« C’est un devoir que j’accepte pour le devoir de la Nation, un vrai sacrifice pour moi que j’assume pour l’amour de mon Pays » a précisé Alassane Ouattara qui au préalable avait expliqué que la Constitution lui permettait de se présenter et qu’il prendra le temps, s’il est réélu, de former dans les cinq ans un nouveau poulain pour sa succession.
Une décision de candidature a un troisième mandat qui vient sans surprise, tant elle avait finit par s’imposer comme évidente. Mais une bien mauvaise nouvelle pour la démocratie en Afrique subsaharienne francophone. Les dés sont jetés en Côte d’Ivoire et il faut espérer que cette candidature au forceps de Ouattara ne mènera pas le pays vers une nouvelle guerre civile.
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