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MÉTÉO : Des orages et des pluies attendus sur presque tout le pays à partir de ce 23juillet

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Tract-« Dans la matinée et l’après-midi du mardi 23 juillet 2024, des activités pluvio-orageuses modérées à fortes intéresseront graduellement les localités Est (Matam, Bakel et Tambacounda) et Sud (Kédougou, Kolda, Sédhiou, Ziguinchor et Cap-Skirring) » a précisé l’Anacim dans son Bulletin météorologique spécial , publié aujourd’hui.

Selon toujours le bulletin, les prévisionnistes annoncent que « dans la soirée allant à la nuit, ces systèmes pluvieux évolueront vers le Nord (Saint-Louis, Podor, Linguère et Louga), le Centre (Fatick, Kaolack, Kaffrine, Koungheul, Diourbel et Touba) ainsi qu’à Dakar, Thiès et Mbour.

D’après l’Anacim, la journée du mercredi 24 juillet s’annonce pluvieuse sur toute l’étendue du territoire, avec des orages et pluies d’intensités variables voire fortes sur la façade Ouest du pays (Ziguinchor, Fatick, Kaolack, Dakar, Thiès, Diourbel).

A en croire les prévisionnistes, les manifestations pluvieuses persisteront légèrement le jeudi 25 juillet sur le pays. « Les probabilités de pluies sont plus élevées sur les localités proches du littoral, le Sud et Centre » informe le bulletin météorologique.

POLÉMIQUE AUTOUR DE LA NOMINATION DE SOPHIE SY : Ousseynou Ly apporte des précisions

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Tract-Le choix porté sur Sophie Nzinga Sy (fille de la ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères Yacine Fall) pour diriger l’Agence pour la promotion et le développement de l’artisanat (APDA) a suscité une vague de polémique chez bon nombre de sénégalais qui le qualifient de népotisme.

Interpellé à sujet lors d’une émission sur Walf, le porte-parole de la présidence de la République, Ousseynou Ly a rejeté l’idée du népotisme : « On ne sera jamais d’accord avec le népotisme. Ce qu’on défendait quand on était dans l’opposition, on va continuer de le défendre », mais, précise -t-il : « pour le cas de notre sœur Sophie Nzinga Sy, ce n’est pas du népotisme. C’est le président de la République qui l’a nommée et ils n’ont aucun lien de parenté que je sache. Ce n’est pas sa mère (la ministre Yacine Fall) qui l’a nommée. Elle n’a pas été nommée dans le même département que sa mère. Elle est compétente dans ce domaine. Elle y excellait bien avant le pouvoir », a soutenu le porte-parole de la présidence.

100 JOURS DU PRÉSIDENT DIOMAYE : La coalition Diomaye Président brise le silence

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Tract-La coalition Diomaye Président sort de son trou. Disparus de l’arène politique depuis l’accession du leur candidat, Bassirou Diomaye Faye, à la tête du Sénégal, Aïda Mbodji et ses camarades ont fait face à la presse hier, dimanche, pour faire le point des 100 ans jours du nouveau régime.

« Bassirou Diomaye Faye a prouvé, en 3 mois seulement, qu’il a amplement mérité le plébiscite des Sénégalais », a déclaré M.Mbodji. Selon qui, « Diomaye a fait face à la résistance de toutes sortes de lobbies et groupes de pression qui se nourrissent du système».

Sur la déclaration de politique générale, la présidente de la conférence des leaders a soutenu : « même si le Premier ministre par élégance doit se présenter devant l’Assemblée nationale, celle-ci n’est pas du tout légitime. Elle ne reflète pas du tout les aspirations du peuple. Les législatives peuvent enregistrer un score beaucoup plus grand ».

Concernant la reddition des comptes, la Directrice générale de la Der révèle qu’elle a actuellement l’Ige au niveau de sa structure. Sur le débat qui s’enflamme ces derniers jours concernant l’appel à candidatures, Aida Mbodji a estimé qu’il n’y a pas de quoi fouetter un chat, parce qu’ils ont été clairs. « Cela concerne certains postes ».

