Tract-La CEDEAO condamne encore une fois le coup de force au Niger et rejetter par ricochet le communiqué de l’État-major, « annonçant la prise de pouvoir par le commandement militaire des forces Armées Nigériennes ».
Selon elle, cette sortie constitue une « violation totale des principes démocratiques qui fondent la gestion du pouvoir politique dans l’espace CEDEAO ».
L’Institution exige par la même occasion la libération de Bazoum et « renouvelle sa ferme opposition à tout changement du pouvoir politique par des moyens anticonstitutionnels ».