Tract- Un tableau d’horreurs que certains utilisent comme tableau d’honneur de leurs visibilités politiques ! Quelle ignominie ! Encore des morts, de jeunes espoirs exploités et sacrifiés pour des intérêts crypto personnels au moment où, je ne parle même pas de la famille biologique mais même les familles éloignées des profiteurs sont sécurisées. Comme si la chronologie des nécrologies semble donner de l’énergie à une certaine opposition.
Dans notre pays, l’Ignorance sait créer des victimes, victimes de leur attachement à un homme qui n’a rien à voir avec sa dimension politique. Ignorance qui mène à l’idolâtrie et à l’idiotie au point même de considérer les dégâts collatéraux de rasage d’un leader politique comme des écritures saintes.
UN TABLEAU D’HORREURS
Saccages en cascade, pillage de nombreux piliers économiques, sociaux et environnementaux. Braquages systématiques ou sismiques, pillage, meurtres et viols en plein jour, une libre circulation des malfaiteurs avec leurs butins. Un véritable cortège de malheurs ! Bibliothèque de l’Université brulée, des facultés, au mieux saccagées au pire incendiées ! Le Savoir, le Temple du Savoir attaqué en plein cœur, en plein jour ; contemplation jubilatoire au rythme de l’hymne d’un homme politique pour mieux marquer l’empreinte du commanditaire-criminel ! Des maisons ciblées et brûlées, une mosquée profanée avec un corbillard brûlé. Beaucoup de milliards perdus. Beaucoup d’argent volés.
Les avoirs, les patrimoines d’honnêtes citoyens attaqués dans les banques. Grandes surfaces massacrées et calcinées. Stations-services bombardées. Des boutiques vidées.
Comme si le service de proximité laisse désormais, la place à l’éloignement avec ses tracasseries. Une note amère pour tous les usagers. Beaucoup d’emplois perdus, dur, dur ! Des vaisseaux de la mobilité urbaine tels que le Ter, le Brt et Dakar Dem-Dikk attaqués. Dakar Dem Dikk, au-delà du parc brûlé, a beaucoup perdu de ses investissements. Trois jours d’extrême détresse. Heureusement grâce au dévouement des Forces de défense et de sécurité, le réseau hydraulique a échappé belle. Des bandits criminels, non contents de vouloir ternir l’image du Sénégal, ont voulu faire du Sénégal une hécatombe, un cercueil à ciel ouvert.
UN DÉCOR APOCALYPTIQUE
Le mal a régné pendant deux ou trois jours dans notre pays. De la fumée noire partout…des cœurs ont vu que du noir.
Une grande razzia comme du temps des royaumes. Une véritable planification gigantesque et dantesque contre l’identité de notre pays. Comme si la Démocratie est victime de liberticisme ; comme si l’État de droit n’existe plus. La Loi de la jungle sauvage… La Loi de la Force… La Loi du fort, du plus fort, en force de destructions massives, la loi de la déconstruction et de la démolition. Une nouvelle dévolution macabre cherche à étendre ses tentacules et à fortifier ses bases. Des opérations synchronisées.
Ce n’est pas un cauchemar, c’était le macabre décor de notre pays, dans ces événements de juin.
Ils ont porté un grand coup à la stabilité nationale et internationale du Sénégal. Ces malfrats ne doivent plus jamais gagner et régner dans notre pays.
Le visage du Sénégal balafré par des malfrats.
Après le « mortal Kombat », le « tchoky fin » en bande annonce par le commanditaire en chef qui ne se donne aucune limite et s’adonne toujours avec violence à semer la terreur.
L’État du Sénégal a eu une déclaration de guerre très claire. Un « kacc’triote » aux allures de patriote tellement compatible avec le mensonge, au point que point de dysharmonies comme une seconde nature devenue première avec l’acceptation de bons nombres.
LE SÉNÉGAL EST À UN TOURNANT DECISIF DE SON HISTOIRE.
Si l’État néglige son ennemi, à ses dépens, il le regrettera. L’État n’a que deux choix : Vaincre en faisant Vivre l’autorité ou Périr sur le plan national et international pour le triomphe d’un homme. Comme si le Mal doit triompher du Bien !