Mamadou Lamine Diallo, Boubacar Camara et d’autres anciens candidats malheureux à la présidentielle du 24 mars 2024 ont été invités à cette rencontre.

Prenant la parole, Mamadou Lamine Diallo a pensé qu’il « n’est pas sérieux de juger le travail du Président Diomaye Faye en 100 jours, même si tout indique qu’il est sur la bonne voie».

IMMIGRATION IRRÉGULIÈRE : ‘Restez avec nous’ lance Aminata Touré aux jeunes

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Tract-Aminata Touré a lancé un appel à la jeunesse afin qu’elle reste au pays et tout en gardant espoir. La superviseure de la Coalition Diomaye Président estime que cette jeunesse ne peut pas être l’actrice principale de la victoire sans qu’une solution ne soit apportée par rapport à leur situation.

« Sans cette jeunesse sénégalaise, il n’y aurait pas eu de changement. Nous avons une jeunesse courageuse, qui a versé de son sang. Le Sénégalais a fait bloc pour ce changement. C’est pourquoi, il faudra que vous restiez ici avec nous », a-t-elle dit hier, dimanche lors du bilan des 100 jours du nouveau régime.

Aminata Touré a également demandé aux jeunes de rester pour construire le Sénégal.
« Nous ne voulons plus de ces pirogues de la mort qui aujourd’hui sèment la désolation et la souffrance dans nos familles. Si vous vous êtes battus pour faire partir le régime, mais vous devriez rester ici avec nous pour construire le pays », a-t-elle demandé.

BFEM 2024 : Les filles représentent plus de 57%

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Tract-Les épreuves de l’examen du brevet de fin d’études moyens de l’année 2024 débutent ce lundi sur toute l’étendue du territoire. Au total, 191.362 candidats vont passer l’examen contre 189.753 l’année dernière. Le taux de participation des filles est sur plus de 57%, soulignent nos confrères de Dakaractu.

Les candidats sont répartis dans 1152 centres d’examen, 1303 présidents de jury et 6379 salles d’examen devant abriter les différents candidats. 12758 surveillants sont mobilisés.

Selon la direction générale des examens et concours, l’innovation majeure, la digitalisation sécurisée du processus d’examen , le téléphone portable et tout autre appareil connecté sont interdits.

Le ministre de l’éducation nationale, Moustapha Guirassy va procéder ce matin à la visite de quelques centres d’examen dans la banlieue Dakaroise.

ÉLIMINATOIRES CAN BEACH SOCCER : Le Sénégal s’impose largement à Conakry

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Tract-Le Sénégal est allé s’imposer en Guinée Conakry, dimanche, lors de la première manche des éliminatoires de la CAN Beach Soccer 2024.

Les Lions de la plage ont logiquement battus les Guinéens 9 buts à 3, remportant ainsi la première manche des éliminatoires de la CAN Beach Soccer 2024.

La manche retour est prévue le 28 juillet à Dakar plus précisément à la plage de Diamalaye.

LUTTE : Balla Gaye bat Tapha Tine pour la 2e fois !

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Tract-L’événement de lutte de ce dimanche 21 juillet, qui a présenté cinq affiches dont le grand affrontement entre Balla Gaye 2 et Tapha Tine, a pulvérisé tous les records d’affluence sur PPV.

Selon Aziz Ndiaye, le grand frère du promoteur Baye Ndiaye, cet événement organisé par Albourakh Events a battu toutes les audiences précédentes en matière de pay-per-view (PPV), un système où les spectateurs paient pour accéder à des diffusions en direct d’événements sportifs.
Le grand combat de la soirée a vu Balla Gaye 2 triompher en maîtrisant Tapha Tine, le géant du Baol. Cette victoire spectaculaire a marqué le retour en force du Lion de Guédiawaye après une longue période difficile et une défaite récente contre Boy Niang. La performance de Balla Gaye 2 a été le point culminant de la soirée.
En plus de ce duel mémorable, l’événement a également été marqué par le combat entre Jacob Baldé et Bébé Saloum, où le lutteur de l’écurie Falaye Baldé a pris le dessus. Un autre combat marquant de la soirée a vu Zambala l’emporter face à Blindé.

