Le libre-parleur Assane Diouf a remporté une importante manche contre l’Etat du Sénégal : élargi de prison le 25 février, il se voit allouer 20 millions de dommages et intérêts par la Cour de justice de la Cedeao.
L’État du Sénégal est ainsi condamné pour « détention arbitraire » et pour n’avoir pas respecté les droits de Diouf à un procès équitable. Tract salue cette décision, qui n’est que justice, et qui restaure Assane Diouf, qualifié d’insulteur public n°1, dans ses droits à la libre expression.