Tract – Pour Moussa Sene Absa, tous ses films sont inspirés de ce qui se passe autour de lui, il n’invente rien.
Le cinéaste sénégalais n’est pas du tout capté par la thèse du viol dans l’affaire Adji Sarr-Ousmane Sonko.
Alors, il se désole que le Sénégal soit « pris en otage pour une affaire de fesse mal ficelée : mauvais casting, mauvais décors, mauvaise réalisation, mauvais scénario, mauvais timing ».
Pour lui, fait-il noter sur sa page Facebook, cette affaire est « un vrai navet qui risque de brûler le pays après les 14 morts déjà enregistrés ».
Et pour une éventuelle adaptation cinématographique, le titre, pour le réalisateur de « Madame Brouette », est tout trouvé: « La putain de la République ».
On perçoit déjà les scenarii de commentaires projetés par ses propos.
F. Sedar