la presse locale.

Il met en cause les autorités au pouvoir depuis avril, notamment pour le « blocage des comptes bancaires » des entreprises de presse pour non-paiement d’impôt, la « saisie de (leur) matériel de production, la « rupture unilatérale et illégale des contrats publicitaires », le « gel des paiements » dus aux médias.

« L’objectif visé n’est autre que le contrôle de l’information et la domestication des acteurs des médias », estime-t-il.

Au Sénégal, le secteur des médias est confronté depuis longtemps à des difficultés économiques, les acteurs dénonçant des conditions de travail précaires.

L’éditeur de deux quotidiens sportifs parmi les plus lus dans le pays, « Stades » et « Sunu Lamb », a suspendu fin juillet leur parution après plus de vingt ans de présence dans l’espace médiatique sénégalais à cause de difficultés économiques.

La « journée sans presse » a lieu « dans un contexte où 26% des reporters du pays sont dépourvus de contrats de travail » alors que « des entreprises de presse traînent de lourdes dettes fiscales » sur fond d’une « crise de confiance entre les médias et le public », selon l’ONG Reporters sans frontières (RSF).

ASSEMBLÉE NATIONALE : Ouverture de la première session extraordinaire ce mardi

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Tract-La première Session extraordinaire de l’année 2024 de l’Assemblée nationale est ouverte, ce mardi 13 août.

Auparavant, sur demande du président de l’institution, un appel nominatif des députés a été effectué. Ainsi, ce sont 122 parlementaires qui ont répondu présents.

Par ailleurs, une demande de discussion d’urgence sur une proposition de loi a été formulée par 79 députés, selon Amadou Mame Diop.

Dans l’hémicycle, seul le parlementaire Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly a émis un avis contraire. Une requête qui sera «rejetée » car il faudrait au minimum 2 députés pour ouvrir les débats.

Finalement, le président de l’Assemblée nationale a clôturé la séance plénière.

MAGAL TOUBA 2024 : Les plateaux de télévision interdits dans la mosquée

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Tract-Les chaînes de télévision n’ont plus le droit d’installer leurs plateaux dans l’enceinte de la grande mosquée de Touba.

L’information est du porte-parole du Khalife général des mourides. Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr invite le Dahira moukhadimatoul khidma à veiller au respect strict de cette interdiction.

« Nous avons constaté récemment que des plateaux de télévision ont été installés dans la grande mosquée de Touba. Nous devons respecter la sacralité de ce lieu de culte », déclare le porte-parole de Serigne Mountakha Mbacké.

JOURNÉE SANS PRESSE : Boubacar Sèye tiendra sa conférence ce mercredi 14 août

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Tract-Boubacar Sèye, chercheur et consultant en migrations internationales, a annoncé le report de sa conférence de presse prévue aujourd’hui mardi avec les parents de personnes disparues en Méditerranée et dans le désert.

La journée sans presse de ce mardi, par les patrons de presse est le motif de ce report.

Le président-fondateur d’Horizons sans frontières compte désormais tenir cette conférence de presse le mercredi 14 août.

HÔPITAL DE LA PAIX DE ZIGUINCHOR : L’Intersyndicale décrète 48 heures de grève à partir de ce mardi

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Tract-L’Intersyndicale de l’hôpital de la Paix, qui réunit le SAMES, le SYNTRAS et le SUTSAS, déterre la hache de guerre pour dénoncer le non-respect du protocole d’accord signé avec la direction, le 16 octobre 2023. Dans un communiqué rendu public, les trois secrétaires généraux de ces syndicats décrient une situation critique qui prévaut au sein de l’établissement sanitaire.

Les signataires du communiqué, Dr Marc A Manga (SAMES), Émile B. Goudiaby (SUTSAS) et Fara Mbengue (SYNTRAS) dénoncent le non-respect des engagements pris par la direction en présence de l’inspecteur régional du travail en 2023.

En réaction, l’Intersyndicale a décrété 48 heures de grève, avec le respect des urgences, les mardi 13 et mercredi 14 août 2024, tout en remettant sur la table les 17 points de revendication qui ont fait l’objet d’un protocole d’accord.

Il s’agit de l’augmentation de la subvention d’exploitation, de l’octroi d’une subvention spéciale, de l’amélioration des conditions de travail par la résolution des problèmes d’étanchéité du bâtiment de voirie, entre autres.

L’intersyndicale évoque aussi la régularisation et le versement régulier des cotisations sociales (IPRES et CSS), le paiement sans délai de l’intégralité de la dette due aux travailleurs depuis 2017, le paiement régulier et en un seul versement de toutes les indemnités dues aux travailleurs avant le 5 de chaque mois, le rappel sans délai du reliquat de l’augmentation de la prime de transport depuis juillet 2023. L’Intersyndicale exige la régularisation des CDI validés en conseil d’administration ainsi que celle des différents contrats de travail, le respect du plan de carrière des contractuels de l’hôpital, le renforcement des équipements médicaux et de bureau dans tous les services, la réparation de l’appareil de radiographie numérique télécommandé, en panne depuis deux ans.

Les docteurs Marc A. Manga, Émile B. Goudiaby et Fara Mbengue exigent la réalisation de toutes les explorations biologiques au laboratoire de l’hôpital, la réparation de l’autoclave du bloc opératoire, en panne depuis plus de deux ans ainsi que la mise en place d’une stérilisation centrale et d’une buanderie aux normes. Sans oublier la question de l’augmentation de la capacité d’accueil des services, l’amélioration des conditions de séjour des usagers et l’affectation d’un auditeur interne.

L’Intersyndicale tient, en outre, à rappeler aux autorités étatiques leurs obligations en matière de politique sanitaire et attire leur attention sur la situation « désastreuse » de l’hôpital de la Paix.

In fine, les syndicalistes disent attendre des solutions immédiates et pérennes aux problèmes de la part de la direction de l’hôpital.

HOROSCOPE DE CE MARDI 13 AOÛT

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Tract- Tu es taureau? Vient découvrir ton horoscope!

Bélier : journée agréable pour voir du pays, profiter d’un lieu de villégiature, et recevoir des personnes étrangères à votre quotidien !

Taureau : écoutez les conseils des autres, sans forcément les suivre, fiez-vous à vos ressentis !

Gémeaux : voilà une journée « clé », surtout si vous êtes né fin mai, elle sera très valorisante !

Cancer : essayez de ne pas tout vouloircontrôler, laissez un peu la vie faire !

Lion : ce soir, vous serez satisfait de vous, de la vie, de vos proches ou d’une personne aimée !

Vierge : ce n’est pas le moment d’abandonner vos idées, à un moment, elles seront reconnues, vous serez cru et écouté !

Balance : une belle journée qui vous balade, vous ouvre à d’autres horizons !

Scorpion : il est question de monnaie, d’argent et d’une négociation peut être !

Sagittaire : c’est l’autre qui illumine votre vie, cœur solitaire, tout est possible aujourd’hui !

Capricorne : et si vous preniez du temps pour faire un pas de côté afin de vous poser, de vous reposer !

Verseau : de bons moments à prévoir avec des moments festifs et joyeux. Vous mettrez l’ambiance !

Poissons : ce mardi vous demande de prendre une décision importante pour votre avenir !

LES ÉPHÉMÉRIDES SÉNÉGAL DE CE JOUR

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Tract-Découvrez les éphémérides de mardi 13 août

• 13 Aout 2008

Rappel à Dieu à Kaolack à l’âge de 63 ans de l’imam Cheikh Assane CISSE. Diplômé en études islamiques et en littérature française et anglaise de l’Université Ain Chams du Caire et doctorant à l’Université Northwestern d’Illinois, ce petit-fils d’El Hadji Ibrahima Niasse est le premier à avoir introduit la Tidjaniya aux États-Unis d’Amérique en 1976.

• 13 Aout 1994

Rappel à Dieu à Rufisque, à l’âge de 83 ans, d’El Hadj Ibrahima SAKHO, Grand érudit musulman, prédicateur de renom et mokhadem de la tarikha tidiane.

• 13 Aout 1970

Création de la préfecture apostolique de Tambacounda par division du diocèse de Kaolack. Le préfet apostolique Monseigneur Clément CAILLEAU restera en poste jusqu’en 1986. La préfecture deviendra un diocèse le 17 avril 1989. Le premier Evêque du diocèse de Tambacounda est Monseigneur Jean-Noël DIOUF.

• 13 Aout 1857

Débarquement à Yaféra de la colonne française allant au secours des troupes de Boubakar SAADA, Almamy du Boundou, face à l »armée d’El Hadj Omar TALL.Yaféra est une localité située à l’est du pays sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans l’actuel département de Bakel.

JOURNÉE SANS PRESSE : Aissata Ndiathie Fall, journaliste à Emedia, crache ses vérités

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Tract-En tant que jeune journaliste, je me sens plus concerné par la précarité des reporters que par les revendications des patrons de presse.

Je pense qu’ils sont plus préoccupés par la sauvegarde de leurs affaires que par l’amélioration des conditions de travail des reporters.Nos employeurs J’espère de tout coeur que vous allez vous relevez, vous réinventer et sortir de cette crise mais après n’oubliez pas que :

Vous n’avez pas le droit de prélever les impôts sur nos revenus sans les reverser au fisc.Vous n’avez pas le droit de nous priver de retraite en négligeant nos cotisations sociales.

Vous n’avez pas le droit de nous faire payer vos erreurs.

Nous aussi avons le droit de prétendre à une vie décente, une retraite paisible, un accès à l’IPM, une maison, une voiture

Courage à ceux d’entre nous qui traversent des difficultés financières depuis plusieurs mois, années et qui malgré tout se tuent à la tâche nuit et jour.

Vivement l’amélioration des conditions de travail et de vie des journalistes, la sauvegarde de notre dignité professionnelle

JOURNÉE SANS PRESSE : Dr Cheikh Dieng reporte sa conférence de presse

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Tract-L’ex DG de ONAS, Dr. Cheikh Dieng avait prévu de faire face à la presse demain mardi 13 Août à partir de 16 heures pour se prononcer de son limogeage.

Mais cette conférence de presse vient d’être reportée. En effet, la « Journée sans presse » annoncée demain par les patrons de presse serait le motif de ce report ».

DIPLOMATIE : Après sa visite au Rwanda, le Premier ministre Ousmane Sonko au Mali

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Tract-Il avait pris part à la cérémonie de prestation de serment du Président Kagamé hier dimanche. Ce lundi, le premier ministre Ousmane Sonko est au Mali.

Ousmane Sonko, le Premier ministre du Sénégal est à Bamako. Il y effectue visite d’amitié et de travail. Il a été accueilli par son homologue malien, Choguel Kokalla Maiga, à son arrivée à l’aéroport international Président Modibo Keita Senou.

Il est prévu un entretien avec le chef de l’Etat malien, le colonel Assimi Goïta, durant son séjour selon l’Ortm.

[ÉDITO COLLECTIF] Médias sénégalais, la mort programmée

Tract – Lorsqu’au soir de l’élection présidentielle, dimanche 24 mars 2024, au moment où les stations FM, les télévisions et les médias en ligne relayaient les données et chiffres, les résultats qui ont porté Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, pas un seul citoyen sénégalais, homme politique de l’actuelle équipe à la tête du Sénégal, ne pouvait médire la presse. Journaux, radios, télévisions, sites d’informations, d’un seul élan, ont transmis les résultats rassemblés aux quatre coins du Sénégal. 

 

Combien étaient-ils à traquer les chiffres, bureau de vote par bureau de vote, à la recherche de la bonne information ? Des centaines de journalistes, envoyés sur le terrain par leurs organes de presse pour transmettre en direct les résultats et signaler le moindre dysfonctionnement, servant même souvent d’alerte aux autorités, sans aucune assistance publique ? Combien de millions de personnes étaient-ils, scotchés à leurs téléphones portables ou radios et télés, à s’abreuver de résultats donnés par ces «valeureux journalistes» sur le terrain ? Et combien ont sursauté de joie, à la publication de ces résultats, avant même que les commissions et institutions légalement habilitées ne le fassent ? Combien cela leur a-t-il coûté de savourer un tel «délice» ? Combien cela nous a-t-il coûté ?

Imaginons simplement un instant ce que serait cette élection du 24 mars 2024 et les autres qui l’ont précédées durant ce quart de siècle politiquement très mouvant au Sénégal, sans ce dispositif de relayage de l’information et de veille sur quasiment tout le territoire national ? Imaginons ce qui pourrait se passer dans la tête de certaines forces tapies dans l’ombre, si aucune information ne venait accompagner l’acte citoyen de vote ? La presse, nous a-t-on dit, au lendemain de cette échéance tant redoutée du fait de risques majeurs pour la stabilité de notre pays et des enjeux visibles ou cachés, a fait du bon travail. Vingt quatre ans (24 ans) après la présidentielle de 2000, qui avait consacré le point terminus de 40 ans de régime socialiste, elle a, encore une fois, été au rendez-vous de ce grand moment d’histoire. Good Job ! Un compliment comme un écho dans la nuit !

On aura beau caricaturer, manipuler, falsifier l’histoire, on ne pourra pas dénuer aux médias le rôle capital qu’ils ont joué ces dernières décennies, dans l’affermissement de la démocratie, par l’éveil du citoyen, en lui permettant d’accéder, surtout avec les langues locales, aux outils qui lui ont permis d’affûter sa conscience citoyenne.

Nous avons en vérité connu des moments cruciaux, dans l’histoire de notre jeune démocratie, où le curseur a souvent viré au rouge, mais la presse a toujours répondu présent, relevant les défis avec professionnalisme, sans avoir besoin d’aucun guide, sinon son sens éthique et l’intériorisation de l’éthique professionnelle et de responsabilité, conformément à l’héritage de nos aînés dont la plupart repose en paix, pour l’éternité. Aurions-nous agi autrement que la face de ce pays aurait été changé. Mais comme le dit si bien l’adage peulh, «le lait de la vache trait tous les jours en abondance, finit par ne plus avoir de saveur». Les Sénégalais que nous sommes, habitués à voir la presse assurer durant ces grands rendez-vous d’histoire, en oublient le rôle majeur que les médias jouent dans la stabilisation des institutions de la République et surtout la sauvegarde de l’État de Droit. Si un des pères fondateurs de la Nation américaine a pu dire qu’il préférait un État sans gouvernement plutôt que sans presse, c’est parce qu’il sait que celle-ci est un des piliers de la démocratie.

Depuis bientôt trois mois, la presse sénégalaise vit une des phases les plus sombres de son histoire. Une campagne de diabolisation a été actionnée pour présenter les médias, ainsi que ceux qui les animent, comme des citoyens irrespectueux des lois, ne s’acquittant d’aucune de leurs obligations, surtout fiscales. Parallèlement, une campagne est menée pour mettre à mal les éditeurs de presse avec leurs confrères, en créant un fossé entre ceux qu’on appelle «patrons de presse» et leurs collaborateurs.

La presse sénégalaise ne saurait accepter cette entreprise de dénigrement orchestrée à dessein pour la décrédibiliser. Nous sommes aguerris pour avoir expérimenté les méthodes des pouvoirs précédents pour comprendre ce qui se trame. Il s’agit de noircir le décor et procéder ensuite à une sélection artificielle et une liquidation des entreprises de presse privée, en fonction de ses intérêts politiques immédiats. L’objectif visé n’est autre que le contrôle de l’information et la domestication des acteurs des médias. C’est tout simplement la liberté de presse qui est menacée au Sénégal.

Face à cette situation (blocage des comptes bancaires, production d’état exécutoire de saisie de matériels de production, rupture unilatérale et illégale des contrats publicitaires, gel des paiements, mise en demeure, refus de concertation), nous organisons une journée sans presse, ce mardi 13 août 2024, pour sensibiliser l’opinion nationale et internationale.

Les régimes passent, la presse demeure !

Le conseil des diffuseurs et éditeurs de la presse du Sénégal (Cdeps)

ÉDITO-MORT PROGRAMMÉE DES MÉDIAS SÉNÉGALAIS : Une journée sans presse annoncée ce mardi

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Tract-Lorsqu’au soir de l’élection présidentielle, dimanche 24 mars 2024, au moment où les stations FM, les télévisions et les médias en ligne relayaient les données et chiffres, les résultats qui ont porté Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, pas un seul citoyen sénégalais, homme politique de l’actuelle équipe à la tête du Sénégal, ne pouvait médire la presse. Journaux, radios, télévisions, sites d’informations, d’un seul élan, ont transmis les résultats rassemblés aux quatre coins du Sénégal.

Combien étaient-ils à traquer les chiffres, bureau de vote par bureau de vote, à la recherche de la bonne information ? Des centaines de journalistes, envoyés sur le terrain par leurs organes de presse pour transmettre en direct les résultats et signaler le moindre dysfonctionnement, servant même souvent d’alerte aux autorités, sans aucune assistance publique ? Combien de millions de personnes étaient-ils, scotchés à leurs téléphones portables ou radios et télés, à s’abreuver de résultats donnés par ces «valeureux journalistes» sur le terrain ? Et combien ont sursauté de joie, à la publication de ces résultats, avant même que les commissions et institutions légalement habilitées ne le fassent ? Combien cela leur a-t-il coûté de savourer un tel «délice» ? Combien cela nous a-t-il coûté ?

Imaginons simplement un instant ce que serait cette élection du 24 mars 2024 et les autres qui l’ont précédées durant ce quart de siècle politiquement très mouvant au Sénégal, sans ce dispositif de relayage de l’information et de veille sur quasiment tout le territoire national ? Imaginons ce qui pourrait se passer dans la tête de certaines forces tapies dans l’ombre, si aucune information ne venait accompagner l’acte citoyen de vote ? La presse, nous a-t-on dit, au lendemain de cette échéance tant redoutée du fait de risques majeurs pour la stabilité de notre pays et des enjeux visibles ou cachés, a fait du bon travail. Vingt quatre ans (24 ans) après la présidentielle de 2000, qui avait consacré le point terminus de 40 ans de régime socialiste, elle a, encore une fois, été au rendez-vous de ce grand moment d’histoire. Good Job ! Un compliment comme un écho dans la nuit !

On aura beau caricaturer, manipuler, falsifier l’histoire, on ne pourra pas dénuer aux médias le rôle capital qu’ils ont joué ces dernières décennies, dans l’affermissement de la démocratie, par l’éveil du citoyen, en lui permettant d’accéder, surtout avec les langues locales, aux outils qui lui ont permis d’affûter sa conscience citoyenne.
Nous avons en vérité connu des moments cruciaux, dans l’histoire de notre jeune démocratie, où le curseur a souvent viré au rouge, mais la presse a toujours répondu présent, relevant les défis avec professionnalisme, sans avoir besoin d’aucun guide, sinon son sens éthique et l’intériorisation de l’éthique professionnelle et de responsabilité, conformément à l’héritage de nos aînés dont la plupart repose en paix, pour l’éternité. Aurions-nous agi autrement que la face de ce pays aurait été changé.

Mais comme le dit si bien l’adage peulh, «le lait de la vache trait tous les jours en abondance, finit par ne plus avoir de saveur». Les Sénégalais que nous sommes, habitués à voir la presse assurer durant ces grands rendez-vous d’histoire, en oublient le rôle majeur que les médias jouent dans la stabilisation des institutions de la République et surtout la sauvegarde de l’État de Droit. Si un des pères fondateurs de la Nation américaine a pu dire qu’il préférait un État sans gouvernement plutôt que sans presse, c’est parce qu’il sait que celle-ci est un des piliers de la démocratie.

Depuis bientôt trois mois, la presse sénégalaise vit une des phases les plus sombres de son histoire. Une campagne de diabolisation a été actionnée pour présenter les médias, ainsi que ceux qui les animent, comme des citoyens irrespectueux des lois, ne s’acquittant d’aucune de leurs obligations, surtout fiscales. Parallèlement, une campagne est menée pour mettre à mal les éditeurs de presse avec leurs confrères, en créant un fossé entre ceux qu’on appelle «patrons de presse» et leurs collaborateurs.
La presse sénégalaise ne saurait accepter cette entreprise de dénigrement orchestrée à dessein pour la décrédibiliser. Nous sommes aguerris pour avoir expérimenté les méthodes des pouvoirs précédents pour comprendre ce qui se trame. Il s’agit de noircir le décor et procéder ensuite à une sélection artificielle et une liquidation des entreprises de presse privée, en fonction de ses intérêts politiques immédiats. L’objectif visé n’est autre que le contrôle de l’information et la domestication des acteurs des médias. C’est tout simplement la liberté de presse qui est menacée au Sénégal.

Face à cette situation (blocage des comptes bancaires, production d’état exécutoire de saisie de matériels de production, rupture unilatérale et illégale des contrats publicitaires, gel des paiements, mise en demeure, refus de concertation), nous organisons une JOURNÉE SANS PRESSE, ce mardi 13 août 2024, pour sensibiliser l’opinion nationale et internationale.

Les régimes passent, la presse demeure !

Le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de la Presse du Sénégal (CDEPS), Dakar 11 août 2024.

MIGRATION IRRÉGULIÈRE : Une pirogue de 250 personnes interceptée à Sokone

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Tract-Une tentative d’immigration irrégulière a été déjouée à Bambougar, une localité de la commune de Sokone, dans la région de Fatick (ouest).

Une pirogue, transportant près de 250 candidats à l’exil, a été interceptée alors qu’ils s’apprêtaient à prendre le large.

Les autorités ont procédé à l’interpellation des passagers avant que leur embarcation ne quitte les côtes sénégalaises. Selon Rewmi Quotidien, cet incident met en lumière les défis persistants liés à l’immigration clandestine dans la région.

GENDARMERIE : La mère de Marième Faye Sall convoquée !

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Tract-La mère de l’ex-Première dame, Marième Faye Sall, Oumou Diallo, est convoquée à la Section de recherches de la gendarmerie. «La belle-mère du Président Macky Sall devrait être entendue dans une procédure concernant une affaire foncière», rapporte Le Quotidien, qui donne l’information dans son édition de ce lundi 12 août.

Le journal du groupe Avenir communication ne précise pas le jour inscrit dans la convocation, mais il croit savoir que l’audition de la dame «devrait se dérouler de manière incessante».

La convocation de Oumou Diallo pose problème à sa famille. Celle-ci a fait remarquer aux gendarmes, d’après Le Quotidien, que sa santé chancelante ne lui permettrait de répondre à leur convocation. Réponse de la Section de recherches, selon le journal : «si elle ne pouvait pas se déplacer, un panier à salade pouvait être mis à sa disposition pour la convoyer. Une manière, comme une autre, de mettre en évidence qu’il ne pouvait pas être fait d’exception, et que les règles s’appliqueraient à tous.»

La mère de Marième Faye Sall a été convoquée en même temps que son fils Adama Faye, «impliqué dans le même dossier», selon le journal du groupe Avenir communication.

ÉPHÉMÉRIDES DU JOUR

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Tract-Découvrez les éphémérides de ce 12 août

12 out 2022:Le Professeur Aminata Cissé NIANG, agrégée en droit privé, succède au Professeur Alassane KANTÉ à la tête de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques. Elle est la première femme élue doyenne de faculté à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).