[ACTU-MONDE] Joe Biden renonce à sa candidature

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Tract-Le Président américain Joe Biden, candidat des démocrates à l’élection présidentielle de novembre 2024 vient d’annoncer le retrait de sa candidature. L’annonce est de Joe Biden himself sur le réseau social X. Il en a fait l’annonce ce dimanche 21 juillet 2024.

L’actuel, Président américain devait affronter le candidat des Républicains Donald Trump pour briguer un deuxième mandat. Mais depuis quelques mois, la santé de l’ancien Vice-président des Etats unis sous Barack Obama est très éprouvée. L’on se rappelle également cette bourde de monsieur Biden confondant le Président ukrainien Zélenski à Vladimir Poutine.

Peut-être le retrait de Biden est une épine de moins dans les pieds des démocrates. Ces derniers, selon des observateurs de la scène politique américains s’éloignent davantage de la Maison Blanche. Même avec Kamala Harris comme candidate la manche est loin d’être gagnée.

PARTENARIATS ENTRE LA LONASE ET LA PRESSE : Toussait Manga siffle la fin de la récréation !

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Tract-Dans un poste sur le réseau X, l’actuel nouveau Conseil du président de la République Annibal Djim annonçait déjà la couleur.

En substance pouvait-on lire,  » Toussaint Manga a décidé d’interrompre l’ensemble des contrats de partenariat avec la presse à compter du 31 août 2024″.

Selon également des informations de PressAfrik, des journalistes et des groupes de presse se seraient bien embourgeoisés avec la LONASE. Ils auraient amplement bénéficié des largesses de la boîte.

INCIDENT AU PARLEMENT DE LA CEDEAO ENTRE GUY MARIUS SAGNA ET LA VICE-PRÉSIDENTE : Wilane met en garde les autres parlementaires

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Tract-Après l’attaque de la 2e Vice-présidente du Parlement de la CEDEAO, Mme Adjaratou Traoré, contre le député sénégalais, Guy Marius Sagna, Abdoulaye Wilane, député de Benno en a profité pour rappeler à l’ordre les autres députés de l’institution sous régionale.

Selon Wilane : « Il y’en a, à partir d’ici qui cherchent à plaire à des chefs d’Etat », rappelant : « Nous ne sommes pas ici au nom des chefs d’Etat, mais au nom du peuple (…) et pensez à ce qui a amené des pays comme le Niger, le Burkina-Faso, le Mali à sortir. Et Dieu sait qu’il y a, peut-être d’autres pays qui sont en Afrique et qui guettent la première occasion pour sortir », a-t-il souligné en citant le Tchad, Maroc, la Mauritanie qui, selon lui, « tapent à la porte de l’AES ».
Sur ce, il invite à la réhabilitation du Parlement de la CEDEAO par le dialogue, la discussion, « dans le respect ».

Pour rappel : la 2e Vice-présidente, Adjaratou Traoré, a tenté de frapper le député sénégalais, Guy Marius Sagna lors de son intervention, un geste qui a suscité un tollé général au sein de l’Assemblée régionale. Pour justifier son geste, la Vice-présidente affirme que ses actions étaient motivées par la nécessité de protéger l’intégrité de l’institution.

DERNIERES NOMINATIONS DE DIOMAYE : Thierno Bocoum parle d’un partage de gâteau

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Tract-Le leader de AGIR (alliance générationnelle pour les intérêts de la République) Thierno Bocoum était devant le Grand Jury, émission hebdomadaire de la Rfm.

