(Tract)- La ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Khady Diène Gaye, a présidé ce matin la cérémonie officielle de la Journée internationale du livre et du droit d’auteur. Pour cette Edition c’est le Centre Aminata-Mbaye de Grand Yoff, qui accueillie ladite cérémonie C’est un institut médico-éducatif dédié à la déficience intellectuelle sis à Grand Yoff.
La manifestation a été présidée par le ministre en charge de la Culture, Khady Diene Gaye qui avait à ses côtés, le secrétaire d’État à la Culture, aux Industries créatives et au Patrimoine historique, Bacary Sarr, le Directeur du livre et de la lecture, (DLL) Ibrahima Lô et enfin la directrice du Centre, Marie Madeleine Amy Dione.
Dans son discours liminaire, la directrice de ladite structure se réjoui du choix du ministère pour tenir cette journée dans leur local. « En choisissant le Centre Aminata Mbaye pour y célébrer cette journée qui revêt une importance capitale, vous nous rejoignez dans le combat que nous menons depuis 35 ans exactement » fait-elle savoir.
La patronne de l’institut de poursuivre : «Qu’en ce jour, une trentaine de jeunes sont insérés dans des entreprises avec des conventions de stage, des contrats à durée déterminée et des contrats à durée indéterminée.»
648 livres et 104 jeux offerts aux enfants du Centre
La Jour qui a été riche en animation culturelle avec des prestations des enfants. La ministre de la Jeunesse, des Sports, et de la Culture Mme Khady Diene Gaye a fait un don de 648 livres et 104 jeux offerts aux enfants du Centre. Elle a en effet pris l’engagement, avec le secrétaire d’Etat en charge de la Culture, d’accorder une subvention de deux millions de francs dès la perception de leur premier salaire de ministres.
« Je suis satisfaite d’avoir réservé ma première sortie à la culture. Et je prends ici et maintenant l’engagement d’accorder une subvention d’un million de francs à ce centre-là dès que je recevrai mon premier salaire en tant que ministre et je vais aussi engager le ministère secrétaire d’Etat en charge de la Culture d’en faire pareil ».
Dans le même sillage, le ministre a soutenu que «cette cérémonie officielle se tient dans un lieu particulier, symbolique, où des enfants à besoins spécifiques pour ne pas dire des enfants en situation de handicap intellectuel sont admis, encadrés et assistés afin de leur « permettre de se sociabiliser et d’être autonomes ».
Mus par l’amour du prochain, des hommes et des femmes de cœur, en véritables relais des parents souvent angoissés, s’efforcent de restituer à ces derniers et à leurs enfants le sourire et la joie de vivre ». «Notre ambition rencontre l’engagement de l’administration de cet Institut médico-éducatif dédié à la déficience intellectuelle, très respectueuse des prouesses de la bibliothèque », insiste-t-elle.
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