12 Aout 2013: Création de l’Agence Nationale d’Appui aux Marchands Ambulants (ANAMA) chargée, entre autres, de rechercher des sites et de construire des emplacements commerciaux (cantines, étals) nécessaires à l’insertion professionnelle des marchands ambulants et d’assurer leur sécurisation et leur hygiène.

12 Aout 2003: Le Général de corps d’armée Papa Khalilou FALL est nommé Chef d’Etat-major général de l’armée sénégalaise. Il succède au général de corps d’armée Babacar GAYE.

12 Aout 1987: À l’occasion des 4èmes Jeux Africains à Nairobi au Kenya, l’athlète sénégalaise Awa Dioum NDIAYE remporte la médaille d’or du saut en hauteur dames en réalisant un saut de 1,80 mètre.

12 Aout 1957: Henri BERGER succède à Henri FOURNIER au poste de Secrétaire du Conseil de gouvernement du Sénégal. Le premier gouvernement du Sénégal présidé par Pierre LAMI et qui comprenait un vice-président (Mamadou DIA) et 10 ministres a été formé le 20 mai 1957.

12 Aout 1855: Combat de Mannael (Bakel) : les partisans d’El Hadj Omar TALL infligent une défaite aux troupes coloniales françaises.

AFFECTATION DE MAGISTRATS À TAMBACOUNDA : Olivier Boucal pas d’accord !

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Tract-Le ministre de la Fonction publique et de la Réforme du Service public s’est prononcé sur la polémique naìt suite á l’affectation de certains magistrats dans la région de Tambacounda. Invité de l’émission Grand Jury sur la Rfm, ce dimanche 11 août 2024, Olivier Boucal a estimé que « Les régions doivent être traités d’égale dignité. Et il faut qu’on évite de stigmatiser des zones ».

Pour le ministre de la république « si aujourd’hui on en arrive à certains conflits dans beaucoup d’autre régions c’est justement parce qu’on a considéré certains périphéries comme des zones qui n’appartiennent peut être pas à l’Etat ».

En ce qui concerne les mouvements des fonctionnaires dans le pays M. Boucal a considèré que « nous devons du respect à ma population de Tamba et de façon générale à la population qui habite les périphéries. Nous nous sommes des commis de l’Etat. Le principe c’est la rotation. Vous ne pouvez pas servir dans un poste éternellement. Il faut aller dans toutes les contrées du pays. Affecter quelqu’un dans une autres région ne signifie pas pour moi une punition. Il faut éviter de stigmatiser les gens ».

« Je pense que aborder le problème sous cet angle serait insulter la population de Tamba et la région elle-même » a ajouté le responsable de la mouvance présidentielle.

L’affectation de ces hommes de lois dans cette région orientale pourrait bénéficier à la population. « Est ce que la population de Tamba n’ont besoin réellement de ces grands magistrats de renom » s’est-il posé. Avant de préciser que c’est une manière aussi de faire bénéficier à des Sénégalais de l’expertise de ces gens là.

Pour rappel les juges Oumar Maham Diallo, Abdou Karim Diop, Mamadou Seck ont été tous affectés à Tambacounda lors du dernier mouvement de la magistrature.

CRISE DANS LA PRESSE : ‘On ne peut pas continuer à poser des actes hostiles à la presse’ lance Mamadou Ibra Kane

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Tract-Mamadou Ibra, président du CDEPS, estime que l’existence de la presse est menacée. Il invite l’État à entendre les éditeurs qui créent l’entreprise pour trouver une solution.

Devant le jury du dimanche sur iRadio, il a souligné qu’on ne peut pas faire table rase de la presse et continuer de poser des actes hostiles comme l’infirmation de l’allègement fiscal, de l’effacement fiscal, les poursuites contre les entreprises de presse, le durcissement des poursuites contre les entreprises de presse avec des sommes que les entreprises de presse ne peuvent pas payer.

« Nous ne refusons pas de payer l’impôt, nous allons payer l’impôt qui correspond à notre situation économique. De la même manière, les poursuites sont durcies avec des blocages de comptes bancaires, avec des saisies. Mais nous, nous estimons que la solution pour résoudre le problème de la presse ne peut venir que d’une volonté politique », dit-il.

Par ailleurs, il précise que nous sommes dans un État qui se veut un État de droit. « Il y a des procédures pour contester la non-validité de certains engagements au nom de l’État. Mais, par exemple, les contrats commerciaux, les contrats publicitaires, l’État, en tant que partie au contrat, ne peuvent pas, de manière unilatérale, résilier ces contrats publicitaires. Il y a des procédures, y compris au niveau du tribunal du commerce, en fonction des obligations du code des obligations civiles et commerciales, etc. Il y a des voies de solution, mais pas de manière unilatérale, qu’on décide de rompre certains engagements ».

Sur l’audience accordée aux jeunes reporters, il dira : « les jeunes reporters sont des employés. Ceux qui leur donnent l’emploi, ce qui crée l’entreprise, ce sont les entrepreneurs de presse. C’est l’existence même de la presse aujourd’hui qui est menacée. Et donc nous, nous avons des solutions par rapport à cela. Et nous aurions voulu que le nouveau régime puisse nous entendre. Je ne dis pas qu’il va accepter nos propositions, mais au moins qu’il puisse discuter avec nous. Les nouvelles autorités, vous ne les entendrez nullement discuter d’un secteur aussi stratégique que la presse. Ils se refusent au débat intellectuel ».

MAGAL TOUBA : Inédit, un thème choisi pour cette édition de 2024

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Tract-Comme le dit l’adage, toute chose à un début. C’est le cas pour la 130 ème édition du grand Magal de Touba, qui se tiendra le 23 de ce mois.

Pour une 1ère le Magal de Touba sera célébré sous un thème spécifique notamment l’Éducation. « Les conférences et plateaux inscrits au menu de la 130 ème édition du grand Magal de Touba prévue le 23 août vont porter sur le thème général « L’éducation à l’ère de la mondialisation ».

Cheikh Abdou Lahat qui s’exprimait lors d’un entretien accordé à l’APS, a expliqué que « Le Magal n’a jamais de thème. Mais chaque année, il y a un thème qui est choisi pour les conférences et plateaux où on peut impacter sur le vécu des fidèles. Et pour cette année, c’est « l’éducation à l’ère de la mondialisation », qui est retenue comme thème ».

Il a également fait savoir que « ce thème sera développé lors des différents plateaux et conférences organisés le jour-J, par d’éminents savants et cheikhs soufis du Sénégal d’une quinzaine de pays invités, a précisé Cheikh Abdou Lahat Mbacké Gaïndé Fatma. Revenant sur le choix de cette thématique, le président de la commission Culture et Communication du Grand Magal a expliqué que « la mondialisation est un phénomène qu’on n’a pas choisi, et dont on ne peut se soustraire non plus, car ayant été imposé par le contexte mondial ».

« Cette mondialisation », dit-il, « inclut également le brassage des civilisations. Pour ne pas dire qu’en tout cas nous sommes agressés, même parfois attaqués par d’autres civilisations qui ne sont pas en conformité avec nos croyances, qui ne sont pas en conformité avec notre vécu, qui ne sont pas en conformité avec nos propres civilisations. Et comme nous ne pouvons pas subir cette mondialisation, nous avons décidé à travers ces conférences et plateaux, de faire en sorte que nos enfants, que ceux dont nous avons la charge de l’éducation, puissent être armés pour affronter ce monde qui est devenu un village planétaire », a laissé entendre le guide religieux.

Selon lui, c’est de « donner les outils nécessaires pour que les enfants et autres fidèles puissent vivre en conformité avec leurs propres réalités, leurs propres valeurs, leurs propres croyances, sans être dépaysés, sans en tout cas subir un changement qui va en l’encontre surtout de leur religion ».

[L’ET DIT TÔT] Trois juges ‘jetés’ à Tambacounda : l’indigne ‘justice des vainqueurs’ du régime Diomaye-Sonko (Par Ousseynou Nar Gueye)

Tract – C’est la « justice des vainqueurs » (politiciens) qui s’abat ainsi sur le corps des magistrats et la corporation judiciaire.

L’affectation en rafale de 3 juges à Tambacounda alias Niafoulène-les-bains (qui nous tient lieu et symbole de ville de Limoges) relève de la vendetta d’État. Contre les juges Oumar Maham Diallo, Abdou Karim Diop et Mamadou Seck.

« Quand la justice des vainqueurs entre par la porte, le Droit est déjà sorti par la fenêtre ».

Nous attendions du régime de Bassirou Diomaye alias, selon certains que je me permets de citer, « le Président de la République délégué auprès du Premier ministre Sonko », qu’il apaisât les cœurs et ressoudât le corps social de notre pays, bien malmené, effiloché et agressé ces quatre dernières années, avec un peuple sénégalais pris en otage et martyrisé (60 morts) dans la longue guerre politico-judiciaire où tous les coups étaient permis, entre sortants du Pouvoir et nouveaux entrants de ce Pouvoir.

Nous attendions des nouveaux dirigeants qu’ils soient « les adultes dans la pièce », pour reprendre une expression anglo-saxonne.

Pas dans la continuation de ces chicanes vindicatives de cours de récréation, après que la tête de gondole de Pastef, pendant ces dix dernières années, ait été dans l’outrage permanent à magistrats, la défiance systématique envers « la justice de son pays » et la contestation régulière de la chose définitivement jugée.
Le chef de l’État est le président du Conseil Supérieur de la Magistrature. A cet égard, il doit protection aux magistrats contre toutes atteintes à leurs avantages acquis et à leurs intérêts moraux et matériels, tant collectifs qu’individuels et il se doit d’en être le garant premier et ultime : il en va de la préservation de l’indépendance de la Justice.
La Justice, qui administre la loi, est ce qui fonde et garantit, plus que toute autre chose, la solidité du Contrat social qu’est notre vie en société. Ne la sapez pas. Ne la saquez pas.
Ousseynou Nar Gueye

Éditorialiste (Tract.sn) et Communicant

MADIAMBAL RÉPOND À SONKO : « Ce sera plainte contre plainte »

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Tract-Madiambal Diagne a réagi, suite à la plainte annoncée par le pool des avocats de Ousmane Sonko.

«Cela a tout l’air d’une dénonciation calomnieuse contre ma personne», a réagi le journaliste. Et d’avertir : « Dans un Etat de droit, ce sera plainte contre plainte. Même si je n’oublie pas que lors de la journée Set Setal, Sonko avait dit nettoyer la Justice des « mauvais magistrats » et nommer de « bons magistrats’ pour lancer des poursuites.»

En effet, dans la matinée de ce samedi, le pool d’avocats du premier ministre Ousmane Sonko dit avoir constaté des attaques systématiques et injustifiées, parfois même injurieuses et / ou séditieuses, sans lien avec la critique objective de la gestion du pouvoir, contre le Premier ministre Monsieur Ousmane Sonko, Président du Parti Pastef-les-patriotes.

«Ces faits sont constitutifs pour l’essentiel d’infractions, réprimées par notre dispositif pénal. En tant que citoyen, le Premier Ministre Ousmane SONKO, Président de Pastef-les patriotes entend, par le biais de ses conseils, user de son droit de saisir la justice. Sous ce rapport, une plainte sera déposée dès ce lundi 12 Août 2024au Parquet de Dakar, contre Madiambal Diagne notamment, pour diverses infractions», a annoncé Me Bamba Cissé.

OUAKAM : Un litige foncier provoque des affrontements entre jeunes et forces de l’ordre

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Tract-Ouakam (commune de la ville de Dakar) a été le théâtre de violents affrontements entre les jeunes du collectif « Momel Ouakam » et les forces de l’ordre. La tension est survenue suite à un litige foncier concernant l’attribution des terres dans la région.

Les jeunes du collectif protestent contre l’octroi de terres à des projets privés. Ils réclament plutôt la création d’espaces verts et la construction de stades. Leur intention initiale était d’organiser une conférence de presse ce samedi pour dénoncer l’accaparement de leurs terres. Cependant, les autorités ont interdit cette manifestation, qui a conduit à des échauffourées.

Des jeunes ont incendié des pneus lors des affrontements, ce qui a entraîné le blocage de la circulation et l’établissement de barrages dans plusieurs quartiers. Les routes sont devenues difficilement accessibles en raison des barricades et des projectiles utilisés pendant les affrontements.

Selon des informations, la situation s’est finalement calmée, mais les perturbations demeurent notables avec plusieurs voies encore bloquées.

Les autorités et les leaders communautaires sont appelés à trouver une solution pacifique pour apaiser les tensions et résoudre le conflit foncier qui secoue la commune depuis plusieurs années.

CEDEAO : Rencontre entre Guy Marius Sagna et Moustapha Cissé Lo

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Tract-Le député Guy Marius Sagna a annoncé sur les réseaux sociaux sa rencontre avec Moustapha Cissé Lô, le quatrième président du parlement de la CEDEAO.

« Je suis allé aujourd’hui à la rencontre de celui qui a été le 4e président du parlement de la CEDEAO monsieur Moustapha Cissé Lô. Je lui ai posé beaucoup de questions. Je salue la disponibilité et la générosité du président Moustapha Cissé Lô. Il a répondu à mes questions et m’a fait plusieurs suggestions et prodigué des conseils.
Une autre Afrique de l’Ouest est nécessaire.
Une autre Afrique de l’Ouest est possible.
GMS, », a écrit Guy Marius Sagna, représentant du Sénégal au parlement de la CEDEAO.

A noter que Moustapha Cissé Lô, ancien collaborateur de Macky Sall, a dirigé le Parlement de la CEDEAO pendant deux mandats consécutifs, de 2016 à 2020.

[Interview] Luchelle Feukeng: ‘Créer une Afrique verte’

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Tract – Présentez-vous à nos lecteurs

Bonjour chers lecteurs, je suis Luchelle Feukeng, journaliste et actuellement je travaille comme chargée de la communication et du Storytelling Greenpeace Afrique, j’entretiens un dialogue essentiel avec l’organisation afin de tisser un avenir plus vert et durable sur le continent.

Quel bilan personnel faites-vous de votre engagement en faveur de la lutte contre les changements au sein de Greenpeace ?

Le premier bilan est la joie et la satisfaction de militer pour une cause vitale comme l’environnement. Vous savez, je n’ai pas grandi dans un contexte où les thématiques liées à l’environnement étaient les plus courantes. Et, en me frottant à ce domaine il y a 7 ans déjà, j’ai compris la nécessité et l’urgence d’agir rapidement pour sauver la planète de la crise à laquelle elle fait face actuellement. Quand je suivais ma formation en journalisme, je me disais qu’il fallait absolument de la communication pour construire, bâtir notre continent. Et, je suis satisfaite de mettre mon temps et talent au service de la planète. Comme mon titre l’indique, je communique, ou mieux, avec l’équipe, nous travaillons à créer une Afrique verte, à raconter les histoires des communautés impactées par les changements climatiques mais aussi et surtout à faire valoir les solutions qui sont proposées à la crise climatique,  cette plaie qui ronge chaque jour notre précieuse planète.

Dans le cadre de vos engagements environnementaux, comment gérez-vous la collaboration avec les autres générations?

Chaque expérience est à valoriser. Mais quand il faut souvent concilier ces différentes perspectives, la tâche est moins aisée. On a d’un côté les dirigeants africains, qui pour la plupart estiment que l’Afrique doit se développer et ce à tous les prix. Ils ont été victime de la colonisation qui avait été une forme de tromperie et ne veulent rien faire pour permettre une bévue de plus. L’ouest s’est servi de ses ressources naturelles pour se développer et quand vient notre tour ils mettent en avant l’urgence de protéger la planète. D’autre part, il faut réussir à faire comprendre que l’exemple ne doit pas toujours venir de l’occident. Leur modèle de développement montre ses limites … car n’a pas accordé la priorité à l’épanouissement de l’individu… et que l’Afrique ne devrait pas avoir peur d’oser proposer quelque chose de différent au monde. Par ailleurs, il faut également réussir à faire comprendre que le modèle de développement basé sur l’extractivisme n’est rien d’autre qu’une forme de néocolonialisme qui enrichit les pays exploitant et appauvrit davantage les Etats africains.  Et c’est cette dualité qui sous tend notre combat au quotidien et on est conscient que réussir à faire évoluer le récit actuel est un travail laborieux qui nécessite de la patience.

Comment l’éducation peut-elle être améliorée pour mieux préparer les jeunes à relever les défis environnementaux ?

L’éducation étant un levier essentiel de sensibilisation, intégrer l’éducation à l’environnement dès le plus jeune âge, permettrait aux jeunes de faire face plus aisément aux enjeux environnementaux et les doter des compétences nécessaires pour y répondre. Ceci peut se faire, en introduisant des notions simples sur la nature, le recyclage, la biodiversité, en développant des programmes complets abordant les causes et les conséquences du changement climatique, la gestion des ressources naturelles, les énergies renouvelables, etc. dans les cours des écoles primaires et des collèges.  L’un des éléments clés ici va être dans la manière de transmettre ces connaissances: il n’est pas question de donner l’impression aux jeunes qu’ils doivent apporter une solution à un problème qu’ils n’ont pas causé car on sait tous que les émissions de gaz à effet de serre sont les plus faibles en Afrique. Mais il s’agira de leur présenter la nature comme un trésor, un bien commun dont on doit tous prendre soin.

Quelles innovations technologiques vous inspirent-elles le plus dans la lutte contre le dérèglement climatique, et comment peuvent-elles être mises à l’échelle efficacement au niveau du Cameroun particulièrement ?

Mon coup de cœur, sont les énergies renouvelables, surtout l’énergie solaire et éolienne. C’est passionnant de voir comment la technologie permet de produire de l’énergie électrique grâce au soleil. L’Afrique est le “continent du soleil” et reçoit plus d’heures d’ensoleillement que n’importe quel autre continent dans le monde. D’après l’Agence Internationale de l’Énergie, sur les 60% de ressources solaires mondiales, l’Afrique ne possède qu’un 1% de la capacité de production solaire. Un contraste qu’il est complexe d’expliquer. D’après les économistes, l’un des moyens clés pour les Etats de se développer est d’investir dans le secteur ou ils disposent le plus de ressources. Je pense que les Etats africains devraient davantage tirer profit du solaire pour produire de l’énergie. Et le développement des davantage de centrales solaires et éoliennes devrait permettre de pallier le problème de délestage auxquels font face plusieurs Etats en Afrique subsaharienne.

Malgré les défis environnementaux, êtes-vous optimiste quant à l’avenir de notre planète ?

L’espoir fait vivre. Si on n’y croyait pas, on cesserait tout simplement de lutter. C’est vrai que les effets se font de plus en plus ressentir. L’année 2023 a battu le record de l’année la plus chaude jamais connue et le mois de février 2024 a battu le record des mois de février les plus chauds…  et l’année 2024 qui est actuellement en cours risque elle aussi de battre le même record à son tour. Cette année, des écoles ont été temporairement fermées au Soudan du Sud à cause de la canicule. Une pression qui vient ainsi fragiliser le pays déjà suffisamment fébrile à cause des conflits. Et c’est cela le réel problème, la crise climatique vient se greffer à d’autres problèmes comme les conflits, l’insécurité alimentaire, la migration clandestine etc. et honnêtement, ça craint.  Mais à côté, il y a aussi des initiatives de part et d’autres dans le monde qui donnent envie de continuer de croire et de battre pour un lendemain meilleur. La lutte pour la protection de l’environnement n’est pas comparable à un match de football qui se gagne en 90 minutes. Il faut du temps pour refaire le système de pensées et des modèles de développements qui sont restés ancrés depuis des décennies. et ça ne se fait pas en un clic. Un avenir meilleur pour notre planète est possible! et cela dépendra de notre capacité à agir collectivement pour relever ces défis.

Si je vous donne maintenant une baguette magique, comment imaginez-vous un avenir durable, et quelles étapes clés devons-nous franchir pour y parvenir?

Alors je ne suis pas une fan de la magie mais je crois que par la parole nous pouvons recréer le monde.

Les pollueurs doivent cesser de polluer et commencer à payer les dommages causés par leurs actions afin que justice soit faite. Les rendez-vous, comme la COP à venir, doivent être de véritables lieux d’échanges et qui aboutissent à des solutions concrètes. Nous ne voulons plus de fausses solutions, mais que la justice climatique commence maintenant. Les fonds verts doivent effectivement être dirigés aux réels destinataires pour leur permettre de se construire sans créer une entorse à la nature.

L’un des grands tueurs silencieux de notre époque est le plastique à usage unique. Parcourez les rues de plusieurs pays d’Afrique subsaharienne et vous le verrez joncher les rues. Et en cas de pluies, certains quartiers se retrouvent inondés parce que l’eau de torrent ne peut circuler efficacement.  Et comme vous le savez, 99 % du plastique est produit à base des combustibles fossiles dont le rôle  prépondérant dans le réchauffement de la planète n’est plus à démontrer.

L’homme a été créé pour vivre en harmonie avec la nature et en prendre soin. Le changement de mentalité dans le combat contre les changements climatiques est crucial. Il faut changer les narratives qui veulent qu’on regarde nos ressources comme des commodités, et les considérer plutôt comme un trésor à préserver et à prendre soin. Et pour y parvenir, l’éducation pour moi occupe une place de choix, car il faut assez tôt inculquer aux générations actuelles des valeurs vertes qui leur permettront de prendre des décisions et définir des politiques de développement centrées sur la protection de l’environnement.

Propos recueillis par Baltazar Atangana

CÉRÉMONIE D’INVESTITURE DE PAUL KAGAME : Ousmane Sonko bien arrivé à Kigali

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Tract-C’est le premier déplacement officiel de Ousmane Sonko à l’étranger depuis qu’il est chef du gouvernement, en avril dernier.

Comme annoncé hier vendredi, le Premier ministre est actuellement au Rwanda pour représenter le Président Bassirou Diomaye Faye à la cérémonie d’investiture du président de la République du Rwanda, Paul Kagame, prévue dimanche à Kigali.

La cérémonie d’investiture se déroulera en présence de nombreux invités, dont des chefs d’Etat et de Gouvernement et leurs représentants de différents pays.

Paul Kagame a été réélu pour un quatrième mandat avec 99,18 % des voix, selon les résultats officiels annoncés le 18 juillet 2024.

PLAINTE DE SONKO CONTRE MADIAMBAL DIAGNE : Alioune Tine alerte !

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Tract-Alioune Tine, fondateur du think tank Afrikajom Center, a réagi à l’annonce de la plainte du pôle d’avocats d’Ousmane Sonko contre le journaliste Madiambal Diagne. Sur son compte X (anciennement Twitter), M. Tine a lancé un avertissement au nouveau régime, mettant en garde contre les dangers de l’emprisonnement des politiques et des leaders d’opinion.

« Attention, la prison pour les politiques et les leaders d’opinion est un couteau à double tranchant», a-t-il averti.

Alioune Tine a souligné que l’emprisonnement de Madiambal Diagne pourrait se retourner contre le pouvoir en place. Selon lui, cela risquerait de faire du patron de Avenir communication un « héros » aux yeux du public.

« En prison vous ferez de Madiambal Diagne, un héros. La perception de l’opinion sera l’emprisonnement d’une figure politique de l’opposition radicale. Sonko était une figure de l’opposition radicale, un « guerrier » et un « héros  » pour beaucoup de jeunes sénégalais et africains. Il nous faut sortir du cercle vicieux par la politique de l’ubuntu, de la palabre, du dialogue. La démocratie c’est le conflit, c’est pas la guerre, les acteurs qui s’affrontent sont des adversaires pas des ennemis », a-t-il écrit.

