Sentract – Dans ma Communication du 07 juillet 2021, j’attirais déjà l’attention sur les risques de caporalisation des populations, de la violation des droits de l’homme et des libertés individuelles résultant de la gestion de la pandémie du covid-19. Je faisais remarquer que le monde entier était sous la coupe réglée d’un petit groupe de décideurs, à savoir les dirigeants des puissances occidentales, y compris la Russie et la Chine, les autorités sanitaires mondiales avec à leur tête l’OMS, et les industries pharmaceutiques. Ceux-là ont décidé que le vaccin était la panacée, la solution la plus efficace pour enrayer la pandémie du covid-19, tout en faisant l’impasse sur les traitements existants ou à développer ; et le reste du monde a suivi cette orientation avec un unanimisme béat. Aujourd’hui les faits me donnent raison, avec l’adoption du pass sanitaire dans divers pays à travers le monde.
Le pass sanitaire est requis pour accéder à certains lieux publics tels que les hôpitaux et autres services publics, les restaurants, musées, salles de sport et de spectacles, etc. Une nouvelle phase de caporalisation des populations vient d’être franchie avec la dernière restriction en date, à savoir la présentation du pass sanitaire à l’entrée des centres commerciaux. A cette allure, les populations se sentent prises dans un étau, qui se resserre autour d’elles, les étouffe et réduit progressivement leur espace vital vers un confinement forcé. Toutes ces manœuvres, ces restrictions n’ont qu’un seul but : obliger tout le monde à se faire vacciner. Les doses de vaccins se distribuent désormais comme des petits pains ; l’Afrique n’est pas en reste et tous les décideurs, y compris les dirigeants africains demandent à cor et à cri que la précieuse manne soit aussi déversée généreusement sur le continent. Cependant, le vaccin, présenté comme la solution idoine contre la covid-19 dévoile des insuffisances et des failles qui suscitent beaucoup d’interrogations et de méfiance ; les réactions contre les vaccins sont de plus en plus nombreuses.
On constate que la plupart de ceux qui émettent des réserves à cet effet, ne sont pas contre les vaccins anti-covid-19, mais s’insurgent plutôt contre les procédés utilisés pour forcer les gens à se faire vacciner, basés sur l’intimidation et le chantage. Il y a lieu de relever, pour le déplorer que la majorité des personnes qui se vaccinent sont victimes du matraquage massif des médias, sous la crainte de perdre leur emploi et le risque d’être exclus de la vie publique. La méthode utilisée est à la limite abusive et malhonnête, d’autant plus que l’efficacité desdits vaccins est de plus en plus remise en cause.
Les vaccins contre la covid-19 présentent de profondes divergences par rapport aux anciens vaccins contre la variole, la fièvre jaune, la rubéole, la tuberculose, la poliomyélite, entre autres, qui ont été quasi totalement éradiquées :
– Il n’y avait qu’un seul vaccin dans le monde entier pour chaque maladie, alors qu’avec la covid-19, on se retrouve face à une multitude de vaccins, dont un ou plusieurs par pays, chacun vantant les propriétés de son vaccin comme dans une foire aux bestiaux, dans ce qui apparaît comme une guerre commerciale farouche.
– Les anciens vaccins sont efficaces pour toute la vie, même sur les variants, par rapport à ceux contre la covid dont l’efficacité n’est pas maîtrisée, certains parlant de baisse après 6 ou 9 mois, après lesquels il faudrait à nouveau se faire vacciner.
– Les vaccins actuels sont inefficaces contre le variant Delta, et le seront probablement contre ceux à venir. Le cas d’Israël est édifiant : 70 % de la population ont reçu leurs deux doses de vaccin, mais les contaminations des personnes vaccinées repartent à la hausse. Le pays a commencé à administrer la troisième dose aux personnes vulnérables et envisage sérieusement le retour à la case départ, notamment au reconfinement, au port du masque et au respect des mesures barrières.
L’administration de cette troisième dose en Israël, aux États-Unis et dans divers pays se fait contre l’avis de l’OMS qui demande un moratoire à ce sujet, afin d’évaluer clairement l’efficacité des vaccins face aux variants et décider de l’opportunité de l’administration ou non d’une dose de vaccin supplémentaire. Il y a une cacophonie à ce niveau qui ne fait que renforcer le sentiment de méfiance vis-à-vis des vaccins contre le covid-19.
– La durée moyenne d’élaboration des anciens vaccins était de 5 ans, celle des vaccins contre le covid-19 est tout au plus de 2 ans, ce qui donne l’impression d’un produit fabriqué à la va-vite, donc pas très fiable.
– L’on est obligé aujourd’hui de signer une décharge avant de se faire vacciner contre la covid-19, afin de dégager la responsabilité de l’auteur du vaccin en cas de problèmes post-vaccinaux, ce qui signifie tout simplement que ce dernier n’est pas sûr de son produit. Ce procédé n’était pas utilisé pour les anciens vaccins, et le chantage à l’emploi non plus.
L’instauration du pass fait basculer le monde dans une dictature sanitaire orchestrée par les puissances occidentales, les dirigeants des États, ceux des institutions sanitaires, et les firmes pharmaceutiques. C’est le recul des acquis de l’humanité en matière des droits de l’homme, un plongeon vers l’inconnu, l’obscurantisme et l’arbitraire, dont la conséquence logique est la rébellion, le rejet par les populations, la naissance des conflits et des révolutions pour la reconquête des libertés individuelles bafouées.
Caroline Meva
Ecrivaine
Sentract