[TRIBUNE] Gouvernement Ousmane Sonko, libérez la Culture ! (Par Élie Charles Moreau)

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Tract-Autant je désire et souhaite, au soir du Dimanche 17 de Novembre 2024, une très confortable, voire écrasante, majorité à Monsieur Ousmane Sonko et à la Coalition qu’il conduit, autant je veux et ardemment désire que ce temps soit, aussi, celui de la libération de La Culture ! «On n’emprisonne pas Voltaire» eût répliqué Charles de Gaulle à des collaborateurs qui lui suggéraient de mettre aux arrêts Jean Paul Sartre. Ce sont de tels termes qui me reviennent quand je pense et repense à la Culture et au sort qui est le sien en l’attelage de (premier) gouvernement aussi bien en la vingtaine de pages de la «vision Sénégal 2050». Certes, c’est chouette de mettre au goût du jour le concept de «capital humain». Trop peu en douteraient.

Toutefois, à écouter bien des avis et voix, pour la plupart autorisées, l’expression s’assemble davantage à un fourre-tout qu’à cet essentiel levier apte à faire et voir naître de nouveaux types de compatriotes positifs, c’est à dire sans lesquels «le don de soi pour la Patrie» et le légitime dessein de recouvrement de nos souverainetés ne seraient que d‘insensés et stériles mots insérés en un «Projet » pourtant tout de noblesse.

En tous plans et points de vue ! Qu’on rende à LA CULTURE son corps, son âme et ses objets : voilà l’une des majeures sur-priorités de qui œuvrent à réellement réussir le Sénégal ! Que le Sport, en sa pluralité, recouvre ses dimensions à fin, de plus encore, voir rayonner le Sénégal de par le monde : c’est un autre impératif; qui plus est en prenant simplement en compte les Jeux Olympiques en immanence !Que la Jeunesse, autre domaine de l’ordre des «réservés » soit sous tutelle de nos forces armées est aussi capital et aussi vital que le pain du petit matin : la fin de l’incivisme et le devoir d’utilité à la République et à la Nation sont au cœur de telles options et volontés politiques ! Tous comptes faits, le Dimanche 17 de Novembre 2024, en perspective, doit être un temps de remise sur orbite véritable des êtres et des choses, mises en devoir (s) et en condition (s) à fin de faire des 1825 jours, légaux et légitimes, d’administration d’Etat, 1825 autres jours pour stabiliser, de façon pérenne, le Sénégal ! (…)

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