Le fondateur d’Afrikajom Center a également invité Ousmane Sonko à ignorer les provocations.

« Qu’est-ce que Madiambal n’a pas dit sur moi. Pourtant je l’ai sorti de prison. Sonko est le Premier Ministre le plus puissant de l’histoire politique du Sénégal. Il a des pouvoirs exorbitants, c’est « normal » que toutes les attaques contre le pouvoir soient orientées sur lui. C’était aussi le sort d’hommes politiques puissants comme Mamadou Dia, Colin ou Idrissa Seck après l’alternance de 2000 », a dit M. Tine.

[L’ET DIT TÔT] Voile ? Ousmane Sonko, ne déchirez pas le tissu social de notre pays (Par Ousseynou Nar Gueye)

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Tract – « On ne tolèrera plus qu’aucune école interdise le port du voile » : M. Ousmane Sonko, avec cette mâle déclaration, vous avez planté un bien vilain coup de poignard dans le dos de la République du Sénégal, tout Premier ministre que vous en soyez.

Et les contorsions sémantiques interminables de votre ministre de l’Éducation Moustapha Mamba « Guirassi », après qu’il soit allé tenter, ventre à terre, de jouer au sapeur-pompier chez l’autorité ecclésiastique, n’y changent rien.

Le mal est fait et il est profond. Le malaise est là et il est aigu.

M. Ousmane Sonko : en pompier-pyromane, vous avez déchiré le tissu social de notre pays, pour cette affaire de textile symbolique à mettre sur la tête de certaines de nos petites têtes crépues, prétendument, selon vous, dans toutes les écoles du Sénégal.

Par inclination naturelle, je suis de l’école qui veut que les écoles publiques ou écoles privées, laïques ou confessionnelles, sont maîtresses chez elles et de leur règlement intérieur.

J’estime qu’on a trop fait entrer la société dans l’espace de l’école, au motif de faire « vivre leur milieu » aux élèves.

Après, les spécificités d’un Sénégal, juxtaposition de communautés en même temps que nation, pousseront de plus en plus à la prise en charge de ces spécificités communautaires dans tous les espaces sociaux. Par pur populisme.

« Je suis convaincu, au nom de la liberté, qu’on ne saurait accepter l’interdiction du port du voile dans les écoles de la République. Et selon ma compréhension, les établissements visés ne le souhaitent pas. Pire, l’État du Sénégal, en concertation avec le Diocèse a réglé cette question depuis 2019 », écrit mon jeune frère énarque Hamidou Anne sur cette polémique. Que nenni, Hamidou.

On nous parle de tolérance dont il faudrait faire montre ?

Tolérance égale condescendance, pour moi.

On ne tolère que ceux à qui on se croit supérieurs. Pas ceux à qui on se croit égaux.

On nous parle de liberté ?

Mais enfin : chacun a la liberté d’inscrire ses enfants dans l’école, collège ou lycée dont le règlement intérieur est conforme à ses choix de vie et à ses convictions spirituelles. Il y a bien suffisamment d’écoles au Sénégal.

Même les bars, les restaurants et les boîtes de nuit, qui ont besoin d’un agrément de l’État pour exercer, peuvent refuser l’accès de leur lieu à un client potentiel, pour raison de « dress-code » contrevenant, laissé à la libre appréciation de ces boites de nuit, restaurants et bars.

Votre gouvernement GOS veut imposer l’acceptation du port du voile à ces écoles qui ne veulent pas du voile parce que votre État leur donne des subventions ?

Eh bien, les bars, restaurants et night-clubs ont aussi eu vos subventions publiques, pendant le Covid-19.

Ousmane Sonko, apprenez à respectez les « accommodements raisonnables » entre communautés spirituelles de notre pays.

Pas des « accommodements raisonnables » au sens canadien, qui consiste à donner de l’espace à chaque communauté dans le champ public.

Mais plutôt des « accommodements raisonnables », au plein sens sénégalais du terme, qui consiste à ne pas empiéter sur les plates-bandes d’aucune communauté socio-religieuse.

A cet égard, quand on a voulu construire une église à Tivaouane, les habitants ont brûlé le chantier et la famille maraboutique de Tivaouane a fustigé le projet de construction d’église. Tivaouane n’est pourtant le titre foncier d’aucune famille, fût-elle maraboutique.

De même, il ne vient à l’idée d’aucun chef d’État du Sénégal de former son Gouvernement sans y inclure au moins deux ministres de confession chrétienne, et plus précisément, catholique.

M. Ousmane Sonko, respectez nos équilibres socio-communautaires. La tectonique des plaques que vous avez voulu susciter avec votre affaire de voile musulman généralisé dans toutes les écoles de ce pays, publiques comme privées, laïques comme confessionnelles, ne vous grandit pas. Et ses répliques sismiques n’épargneront personne, si le tremblement de terre que vous souhaitez advient .

Mais comme vous avez pu le voir, les communautés concernées ne se laisseront pas faire. Car, communautés majoritaires comme communautés minoritaires de ce pays sont d’égale dignité, au sein de la République sénégalaise. Que ce soit en termes de droits quantitatifs comme qualitatifs.

Tenez-vous le pour dit, après l’avertissement sans frais que vous avez reçu du clergé catholique, du laïcat catholique, et aussi de la part de larges pans de notre pays, y compris de (dignitaires) musulmans.

Ousseynou Nar Gueye
Éditorialiste (Tract.sn) et Communicant

NÉCROLOGIE : Tall Ngol Ngol de la 2stv n’est plus !

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Tract-El Hadj Tall Ngol Ngol, maître de la parole n’est plus.

Le célèbre animateur de la 2stv est décédé ce samedi, comme l’a annoncé la 2stv sur sa page Facebook.

« La 2stv en deuil. Nous venons d’apprendre le rappel à Dieu d’El Hadj Tall Ngol Ngol, animateur à la 2stv. En ces douloureuses circonstances, la 2stv et l’ensemble de son personnel présentent leurs condoléances à sa famille ainsi qu’au monde audiovisuel. »

JUSTICE : Les avocats d’Ousmane Sonko annonce une plainte contre Madiambal Diagne

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Tract-Les avocats de Sonko ont annoncé leur intention de saisir la justice dès le 12 août 2024. La plainte sera déposée au Parquet de Dakar et visera le journaliste et patron du Groupe Avenir Communication, Madiambal Diagne, accusé de « diverses infractions. »

La raison d’un tel acte est que depuis quelques jours, le pool d’avocats de l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko, également président du Parti Pastef-les-Patriotes, dit constater  » des attaques qu’il qualifie de systématiques et injustifiées. Ces attaques, jugées injurieuses et séditieuses, sont dénoncées par son pool d’avocats qui les considère comme des infractions pénales ».

Malgré ces attaques, le pool d’avocats dont le coordonnateur est Me Bamba Cissé affirme que Ousmane Sonko est resté  » indifférent. »

N’empêche, ses avocats insistent « sur leur rôle de surveillance » et disent « ne tolérer aucune dérive non fondée sur des considérations politiques, soulignant leur détermination à défendre leur client face à ce qu’ils estiment être des violations de la loi pénale sénégalaise. »

SOMMET CHINE-AFRIQUE : Mamadou Lamine Diallo salue la participation de Bassirou Diomaye Faye

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Tract-Sur son compte X, Mamadou Lamine Diallo s’est réjoui de la participation du chef de l’Etat au prochain sommet Chine-Afrique.

« Je suis tout naturellement les Sommets Chine Afrique depuis le début. C’est une bonne chose que le Président Diomaye Faye se rende au prochain Sommet. La situation géopolitique du Sahel va être de plus en plus difficile ; la Chine avec les BRICS est un acteur incontournable face aux Etats Unis et l’Otan, sans oublier l’Algérie et le Maroc. Ce sommet est l’occasion de revisiter les dossiers brûlants entre les deux pays. L’affaire de la Falémé ne doit pas constituer une pomme de discorde », a écrit le député.

REDDITION DES COMPTES : ‘Je n’ai jamais été épinglé par un rapport’ lance Mansour Faye

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Tract-La reddition des comptes va bientôt démarrer, après la composition au complet des membres du Pool judiciaire financier, ce vendredi, lors du Conseil supérieur de la magistrature (CMS).

En attendant, le beau-frère de l’ancien président de la République, Macky Sall, a écrit sur sa page Facebook, ce même jour : «Je voudrais d’abord remercier tous ceux et celles qui suivent quotidiennement cette page. Et ensuite, leur dire que je n’ai jamais été épinglé par un quelconque rapport des corps de contrôle de l’État (ni de l’IGE, ni de la Cour des comptes, ni de l’OFNAC ou autres) dans le cadre de mes missions régaliennes. »

Mansour Faye d’insister : «Aussi bien en tant que délégué général, ministre ou maire. Je ne le serai jamais. »

CONSEIL SUPÉRIEUR DE LA MAGISTRATURE : Les juges Oumar Maham Diallo, Abdou Karim Diop et Mamadou Seck tous affectés à Tambacounda

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Tract-Maham Diallo, Abdou Karim Diop, Amady Diouf ou encore Mamadou Seck. Les magistrats qui avaient hérité des affaires politico judiciaires qui ont mené l’actuel premier ministre ou encore l’actuel président de la République en prison, ont tous été virés de leur poste, lors du Conseil supérieur de la magistrature de ce vendredi. Des mouvements qui sonnent comme une sanction.
Le magistrat Oumar Maham Diallo, qui avait hérité du dossier Sonko – Adji Sarr, n’est plus doyen des Juges d’instruction au Tribunal de Dakar. Il a été envoyé à Tambacounda, où il est aujourd’hui Président de Chambre à la Cour d’Appel de la région. Une affectation entérinée ce vendredi en Conseil supérieur de la magistrature(Csm) présidé au palais de la République par le chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye.

Abdou Karim Diop aussi, précédemment Procureur de la République de Dakar, qui était très en vue lors des procédures judiciaires qui avaient envoyé des centaines de jeunes du Pastef en prison, après les évènements de Juin 2023, est lui aussi envoyé à la Cour d’appel de Tamba. Il y est nommé Avocat général.

Mamadou Seck, qui avait inculpé puis placé sous mandat de dépôt l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Faye, est, lui aussi, envoyé à Tamba où il assurera les fonctions d’avocat général près la Cour d’Appel.

Monsieur Amady Diouf, qui fut procureur de la République de Dakar, puis Premier Président de la Cour d’Appel de Dakar, est affecté à l’Administration centrale du Ministère de la Justice. Il y officiera avec Ibrahima Bakhoum précédemment Procureur général près la Cour d’Appel de Dakar.

REMANIEMENT AU SEIN DE LA MAGISTRATURE : Le juge Sabassy Faye envoyé à Fatick

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Tract-Le Président Bassirou Diomaye Faye avait annoncé son projet de réformer la justice dès son investiture en avril 2024. Ce vendredi, il a joint l’acte à la parole en faisant un pas en sens. L’objectif selon lui, est de voir « la Justice Sénégalaise réconciliée avec le peuple au nom duquel elle est rendue ».

Dans la lancée de ces réformes, Bassirou Diomaye, a procédé à vaste chamboulement au sein de la magistrature avec plusieurs nominations et affectations.

Ainsi donc, le juge Sabassy FAYE, précédemment Président du Tribunal d’Instance de Ziguinchor est nommé Président du Tribunal de Grande Instance de Fatick.

Sabassy Faye, ce magistrat n’est plus à présenter. Rien qu’à l’appellation de son nom tout le monde sait de qui il s’agit. Le Juge Sabassy Faye s’est inscrit dans l’histoire de la justice du Sénégal comme un héros de l’avis des militants et sympathisants du leader de Pastef.

Pour rappel, Sabassy Faye c’est ce juge, qui avait réintégré Ousmane Sonko dans ses droits, par une décision héroïque le 12 octobre 2023, malgré la pression et la tension.

Grâce à son courage et son sens de reparti, il a su écouter, il a pu entendre et il a donné un verdict historique et a su dire la justice. Ziguinchor perd ainsi un homme de lois véridique et digne.

Sabassy Faye s’en va pour Fatick et avec lui, le procureur Papa Ismaël Diallo, précédemment Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Ziguinchor, nommé Avocat général près la Cour d’Appel de Kaolack de même que Abdourahmane DIALLO, précédemment Président du Tribunal de Grande Instance de Ziguinchor qui est aussi nommé Président de Chambre à la Cour d’Appel de Tambacounda.

ASSEMBLÉE NATIONALE : Les députés convoqués en plénière ce 13 août

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Dans une note parvenue à la rédaction de Tract, il est indiqué que les députés sont convoqués en séance plénière, le mardi 13 août 2024, à 9 h 30, pour l’ouverture de la première session extraordinaire de l’année 2024 de l’Assemblée nationale.

TOUBA : Serigne Mbaye Thiam reçu par Serigne Mountakha

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Tract-En prélude du Grand Magal de Touba, l’ancien ministre de l’hydraulique et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam rend visite au khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké.

Ce membre du Parti Socialiste ( PS) vient d’arriver dans la résidence de Serigne Bassirou sise à Darou Miname en compagnie de sa délégation.

Serigne Mbaye Thiam sera reçu d’un moment à l’autre par le khalife.

‘ÉCHEC’ DES ATHLÈTES SÉNÉGALAIS AUX JO : Mamadou Ibra Kane accuse le nouveau régime

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Tract-Les 11 athlètes sénégalais n’ont décroché aucune médaille à l’occasion des jeux olympiques Paris 2024.

En effet, la participation de la représentation sénégalaise a pris fin jeudi avec l’élimination en quart de finale de la céiste Combé Seck au canoë kayak sprint.

Selon Mamoudou Ibra Kane, le nouveau régime n’a pas été à la hauteur des attentes des sportifs.

“Première campagne sportive du nouveau pouvoir, premier échec. Courage tout de même à nos athlètes. Des athlètes qui ont régulièrement dénoncé le manque de moyens. Le sport et la jeunesse, comme les autres domaines, risquent d’être les parents pauvres de ce régime.”, a écrit le Président de Demain C’est Maintenant sur sa page X.

CONSEIL SUPÉRIEUR DE LA MAGISTRATURE : Le Président Diomaye Faye préside sa première réunion ce vendredi

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Tract-Fin du suspense. Le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, va présider sa première réunion du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), ce vendredi, au palais de la République, quatre mois après sa prestation de serment.

L’Observateur, qui donne l’information, annonce un « chamboulement général ».

Des sources proches du dossier soufflent en effet au journal que « toutes les juridictions du pays subiront des changements majeurs».

C’est d’ailleurs « ce qui a retardé » la tenue de la séance qui a été longtemps programmée puis repoussée pour « des réglages » liés à la volonté des nouvelles autorités de « placer les magistrats qu’il faut aux postes qu’il faut », rapporte L’Observateur.

Le quotidien d’information glisse concernant le retard que le ministre de la Justice, Ousmane Diagne, a écarté « certains profils de magistrats » proposés par l’Exécutif, et que le réquisitoire de l’ancien procureur de la République a été entendu par le successeur de Macky Sall.

Entre autres changements, avance L’Observateur, « plusieurs magistrats seront mutés, des postes vacants pourvus et le parquet financier enfin équipé ». Aussi, prédit le journal du Groupe futurs médias (GFM), l’ancien premier substitut du procureur de la République et Procureur de Saint-Louis, Ibrahima Ndoye, est pressenti pour hérite du parquet du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Abdou Karim Diop serait donc sur siège éjectable.

RÉOUVERTURE DES ÉCOLES PUBLIQUES DE LANGUE FRANÇAISE À TOUBA : Serigne Bassirou Abdou Khadre oppose son véto !

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Tract-Le porte-parole du khalife général des mourides, Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké, ne veut pas entendre parler de la réouverture des écoles en langue française á Touba. Selon lui, c’est une volonté du feu Serigne Saliou Mbacké, fils de Serigne Cheikh Ahmadou Bamba et elle est « irrévocable ».

« Il est impossible d’implanter une école publique dans le périmètre du titre foncier. On ne revient pas sur une décision prise par un fils de Cheikh Ahmadou Bamba Khadim Rassoul », a-t-il déclaré et reporté par l’APS.

Cette décision, a souligné le porte-parole du khalife des mourides, c’est la volonté des autorités religieuses de Touba de préserver la « sacralité » de la ville, par l’interdiction de l’implantation d’écoles publiques en langue française dans la cité religieuse.

Serigne Bass Abdou Khadre Mbackè s’exprimait lors d’une séance de récital du Coran en préparation du Grand Magal, prévu le 23 août prochain.

NOMINATIONS : Thierno Alassane Sall dénonce les ‘promotions inqualifiables’

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Tract-« La République des copains et des coquins. » C’est par cette expression de Thomas Sankara que Thierno Alassane Sall a qualifié la gestion du pays par le nouveau régime.

« Ils nous avaient promis une République exemplaire, où la compétence et le mérite l’emporteraient enfin sur les accointances politiques ou les amitiés. Les appels à candidatures, adossés sur des enquêtes de moralité, devraient être la norme. À l’arrivée, ils éclaboussent la République par des promotions inqualifiables », a tweeté sur X le président du parti La République des Valeurs,/Reewul Ngor, Thierno Alassane Sall.

Il constate amèrement : « devant ces reniements flagrants de ceux qui nous gouvernent, je ne peux m’empêcher de repenser à la fameuse expression de Thomas Sankara : « La République des copains et des coquins. ». Il semblerait que celle-ci ait encore de beaux jours devant elle au Sénégal ».

ASSEMBLÉE NATIONALE : Le bureau convoqué en réunion ce vendredi

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Tract-Les membres du Bureau de l’Assemblée nationale sont convoqués en réunion, ce vendredi 09 août 2024 à 16 H 00, dans la salle de Conférence de la Présidence, informe le président du parlement Amadou Mame Diop dans une lettre de convocation adressée aux députés concernés.

L’ordre du jour n’a, cependant, pas été précisé.

Mais au regard des dernières informations, tout porte à croire que le bureau va statuer sur le toilettage de son règlement intérieur afin de permettre au Premier ministre Ousmane Sonko de faire sa déclaration de politique générale (DPG).

JUSTICE : Le Collectif des victimes de Macky Sall saisit Mouhamed VI

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Tract-Le collectif des victimes de Macky Sall a adressé une lettre de demande de soutien au Roi du Maroc Mouhamed VI, dans le cadre de la lutte contre l’impunité au Sénégal.

« Macky Sall, en quittant le pouvoir, a laissé derrière lui un pays endeuillé par une gouvernance marquée par le sang et les larmes de centaines de victimes. Il s’agit de la pire période qu’ait connue notre nation », indique la lettre.

Dans le document, il est noté que plus de « 80 morts » ont été recensés lors des manifestations politiques, des disparus, des citoyens désespérés forcés à l’exil ou ayant péri en Méditerranée. « Des détentions arbitraires ont eu lieu, laissant de nombreuses personnes dans des conditions difficiles, assoiffées de justice et en quête de vérité ».

RECRUDESCENCE DES ACCIDENTS DE LA ROUTE : Ousmane Sonko indexe ‘la corruption des agents de sécurité routière’

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Tract-Comme annoncé dans le communiqué du conseil des ministres du mercredi 1juillet 2024, le gouvernement a tenu ce jeudi un Comité interministériel sur les accidents récurrents notés ces derniers temps. Prenant la parole, le Premier ministre, Ousmane Sonko a dénoncé plusieurs facteurs qui sont, selon lui, à l’origine des accidents routiers, en particulier la corruption des agents de sécurité routière.

« Nous avons fait nos enquêtes et écouté les Sénégalais, mais nous savons tous ici que la corruption fait partie des causes des accidents routiers », a affirmé, Ousmane Sonko.

Pour parer à ce fléau, le Premier ministre a annoncé que désormais, les responsabilités seront situées et des mesures drastiques seront prises pour réduire les risques d’accidents de la route, notamment le renouvellement du parc automobile.

« Une voiture qui a roulé plus de 40 ans ne devrait normalement plus rouler. De surcroît les véhicules sont vieux et ne sont pas entretenus. Même une voiture neuve a besoin d’entretien. La visite technique aussi est un problème ; elle ne se fait pas avec les machines adéquates », a soutenu Sonko.

POLÉMIQUE SUR LE PORT DU VOILE : L’imam Nfansou Bodian appelle au maintien de la paix au Sénégal

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Tract-Par le biais de son porte-parole, rapporte exclusif.net, l’imam ratib de Bignona, El Hadji Fa Ousmane Nfansou Bodian, s’est prononcé sur la polémique autour du port du voile, qui fait suite à la déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko.

« Nous devons travailler pour maintenir la paix dans notre pays. Nous sommes indivisibles, comme le montre ce beau dialogue entre musulmans et chrétiens. Le Sénégal est souvent cité en exemple à travers le monde. Le Khalife appelle chacun à renforcer cette unité. Nous pouvons tous faire des erreurs, car nous sommes humains, et nous devons accepter de pardonner. Le Khalife demande également aux médias de faire preuve de plus de retenue. Certaines déclarations dans cette affaire auraient pu être évitées. Les acteurs des médias ont une responsabilité importante dans la stabilité nationale », a-t-il conclu.

TOUBA : Un élève meurt électrocuté dans les eaux pluviales

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Tract-Âgé de 13 ans, un apprenant coranique du nom de S. S. Guèye est mort électrocuté dans une flaque d’eau, selon Seneweb. Le drame est survenu hier soir au quartier Dianatoul Mahwa. Informés, les éléments du commissariat spécial de Touba ont retrouvé le corps sans vie dans les eaux pluviales.

Après l’isolement du secteur par la Senelec, le corps sans vie a été repêché puis déposé à la morgue de l’hôpital Matlaboul Fawzainy par les sapeurs-pompiers.

Après les constats d’usage, les hommes du commissaire principal Diégane Sène ont ouvert une enquête. L’accident serait lié à un poteau électrique qui se trouve au niveau de la flaque d’eau à côté d’une maison inondée.

AFFAIRE MIMI TOURÉ CONTRE MANSOUR FAYE : L’ancienne Premier ministre acquittée !

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Tract-Aminata Touré a remporté son procès contre Mansour Faye. Le tribunal a acquitté Mme Aminata Touré, dite Mimi. En revanche, Mansour Faye a été condamné aux dépens, selon Me Moussa Sarr.

L’ancienne Première ministre Aminata Touré sur son compte facebook avait abordé la question de la gestion controversée des fonds publics, assurée par le beau-frère de l’ex-président Macky Sall.

Se sentant diffamé, Mansour Faye a porté plainte contre Mme Aminata Touré. Le jeudi 25 juillet, le tribunal correctionnel de Dakar a examiné l’affaire en l’absence du plaignant.

Devant la barre, Mimi Touré a défendu ses propos en se référant aux conclusions du rapport définitif de la Cour des comptes, allant même notamment jusqu’à citer des pages comme 100, 101.

Mieux, elle a souligné qu’elle n’était pas la seule à s’interroger de la gestion de Mansour Faye sur cette affaire. Des Sénégalais et journalistes ont fait la même chose, s’était -elle défendue.