Dans la vie de chaque homme, il y a des dates, dans la vie de chaque pays, il y a des dates.
Il est des dates, sur qui, le lutteur « Oublié »ne sera jamais vainqueur. Les émeutes gravissimes de ce mois de juin resteront à jamais graver dans nos mémoires individuelles et collectives.
Comme un réveil brutal, d’aucuns diront que notre pays a été surpris comme l’a été les États-Unis d’Amérique avec le 11 Septembre 2001.
Des actes de destructions massives bien planifiés, des actes d’une violence inouïe avec des meneurs de groupes armés de pistolets, de fusils et d’armes blanches ; des produits à propagation de feu en cocktail Molotov etc. Tout un ensemble explosif contre le Sénégal en attaquant sa capitale, Dakar, sa belle vitrine de stabilité, son légendaire belle image !!
Entre biens publics et biens privés rien n’a été épargné. Du grand banditisme ! Loin du véritable patriotisme !
Des piliers de notre image économique, sociale et environnementale, pillés et brûlés jusqu’aux cendres, arrimés à la désacralisation de nos foyers religieux.
Loin de pouvoir faire l’historique, l’étiologie des faits s’impose, pour que plus jamais, pareil seuil ne soit atteint dans notre pays.
Si l’esclavage a réussi, ce n’est point, parce que les Blancs étaient trop forts, mais c’est parce que des noirs se sont ligués avec eux pour combattre leurs propres frères de couleurs.
Des sénégalais directement ou indirectement ont participé à la mise en place d’un décor apocalyptique pour le Sénégal.
Les véritables vecteurs ne sont pas acteurs visibles sur le terrain.
Faute de pouvoir utiliser les élèves de l’éducation formelle, qui étaient en mini-repos, l’État doit faire des enquêtes pour voir, si des maîtres d’arabe ou coraniques n’ont pas utilisé leurs apprenants comme bouclier ou chair à canon.
L’essentiel des émeutiers étaient des étrangers et de jeunes enfants scolarisables.
Des groupes en flagrant délit de fabrication de produits chimiques, pour donner aux manifestations, un cortège carnage de feu, des mises en scène de collecte de fonds, comme habillage de blanchiment d’argent, longtemps minimisées et négligées commencent à travers leurs énormes moyens financiers à être des cancers carnassiers contre la République du Sénégal.
Ainsi dans notre pays, de plus en plus, le Coronavirus perd sa première place de destruction massive de vie et de ralentissement de notre économie nationale. Ces groupes de malfrats manipulateurs et ennemis du Sénégal font pire que tous les virus réunis et toutes les calamités vécues.
Croire que ce qui s’est passé est, le fait de simples manifestations citoyennes spontanées, c’est être gravement malade sans le savoir !!
Et malheureusement ses malades existent même dans nos familles où certains trouvent du plaisir, dans ce malheur commun, contre le Sénégal. Un malheur qui n’épargne aucune branche. Même de l’extérieur des Consulats n’ont pas échappé au pugilat !
L’objectif principal est d’arriver par humiliations et destructions massives, à mettre, non pas à genoux, mais à terre, l’État du Sénégal.
Un réveil brutal, différent des évènements de Mars. Une forte dose de destruction de l’image du Sénégal. L’Etat du Sénégal attaqué : le mot n’est pas fort. Nous sommes en guerre contre un virus plus dangereux que le Coronavirus. Un virus à la fois visible et invisible dont les ramifications avec les forces du mal, ennemies du Sénégal, deviennent de plus en plus dangereuses, avec des moyens financiers qui peuvent donner le tournis aux hommes du Pouvoir. Une force financière énorme avec des réseaux multiples et multiformes pour mieux déstabiliser et détruire l’État du Sénégal.
Le Sénégal est en guerre.
Félicitations à nos vaillantes Forces de défense et de sécurité. Sans vous, une grande partie, de notre dignité aurait été volée par des malfrats violeurs de la stabilité nationale.
APRÈS L’EXASPÉRANCE DE LA SOUFFRANCE, L’ESPÉRANCE.