DÉBAT SUR LE VOILE : Mame Mactar Gueye prend le contre- pied de Sonko

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Tract-Pour quelqu’un qui a tendance à adopter des positions pro-islam radicales, la mesure affichée par Mame Mactar Guèye à propos de la polémique sur le port du voile dans les établissements catholiques, surprend.

Dans des propos rapportés par Les Échos, le vice-président de l’ONG Jamra préconise «une table ronde avec l’ensemble des parties prenantes» pour traiter le traiter le sujet, soulignant que «l’Église a ses arguments, l’État pareil».

Il embraye : «Personne n’a le droit de prétendre avoir raison sur tout le monde. Il faut privilégier la concertation dans le respect mutuel. Si ce principe est respecté, on peut espérer un consensus.»

Auparavant, selon Les Échos, Mame Mactar Guèye a taclé les religieux musulmans qui ont publiquement défendu le Premier ministre, Ousmane Sonko, celui par qui le malaise est arrivée. Il rembobine : «Après le discours du PM sur le voile, la polémique a refait surface. Et il y a eu une riposte énergique de l’Église à travers une lettre ouverte de l’abbé André Latyr Ndiaye. Ce que nous déplorons, c’est l’excès de zèle de la part de certains collectifs islamiques.»

Le vice-président de Jamra d’enfoncer le clou : «Où êtiez-vous quand Jean-Luc Mélenchon faisait sa conférence de presse et parlait de l’homosexualité ? Donc, vous avez peur de Mélenchon, mais vous osez quand même vous attaquer à abbé André Latyr Ndiaye.»

GAMOU TIVAOUNE 2024 : 2000 agents de santé seront déployés

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Tract-Les conclusions du Comité régional de Développement ( CRD) préparatoire consacré au Gamou de Tivaouane 2024, sont rassurantes. Au moins 2.000 agents de santé seront déployés, et des ambulances seront mobilisées.

L’information a été donnée par le Gouverneur de Thiès. Il ne doute pas que le comité d’organisation relèvera les défis au plan sanitaire. La seule chose qu’il demande au directeur régional de la santé et à ses équipes, c’est de « veiller à mettre tout le dispositif en place avant l’événement, afin que nous puissions être opérationnels le moment venu ».

Il en est de même pour la question de l’hygiène. Tivaouane est une ville très peuplée mais qui va recevoir, peut-être, le double de sa population à l’occasion de ce Gamou.

D’où « l’urgence d’entreprendre des actions énergiques d’hygiène et d’assainissement afin de permettre aux pèlerins de passer un Gamou dans les meilleures conditions », indique Oumar Mamadou Baldé. À ce sujet, le Service de l’hygiène ne compte pas lésiner sur les moyens.

Le gouverneur a demandé au préfet du département, également à la mairie de Tivaouane, d’« apporter le secours et l’accompagnement nécessaires pour que toutes les initiatives qui ont été arrêtées puissent être mises en œuvre 5 jours avant le déroulement de l’événement ».

SAINT-LOUIS : Une pirogue avec des talibés à bord chavire et fait un (1) mort

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Tract-Selon nos confrères de IGFM, un drame s’est produit dans le fleuve à Saint-Louis.

Une pirogue avec à son bord des talibés qui ont quitté Gokhou Mbathie pour se rendre à Darou a chaviré.

Une vingtaine de personnes étaient à bord. Malheureusement, l’une d’entre elles s’est noyée. Elle a été repêchée par les sapeurs-pompiers.

Le reste du groupe est sain et sauf.

COMMUNIQUÉ DU CONSEIL DES MINISTRES DU 07 AOÛT 2024

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Tract-Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 07 août 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République est revenu sur la cérémonie marquant la Journée nationale de l’Arbre qu’il a présidée, le dimanche 04 août 2024, à Touba. Il a remercié le Khalif général des Mourides, Serigne Mountakha Bassirou MBACKE, pour l’accueil chaleureux qu’il lui a réservé, son soutien renouvelé et ses prières abondantes pour la réussite de sa mission à la tête du Sénégal. Il a félicité le Ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, les membres du Gouvernement, les autorités territoriales, les populations de Touba, les personnels des Eaux et Forêts, les associations citoyennes et l’ensemble des parties prenantes qui se sont mobilisés pour cette journée qui a connu un franc succès. Le Chef de l’Etat a rappelé au Gouvernement l’impératif de promouvoir un « SENEGAL VERT » à travers l’appropriation citoyenne des campagnes nationales de reboisement et l’ancrage d’une économie durable autour du développement des pépinières, des aménagements paysagers, de la reforestation et des sites naturels à protéger. Pour ce faire, il a souligné la nécessité d’impliquer davantage les Collectivités territoriales et de renforcer les personnels techniques des Eaux et Forêts avec des recrutements spéciaux ou le redéploiement d’éléments volontaires de la Gendarmerie nationale et de la Police nationale. Abordant la question de l’accélération du processus de transformation du système sanitaire national, le Président de la République a rappelé que la santé est un secteur prioritaire de l’action de l’Etat coïncidant avec une demande sociale de premier ordre de nos concitoyens qui réclament, avec insistance, l’amélioration de la gouvernance sanitaire dans tous ses aspects. Le Chef de l’Etat a invité le Ministre de la Santé et de l’Action sociale à veiller en permanence à l’accès des populations à des soins essentiels de qualité dans une dynamique de promotion de la prévention sanitaire et de renforcement continu de la surveillance épidémiologique. Le Président de la République a demandé l’évaluation prospective de la réforme hospitalière de 1998, l’actualisation de la carte sanitaire et la maitrise de l’agenda des réalisations de nouveaux projets d’hôpitaux et d’établissements de santé selon les différents niveaux de la pyramide sanitaire. Il a aussi prôné la digitalisation intégrale des services de santé et de l’information sanitaire, le contrôle des activités des établissements privés de santé, l’amélioration de la prise en charge de la santé communautaire et la stabilité sociale à la faveur d’un dialogue social responsable avec les syndicats du secteur de la santé.

Le Chef de l’Etat a aussi souligné la nécessité de la généralisation du management de la qualité dans les établissements de santé, particulièrement la certification de la qualité des soins prodigués dans les Services d’Accueil et d’Urgence (SAU) mais également la régulation soutenue des activités relatives à la pharmacie et au médicament. A ce titre, il a appelé le Gouvernement à renforcer la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (PNA) et de repositionner l’entité publique dans la mise en œuvre de la stratégie de souveraineté pharmaceutique. Le Président de la République a, dès lors, exhorté le Premier Ministre, en relation avec les Ministres impliqués, à travailler pour la mise en place d’un financement participatif et innovant du système de santé, avec une refonte globale de l’actuelle politique de Couverture Sanitaire Universelle (CSU) qui amplifie la dette hospitalière et menace la stabilité et la viabilité du système sanitaire national. Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, évoqué la question de la consolidation de la paix et du développement durable de la Casamance, notamment le retour massif de familles déplacées noté ces derniers mois. Il a indiqué que ce processus marque un tournant majeur dans la consolidation de la paix et la relance des activités économiques et sociales dans les régions administratives de Ziguinchor, Kolda et Sédhiou. Le Président de la République a demandé au Premier Ministre et à l’ensemble des Ministres impliqués d’accompagner les populations concernées dans leur réinstallation adéquate. Enfin, le Chef de l’Etat a rappelé au Premier Ministre l’urgence de finaliser, pour la prochaine Loi de Finances, le Programme intégré de Développement durable de la Casamance (PIDEC). Ce programme ambitieux et multisectoriel va matérialiser, dans le cadre du PROJET, la volonté soutenue de l’Etat d’assurer la stabilité économique et sociale de cette région naturelle au potentiel exceptionnel. Dans sa communication, le Premier Ministre s’est tout d’abord appesanti sur la problématique de l’inclusion, dans notre système éducatif, des enfants vivant avec un handicap. À cet égard, il a engagé les Ministres de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle à accorder la priorité qui sied à la construction de nouveaux instituts spécialisés, au renforcement du système des Assistants de Vie scolaire et à la facilitation de l’obtention de la carte d’égalité des chances. Il a également relevé l’urgence attachée à l’intégration de la langue des signes dans la formation des instituteurs et professeurs ainsi qu’à l’amélioration de l’environnement pédagogique et logistique des enfants scolarisés vivant avec un handicap. Abordant la question de la prise en charge de la période de soudure durant l’hivernage, le Premier Ministre a souligné la vigilance particulière à exercer au niveau de certaines zones du pays pour garantir la sécurité alimentaire. Dans ce cadre, il a informé le Conseil de la tenue, sous sa présidence, la semaine prochaine, d’une réunion avec les départements ministériels et les structures concernés, en vue d’apprécier la situation exacte sur la base des données de terrain les plus récentes et d’arrêter les mesures idoines de riposte et d’atténuation. Par ailleurs, le Premier Ministre a demandé au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement, en relation avec le Ministre des Finances et du Budget et le Ministre de la Fonction publique et de la Réforme du Secteur public, de prendre les dispositions appropriées afin de soumettre au Conseil des Ministres, au cours du mois de septembre 2024, les projets de décrets d’application de la loi d’orientation relative au secteur public, au suivi du portefeuille de l’Etat et au contrôle des personnes morales de droit privé bénéficiant du concours financier de l’Etat. Il s’agit notamment des projets de décrets relatifs à l’appel à candidatures pour le recrutement des chefs d’organes exécutifs des entités du secteur parapublic, au fonctionnement de l’organe délibérant des entités du secteur parapublic, aux statuts-types applicables aux sociétés nationales ainsi qu’à l’organisation et au fonctionnement du Comité de suivi du secteur parapublic. Le Premier Ministre est également revenu sur l’urgence qu’il attache à la formalisation des exigences en matière d’exercice de fonctions publiques dans le sillage de la lettre adressée par Monsieur le Président de la République, dès sa prise de fonction, aux fonctionnaires et agents de l’Administration. Dans ce cadre, il a demandé aux Ministres concernés de soumettre au Conseil, au mois de septembre 2024, le projet de loi portant Code général d’éthique et de déontologie des agents du secteur public. Enfin, en perspective de la prochaine rentrée scolaire, le Premier Ministre a invité le Ministre de l’Education nationale à revoir le dispositif de commande d’uniformes scolaires, en privilégiant la proximité, par le recours aux tailleurs des quartiers où se situent les écoles. Cette initiative devra toutefois s’adosser à des mesures incitatives à formaliser leurs activités.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : • Le Ministre des Finances et du Budget a fait le point sur la visite sur site des experts du Groupe d’Action financière (GAFI) ; • Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement a présenté la situation hebdomadaire de la gestion des inondations : • Le Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires a fait une communication portant sur les bâtiments menaçant ruine ; • Le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a fait le point sur la situation du Groupe La Poste.
AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES,
Le Conseil a examiné et adopté : • Le Projet de décret portant organisation du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines ; • Le Projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement du Fonds de Développement géologique et minier ; • Le Projet de décret portant organisation du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture.

AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES, Le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Au titre de la Primature : • Madame Ndèye Khansou CAMARA, Magistrat, est nommée Directrice de l’Action normative, en remplacement de Monsieur Amadou NGOM ;
Au titre du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines : • Monsieur Ibrahima GASSAMA, Docteur en géologie, est nommé Directeur Général des Mines et de la Géologie au Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines en remplacement de Madame Roseline Anna Coumba MBAYE ;
Au titre du Ministère de l’Économie, du Plan et de la Coopération : • Madame Ndèye Fatou MBODJ, Comptable, est nommée Administrateur général du Fonds de Garantie des Investissements Prioritaires, en remplacement de Madame Néné Fatoumata TALL. Au titre du Ministère de la Formation professionnelle : • Madame Adjaratou Bousso DIAGNE, Professeur de l’Enseignement secondaire, titulaire d’un MBA en Audit et Contrôle de gestion, matricule de solde n° 648 183/N, est nommée Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de la Formation professionnelle, en remplacement de Monsieur Amadou Bouré SENE.
Au titre du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement : Monsieur Alassane NDAO, Titulaire d’un Diplôme d’Ingénieur polytechnicien en Génie civil, est nommé Président du Conseil d’Administration de l’Office national de l’Assainissement (ONAS) en remplacement de Monsieur Ibrahima AGNE ;
• Monsieur Cheikh BADIANE, Titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures en Études du Développement, est nommé Président du Conseil d’Administration de la Société nationale des Eaux du Sénégal (SONES) en remplacement de Monsieur Pape Mael THIAM.
Au titre du Ministère de la Communication et des Télécommunications : • Monsieur Mody NIANG, Enseignant à la retraite est nommé Président du Conseil d’administration de la Société Sénégalaise de Presse et de Publication – Le Soleil (SSPP- Le Soleil), poste vacant.
Au titre du Ministère de l’Industrie et du Commerce : • Madame Madeleine Suzane LO, Economiste, matricule de solde n° 666 369/Z, est nommée Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement du Ministère de l’Industrie et du Commerce.
Au titre du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires : • Monsieur Papa Ndiamé SENE, spécialiste en Finances publiques, matricule de solde n° 625 106/B, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Al Hassane DIOP.
Monsieur Edouard NDECKY, Ingénieur des Travaux de Planification, matricule de solde n°618 687/H, est nommé Directeur des Infrastructures Portuaires au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Ousmane NDIAYE admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
Monsieur Mamadou Aliou DIALLO, Docteur en Droit Public et Sciences politiques, est nommé Président du Conseil d’Administration de la Société des Infrastructures de Réparation navale (SIRN) en remplacement de Monsieur Amadou KA.

Au titre du Ministère de la Famille et des Solidarités:
Madame Ndèye Marième SAMB, Docteur en Géographie et Aménagement de l’espace, est nommé Coordonnateur du Programme de Modernisation des Axes et Territoires frontaliers (PUMA), en remplacement de Monsieur Moussa SOW,
Monsieur Baidy NIANG, Inspecteur du Trésor, matricule de solde n°616 256/H, est nommé Directeur Général du Fonds de Solidarité national au Ministère de la Famille et des Solidarités, en remplacement du Docteur Kalidou BA,
Madame Mbossé BADIANE, Titulaire d’un Master 2 en Management du Développement local et Ingénierie sociale, matricule de solde n°715 210/J, est nommée Directrice de l’Evaluation des Programmes et Projets au Ministère de la Famille et des Solidarités, en remplacement de Madame Seynabou Diouf MBOUP.

Au titre du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires :
Monsieur Moussa TINE, Architecte diplômé d’Etat, est nommé Directeur général de la Construction et de l’Habitat au Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires, en remplacement de Monsieur Amadou THIAM, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Cheikh Ibrahima DIEDHIOU, Professeur d’Enseignement secondaire, titulaire d’un Master 2 en Ingénierie du Développement territorial, matricule de solde n°652.509/K, est nommé Directeur de la Promotion des Pôles urbains au Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires, en remplacement de Madame Fatim TALL, appelée à d’autres fonctions. Au titre du Ministère de la Santé et de l’Action sociale :
Monsieur Seydina Ousmane BA, titulaire d’un Doctorat en Médecine, précédemment Chef du Service de la Médecine physique et de la Réadaptation fonctionnelle à l’hôpital principal de Dakar, est nommé Directeur du Centre national d’Appareillage orthopédique (CNAO), en remplacement de Monsieur Djibril BEYE.
Monsieur Mouctar LY, titulaire d’un Doctorat en Médecine, matricule de solde n° 735.228/A, est nommé Directeur de l’Établissement public de Santé de niveau 1 « Roi BAUDOIN », en remplacement de Monsieur Cheikh Mbaye SECK.
Monsieur Papa Madièye GUEYE, Professeur titulaire de Biochimie pharmaceutique, est nommé Président du Conseil de Réglementation de l’Agence sénégalaise de Réglementation pharmaceutique (ARP), en remplacement de Monsieur Sylvain Alphonse BOYER.

Au titre du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture : •
Monsieur Mor Talla GUEYE, Artiste-entrepreneur, est nommé Président du Conseil d’Administration du Fonds de Développement des Cultures urbaines (FDCU) au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en remplacement de Monsieur Moustapha DIENG, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Babacar Wagane FAYE, Ingénieur-statisticien, précédemment Chef du Bureau des Méthodes à l’Agence nationale des Statistiques et de la Démographie (ANSD) est nommé Secrétaire général de l’Agence nationale pour la Promotion et l’Emploi des Jeunes (ANPEJ) au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture,
en remplacement de Monsieur Abdoulaye DIATTA, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; •
Monsieur Landing Mbessane SECK, Artiste-entrepreneur, est nommé Président du Conseil d’Administration du Grand Théâtre national au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en remplacement de Monsieur Ahmet NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mohamed Abdallah LY, Enseignant-chercheur, est nommé Directeur général du Musée des Civilisations noires au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en remplacement de Monsieur Hamady BOCOUM, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
Monsieur Balla NDIAYE, Conseiller aux Affaires culturelles, matricule de solde n° 615 448/B, est nommé Secrétaire général de la Compagnie du Théâtre national Daniel SORANO au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en remplacement de Monsieur Abel MARONE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Médou Mané DIOP, Expert fiscal, mandataire judiciaire, est nommé Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale pour la Promotion et l’Emploi des Jeunes (ANPEJ) au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en remplacement de Monsieur Cheikh Tidiane DIOUF, appelé à d’autres fonctions ;

Au titre du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage : • Monsieur Mamadou SYLLA, Docteur vétérinaire, matricule de solde n°690633/I, est nommé Directeur régional de l’Elevage et des Productions animales de Dakar au Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage, poste vacant. • Monsieur Amadou Alassane NDIAYE, Docteur vétérinaire, matricule de solde n°724378/E, est nommé Directeur régional de l’Elevage et des Productions animales de Sédhiou au Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage, en remplacement de Monsieur Mamadou SYLLA, appelé à d’autres fonctions.
Au titre Ministère du Tourisme et de l’Artisanat : • Monsieur Doudou Gnagna DIOP, diplômé en hôtellerie, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones touristiques du Sénégal (SAPCO), en remplacement de Monsieur Amadou Tidiane Diba.
Au Titre du Ministère de l’Intérieur : • Monsieur Ousmane KANE, Administrateur civil, matricule de solde 604 137/E, précédemment Gouverneur de la Région de Kaolack, est nommé Gouverneur de la Région de Dakar en remplacement de Monsieur Al Hassan SALL, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Al Hassan SALL, Administrateur civil, matricule de solde 604 141/L, précédemment Gouverneur de la Région de Dakar, est nommé Gouverneur de la Région de Saint-Louis en remplacement de Monsieur Alioune Badara SAMBE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Mouhamadou Moctar WATT, Administrateur civil, matricule de solde 519 025/J, précédemment Gouverneur de la Région de Matam, est nommé Gouverneur de la Région de Kaolack en remplacement de Monsieur Ousmane KANE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Saer NDAO, Administrateur civil, matricule de solde 517 932/C, précédemment Gouverneur de la Région de Kolda, est nommé Gouverneur de la Région de Thiès en remplacement de Monsieur Oumar Mamadou BALDE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Diadia DIA, Administrateur civil, matricule de solde 616324/F, précédemment Préfet du département de Saint-Louis, est nommée Gouverneur de la Région de Sédhiou en remplacement de Monsieur Serigne Babacar KANE, appelé à d’autres fonctions.
Madame Ngoné CISSÉ, Administrateur civil, matricule de solde 661 356/C, précédemment Préfet du département de Guinguinéo, est nommé Gouverneur de la Région de Fatick en remplacement de Madame Seynabou GUEYE, appelée à d’autres fonctions.
Monsieur Saïd DIA, Administrateur civil, matricule de solde 515 927/E, précédemment préfet du Département de Guédiawaye, est nommé Gouverneur de la Région de Matam en remplacement de Monsieur Mouhamadou Moctar WATT, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Moustapha DIAW, Administrateur civil, matricule de solde 511 569/E, précédemment Préfet du Département de Kaffrine, est nommé Gouverneur de la Région de Kaffrine en remplacement de Monsieur El Hadji Bouya AMAR, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Moustapha NDIAYE, Administrateur civil, matricule de solde 514 686/D, précédemment Préfet du Département de Pikine, est nommé Gouverneur de la Région de Kolda en remplacement de Monsieur Saer NDAO, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Hamdy MBENGUE, Administrateur civil, matricule de solde 603 968/B, précédemment Préfet du Département de Koumpentoum, est nommé Préfet du Département de Pikine en remplacement de Monsieur Moustapha NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.

• Monsieur Maguette DIOUCK, Administrateur civil, matricule de solde 514 686/D, précédemment Préfet du Département de Diourbel, est nommé Préfet du Département de Rufisque en remplacement de Monsieur Abdou Khadre DIOP, appelé à d’autres fonctions. • Monsieur Ahmadou Coumba NDIAYE, Administrateur civil, matricule de solde 624 576/D, précédemment Préfet du Département de Ranérou, est nommé Préfet du Département de Guédiawaye en remplacement de Monsieur Saïd DIA, appelé à d’autres fonctions. • Monsieur Amadou DIOP, Administrateur civil, matricule de solde 624 540/G, précédemment Préfet du Département de Malem Hodar, est nommé Préfet du Département de Mbour en remplacement de Monsieur Mouhamadou Lamine MANE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. • Monsieur Jean Paul Malick FAYE, Administrateur civil, matricule de solde 661 358/E, précédemment Préfet du Département de Salémata, est nommé Préfet du Département de Foundiougne en remplacement de Monsieur Ousseynou MBAYE, appelé à d’autres fonctions
Monsieur Ousseynou MBAYE, Administrateur civil, matricule de solde 517 929/E, précédemment Préfet du Département de Foundiougne, est nommé Préfet du Département de Kébémer en remplacement de Monsieur Abou SOW, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Souleymane NDIAYE, Administrateur civil, matricule de solde 604 925/B, précédemment Préfet du Département de Matam, est nommé Préfet du Département de Koungheul en remplacement de Monsieur Ousmane NIANG, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
Monsieur Abdou Khadre DIOP, Administrateur civil, matricule de solde 653 031/F, précédemment Préfet du Département de Rufisque, est nommé Préfet du Département de Diourbel en remplacement de Monsieur Maguette DIOUCK, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Abdoul Wahab TALLA, Administrateur civil, matricule de solde 517 781/K, en service au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, est nommé Préfet du Département de Malem Hodar en remplacement de Monsieur Amadou DIOP, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Assane GUEYE, Administrateur civil, matricule de solde 696 363/C, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Dakar chargé des affaires administratives, est nommé Préfet du Département de Ranérou en remplacement de Monsieur Ahmadou Coumba NDIAYE, appelée à d’autres fonctions.
Monsieur Sidy Sarr DIEYE, Administrateur civil, matricule de solde 681 542/D, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Louga chargé des affaires administratives, est nommé Préfet du Département de Salémata en remplacement de Monsieur Jean Paul Malick FAYE, appelé à d’autres fonctions. • Madame Safiatou Joséphine DIENG, Administrateur civil, matricule de solde 696 368/B, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Kaolack chargé des affaires administratives, est nommée Préfet du Département de Koumpentoum en remplacement de Monsieur Hamdy MBENGUE, appelé à d’autres fonctions.
Madame Téning FAYE, Administrateur civil, matricule de solde 696 367/A, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Thiès chargé des affaires administratives, est nommée Préfet du Département de Matam en remplacement de Monsieur Souleymane NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Daouda SENE, Administrateur civil, matricule de solde 627 745/C, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Tambacounda chargé des affaires administratives, est nommé Préfet du Département de Bakel en remplacement de Monsieur Amadou Salmone FALL, appelé à d’autres fonctions.
Madame Aichatou Ndiaye DIALLO, Administrateur civil, matricule de solde 696 323/A, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Kaffrine chargé des Affaires administratives, est nommée Préfet du Département de Kaffrine en remplacement de Monsieur Moustapha DIAW, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Diokel Ngor NGOM, Secrétaire d’administration, matricule de solde 620 357/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement des Parcelles assainies, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Thiès Sud en remplacement de Monsieur Youssoupha FAYE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Youssoupha FAYE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 613 069/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Thiès Sud, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Sabadola en remplacement de Monsieur Oumar Mamadou SOW, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Oumar Mamadou SOW, Instituteur, matricule de solde 602 413/B, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Sabadola, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Moudéry en remplacement de Monsieur Pape DIENG, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Pape DIENG, Attaché temporaire d’enseignement, matricule de solde 515 316/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Moudéry, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Ida Mouride en remplacement de Monsieur Amdy Moustapha BA, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Amdy Moustapha BA, ITP, matricule de solde 602 425/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Ida Mouride, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Toubacouta en remplacement de Monsieur Hamath Saikho LY, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Hamath Saikho LY, Secrétaire d’administration, matricule de solde 603 916/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Toubacouta, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Darou Moukhty en remplacement de Monsieur Moussa BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Moussa BA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 600 178/D, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Darou Moukhty, est nommé Souspréfet de l’Arrondissement de Niakhar en remplacement de Monsieur EL Hadji Djiby BOCOUM, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur EL Hadji Djiby BOCOUM, Secrétaire d’administration, matricule de solde 624 687/C, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Niakhar, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Sindia en remplacement de Monsieur Oumar DIA, appelé à d’autres fonctions ;
Madame Khadidiatou SENE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 609 866/G, en service au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Dakar Plateau en remplacement de Monsieur Djiby DIALLO, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Abdou Aziz Dabakh SY, Instituteur, matricule de solde 641 631/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Pambal, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Sagatta Gueth en remplacement de Monsieur Seydina Ababacar Sadikh NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Seydina Ababacar Sadikh NDIAYE, Instituteur, matricule de solde 516 371/M, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Sagatta Gueth, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Niaming en remplacement de Monsieur Djidiack KITAL, appelé à d’autres fonctions ;
• Monsieur Abdoulaye Daouda SALL, Secrétaire d’administration, matricule de solde 625 107/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Koumbal, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Fimela en remplacement de Monsieur Ousmane DIEDHIOU, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ousmane DIEDHIOU, Secrétaire d’administration, matricule de solde 625 100/H, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Fimela, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndiaye en remplacement de Madame Oumou DIAMANKA, appelée à d’autres fonctions ;
Madame Oumou DIAMANKA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 616 907/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndiaye, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Thiès Nord en remplacement de Monsieur Abdoul SY, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Abdoul SY, Secrétaire d’administration, matricule de solde 519 232 /L, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Thiès Nord, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Malika en remplacement de Monsieur Serigne Mbacké DIAWARA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Serigne Mbacké DIAWARA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 620 669/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Malika, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Koulor en remplacement de Monsieur Jean Baptiste Ngomack SENE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Jean Baptiste Ngomack SENE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 624 975/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Koulor, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Diaroumé en remplacement de Monsieur Ousmane NGOM, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ousmane NGOM, Secrétaire d’administration, matricule de solde 609 460/Q, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Diaroumé, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Keur Momar SARR en remplacement de Monsieur Mamadou Lamine TRAORE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Abdou Salam GUEYE, Instituteur, matricule de solde 518 829/C, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Bembou, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Cas-cas en remplacement de Monsieur Oumar SY, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Alfred Birame MBAYE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 511 788/B précédemment Adjoint Sous-préfet de l’Arrondissement de Cabrousse, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Bembou en remplacement de Monsieur Abdou Salam GUEYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Abdoulaye SOW, Secrétaire d’administration, matricule de solde 515 894/F, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndiob, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Pambal en remplacement de Monsieur Abdou Aziz Dabakh SY appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mamadou BA, Instituteur, matricule de solde 602 352/H, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Koki, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Vélingara Ferlo en remplacement de Monsieur Cheikh Omar Tidiane KAMARA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Pape Sandéné NDIAYE, Instituteur, matricule de solde 632 646/C précédemment Adjoint Sous-préfet de l’Arrondissement Bouyal Bamba, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndiob en remplacement de Monsieur Abdoulaye SOW, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Oumar SY, Instituteur, matricule de solde 633 040/J, précédemment Souspréfet de l’Arrondissement de Cas-Cas, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Bona en remplacement de Monsieur Mody Amadou NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mody Amadou NDIAYE, Instituteur, matricule de solde 608 131/O, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Bona, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Loudia Ouoloff en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Abdoulaye NDIAYE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 601 455/C, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Loudia Ouoloff, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Méouane en remplacement de Monsieur Amadou SALL, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Oumar Sagna NDIAYE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 634 434/B, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Keur Mousseu, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Mbane en remplacement de Monsieur Ibrahima NDOUR, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ibrahima NDOUR, Attaché temporaire d’enseignement, matricule de solde 513 732/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Mbane, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Colobane en remplacement de Monsieur Diom Aly BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Diom Aly BA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 608 088/N, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Colobane, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Sakal en remplacement de Monsieur Demba Nialy NDAO, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ismaïla SY, Secrétaire d’administration, matricule de solde 630 353/B précédemment Adjoint Sous-préfet de l’Arrondissement Niakhéne, est nommé Souspréfet de l’Arrondissement de Fafacorou en remplacement de Monsieur Amadou Tidiane NDIAYE admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
Monsieur Aliou WADE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 625 102/F, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Tattaguine, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Koki en remplacement de Monsieur Mamadou BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Al Hassane Bâ CISSE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 620 670/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Orkadiéré, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Bamba Thialène en remplacement de Monsieur Papa Sandéné SENE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Cheikh Omar Tidiane KAMARA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 600 426/B, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Vélingara Ferlo, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Orkadiéré en remplacement de Monsieur Mamadou Lamine TRAORE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Papa Sandéné SENE, Instituteur, matricule de solde 517 946/Z, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Bamba Thialène, est nommé Souspréfet de l’Arrondissement de Tendouck en remplacement de Monsieur Mbaye DIOUF, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mbaye DIOUF, Instituteur, matricule de solde 514 287/G, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Tendouck, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Saré Coly Sallé en remplacement de Monsieur Abdoul KONATE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Abdoul KONATE, Agent technique d’agriculture, matricule de solde 618 073/Q, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Saré Coly Sallé, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Bélé en remplacement de Monsieur Daouda SARR, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Daouda SARR, Secrétaire d’administration, matricule de solde 621 255/C, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Bélé, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Gniby en remplacement de Madame Ndèye Sophie SENE, appelée à d’autres fonctions ;
Madame Ndèye Sophie SENE, Inspectrice de l’Animation du développement, matricule de solde 619 134/L, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Gniby, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Tattaguine en remplacement de Monsieur Aliou WADE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Yoro Dia FALL, Secrétaire d’administration, matricule de solde 517 819/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Djilor, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Keur Mboucki en remplacement de Monsieur Lancé CISSE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Lancé CISSE, Attaché temporaire d’enseignement, matricule de solde 513 733/Z, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Keur Mboucki, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Karantaba en remplacement de Monsieur Gormack NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Gormack NDIAYE, Attaché temporaire d’enseignement, matricule de solde 513 727/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Karantaba, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Katakel en remplacement de Monsieur Mouhamadou Thioubado ANNE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mouhamadou Thioubado ANNE, Instituteur, matricule de solde 600 175/G, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Katakel, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Ogo en remplacement de Monsieur Badara DIAO, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Badara DIAO, Secrétaire d’administration, matricule de solde 634 435/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Ogo, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Mampatim en remplacement de Monsieur Al Hassane FAYE, appelé à d’autres fonctions
• Monsieur Al Hassane FAYE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 653 088/D, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Mampatim, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Dodji en remplacement de Monsieur Aliou BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Aliou BA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 626 267/G, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Dodji, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Niodior en remplacement de Monsieur Balla Moussa MANE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Balla Moussa MANE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 625 103/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Niodior, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Loudia Ouoloff, en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Amadou SALL, Instituteur, matricule de solde 626 474/I, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Méouane, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Saré Bidji en remplacement de Monsieur Papa Amadou Ngoumb BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Papa Amadou Ngoumb BA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 603 471/K, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Saré Bidji, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Djilor en remplacement de Monsieur Yoro Dia FALL, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Amadou Mamadou BA, Instituteur, matricule de solde 506 201/H, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Sagna, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Wouro Sidy en remplacement de Monsieur Massamba MBAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Massamba MBAYE, Instituteur, matricule de solde 638 024/I, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Wouro Sidy, est nommé Souspréfet de l’Arrondissement de Niaguiss en remplacement de Monsieur Magatte NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Magatte NDIAYE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 661 031/C, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Niaguiss, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Dianké Makha en remplacement de Monsieur Mbaye Mbengue DIOUF, appelé à d’autres fonctions
Monsieur Mbaye Mbengue DIOUF, Instituteur, matricule de solde 601 970/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Dianké Makha, est nommé Souspréfet de l’Arrondissement de Cabrousse en remplacement de Monsieur Alassane ANNE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Alassane ANNE, Instituteur, matricule de solde 509 339/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Cabrousse, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Kataba 1 en remplacement de Monsieur Amadou WAGUE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ousmane THIAO, Secrétaire d’administration, matricule de solde 621 196/G, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Médina Sabakh, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Mbédiène en remplacement de Monsieur Mbaye SY, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mbaye SY, Secrétaire d’administration, matricule de solde 616 038/F, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Mbédiène, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Médina Sabakh en remplacement de Monsieur Ousmane THIAO, appelé à d’autres fonctions ;
Madame Ndèye Madjiguène DIAGNE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 624 693/H, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Paoskoto, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Notto en remplacement de Monsieur Babacar DIAGNE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Babacar DIAGNE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 513 035/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Notto, est nommé Souspréfet de l’Arrondissement de Agnam Civol en remplacement de Monsieur Mahmoudou BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mahmoudou BA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 606 942/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Agnam Civol, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement des Parcelles assainies en remplacement de Monsieur Diokel Ngor NGOM, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Amadou WAGUE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 610 986/B, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Kataba 1, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Sagatta Djoloff en remplacement de Monsieur Bocar COULIBALY, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Babacar KEBE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 604 774/F, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndiédieng, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Niakhène en remplacement de Monsieur Daouda MBAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Daouda MBAYE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 621 197/F, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Niakhène, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Kouthiaba Ouoloff en remplacement de Monsieur Ibrahima SOW, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ibrahima SOW, Secrétaire d’administration, matricule de solde 511 519/H, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Kouthiaba Ouoloff, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Barkédji en remplacement de Monsieur Salif BA, admis à faire valoir ses droits à la retraite ;
Monsieur Lamine DIOP, Attaché technique d’agriculture, matricule de solde 605 448/C, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Bandafassi, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Sagna en remplacement de Monsieur Amadou Mamadou BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mouhamadou WADE, Instituteur, matricule de solde 511 215/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Jaxaay, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Mérina Dakhar en remplacement de Monsieur Pape Massaër DIOP, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Pape Massaër DIOP, Secrétaire d’administration, matricule de solde 621 198/E, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Mérina Dakhar, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Paoskoto en remplacement de Madame Ndèye Madjiguène DIAGNE, appelée à d’autres fonctions ;
Madame Rokhaya CISS, Secrétaire d’administration, matricule de solde 624 157/A, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Fissel, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Jaxaay en remplacement de Monsieur Mouhamadou WADE, appelé à d’autres fonctions ;
Madame Awa BOKOUM, Secrétaire d’administration, matricule de solde 616 908/F, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Makacolibantang, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Fissel en remplacement de Madame Rokhaya CISS, appelée à d’autres fonctions ;
• Monsieur Ousmane DIA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 611 202/B, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Ngoye, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Makacolibantang en remplacement de Madame Awa BOKOUM, appelée à d’autres fonctions.
Monsieur Abdoulaye DIOP, Instituteur, matricule de solde 516 284/L, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Boynguel Bamba, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndiédieng en remplacement de Monsieur Babacar KEBE, appelé à d’autres fonctions ;
Madame Coumba Sall WADE, Secrétaire d’administration, matricule de solde 661 428/I, précédemment Adjoint au Préfet du Département de Guédiawaye, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Ngoye en remplacement de Monsieur Ousmane DIA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Youssou FAYE, Professeur d’Enseignement moyen, matricule de solde 516 693/J, précédemment Adjoint au Préfet du Département de Malem Hodar, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Bandafassi en remplacement de Monsieur Lamine DIOP, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Oumar DIA, Secrétaire d’administration, matricule de solde 506 256/H, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Sindia, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Keur Mousseu en remplacement de Monsieur Oumar Sagna NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Babacar Ibra MAR, Secrétaire d’administration, matricule de solde 608 537/E en service au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, est nommée Sous-préfet de l’Arrondissement de Boynguel Bamba en remplacement de Monsieur Abdoulaye DIOP, appelé à d’autres fonctions.

Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement Amadou Moustapha Njekk SARRE

CONSEIL DES MINISTRES : Kilifeu et Nitt Doff nommés PCA

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Tract-Le conseil des ministres de ce mercredi reste forcément marqué par deux nominations dans le monde de la culture. Il s’agit celles des artistes Kilifeu, à l’état civil Landing Mbéssane Seck et de Nitt Doff, lui également se nommant Mor Talla Guèye.

« Monsieur Mor Talla GUEYE, Artiste-entrepreneur, est nommé Président du Conseil d’Administration du Fonds de Développement des Cultures urbaines (FDCU) au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en remplacement de Monsieur Moustapha DIENG, appelé à d’autres fonctions », lit-on sur le communiqué.

« Monsieur Landing Mbessane SECK, Artiste-entrepreneur, est nommé Président du Conseil d’Administration du Grand Théâtre national au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en remplacement de Monsieur Ahmet NDIAYE, appelé à d’autres fonctions », telle est la nouvelle nomination de l’artiste membre fondateur du groupe Keur-gui de Kaolack.

CRISE DANS LA PRESSE : Le Forum du justiciable interpelle les autorités

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Tract-Dans un communiqué rendu datant ce mercredi, le forum du justiciable indique sa préoccupation face à la situation difficile que traverse les médias sénégalais.

« Le Forum du justiciable est profondément préoccupé par la situation que traverse le secteur de la presse qui vit des moments difficiles, allant de retards de paiement des salaires à la suspension de la parution de quotidiens, en passant par des difficultés de trésorerie, etc », li-t-on sur le document.

Évoquant, dans la foulée, l’importance de la presse dans une nation, le Forum du justiciable invite l’État à entamer des discussions afin de desserrer l’étreinte.

« Conscient du rôle important de la presse dans l’expression plurielle et le débat public, conscient du rôle qu’elle joue dans la promotion et le renforcement de la démocratie, conscient de son apport dans l’approfondissement de la démocratie et de l’État de droit, le Forum du justiciable invite les autorités étatiques à engager des discussions avec les éditeurs de presse pour trouver des mécanismes et des solutions durables aux problèmes que traverse la presse. Le Forum du justiciable encourage vivement le gouvernement à entreprendre très rapidement des discussions avec toutes les parties prenantes, en vue de relancer la normalisation de ce secteur », a lancé le forum.

JO 2024 : Louis François Mendy s’arrête en demi-finales

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Tract-Louis François Mendy est éliminé en demi-finales du 110 mètres haies des Jeux Olympiques. Il a terminé à la troisième place de son concours, avec un temps en 13″34 qui ne lui permettra pas de se qualifier au temps.

Le hurdleur sénégalais n’a pas réussi à se qualifier pour la finale du 110 mètres haies des JO de Paris 2024. Mendy a pris la 3e place avec un chrono de 33.34 et 334 millièmes, a égalité avec le Français Sasha Zhoya (33.34 et 334 millièmes).

Malgré son chrono, Louis François Mendy voit la finale lui échapper en terminant 11e au temps.

TOURNÉE CHEZ LES FOYERS RELIGIEUX : Amadou Ba à Thiénaba ce mercredi

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Tract-Après une longue pause, le candidat déchu à la présidentielle, Amadou Ba a décidé de faire son comeback par une tournée dans les foyers religieux.

Après Touba et Tivaouane, l’ancien Premier ministre sous Macky Sall s’est rendu à Thiénaba où il sera reçu par le Khalife général de ladite localité.

D’après une source proche de la délégation cette démarche s’inscrit dans une volonté de renforcer les liens avec les familles religieuses.

ÉTATS-UNIS : Trois (3) Sénégalais d’une même famille retrouvés morts

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Tract-Trois ressortissants sénégalais ont été retrouvés morts dans une maison du sud-est d’Albuquerque, selon les autorités locales. D’après un communiqué consulté par Les Échos dans son édition de ce mercredi, la police privilégie actuellement la piste d’un meurtre-suicide.

La police d’Albuquerque a précisé qu’un jeune homme de 22 ans aurait mortellement tiré sur sa sœur de 20 ans et son frère de 17 ans avant de se suicider. Les trois victimes ont toutes été touchées par une balle à la tête.

Le mobile de ce drame reste inconnu et les noms des victimes n’ont pas été divulgués pour l’instant. « C’est une véritable tragédie », a déclaré Gilbert Gallegos, porte-parole de la police, lors d’une conférence de presse.

Les forces de l’ordre ont reçu un appel dimanche vers 23h signalant trois personnes inconscientes dans une résidence. À leur arrivée, elles ont constaté le décès des trois individus.

L’homme vivait dans la maison avec ses deux jeunes frères et sœurs ainsi que leur mère, qui était absente au moment de la fusillade. C’est elle qui a découvert les corps à son retour et a alerté la police.

MIGRATION IRRÉGULIÈRE : Quatorze (14) Sénégalais retrouvés morts à bord d’une embarcation en République Dominicaine

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Tract-Les corps sans vie de quatorze (14) migrants sénégalais ont été retrouvés à bord d’une pirogue hier, mercredi, en République Dominicaine, un pays situé sur l’île d’Hispaniola, en Espagne.

Boubacar Sèye, de Horizon sans frontière, qui donne l’information, renseigne sur les identités de deux parmi les victimes.

Il s’agit de Yankhoba Tall et de Sidyane Wade, des Sénégalais nés respectivement le 31 mai 1991 et le 10 octobre 2000.

DIC : Maïmouna Ndour Faye porte plainte contre Cheikh Bara Ndiaye

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Tract-Cheikh Bara Ndiaye, le chroniqueur de Walf TV, est sous le coup d’une nouvelle plainte à la Division des investigations criminelles (DIC), par Maïmouna Ndour Faye, pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles, selon Seneweb.

« Je viens, par cette présente, déposer une plainte pour diffamation, diffusion de fausses nouvelles ayant causé un préjudice moral et économique, injures publiques et atteinte à ma dignité, contre monsieur Cheikh Bara Ndiaye, chroniqueur à Walf TV.

En effet, M. Ndiaye s’est engagé depuis fort longtemps dans une campagne de dénigrement contre ma personne à travers ses émissions et plateformes […] », lit-on dans la plainte déposée sur la table du commissaire principal Adramé Sarr, chef de la DIC.

LIMOGEAGE DU DG DE L’ONAS : Les questions écrites de l’honorable député Abdou Mbow à Cheikh Tidiane Dièye

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Tract-Le limogeage de Dr Cheikh Dieng de la direction générale de l’ONAS a retenu l’attention du président groupe parlementaire BBY, Abdou Mbow au point d’adresser des questions écrites au ministre de tutelle, Cheikh Tidiane Dièye.

Dans sa missive, l’Honorable député Abdou Mbow interpelle le ministre de l’hydraulique et de l’assainissement sur le limogeage de l’ancien directeur de l’office nationale de l’assainissement du Sénégal (ONAS), Dr Cheikh Dieng. Pour monsieur Mbow, il y a des zones d’ombre qui entourent ce congédiement. Se basant sur un quotidien de la place, le député Abdou Mbow fait état d’une lettre qui fournit des informations troublantes sur les raisons de son limogeage. Dans cette adresse, Dr Dieng fait mention de la manière de procéder son ministre de tutelle « relativement à l’attribution de certains marchés par entente directe qu’il juge illégale et aux antipodes du Jubanti en ces termes ».

« Vous me notifiez Monsieur le Ministre votre décision de suspendre la procédure de passation des marchés relatifs aux travaux et de faire une entente directe avec des entreprises de votre choix (…). Je ne puis prendre l’initiative d’une telle procédure totalement illégale et visant à renforcer des positions d’hégémonie. Conforter les positions hégémoniques d’un petit groupe d’entreprises qui se disent « major’ tout en fermant le secteur aux autres sénégalais perpétue un système de gestion opaque du secteur. Ces positions sont souvent acquises et conservées à travers des pratiques bien connues aux antipodes du Jubanti qui engage le gouvernement et toutes les autorités publiques », c’est en substance une partie extraite de la lettre de l’ex-DG de l’ONAS à son patron.

Toujours dans sa quête de vérité concernant ce licenciement, le député Abdou Mbow d’ajouter, « curieusement, s’agissant des marchés en question, M. DIENG avait fini de superviser leur attribution provisoire aux entreprises Tawfekh Taysir et Delgas, sans aucune entorse, selon lui, aux procédures en vigueur. D’ailleurs, la Direction centrale des Marchés publics (DCMP) avait déjà donné son avis favorable. En ma qualité de représentant du Peuple, je ne saurais rester indifférent à ces allégations graves sur fond d’insinuations de favoritisme et de surfacturation qui vous obligent à briser le silence sur cette affaire. Soucieux d’une gestion transparente de nos deniers publics et du respect strict des règles d’attribution des marchés publics ».

De plus poursuit, le président du groupe parlementaire de BBY, « je vous invite à répondre aux questions ainsi formulées : Est-ce que vous avez pris une décision pour suspendre la procédure de passation des marchés attribués provisoirement aux entreprises Tawfekh Taysir et Delgas et de privilégier en lieu et place une entente directe avec des entreprises de votre choix ? Si oui, cette décision est-elle conforme au Code des Marchés publics ? Y a-t-il des actes de surfacturation décelés dans le cadre de l’attribution provisoire de ces marchés par l’ONAS ? Pouvez-vous m’édifier sur les allégations de l’ex Directeur général de I’ONAS, M. Cheikh DIENG, selon lesquelles certaines entreprises se contentent, dans le cadre de la procédure d’attribution des marchés, de proposer des prix fortement minorés pour éliminer toute concurrence, sous le couvert d’un « moins disant » déguisé ? ».

A l’entame, le président du groupe parlementaire de BBY dit adresser cette lettre à Cheikh Tidiane Dièye, en sa qualité de représentant du peuple.

KAFOUNTINE : Un enfant de deux (2) ans retrouvé mort dans un étang

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Tract-C’est la tristesse et l’émoi à Kafountine, ville côtière dans le département de Bignona (sud du pays).