Dans chaque crise, il y a une partie indicatrice d’un nouveau départ, pour mieux arpenter l’Emergence, dans la stabilité et la Sécurité.
Faute de verrouillage par des accords communautaires, que le contrôle de nos frontières soit beaucoup plus ardu.
Le maillage sécuritaire du territoire national, demeure plus que jamais une nécessité absolue.
Le renseignement, source de primeur et d’anticipation, doit être renforcé. Le Pouvoir c’est d’accord l’information !
La Sécurité c’est aussi d’abord, l’information !
Que le territoire national, malgré l’existence de zones militaires, soit sous divisé en plusieurs zones, dans une même région, avec le maximum d’équipements visant à faciliter le maillage et la capacité de phagocytage de l’ennemi.
A Dakar, en plein jour, nous avons assisté, à une libre circulation des malfaiteurs, avec leurs équipes et leurs butins, qui ont exécuté leur plan de destruction massive sans trop de difficultés.
Ceux qui veulent montrer au monde, que le Sénégal peut être une proie facile par la perméabilité de ses frontières et avec des mercenaires professionnels qui savent semer désordre et chaos.
Ceux qui bénéficient de financement de la part de partenaires ennemis du Sénégal, sous forme d’habillage de téléthon, de financement de politiciens en tenue comme en mode civil, de moyens financiers énormes pour déstabiliser de l’intérieur le Sénégal, tous, sans exception, doivent être neutralisés avant qu’il ne soit trop tard.
Monsieur le Ministre de l’Intérieur, les forces occultes doivent être auscultées et éliminées dans l’œuf. C’est en graine ou bourgeon que la plante du mal doit être détruite pour éviter tout développement, source de désagrément national, au nom de l’intérêt supérieur de la Nation.
Ces événements de juin sonnent comme un coup de sommation. Que tous les services et démembrements concernés en fassent la bonne lecture qui sied.
Le Sénégal est à un tournant plein de tourments, certes, mais un tournant décisif pour la survie et la vie de notre Nation.
Pour les forces de défense et de sécurité, pour la création aussi de forces de citoyenneté dans chaque quartier, je milite pour un renforcement des troupes, en nombre et en efficacité.
La force militaire arrimée à une bonne conscientisation civique des citoyens, est plus que jamais devenue un impératif pour la sauvegarde de notre souveraineté nationale.
La force militaire combinée à la bonne information est une nécessité absolue, la Russie l’a compris.
Ce serait une grave erreur pour un État, de négliger la force militaire.
La Sécurité, de façon globale dans l’expression de sa pyramide avec les différents niveaux, est devenue aussi vitale que les denrées de première nécessité.
Sécurité et encore Sécurité pour garantir le développement durable dans la paix et la stabilité.
La désinformation a une trop grande capacité d’intoxication et de nuisance du peuple à un rythme insoupçonné.
Un assainissement doit être fait à ce niveau. Le non-respect des cahiers de charges, doit mener nécessairement, à la décharge, comme pour les ordures, au nom de la salubrité de la stabilité nationale.
Persuasion et surtout dissuasion pour mieux mettre, tous les poussins à l’abri des milans, conformément à l’intégral de notre hymne national notamment dans ses derniers couplets.
L’Université de Dakar doit être éclatée et délocalisée, avant qu’elle n’éclate la Capitale et le Pays.
L’Université devient de plus en plus un espace de non droit comme un État dans un État, terreau fertile de la terreur politique. Son existence en pleine capitale peut être exploitée comme zone de résistance.
Sa proximité avec les Institutions fondamentales de la République, peut constituer une bombe ou un volcan dont le séisme serait préjudiciable à tous. Dans les exigences de sécurité, le code de l’urgence ne doit point occulter l’environnement avec la cartographie des zones stratégiques.
Sur un autre registre, portant sur le mandat présidentiel et le chantage consistant à vouloir imposer au Président de la République Macky Sall, un choix de renoncement à un droit que lui confère la Constitution du Sénégal, prochainement inchallah, nous y reviendrons en gros plan.
Paix et Émergence en chacun de nous
Sénégal, Sunugal.
* Soukeyna Fall, Alliance pour la République
TRACT (Tract.sn)