Un enfant de deux (02) ans a été retrouvé mort noyé dans un étang près de la maison familiale. Les faits se sont déroulé hier lundi.

D’après l’APS qui rapporte l’information, la victime répond au nom de Malick Diémé. C’est sa grand-mère qui a fait la découverte macabre.

JO 2024 : L’aventure s’arrête pour Cheikh Tidiane Diouf

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Tract-Cheikh Tidiane Diouf a été éliminé, ce mardi soir, en demi-finales du 400 mètres, des Jeux olympiques de Paris 2024.
C’est fini pour l’athlète sénégalais.

Cheikh Tidiane Diouf vient de tomber en demi-finales du 400 mètres des jeux olympiques 2024, se déroulant à Paris. Il a terminé à la sixième place.

Malgré son élimination, Diouf (44′ 94) bat le record national qui était détenu par Amadou Gakou (45’01) depuis le 18 octobre 1968 à Mexico.

MAGAL TOUBA 2024 : 119 agents du service d’hygiène déployés à Touba

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Tract-En perspective du Grand Magal de Touba, cent dix-neuf (119) agents du service d’hygiène ont été déployés dans la cité religieuse. L’annonce a été faite ce mardi par le capitaine Elhadji Niass, Chef de la brigade régionale d’hygiène de Diourbel.

Le capitaine Elhadji Niass ajoute également qu’« ils ont mobilisé…une logistique roulante très importante comprenant 19 pick-up, 3 camions, un bus et des équipements tels que des appareils motorisés et manuels en grande quantité, pour nous permettre de mener nos activités dans de très bonnes conditions ».

Selon le chef de la brigade régionale de Diourbel les sites ciblés sont « les mosquées, les résidences, les sites d’hébergement, les concessions et les différentes artères de la ville ».

Le capitaine Niass intervenait lors du lancement de la campagne de couverture sanitaire du Grand Magal de Touba, en présence d’autorités administratives et locales.
Le grand Magal est prévu le 23 août prochain.

SANTÉ : Les travailleurs du Samu en grève de 72h à partir de ce mercredi

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Tract-Les travailleurs du Samu affiliés au Sames vont aller en grève à partir de ce mercredi 07 juillet 2024. L’annonce a été faite ce mardi lors d’une conférence de presse tenue à leur siège. Selon le secrétaire général de la section Samu du Syndicat autonome des médecins du Sénégal, Mohamed Traoré seules les urgences seront prises. Hormis, les urgences assurent monsieur Traoré,  » toutes les activités secondaires seront suspendues, y compris la recherche de places, les consultations de routine, les transports simples, la couverture médicale et les activités à l’Aéroport international Blaise Diagne ».

D’après toujours, le syndicaliste la grève des agents du Samu est motivé par le non paiement d’arriérés de primes et d’heures supplémentaires. Ces primes sont entre autres le travail effectué dans le cadre de la COVID 19 et une autre dénommée prime « Népad ».

« Face au mépris et au manque de considération pour le personnel soignant de la seule structure publique de médecine pré-hospitalière du Sénégal, nous annonçons une grève de 72 heures, à compter de ce mercredi 7 août 2024 », a déclaré monsieur Traoré. C’est dire que le Samu va connaitre des perturbations pendant 72 heures dans ses services.

OMS AFRIQUE : Dr Abdoulaye Bousso, nouveau superviseur des urgences sanitaires en Afrique

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Tract-L’expertise médicale sénégalaise à nouveau sur la scène internationale. L’ancien directeur du Centre des Opérations d’urgence sanitaire, Dr Abdoulaye Bousso, vient d’être recruté par l’Organisation mondiale de la Santé pour l’Afrique (OMS/AFRO).

Chargé de coordonner et de superviser les urgences sanitaires à travers le continent africain, Dr Bousso prendra ses fonctions cette semaine au siège de l’OMS/AFRO à Brazzaville.

Cette nomination prestigieuse intervient dans un contexte où le Sénégal continue de marquer sa présence dans le domaine médical international. En parallèle, Ibrahima Soce Fall, candidat sénégalais au poste de directeur régional de l’OMS pour l’Afrique, représente une autre illustration de cette tendance.

De plus, l’intégration du Professeur Awa Marie Coll Seck, ancienne ministre de la Santé du Sénégal, dans le corps professoral de la renommée université Harvard aux États-Unis renforce encore la reconnaissance mondiale de la médecine sénégalaise.

DISSOLUTION DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE : Le Président Diomaye Faye saisit le Conseil constitutionnel

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Tract-Le Président Bassirou Diomaye Faye a sollicité l’avis du Conseil constitutionnel. Selon la RFM, cette demande vise à déterminer la meilleure date pour dissoudre l’Assemblée nationale sans enfreindre ses prérogatives ni violer la Constitution.

Pour éviter une motion de censure issue d’une coalition de circonstance, le régime de Faye a un besoin urgent d’obtenir une majorité parlementaire afin de mettre en œuvre son programme intitulé « Le Projet », qui nécessite l’approbation des députés.

Si le chef de l’Etat a effectivement sollicité l’avis du Conseil constitutionnel, cela impliquerait que le Premier ministre ne ferait pas sa Déclaration de politique générale (DPG) devant cette assemblée où le nouveau pouvoir n’est pas majoritaire.

LIMOGEAGE DU DR CHEIKH DIENG DE L’ONAS : Ses militants haussent le ton

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Tract-Le limogeage du Dr Cheikh Dieng à la tête de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) continue de faire les choux gras de la presse.

Le bureau politique de son parti « Fepp Tawfekh » a condamné avec la plus grande fermeté ce qu’il qualifie « la honteuse campagne de dénigrement et de calomnies commanditée par des autorités dissimulées, alliées de la coalition Diomaye Président, pour justifier leurs manipulations indignes et leurs forfaitures devant les hautes autorités du pays ».

Le Bureau politique de Fepp Tawfekh félicite le Dr Cheikh Dieng pour le calme et la sérénité observés face à cette situation. Mais laver son honneur, ces militants l’invitent à rétablir la vérité des faits.

TNT : Maïmouna Ndour Faye mise en demeure

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Tract-Le journal les Échos dénonçait dans sa livraison d’hier « l’excès de zèle » des nouvelles autorités de la société Télédiffusion du Sénégal (TDS-SA).

Après Cheikh Niass, PDG du groupe Wal fadjri, (entre autres télévisions visées), qui doit régler une ardoise de 10 millions de francs CFA, (représentant la contrepartie financière de la diffusion de sa chaîne télé, Walf TV, sur la TNT), le quotidien d’information rapporte dans son édition de ce mardi 6 août que Dr Aminata Sarr réclame 12 millions de francs CFA à la patronne de la chaîne de télé 7TV.

Maïmouna Ndour Faye dispose d’un délai d’une semaine. Faute de quoi, le signal lui sera coupé.

POLÉMIQUE SUR LE VOILE : La LIPS en phase avec Sonko et prône l’ouverture d’un dialogue

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Tract-Pour le LIPS « ce débat n’est pas nouveau au Sénégal et refait surface après celui de 2011, où des filles voilées avaient été exclues de l’école privée catholique Hyacinthe Thiandoum ».

À cette époque, la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal, avec le Front pour la Défense des Valeurs Éthiques (FDVE), devenu And Samm Jikkoyi, et le Collectif des Associations Islamiques du Sénégal (CAIS) avaient organisé une conférence de presse pour « dénoncer cette décision et appeler « son Éminence le Cardinal Théodore Adrien Sarr, [alors archevêque de Dakar,] à prendre toutes les mesures réglementaires nécessaires pour décourager toute velléité de discrimination confessionnelle dans le secteur de l’éducation ».
« Treize années après, si le même débat refait surface à la suite de la brève crise de 2019, provoquée par une décision similaire de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc de Dakar (ISJA) » se souvient la LIPS.
Dans le communiqué, les imams estiment « qu’il devient alors impératif et urgent pour la Nation sénégalaise de débattre ouvertement et franchement de ce sujet afin de trouver une solution juste et durable, différente des arrangements temporaires trouvés jusqu’à présent ».

Poursuivant sa déclaration, la LIPS pense que le Premier ministre a pris sur lui la « responsabilité de désamorcer une bombe à retardement qui, sans une action courageuse, aurait pu nous exploser au visage ».
Dans sa réponse à la question sur l’inclusivité de notre système éducatif, la ligue des imams et prédicateurs considère que le Premier Ministre est « soucieux de notre vivre ensemble suivant nos propres modèles et références, et attaché au respect des droits fondamentaux de chaque individu, y compris le droit à la liberté religieuse ».

C’est la raison pour laquelle elle manifeste son soutien au Premier Ministre et souhaite que toutes les dispositions nécessaires soient prises pour permettre à notre pays de ne plus revenir sur ce sujet potentiellement divisionniste, dit-elle.
Parmi tous les échanges sur ce sujet, la LIPS fait savoir que c’est la déclaration du Conseil national du Laïcat qui a retenu son attention.

Cette structure, officielle de la communauté catholique du Sénégal déclare-t-elle, a évoqué son ouverture au dialogue, rappelant l’engagement de l’école privée catholique en faveur de l’éducation de tous, et les réalisations sociales de celle-ci au profit des Sénégalais.
« Cependant, il est de notre devoir de rappeler que les Daara au Sénégal contribuent à cet effort éducatif avec un effectif estimé entre 600 000 et un million d’enfants, sans avoir bénéficié d’aucun soutien de l’État par le passé. De plus, les confréries et les organisations caritatives musulmanes, malgré les contraintes diverses affectant leur fonctionnement et leurs ressources, prennent en charge de nombreuses couches vulnérables et soutiennent l’État dans sa volonté de les aider.
En vérité, si un dixième des fonds alloués à d’autres congrégations leur était attribué, les résultats seraient bien meilleurs et de nombreux problèmes sociaux, notamment la mendicité des enfants, seraient définitivement résolus » renseigne-t-elle.

La Ligue apprécie à sa juste valeur l’ouverture au dialogue sur les sujets religieux sensibles, ce qui justifie à plus d’un titre l’importance d’une Direction chargée des affaires religieuses et d’un Ministère du Culte, qui permettront d’amorcer des discussions sur ces questions délicates et d’ajouter une dimension significative à la politique de JUB, JUBBAL, JUBBANTI pour notre pays, celle du JUBOO.

« La Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal encourage un dialogue constructif entre toutes les parties prenantes afin de trouver des solutions respectueuses de tous les points de vue. La diversité culturelle et religieuse est une richesse pour notre pays et doit être protégée » conclut-elle.

TOUBA : La date officielle du Grand Magal connue

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Tract-C’est officiel ! Le grand Magal commémorant le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba Khadim Rassoul sera célébré le vendredi 23 août 2024 à Touba.

L’information a été donnée suite à l’apparition du croissant lunaire ce lundi soir.

Ainsi, le mardi 6 août 2024 sera le 1er Safar.

CNG : Balla Gaye 2 convoqué !

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Tract-Que risque Balla Gaye 2 ? Le tombeur de Tapha Tine est convoqué demain mercredi, 7 août, par le Comité national de gestion (CNG) de lutte.

Selon Les Échos, qui donne l’information, « il est simplement indiqué affaire le concernant » dans la convocation adressée au concerné.

Le quotidien d’information va toutefois plus loin, révélant selon une source digne de foi, que la convocation du lutteur a trait aux dernières sorties d’acteurs de la lutte contre l’équipe dirigeant de la discipline.

Balla Gaye 2, pestant contre les sanctions financières, a accusé Bira Sène et Cie de vol.

PREMIER BET SÉNÉGAL : Le DG arrêté

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Tract-Le directeur général de Premier Bet Sénégal, une plate-forme de jeux de paris sportifs, a été arrêté par la Division des investigations criminelles (DIC). Il est reproché à Joris Dunkel une fraude fiscale présumée de 12 milliards de francs CFA, souffle L’Observateur.

Le journal du Groupe futurs médias (GFM) rapporte que le mis en cause, visé par une plainte de la Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID), avait pris ses dispositions pour fuir le Sénégal.

Mais, la DIC avait déjà alerté la police des airs sur les poursuites judiciaires lancées à son encontre. « C’est ainsi que [Joris Dunkel] a été arrêté au moment où il passait la police des frontières avec sa famille », avance la source.

Conduit dans les locaux de la DIC, le mis en cause, repris par le quotidien d’information, a expliqué aux enquêteurs « qu’il ne savait pas qu’il devait verser des impôts à la DGID » surtout qu’il versait déjà « 3% de son chiffre d’affaires à la Lonase ». Dunkel sera déféré aujourd’hui, souligne L’Observateur.

DIRECTION DU PESS : Après sa convocation, Diéguy Diop accepte de passer le témoin ce mardi

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Tract-Pour échapper à une éventuelle arrestation, l’ex-directrice de la Promotion de l’économie sociale et solidaire (PESS) a accepté, devant les enquêteurs de la brigade de recherches de Keur Massar, de procéder à la passation de service et documents y afférents. La cérémonie officielle est prévue demain mardi à 10 h, dans les locaux de la PESS, selon Seneweb.

Devant les enquêteurs, Diéguy Diop a confié qu’elle a été mise au frigo pendant trois mois et son ministère de la Microfinance n’a pas respecté le protocole. C’est pour cela qu’elle n’avait pas encore passé le témoin à son successeur, d’après ses propos sur procès-verbal. Diéguy Diop accuse devant les gendarmes, le ministère de la Microfinances d’avoir violé la protection de ses données personnelles.

Le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Dakar avait ordonné aux enquêteurs de placer Diéguy Diop en garde à vue si elle n’accepte pas de se présenter à la cérémonie de passation de service prévue ce mardi.

TRANSPORT : Le ministre El Malick Ndiaye annonce des ‘mesures rigoureuses’

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Tract-El Malick Ndiaye, ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, a souligné que 80 % des accidents de circulation sont causés par le comportement humain. Lors d’une visite dans le département de Linguère (nord-est), il a annoncé que le gouvernement prendra des « mesures rigoureuses » pour mettre fin à cette situation.

« 80 % des accidents de la circulation relèvent du comportement humain et le gouvernement prendra toutes les dispositions pour y mettre un terme », a constaté le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens.

El Malick a évoqué le remplacement dans les transports en commun des sièges « versailles » par des chaises en plastique.

« Mais je peux vous assurer que ça va cesser. Ils ont beau chercher à nous intimider, mais c’est peine perdue. Que les transporteurs sachent que les choses ont changé. Dans les voitures de transport en commun, les sièges appelés ‘’versailles’’ qu’on avait supprimé sont aujourd’hui remplacés par des chaises en plastique. Ce qui est inadmissible. Ce que je préconise, c’est qu’on stabilise ces véhicules », a dit le ministre des Transports sur la RFM.

Face à cette situation préoccupante, le ministre estime que la seule alternative est l’instauration du permis à points, malgré l’opposition de certains.

« Les permis à points restent la seule alternative pour venir à bout de ces accidents. Les permis à points sont irréversibles. Je pense que quelqu’un qui n’a rien à se reprocher ne doit pas s’y opposer. On a des dispositifs adéquats pour établir ces permis à points et on va s’y mettre. Tout ce qui pourra contribuer à réduire les accidents, on sera preneur parce qu’il y a trop de morts sur nos routes. Même dans les centres hospitaliers régionaux, certaines salles de soins sont appelées salles Jakarta », a indiqué M. Ndiaye.

SÉRIES TÉLÉVISÉES : Le Cnra suspend la diffusion de « Chez Jojo » pour 15 jours

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Tract-Le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel a suspendu la série télévisée « Chez JoJo » diffusée sur la Tfm pour une période de 15 jours à compter de la date de signature de la présente décision. Cela fait suite, selon la note parvenue à Tract, des insultes inacceptables notées dans la série.

Selon le Cnra, dans l’épisode diffusé le dimanche le 04 Août 2024, un des acteurs de surcroît, le plus âgé ou parmi les plus âgés et expérimentés, a proféré des injures d’une extrême gravité.

Dans son communiqué, le CNRA rappelle qu’il avait adressé une « une mise en demeure » à la chaîne de télévision le 11 juillet 2024.
L’assemblée du Cnra appelle la Tfm « à s’abstenir de diffuser tout contenu outrageant ou injurieux.

« La Tfm est tenue de procéder au retrait de la série de ses programmes durant la période indiquée et de respecter scrupuleusement la présente décision » souligne le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel.

En cas de récidive, le Cnra déclare que la production fera l’objet d’une interdiction définitive de diffusion et la télévision fera l’objet de sanctions conformément à la réglementation.

[L’ET DIT TÔT] PAR OUSSEYNOU NAR GUEYE| Premier Ministre Ousmane Sonko, parler contre la France, c’est penser toujours par rapport à la France

Tract – Le legs colonial est finalement une dette inexpugnable, dans la tête des « panafricanistes de gauche » qui nous dirigent désormais au Sénégal. Surtout de l’un d’entre eux.

En cette fin juillet 2024 dont nous sortons, le Premier ministre Ousmane Sonko s’insurge, tous ergots dehors, contre la France, en prenant bien soin de signer de sa casquette de président du parti Pastef : la France est « coupable » d’avoir reconnu que six tirailleurs massacrés lors des événements du camp de Thiaroye en 1944, sont « morts pour la France ». Parmi ces soldats « réhabilités » par l’ancien colonisateur, quatre Sénégalais, un Ivoirien et un Voltaïque (ancien nom des habitants du Burkina). M. Sonko demande à la France officielle de « revoir ses méthodes » et indique que ce n’est pas à ce « pays d’hiver et varié » de dire de quelle manière doivent être réhabilités les soldats africains massacrés lors des événements de Thiaroye.

Fort bien. Sauf que, parler « contre » la France comme vous le faites, M. Sonko, c’est encore, pour vous, penser « par rapport » à la France. Et donc définir ce que vous êtes et ce que vous faites, « en fonction » de que vous serez sans doute tenté de nommer « l’Afrance », et de l’image que vous vous faites d’elle. Cela renvoie, sauf votre respect, à l’image de la souris qui court dans sa cage grillagée en forme de roue, qu’elle fait tourner, sans jamais elle-même avancer d’un pas. 

C’est là, hélas, le triste manège inlassable, mais lassant, des « décoloniaux professionnels compulsifs », parmi lesquels je pense pouvoir vous compter, M. Sonko.

Monsieur le Premier Ministre du Sénégal, vous saviez fort bien que cette année 2024 marque le 80ème anniversaire du terrible crime contre l’humanité, survenu au camp de Thiaroye. Pourquoi avez-vous laissé la France officielle « tirer la première », en ce mois de juillet 2024 finissant ? Comment avez – vous anticipé et qu’avez-vous prévu et annoncé en avance pour marquer cette date symbolique de commémoration incontournable pour décembre prochain ? Là est la question. Et la réponse vous fâchera sans aucun doute. Car elle tient en ceci  : rien.

Ce « schème de pensée » de ne jamais sortir du prisme victimaire, vous l’aviez déjà adopté lors de votre raout avec Jean Luc Mélenchon à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Vous y déclariez que nous, Sénégalais, « gérons à notre façon » cette réalité millénaire sur notre sol, qu’est l’homosexualité. 

Ce qui est une avancée du point de vue d’un discours progressiste chez nos dirigeants, mais aussi un rétropédalage de votre part, par rapport à vos propos du temps de l’opposition, affirmant vouloir  “criminaliser les actes homosexuels, une fois au pouvoir ».

Dans la foulée, vous n’avez pas assumé le service après-vente de votre nouvelle position « médiane » sur l’homosexualité au Sénégal, huée par les étudiants de l’UCAD et pour laquelle un journaliste-activiste qui l’a commentée de manière certes véhémente, est aujourd’hui en prison, pour atteinte à une personne dépositaire d’une partie du pouvoir du chef de l’État, c’est-à-dire vous, M. Sonko. L’arsenal juridique sénégalais n’a point besoin d’être plus corsé encore, en matière de ce que la loi qualifie pudiquement « d’actes contre-nature », comme pour ne jamais nommer le mot et « la chose ».

Dans cet ordre d’idées, j’en appelle à la clarification de la position de votre « GOS », Gouvernement Ousmane Sonko, sur la question de la sanctuarisation constitutionnelle de l’interdiction de la peine de mort, qui est effective au Sénégal. Car pourtant, en effet, tous les jours, des citoyens, des journalistes et des politiciens, sur les antennes de l’audiovisuel et dans les colonnes de journaux de notre pays, en appellent à ce que la peine de mort soit réinstaurée. Du temps où vous étiez opposant, vous aussi, M. Sonko, aviez « promis de faire revenir » la peine de mort. J’espère qu’il ne subsiste rien de cette idée mortifère, chez vous. Souhaiter à haute voix le retour de la peine de mort au Sénégal, ce n’est pas une opinion : c’est un acte inconstitutionnel.

Il est du devoir de votre charge d’y mettre le holà, Monsieur le Premier ministre.

Ousseynou Nar Gueye

Éditorialiste (Tract.sn) et Communicant

YEUMBEUL SUD : Un jeune homme souffrant de troubles psychiques meurt dans un incendie

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Tract-Pape S., un jeune homme de 21ans, souffrant de troubles psychologiques, a trouvé la mort dans des circonstances tragiques. Samedi dernier, aux alentours de 2h du matin, un violent incendie s’est déclaré dans sa chambre au quartier Afia 5, dans la commune de Yeumbeul Sud, banlieue dakaroise.

Alertés par les flammes, des membres de la famille de Pape S., se sont précipités sur les lieux pour tenter d’éteindre le feu et sauver le jeune homme. Malgré leurs efforts et les cris de détresse qui ont alerté les voisins, l’incendie a rapidement consumé la pièce, transformant la victime en torche humaine, rapporte Les Échos.

Le délégué de quartier de Afia 5 a alerté les autorités, et les policiers du poste de la localité sont arrivés sur place. Ils ont évacué la foule de curieux et délimité le périmètre du sinistre, situé au deuxième étage de la maison familiale. Pape S., gravement blessé, a succombé à ses blessures. Son corps sans vie a été retrouvé à même le sol dans la chambre, puis transporté à la morgue d’un centre hospitalier pour les besoins d’une autopsie par les sapeurs-pompiers.

Lors de l’enquête préliminaire, des membres de la famille ont confirmé que Pape S. souffrait de démence et suivait un traitement au centre hospitalier psychiatrique de Thiaroye. Son père a fourni des preuves de son état de santé mentale, incluant des ordonnances et des rendez-vous médicaux. La police locale a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de ce drame.

SICAP MBAO : Une fillette de 4 ans tuée par un cheval en furie

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Tract-La course effrénée d’un cheval en furie et à la bride lâchée a causé la mort tragique d’une fillette de 4 ans, répondant au nom de N. F. S. Samedi dernier, aux alentours de 14h, l’animal a sauvagement heurté et malmené la petite fille à coups de sabot sur le corps et la tête.

« Les Échos » raconte le film du drame. A. Diallo, le charretier, transportait des barils et autres fûts remplis d’eau à vendre à bord de sa charrette. Arrivé devant une maison dans le quartier, il a immobilisé la calèche et a commencé à décharger les récipients d’eau pour les acheminer à l’intérieur, laissant l’animal seul à la devanture de la concession. Pendant qu’il s’affairait autour des barils, le cheval s’est subitement cabré et a commencé à pousser des hennissements, avant de s’échapper et de se lancer dans une folle course à travers les rues.

Les habitants du quartier ont tenté de fuir devant l’animal déchaîné. Malheureusement, la petite N. F. S., qui traînait nonchalamment dans la rue, s’est retrouvée sur la trajectoire du cheval. L’animal l’a percutée violemment, lui infligeant des coups de sabot sur la tête et d’autres parties du corps, avant de lui marcher dessus.

Les voisins, horrifiés, ont assisté à la scène en criant au secours. Certains ont accouru pour tenter de venir en aide à la fillette, qui gisait inerte et ensanglantée au sol. D’autres ont pris en chasse le cheval et ont réussi à le rattraper, ramenant la bête sur les lieux. Une foule en colère s’est rassemblée, criant à la vindicte populaire contre le charretier.

Craignant pour sa vie, A. Diallo a interrompu ses activités et a pris la fuite. Alertés, les policiers du poste de Sicap Mbao sont arrivés rapidement sur place pour constater le drame. Ils ont obtenu l’identité du cocher auprès des occupants de la maison où il transportait les fûts d’eau et ont réussi à l’appréhender. Le jeune homme, A. Diallo, a été menotté et conduit au poste de police.

Le cheval et la charrette ont été immobilisés en tant que pièces à conviction pour les besoins de l’enquête. A. Diallo devrait être présenté ce lundi devant le parquet du tribunal de grande instance de Pikine, où il sera poursuivi pour « homicide involontaire sur une fille de 4 ans ».

NÉCROLOGIE : Le Pastef perd son commissaire scientifique en charge de l’emploi Mactar Dabo

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Tract-Le Pastef Les Patriotes est en deuil. Son Commissaire Scientifique en charge de l’emploi, du travail et de la réforme de l’administration publique, Mactar Dabo, est décédé ce dimanche suite à un malaise.

Le défunt, dans une tribune en date d’hier, samedi 03 août, a apporté sa réplique à Abbé André Latyr Ndiaye. Ce dernier, réagissant aux propos du Premier ministre sur l’interdiction du port du voile dans certains établissements scolaires, a qualifié Ousmane Sonko de « jeune politicien », avant d’insister sur l’importance de la politesse.

Dans sa réponse, Mactar Dabo avait donné sa position sur ce sujet qui fait débat au Sénégal et qui est contraire à celle de Abbé André Ndiaye. Cependant, il lui avait signifié qu’il était à sa « disposition pour toute discussion complémentaire sur ce sujet ». Hélas, les deux hommes ne se verront jamais.

TRANSPORT : Le ‘mouvement Dolel Transport’ menace le ministre El Malick Ndiaye

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Tract-Suite aux accidents tragiques qui ont eu lieu la semaine dernière, le ministre des transports, El Malick Ndiaye s’était dépêché sur les lieux pour constater les dégâts et assister les blessés. Sur place, s’exprimant sur ces drames, El Malick a indexé les chauffeurs comme étant les coupables sur ces accidents récurrents. Une déclaration qui n’est visiblement pas du goût des transporteurs.

En marge d’une rencontre pour protester contre la concurrence déloyale et le transport irrégulier, le samedi 3 Aout 2024, Le mouvement « Dolel Transport » a dénoncé, les « propos outranciers et stigmatisants » du ministre des Transports terrestres et aériens à l’endroit des transporteurs El Malick Ndiaye sur la recrudescence des accidents de la route.

« Lorsque l’accident à hauteur de Ngaye Mekhe s’est produit, sur place, le ministre n’a pas daigné exprimer son regret et présenter ses condoléances, alors que les deux conducteurs étaient décédés sur le coup. Il s’est précipité pour menacer les chauffeurs avec l’imposition du permis à points. « Nous estimons que notre État n’est pas encore prêt pour instaurer ces permis à points. Nous lui demandons de revoir sa communication s’il veut rester dans ce ministère, car à chaque sortie, il ne fait que dénigrer les chauffeurs « , souligne-t-il.

D’après, le secrétaire général du mouvement « Dolel Transport », Malick DIOP, « le système du transport au Sénégal est organisé par des lois et des règlements et que le ministre Malick NDIAYE n’a jamais voulu faire face à ces questions ».

« Nous n’accepterons plus que notre ministre de tutelle, en l’occurrence Malick NDIAYE nous dénigre de cette manière. Nous pensons qu’il est promu à la tête de ce secteur pour améliorer les conditions de vie et de travail des chauffeurs », a lancé M. Diop.

Pour lui, ces permis à points sont nécessaires à condition de les exécuter avec des mesures d’accompagnement. Le mouvement « Dolel Transport » invite, le ministre d’approcher les acteurs pour trouver des solutions aux problèmes du transport, promettant de continuer leur combat contre la concurrence déloyale et le transport irrégulier dans les prochains jours.

BAKEL : Une pirogue chavire dans la Falémé

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Tract-Une pirogue, avec à son bord 18 personnes, a chaviré dans la Falemé. Le bilan, d’après des témoins fait état de 4 morts et 13 disparus et un rescapé.

La pirogue, d’après toujours les mêmes sources avait quitté le village de Bountoumba, dans la commune de Sadatou, département de Bakel.

À l’heure actuelle, les recherches se poursuivent pour retrouver les corps des disparus.

DÉBAT SUR LE VOILE : Le Conseil national du laïcat donne sa position

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Tract-Le Conseil national du Laïcat aussi, s’exprime sur le débat lié au voile dans les établissements privés catholiques. Dans un communiqué parcouru par iGFM, il marque son indignation suite aux propos du chef du gouvernement et déclare que l’Église ne saurait «remettre en cause les principes qui sous-tendent son projet éducatif inspiré des valeurs évangéliques.»

Le Conseil national du Laïcat déclare, dans son communiqué de presse parcouru par iGFM ce dimanche, que le règlement intérieur des établissements de l’enseignement privé catholique «n’affecte ni la neutralité de l’enseignement dispensé, ni la liberté de conscience des élèves, ni leurs convictions religieuses.»

Et donc, il précise que les institutions privées catholiques «ne sauraient tolérer, au nom de quelque conviction ou croyance, les attitudes et comportements contraires aux principes et à l’esprit de son projet éducatif.»

«Elles demeurent fermes contre les comportements qui sont en porte-à-faux avec les règles de discipline générale et qui sont préjudiciables au vivre ensemble et au bon fonctionnement de tout établissement», indique-t-il.

Ledit Conseil déclare que ceux qui ne souhaitent pas respecter le règlement intérieur des établissements privés catholiques «doivent s’en prendre à eux-mêmes pour leurs attitudes et comportements d’auto ségrégation et d’auto exclusion ; toutes postures en inadéquation avec l’esprit de famille et d’ouverture, du vivre ensemble que promeuvent l’école catholique et le Sénégal.»

Pour lui, il revient donc aux parents et aux élèves, qui ont librement choisi ces établissements, «de se conformer aux exigences du règlement intérieur».

CRISE À AFRICOME : Sunu Lamb et Stades suspendus de parution

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Tract-Les quotidiens sportifs Sunu Lamb et Stades édités par le groupe AFRICOME sont suspendus de parution depuis le samedi 03 août 2024. Le directeur de publication des quotidiens Stades et Sunu Lamb, par ailleurs, administrateur général d’africaine communication édition (AFRICOME), Mamadou Ibra KANE donne les raisons de cette décision.

Autrement, monsieur Kane parle d’exercices déficitaires et de dettes colossales. « Depuis deux ans, AFRICOME connaît des exercices déficitaires, des dettes colossales vis-à-vis de ses fournisseurs (particulièrement étrangers pour son approvisionnement en intrants), des retards de paiement des salaires, l’arrêt du paiement des cotisations sociales et des frais pour la couverture maladie… », a informé le patron d’AFRICOME.

Au regard de la crise actuelle qui secoue les entreprises sénégalaises de presse, Mamadou Ibra Kane a fait dans la prescience. Selon ses dires, « cette crise économique et sociale n’est pas propre à AFRICOME et les entreprises sénégalaises du secteur des médias risquent de tomber comme des mouches ».

Dans la note qui nous est parvenue, monsieur Kane est revenu sur les années de gloire de ces deux quotidiens sportifs, l’un spécialisé dans la lutte sénégalaise et l’autre dans le football. A l’heure, informe toujours Mamadou Kane, « avec la fermeture de Stades et Sunu Lamb, ce sont malheureusement 20 journalistes et techniciens des médias qui ont perdu leurs emplois depuis le 31 juillet 2024. Dans les prochains jours, une seconde vague de licenciements va concerner le personnel technique et administratif ».

« Avec la suspension de Stades et Sunu Lamb, AFRICOME attend un environnement plus propice pour le développement des médias au Sénégal, pour continuer à assurer sa mission de service public dans le domaine du sport », a souhaité le président du Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse (Cdeps).

DÉBAT SUR LE VOILE : La mise au point du ministre de l’Éducation

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Tract-Suite à la sortie du PM, Ousmane Sonko disant qu’: « on n’acceptera plus l’interdiction du voile dans les établissements scolaires », les réactions n’ont pas tardé à pleuvoir. La dernière indignation est celle de l’Abbé André Ndiaye. Face à ce malaise, le ministre de l’Éducation nationale se constitue avocat du Premier ministre, Ousmane Sonko et répond à l’Abbé André Ndiaye tout en tentant de justifier le message du chef du gouvernement.

Moustapha Mamba Guirassy a regretté les propos du religieux qui selon lui a sorti les propos du Premier Ministre de son cadre.
« Il parle de l’Eglise. Ce qui montre qu’il n’a pas bien écouté et s’est empressé de réagir. Pourtant, il devrait même appuyer ce que le Premier ministre a dit c’est à dire qu’on doit protéger l’enfant chrétien, on doit protéger l’enfant musulman et on doit aussi protéger l’enfant musulman qui ne porte pas de voile. C’est ce qu’il devait dire. Mais ses propos sont durs et démesurés par rapport au débat », a lancé le ministre.

Ajoutant que le débat qui a été posé est un débat de règlement intérieur et non un débat de religion. « Un règlement intérieur il est bon, il n’est pas bon, cela se règle même au niveau du ministère, a-t-il souligné.

41e ÉDITION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE L’ARBRE : Le Chef de l’État félicite l’engagement de « Touba Ca Kanam »

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Tract-En procédant à une plantation symbolique d’un manguier, arbre parrain de l’édition 2024 de la Journée nationale de l’arbre ce dimanche, le président de la République Bassirou Diomaye Faye a officiellement lancé la campagne nationale de reboisement à Touba. Dans son discours, il a salué l’engagement de tous les Sénégalais pour le succès de cette journée, mettant en exergue le thème de cette année : « Rôle du reboisement dans la souveraineté alimentaire et le développement économique. »

Le chef de l’État a exprimé sa reconnaissance envers l’association « Touba Ca Kanam » pour son engagement exemplaire en matière de reboisement dans la cité religieuse de Touba. « L’association « Touba Ca Kanam » doit être plus que jamais donnée en exemple à toutes les communes du Sénégal, à toutes les associations au sein de ces communes, » a déclaré le Président. Soulignant l’importance de l’effort collectif, il a félicité l’association pour la réalisation d’une pépinière de 28 000 pieds cette année, tout en mettant en avant les recommandations du khalife général des mourides, Serigne Mountkha Mbacké, en faveur de la plantation d’arbres.

Bassirou Diomaye Faye a aussi rappelé à tous les citoyens leur responsabilité dans la co-construction d’un Sénégal plus vert, insistant sur la nécessité de planter des arbres tout au long de l’année et de veiller à leur entretien pour garantir un taux de survie maximal des plants reboisés. « Il est de la responsabilité de tout citoyen de se situer dans une logique de co-construction permettant de reverdir le Sénégal, » a-t-il affirmé.

Dans l’après-midi, il a été reçu en audience par le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, après avoir officiellement lancé la 41ème édition de la Journée nationale de l’arbre. La rencontre a eu lieu à la résidence de Darou Miname, située au cœur de la ville religieuse.

Accompagné d’une délégation restreinte, composée des ministres Serigne Guèye Diop (commerce), Daouda Ngom (environnement) et Jean Baptiste Tine (intérieur), le chef de l’Etat a franchi l’entrée du salon d’honneur de la résidence à 13 heures 15 minutes, rapporte APS. La délégation a été accueillie par Serigne Cheikh Khadim, fils du khalife, et son frère Serigne Thierno Mbacké.

Au cours de cette rencontre d’environ une heure, divers sujets ont été évoqués, notamment la Journée nationale de l’Arbre, l’association Touba Ca Kanam et les préparatifs du grand Magal de Touba. Le khalife général des Mourides, a formulé des prières pour la réussite de la mission du président de la République avant de poursuivre l’entretien à huis clos avec ce dernier.

JO 2024 : La Vatican condamne la cérémonie d’ouverture

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Tract-Huit jours après la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, le Vatican s’est fendu d’un communiqué officiel pour condamner le spectacle imaginé par Thomas Jolly.

La cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 qui s’est tenue le vendredi 26 juillet dernier se voulait spectaculaire, certes, mais avant tout inclusive. D’aucuns en ont regretté pourtant des scènes offensantes pour les croyants, et notamment les chrétiens. Huit jours après le show organisé sur la Seine, le Vatican s’est ému des conséquences d’un tel spectacle.

Dans un communiqué officiel publié ce samedi, le fief de la religion catholique se déclare « attristé par certaines scènes de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris. Le Saint-Siège ne peut que se joindre aux voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense faite à de nombreux chrétiens et croyants d’autres religions ».

Des excuses présentées dimanche dernier

« Dans un événement prestigieux où le monde entier se réunit autour de valeurs communes ne devraient pas se trouver des allusions ridiculisant les convictions religieuses de nombreuses personnes, peut-on lire par ailleurs en français dans le texte. La liberté d’expression, qui, évidemment, n’est pas remise en cause, trouve sa limite dans le respect des autres ».

La communauté chrétienne a particulièrement ciblé le tableau incarné par Philippe Katerine et la DJ Barbara Butch, entourés de drag-queens notamment dans un show jugé blasphématoire pour sa réinterprétation présumée de la Cène, le dernier repas du Christ peint par Léonard de Vinci. Thomas Jolly, le directeur artistique et metteur en scène de la cérémonie d’ouverture, a assuré que la référence en question était erronée, faisant allusion au dieu grec Dionysos et au tableau du « Festin des Dieux ».

« Il n’y a jamais eu d’intention de manquer de respect à quelque groupe religieux que ce soit, dixit Anne Descamps, directrice de la communication du Comité d’organisation des JO 2024 (COJO), lors d’une conférence de presse tenue dimanche dernier. Si des gens se sont sentis offensés, nous en sommes vraiment désolés ».

DIÉGUY DIOP SUR SA CONVOCATION À LA GENDARMERIE : ‘C’est pour ma passation de service que j’ai été convoquée’

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Tract-Dieguy Diop, ancienne directrice de la promotion de l’économie sociale et solidaire, a réagi suite à sa convocation à la Brigade de recherche de Keur Massar. Selon elle, cette convocation serait une « manifestation d’acharnement », liée à son refus de procéder à la cérémonie de passation de service.

« J’ai remis une lettre de démission que j’ai adressée au président de la République pour les raisons qui sont personnelles depuis, le ministre ne le prend pas de cet œil et a du mal à digérer cette pilule. Il s’est permis de publier la lettre dont il avait mis un saut en confidentiel avec sa signature, il a publié cette lettre pour dire que Dieguy a démissionné parce qu’elle a reçu une lettre de mise en demeure », a-t-elle expliqué sur la RFM.

Ensuite, poursuit-elle, « il m’a envoyé un huissier de justice pour que je puisse donner mes documents de passation de service et ces documents, on me l’a demandé cinq jours après la nomination de ma remplaçante et on a dit poste vacant, c’est à ce titre que je me suis dit, qu’il y a un excès de zèle quand même, je n’ai pas été convoquée et que j’ai refusé. J’ai juste reçu un huissier qui m’intime de donner mon document de passation de service dans les 48 heures chose que j’ai signé ».

« Je pense que c’est pour ma passation que j’ai été convoquée à la gendarmerie pour une affaire qui est administrative qui doit suivre un certain nombre de procédures avant d’être au niveau de la justice », a laissé entendre l’ancienne directrice de la promotion de l’économie sociale et solidaire.

« Je suis droite dans mes bottes. Je suis de l’APR, je suis avec le président Macky Sall et je ne renoncerai pas à ce droit qui est un droit constitutionnel », a affirmé Dieguy Diop.

DIPLOMATIE : L’ambassadeur de l’Ukraine au Sénégal convoqué par les autorités sénégalaises

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Tract-L’Ambassadeur d’Ukraine à Dakar a été convoqué ce samedi par le ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères du Sénégal pour se voir rappeler les obligations de discrétion et de non-ingérence qui accompagnent sa mission diplomatique.

Cette convocation fait suite à la publication d’une vidéo de propagande de l’armée ukrainienne, accompagnée d’un commentaire de l’Ambassadeur d’Ukraine lui-même, apportant « un soutien sans équivoque et sans nuance à l’attaque terroriste perpétrée entre les 25 et 27 juillet 2024 dans le Nord Mali, par des rebelles Touaregs et des membres du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM) contre les Forces Armées du Mali (FAMA), ayant entraîné d’importantes pertes en vies humaines ».

Le ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères a exprimé sa « surprise » face à cet incident.

Fidèle à sa position de neutralité constructive dans le conflit russo-ukrainien, et en accord avec les appels répétés de ses plus hautes autorités à privilégier les voies de règlement pacifique du différend, le Sénégal estime qu’il « ne peut tolérer une quelconque tentative de transférer sur son territoire la propagande médiatique en cours dans ce conflit. »

Les autorités sénégalaises, qui rejettent le terrorisme sous toutes ses formes, affirment qu’elles ne sauraient « accepter sur son territoire et en aucune manière des propos et gestes allant dans le sens de l’apologie du terrorisme, surtout lorsque ce dernier vise à déstabiliser un pays frère comme le Mali. »

Ainsi, le Sénégal réitère sa condamnation « avec la dernière énergie de l’attaque commise par ces groupes terroristes en terre malienne. »

En cette douloureuse circonstance, le Sénégal renouvelle au Gouvernement et au peuple du Mali « sa solidarité sans faille, présente ses sincères condoléances aux familles des victimes et souhaite un prompt rétablissement aux blessés. »

KAFFRINE : Un accident fait deux (2) morts

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Tract-Un tragique accident survenu sur la route nationale, au niveau du village de Wengui dans la commune de Sagna, département de Kaffrine, a fait deux morts et deux blessés graves.

Selon Iradio, le véhicule impliqué dans l’accident était celui du sous-préfet de Dianké Makha, dans la commune de Goudiry.

Le sous-préfet, au volant de son véhicule, a perdu le contrôle après l’éclatement d’un pneu. Sa femme et son homonyme sont décédés sur le coup dans cet accident.

Le sous-préfet et son fils sont grièvement blessés et sont actuellement admis à l’hôpital régional Thierno Brahim Ndao de Kaffrine.

JO 2024 : Voici le programme des athlètes sénégalais de ce dimanche

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Tract-Le Sénégal sera en lice ce dimanche pour les épreuves d’athlétisme. Louis François Mendy participera aux qualifications du 110 m haies tandis que, Cheikh Tidiane Diouf sera en piste pour le 400m.

Louis François Mendy, l’un des athlètes les plus en vue du Sénégal, participera aux qualifications du 110 m haies ce dimanche au Stade de France (9h05 GMT). Porte-drapeau du Sénégal lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, Mendy vise à décrocher une deuxième médaille olympique pour le pays, après celle en argent remportée par Amadou Dia Ba en 1988 à Séoul.

Cheikh Tidiane Diouf, actuel champion d’Afrique du 400 m, sera en piste ce dimanche 4 août à 17h05 GMT pour les qualifications de sa catégorie aux Jeux Olympiques de Paris 2024. L’athlète, qui participe à sa première olympiade grâce à son classement mondial (34ᵉ), tentera d’améliorer ses performances et de continuer son apprentissage du haut niveau.

Yves Bourhis s’est qualifié ce samedi au deuxième tour finale en Kayak cross. Le sénégalais jouera les huitièmes de finale, qui auront lieu ce dimanche à 13h30 GMT, avec l’objectif de poursuivre sa quête pour une médaille.

[L’ET DIT TÔT] PAR OUSSEYNOU NAR GUEYE- Problématique politique et électorale du concept de ‘Projets de société’ versus ‘Le Projet’ de Pastef

Tract – Dommage : avant mars 2024, « Le Projet » de Pastef, il s’est arrêté pile avant de devenir… « Projet de société ». Émergence foudroyante du « Projet » pastefien dans les urnes, toutefois. Et « noyade » collective des « programmes électoraux » des 17, voire des 18 autres candidats présidentiels de mars 2024. Quel(s) candidat(s) à nous avoir parlé du seul genre de « projet » qui vaille la peine d’être présenté en campagne électorale présidentielle : le « projet de société « ?

Mais d’abord, pour circonscrire cette grande affaire de « projets de sociétés concurrents entre eux », parlons de l’état de la richesse mondiale et de l’égalité de sa répartition ainsi que de la carence cyclique des mécanismes de redistribution de la fortune des riches et des supers-riches, par le mécanisme de l’impôt et des taxes. L’éditorial de Marie- Eve Fournier dans le média canadien « La Presse », le 27 juillet dernier, me fournit le prétexte de cette tribune que je commets ce 3 août 2024.

La Québécoise y écrit ceci : « Le fameux palmarès Forbes des milliardaires – en dollars américains – compte aujourd’hui 2712 noms. Grande surprise : 200 Indiens en font partie, dont 10 dans le top 100. Pendant ce temps, 90 % de la population de l’Inde (soit plus d’un milliard de personnes!) gagne moins de 150 $ US par mois, rapporte Paris Match (soit 90.000 FCFA).

Les inégalités dans le pays le plus populeux de la planète ne cessent de croître. Une récente étude du World Inequality Lab a permis de déterminer qu’en Inde, le 1 % des plus riches détient 40 % des richesses du pays. Cette concentration dépasse celle qu’on voit aux États-Unis, en Afrique du Sud ou au Brésil, pays particulièrement inégalitaires.

Certains observateurs accusent le modèle économique du premier ministre indien, Narendra Modi, de favoriser l’élite du pays au détriment de la population pauvre. Ses réformes auraient contribué à l’enrichissement fulgurant des grands conglomérats, dont celui de Mukesh Ambani, 11e fortune mondiale. L’homme qui gère un empire diversifié – pétrochimie, télécommunications, vente au détail, services financiers – vaut 117 milliards.

Le mariage, célébré pendant quatre mois dans différentes villes balnéaires d’Inde et d’Occident jusqu’en mi-juillet 2024, de Radhika Merchant et d’Anant Ambani, fils du milliardaire indien, a coûté 800 millions de dollars US. Pris sur la fortune d’Ambani, qui pèse donc, répétons-le, 177 milliards de dollars US, selon Forbes. Cette somme fait de lui la personne la plus riche d’Asie.

Une donnée permet aisément de saisir l’ampleur de la richesse de cet homme : 0,5 %. Eh oui, la facture de ce mariage qui dépasse l’entendement ne représente que 0,5 % de sa fortune.

Ce n’est assurément pas un cas unique au monde. Les inégalités s’accentuent un peu partout, ce qui met notamment en péril la cohésion sociale. Oxfam qualifie même les inégalités extrêmes de « violence économique ». Les choix politiques biaisés en faveur des personnes les plus riches et les plus puissantes « sont directement préjudiciables pour la grande majorité des citoyens ordinaires dans le monde », plaide l’organisation. Voilà pourquoi il faut trouver des moyens de mieux répartir la richesse. « . C’est ce qu’écrit la journaliste canadienne Mme Fournier.

A mon tour, j’analyse que : le type de « développement » (sic) économique, qui n’est que « violence économique » aussi, que nous voyons avancer en Afrique subsaharienne risque de nous conduire dans 30 ans à la même situation que celle de l’Inde actuelle – et le Sénégal n’y échappera pas, comme on peut le voir en extrapolant la courbe de sa trajectoire historique de « développement économique» – : celle de devenir des pays « riches », peut-être même « développés », ou à tout le moins « émergents », avec 1% de riches ploutocrates prébendiers, rentiers et accapareurs qui possédera 80% (!) des richesses nationales, suivis très loin après en termes de pouvoir d’achat, par une classe moyenne de 10% de la population qui travaille entre les multinationales implantées ici, dans les conglomérats sénégalais à capital et à gestion familiales du 1% cité plus haut, dans la Fonction publique et les collectivités territoriales, dans des activités commerçantes pour lesquelles ils préfèrent « s’arranger » avec les douaniers aux points d’entrée dans le pays (aéroport AIBD, ports et frontières terrestres) puis « amadouer » les contrôleurs fiscaux qui les trouvent dans leurs commerces, plutôt que payer des impôts et taxes en bonne et due forme…: Au total donc, c’est là une classe moyenne qui jongle pour faire face à ses dépenses familiales pendant qu’elle est assaillie par « l’impôt social » des démunis qui leur quémandent inlassablement (membres de la parentèle proche ou éloignée, mendiants des rues devenues cour des miracles des estropiés, des albinos (!!), de quêteurs plus ou moins bien portants, plus ou moins bien ou mal fagotés; les petits mendiants dit talibés aux carrefours devenus les terrains de jeu de leur enfance à l’innocence confisquée; et des gens à métiers précaires et emplois non-décents comme ceux qui crapahutent sur le goudron pour vendre des bibelots made in Asia aux automobilistes pressés, et dont, ceux dits « marchands ambulants » qui ont pourtant un étal fixe ); la classe moyenne est prise en sandwich comme vous le voyez; car enfin donc, près de 90% de la population de ces pays africains sera constituée de miséreux (90% parmi lesquels la longue litanie de quêteurs cités plus haut, pour ne parler que de métiers avouables).

Quand nous serons deux milliards d’Africains, c’est cela qui nous pend au nez.

Cela se voit et se vit déjà dans les « grands pays africains » (Afrique du Sud, Nigéria, Kenya, Égypte…) avec des ghettos-bidonvilles de millions de personnes, sans eau courante et à branchements électriques sauvages, qui ceinturent les hautes tours des centres-villes des capitales.

Cela se vit déjà, aussi, au Sénégal, cette inégalité économique indécente : au moins symboliquement et certainement plus que de façon imaginaire, quand plusieurs dizaines de millions en « briques » de 10.000 FCFA sont théâtralement distribuées dans les cérémonies de mariages des ploutocrates, et changent de mains sans justificatif rationnel, ni origine fiscalement traçable, avec force folklore et déclamations de griottes. Des scènes de ce que l’on se complaît à appeler « la haute », retransmises sur Tik Tok.

C’est aussi cet idéal de richesses furieusement réparties dans un seul bord de 1% de nos happy-few que « nos séries sénégalaises » nous font miroiter comme étant notre avenir indépassable, (notre « American Dream » à la sauce gombo subsaharienne) et qu’elles inoculent comme une drogue dure dans le cerveau des jeunes gens (jeunes filles surtout, à qui ces films tentent de démontrer que le mariage en soi est une option de carrière professionnelle et une sorte d’auto-entrepreneuriat), des « executive women » (pour lesquelles regarder des bouts de ces séries sénégalaises est leur sas de décompression après le boulot) et des « desperates housewives » flanquées de co-épouse(s) (qui peuvent ainsi rêvasser de revanche sociale pour elles et faire un transfert sur les déboires de leur mâle polygame, en se mettant dans la peau des actrices, par l’intermédiaire des amourettes rocambolesques contées dans nos fameuses « séries sénégalaises » donc). Il y a 20 ans ? Ce sont elles qui sont allées accueillir l’actrice indienne Vahidehi à l’aéroport de Yoff, jusqu’à frôler l’évanouissement et la crise de nerfs. La série hindoue Vahidehi, décrivait déjà ces univers glamour et des histoires à l’eau de rose mâtinées de sombres menaces de vengeances aux motifs parfois ésotériques. Le seul progrès? C’est que nous avons désormais nos actrices de séries sénégalaises, en veux-tu en voilà. Si les emballages corporels ont changé, la marchandise proposée reste la même : vendre du rêve, du glamour, du sélect, des fashionables people et des Very Impossible People, du clinquant, l’obtention facile et même miraculeuse de toujours plus de richesses, la présentation ostentatoire des objets de pouvoir économique que sont les voitures 4×4, écrans plasma TV de 10 mètres carrés et autres iPhone 15 pour lesquels salive la populace ; et toujours mettre l’amour à toutes les sauces, sentiment amoureux qui finit toujours, bien sûr, par triompher.

Ce que ne décrivent pas (pas encore…) nos « séries sénégalaises », c’est ceci : la violence brute, les agressions meurtrières, les braquages sanglants qu’il y aura ici dans vingt ans, dans trente ans : quand les Sénégalais(es) qui tentent d’émigrer vers l’Occident par pirogues cesseront de tourner cette auto-violence réelle et cette auto-attentat à leur vie qu’ils s’infligent en s’entassant dans des pirogues, pour devenir des protestataires pour la justice économique, des émeutiers réguliers, des hyènes urbaines qui mordent les mollets et arrachent les biens de leurs concitoyens mieux lotis par Dame fortune; quand aussi, les binômes de scootéristes, ces As du vol à l’arrachée, auront systématiquement sur eux des machettes et puis, pourquoi pas, au fil du temps, évolution et modernisation oblige, de plus en plus d’armes à feu. Quand enfin, les grappes de millions de « jeunes de moins de 19 ans » (qui représentent actuellement 50% de la population sénégalaise) submergeront des services publics à la capacité d’accueil dépassée, des services sociaux qui ne peuvent croître exponentiellement, des infrastructures sursollicitées qu’on ne peut remplacer chaque année, et que leurs diplômes/formations ou défaut de diplômes / de compétences professionnelles, leur interdiront un emploi décent, dans un marché de l’emploi (formel et informel cumulés) où arrivent chaque année 400.000 Sénégalais d’une même classe d’âge. Les voitures des honnêtes gens seront alors braquées aux feux- rouges, avec pistolet sur la tempe du conducteur, obligé de céder le volant et la voiture qui va avec.

Ce sera ça : la vraie loi des séries. Au sens propre.

Bon. Bref. Revenons à nos moutons. Voici comment la Canadienne Marie-Ève Fournier conclut son éditorial dans « La Presse » :

 » Un projet de taxe mondiale sur la fortune ou d’impôt minimum pour les super-riches se trouve justement au menu de la rencontre des ministres des Finances du G20 qui se tient actuellement à Rio de Janeiro. C’est un pas encourageant. Mais dès le début des échanges sur le sujet, les États-Unis ont dit qu’ils ne voyaient « pas le besoin » d’une telle mesure. Le Brésil en a quand même fait une priorité. Selon le président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva, il faut taxer les milliardaires, car « en haut de la pyramide, les systèmes fiscaux ne sont plus progressifs, mais régressifs ». Ainsi, « les super-riches paient proportionnellement moins d’impôts que les travailleurs ». Sa proposition est notamment soutenue par la France, l’Espagne, l’Afrique du Sud, la Colombie et l’Union africaine. Impossible de s’entendre, toutefois, quand le pays qui a permis à Elon Musk et Jeff Bezos de devenir les deux hommes les plus riches du monde s’oppose à toute négociation internationale à ce sujet. Ce n’est guère étonnant, mais il faut s’en désoler avec vigueur, surtout quand on sait que le taux d’imposition du 1 % des plus riches dans les pays du G20 est passé depuis 1980 de 60 % à 40 %, selon les calculs d’Oxfam. Jusqu’où faudra-t-il se rendre pour que les États-Unis, qui carburent aux excès, allument enfin sur les conséquences des inégalités ? ».

En ce qui concerne votre serviteur que je suis, voici ce que je pense et ce que je crois : ceci est aussi, fortement, un débat africain et même sénégalais, sur notre avenir collectif en tant que communautés.

Nous avons nos pirogues d’émigrants que tous qualifient de suicidaires, sauf eux-mêmes ? Les USA ont leur mur-passoire à la frontière Sud avec le Mexique, où dix millions de migrants illégaux sont entrés, rien qu’en 2024, y compris en pataugeant dans le fleuve Rio Grande.

Ceci pour dire que la sécurité et la prévention policière, l’engagement des militaires et des fonctionnaires administratifs pour la gestion des flux migratoires (ces arrivants, légaux ou illégaux doivent être documentés !) seront les premières fondations de l’édifice social pour que la réduction des inégalités ne se fasse pas comme dans la jungle, à coups de « donne-moi ceci! » et de « je te prends, ça! ». Seulement si ce minimum de filet sociétal de la force symbolique de protection de tous, est assurée, alors, les politiciens africains, dont c’est la charge, pourront nous proposer des politiques publiques et des politiques de développement pouvant aboutir au résultat efficace d’une redistribution équitable de la richesse produite.

Pour cela, il faudra que nos politiciens, y compris sénégalais, osent dire qu’ils proposent « un projet de société » à nos compatriotes. Et cesser de parler de « programme électoral ». « Projet de société » doit cesser d’être un gros mot au Sénégal. Et il n’y a pas meilleur projet de société que de bâtir une communauté où les inégalités économiques sont réduites à des gaps « normaux », entre les plus riches (qui doivent être taxés et imposés sur leur fortune dormante – souvent immobilière- et aussi sur leurs revenus ) et les plus pauvres (que des filets sociaux financiers doivent empêcher de finir en itinérance dans la rue, à dormir à la belle étoile sur des feuilles de cartons aplatis, y compris sur les trottoirs de l’avenue Ponty !). Au nom de la lutte contre les inégalités sociales, qui sont souvent des inégalités de classe.

Le pouvoir politique y aura son rôle primordial à jouer. Il y faudra de l’avoir, pris dans la poche de l’État comme dans les poches des riches et des supers-riches. Il y faudra le savoir et la quête de ce savoir, dans un système éducatif repensé et non-malthusien, pour que le savoir soit la meilleure arme à acquérir pour changer d’échelle sociale, aussi bien par l’entrepreneuriat privé que par l’ascenseur de la méritocratie républicaine, que le pouvoir politique (les élus majoritaires) doivent garantir, sous la surveillance de leur contrepoids que sont les opposants politiques et les alliés objectifs des causes sociales et de la lutte contre les inégalités, qu’est: la société civile. Au nom de « la promotion de l’égalité des chances ».

Parce que tous nos politiciens sénégalais ont déserté l’approche de campagne électorale présidentielle par proposition de « Projet de société » aux électeurs, ayant certainement eu peur de heurter le Sénégalais lambda, qui lui, est présumé être sûr que sa société a finie d’être bâtie et bien bâtie depuis belle lurette, et n’a donc plus besoin d’être remise en projet de déconstruction ou de reconstruction, sauf pour réparer ici et là quelques mœurs anciennes et policées devenues corrompues pas les politiciens (‘‘Na ñu défaraat jikko yi’’, disent-ils…). Le Sénégalais lambda pense-t-il cela ? Rassuré qu’entre les immuables de sa vie que sont le tiéboudiene, les trois normaux d’ataya, ses grand-places, ses matchs de navétanes plus populaires que les matchs de foot du championnat de la ligue Pro, ses intermittents de l’agriculture qui cultivent la terre quatre mois sur douze et dorent leurs orteils en éventail au soleil les autres huit mois de l’année, ses Magals, ses Gamous, ses tours de famille, sa revue de presse en « radiovision », eh bien, il n’y a aucun projet de société qui vaille : puisqu’on a déjà la société parfaite léguée de longue date par nos vaillants ancêtres, nos pères jamais économes de leurs efforts pour ramener la dépense quotidienne pour les repas de la maisonnée, nos mères vertueuses qui nous ont porté dans leur dos avec un pagne- rabal et non pas avec une double feuille de papier-journal, et enfin, last but not least : la longue lignées de nos Sages et Guides religieux, de feus les fondateurs de confréries maraboutiques jusqu’à leurs khalifes actuels sur terre, sans oublier le clergé des « abbés ».

C’est cela le postulat de la plupart de nos « leaders » politiques ? Alors, qui se hasarderait à proposer un « Projet de société » aux électeurs d’un pays où « Tout est déjà Téranga, et cela, de tout temps, cette Téranga » ?. Eh bien, cette façon de voir notre Sénégal est un mépris condescendant de la part des politiciens, pour la grande masse des électeurs, que certains titres de presse sénégalaise désignent impudiquement et impunément comme … « le bétail électoral ».

Résultat de cette politicaillerie à courte vue, sans audace collective d’espérer et sans volonté transformationnelle de notre communauté nationale ? Ceux, les seuls, qui avaient le mot « Projet » à la bouche, et même pas de « Projet de Société » conceptualisé, à part de crier « Rupture! Rupture! »; ceux-là ont préempté l’élection présidentielle de mars 2024 à campagne-éclair, remportée par leur tête de gondole inattendue qu’est le PR Diomaye.

Qu’est donc le « Projet « ? On aura mis du temps à commencer à le savoir. Après 4 mois de pouvoir Pastef et de régime Diomaye-Sonko, il semblerait que « Le Projet » , c’est : Jub, Jubal, Jubanti.

Jub, Jubal, Jubbanti ? Cela me semble l’amorce de ce qui peut devenir un vrai « projet de société ». Même si cela reste encore une auberge espagnole aux couleurs PASTEF, où chacun trouvera ce qu’il y aura apporté. Et où tout le monde prendra ce qu’il croit y avoir trouvé.

Ousseynou Nar Gueye

Éditorialiste (Tract.sn) et Directeur Général d’Axes & Cibles Com

GENDARMERIE DE KEUR MASSAR : Diéguy Diop de l’Apr convoquée !

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Tract-L’ex-directrice de la Promotion de l’économie sociale et solidaire est convoquée à la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Keur Massar, selon Seneweb.

Diéguy Diop Fall devra se présenter devant les hommes du major Abdou Aziz Kandji, ce lundi 5 août à 11 h.

Après avoir reçu la notification de sa convocation, la responsable de l’Apr parle d’une bataille politique.

« Suite à ma démission du poste de DPESS, une campagne tentant de jeter le discrédit sur ma personne a été engagée par l’adversaire politique. Perdu dans les procédures administratives qu’il semble royalement ignorer, le nain politique de Bambey m’a fait servir une convocation à la brigade de recherche de Keur Massar pour le lundi 11 h. Toute tentative d’intimidation restera vaine », avertit Diéguy Diop Fall.

AFFAIRE AMETH SUZANNE CAMARA : Alioune Tine alerte

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Tract-Le président d’Africajom Center est dans tous ses états. Alioune Tine dénonce les conditions de détention d’Amath Suzanne Camara. Pour rappel, le membre du réseau des enseignants de l’Alliance pour la République (APR, ex-parti au pouvoir),’arrêté par la Sûreté urbaine pour offense ou discrédit sur les hautes autorités de l’État ou incitation des citoyens à enfreindre les lois, a été inculpé puis placé sous mandat de dépôt.

« Veiller à la sécurité et à la sécurité d’Amath Suzanne Camara est une précaution minimale. Donc, le retirer immédiatement du paquetass », clame l’ancien directeur régional d’Amnesty international sur X (ex-twitter).

« Il faut le sortir de cette situation et franchement le libérer du délit d’offense au chef de l’État. Depuis les années 90, nous nous battons pour que cette disposition archaïque disparaisse de notre discours pénal. Ça fait partie des recommandations des Assises de la Justice », tranche la figure de proue de la société civile sénégalaise dans son message repris par Les Échos.

DIOMAYE À TOUBA CE DIMANCHE : La Cojer de Touba met en garde Bassirou Diomaye Faye

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Tract-Le président de la République sera à Touba le dimanche 4 août où il présidera la cérémonie officielle de la Journée nationale de l’arbre. À moins de 48 heures de son arrivée, l’heure est à la mobilisation chez les membres de la coalition DiomayePrésident.

L’UDP de Birima Mangara a remobilisé les troupes, à l’occasion d’un point de presse tenu à Mbacké, et réaffirmé son soutien au président Bassirou Diomaye Faye. Dans ce cadre, Mamadou Diène Guèye dit « Général » a invité l’opposition à savoir raison garder. La coordination Pastef de Touba invite les populations à réserver un accueil chaleureux au chef de l’État dans le respect de la sacralité de Touba. A Mbacké, la coalition DiomayePrésident a appelé aussi à la mobilisation.

En réponse, la jeunesse républicaine de Bby a déclaré le président Bassirou Diomaye Faye persona non grata à Touba. En conférence de presse ce vendredi, le coordonnateur de la Cojer dans la capitale du mouridisme, Talla Sylla et ses camarades accusent Pastef de vouloir « politiser » la Journée nationale de l’arbre.

« Les priorités sont ailleurs. Le gouvernement devait s’occuper du phénomène de l’émigration clandestine et des inondations à Touba. Plusieurs maisons sont envahies par les eaux pluviales. Les sinistrés sont laissés à eux-mêmes. Le président Bassirou Diomaye a déçu ceux qui avaient voté pour lui. Il sera à Touba pour faire de la politique, alors que c’est interdit dans la cité religieuse. Nous n’allons pas accepter qu’ils bafouent les interdictions du khalife » met en garde le porte-parole Talla Sylla.

Ce dernier et ses camarades promettent de faire face aux membres de la coalition DiomayePrésident, si ces derniers tiennent des activités politiques lors du séjour de leur mentor. « Nous n’allons pas accueillir le président Bassirou Diomaye Faye et nous le déclarons persona non grata à Touba », déclare M. Sylla.

La présidente de la jeunesse féminine de Bby/Touba s’en prend aussi au maire Abdou Lahat Ka qui avait invité les populations à réserver un accueil exceptionnel et inédit au chef de l’État. Pour Bintou Diop, l’édile est libre de transhumer vers le Pastef, mais il n’a pas le droit d’inviter les populations à une activité politique dans le périmètre du « titre foncier » de Touba.

DÉTOURNEMENT DE FONDS DESTINÉS AU FONGIP : El Hadj Dia de l’Apr activement recherché

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Tract-El Haj DIA, membre de l’APR, ancien coordonnateur de Benno Bokk Yakaar à Bambey et ambassadeur itinérant du Président Macky Sall, fait actuellement l’objet d’un mandat d’arrêt.

Selon plusieurs médias sénégalais, il serait activement recherché pour son implication présumée dans les détournements de crédits alloués par le Crédit mutuel du Sénégal (CMS) pour le compte du FONGIP.

Dans le cadre de l’enquête ouverte par la gendarmerie pour faire la lumière sur cette affaire, selon certains médias, quatre personnes ont été placées en détention. Il s’agit de O. CAMARA, un agent du ministère de la Santé, du commerçant P. F. NDIAYE, du chef d’agence du CMS de Bambey et d’un certain N. KANE.

AIR SÉNÉGAL : Tidiane Ndiaye prend les commandes

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Tract-Le pilote Alioune Badara Fall n’est plus le directeur général de Air Sénégal. Il a été remplacé par Tidiane Ndiaye. Le Conseil d’administration a entériné son départ hier, jeudi et a installé son remplaçant.

D’après L’Observateur, les consultations pour trouver un nouveau Dg avait démarré depuis plus de deux mois. Trois profils étaient présentés aux autorités. Le choix porté sur Tidiane Ndiaye fait l’unanimité si l’on en croit au journal, aussi bien au sein du ministère des Transports, à la Primature qu’auprès du chef de l’Etat.

Ayant fait d’énormes efforts pour sauver le Hajj 2024 de Air Sénégal, après les loupés sur le transport, Tidiane Ndiaye a des expériences professionnelles de Consultant international, de gestionnaire de transport, de spécialiste dans la location d’avion, de charters, de transport de troupes sur différents théâtres d’opérations des Nations-Unies.

BANDIA : Un accident de la circulation fait trois (3) morts et deux (2) blessés

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Tract-Un accident tragique s’est produit sur l’autoroute à péage en direction de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) vers Dakar, à hauteur de Bandia (Mbour), causant la mort de trois personnes et laissant deux autres gravement blessées.

Cet incident a eu lieu ce matin, provoquant une interruption significative de la circulation sur cette voie très fréquentée.

Selon les premières informations, l’accident impliquait trois véhicules qui sont entrés en collision.

KAFFRINE : Un cas humain de fièvre du NIL détecté chez une jeune fille de 18 ans

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Tract-Dans une circulaire en date de ce jeudi, adressée aux directeurs régionaux de l’élevage et aux gouverneurs des régions, le ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage renseigne que le ministère de la Santé et de l’Action sociale a notifié un cas humain de fièvre du Nil occidental à Kaffrine, chez une fille âgée de 18 ans. Selon la même source, la prise en charge a été effective au niveau du district sanitaire de Kaffrine.

Le ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage, Dr Mabouba Diagne précise que la maladie, qui est une zoonose, « est transmise habituellement par les piqures de moustiques du genre Culex ». « En effet, le cheval est sensible au virus et l’infection peut provoquer une fièvre, une encéphalomyélite et une paralysie des membres postérieurs. Généralement, les oiseaux migrateurs jouent le rôle de réservoirs du virus », détaille-t-on dans la circulaire.

Ainsi, il est demandé aux autorités de renforcer la surveillance épidémiologique et de procéder à la sensibilisation des éleveurs sur la protection contre les piqûres de moustiques et la destruction des larves de moustiques.

DAROU RAHMANE : Un ‘talibé’ perd la vie dans un bassin de rétention

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Tract- Le corps d’un enfant mort noyé a été retrouvé ce jeudi dans le bassin de rétention des eaux pluviales de Darou Rahmane, à Touba, rapporte l’APS de témoins.

D’après l’APS, le corps sans vie de l’enfant a été découvert par une équipe de sapeurs-pompiers dépêchée sur les lieux.

La victime avait été portée disparue vers 12 heures. L’agence précise que c’est un ‘’talibé’’ (élève coranique) âgé de quatorze ans.
Son corps a été immédiatement acheminé dans un hôpital de Touba pour les procédures d’usage.

Pour l’heure, on ignore l’identité de la victime et les circonstances de sa noyade.
Les sapeurs-pompiers dépêchés sur les lieux n’ont fait aucune déclaration à propos de ce drame.
Une enquête est ouverte par la brigade spéciale de la gendarmerie de Touba pour déterminer les causes de ce drame.

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