Il est revenu sur l’actualité en ce qui concerne le regain de l’immigration clandestine avec son lot de victimes, mais aussi les dernières nominations du Président qui continuent de faire débat.

D’emblée, Thierno Bocoum pense qu’il, « faut trouver des solutions à cette problématique » qu’est l’émigration clandestine ou irrégulière. Il pense qu’il y a beaucoup de causes qui peuvent être annoncées, mais la cause économique semble la principale notamment « le faible pouvoir d’achat dans les ménages sénégalais ». Le leader explique cette volonté des jeunes de quitter le pays par le désespoir : »Il y a clairement un manque d’espoir, car si on a de l’espoir pour son pays, on ne le quitte pas de cette manière ». C’est la raison pour laquelle les jeunes « n’ont jusqu’à présent pas renoncé à l’émigration », ajoute-t-il.

Thierno Bocoum s’est aussi exprimé sur sa posture de militer dans l’opposition du nouveau pouvoir, lui qui avait partagé des combats avec les tenants actuels du pouvoir face au régime de Macky. Selon Thierno », nous avons décidé d’être des sentinelles » parce que  » nous sommes pour la rupture et c’est ce qui a expliqué notre opposition à Macy Sall dans la manière de gérer l’État » a-t-il expliqué. Aujourd’hui, renchérit-il, les Sénégalais ont fait confiance à une équipe qui parle de rupture « , c’est pourquoi  » nous avons considéré que, sur pas mal de choses, il s’agit d’aller vers la rupture ».

À une condition, « nous nous sommes dits clairement qu’il faudra qu’on aille véritablement à des ruptures et qu’ils (pouvoir actuel) répondent aux promesses ». Le constat depuis lors est que « il y a eu énormément de dérives, de questions qui ont été mal réglées, des déclarations malheureuses ». Donc, c’est le moment pour Thierno « d’alerter très tôt  » de dire à  » ceux qui gèrent ce pays actuellement qu’attention, il y a des choses qu’il ne faut pas faire » qu’il faut » respecter l’Etat de droit, les institutions, mesurer la charge de la mission » et « travailler exclusivement pour les intérêts des populations ». C’est la raison de nos sorties médiatiques.

Ce qui a trait aux dernières nominations du Président lors du dernier Conseil des ministres le leader de l’Alliance générationnelle pour les intérêts de la République part d’un  » partage du gâteau « . De l’avis de Thierno Bocoum certains ont mis de côté la promesse des appels à candidature parce que « non légiférer ». Ce qu’il trouve faux. De son point de vue  » on n’a pas besoin de légiférer pour faire appel à candidature « . Ce qui reste à faire, c’est l’union pour affronter le régime. C’est pourquoi, il lance un appel à l’unité de l’opposition face aux autorités du nouveau régime. Pour lui » tous ceux qui disent, nous nous opposons au régime, je pense que c’est le moment de se retrouver, de s’organiser pour les prochaines élections si on considère qu’on doit y aller ensemble « . Il se dit prêt à assurer son rôle.

[TRIBUNE] L’entrepreneuriat féminin en Afrique Centrale: un antidote contre la précarité?

Tract – Face aux mutations sociales et aux polycrises, caractéristiques majeures de ce début de siècle particulièrement bouleversé et  marqué par des violences généralisées, la vitalisation de l’entrepreneuriat féminin se pose comme un potentiel à exploiter pour la configuration d’une nouvelle ère socio-économique sur le continent africain. Dans la présente tribune, nous essayons, à partir de quelques  données, de démontrer  que la montée en puissance de l’entreprenariat féminin se pose comme un potentiel  pour une croissance économique importante visant à éradiquer la précarité. D’ailleurs, selon une récente étude du WIA Philanthropy, un quart des femmes africaines en âge de travailler sont des entrepreneures et sont, d’après les experts, à l’origine de 65 % de la richesse du continent. 

 

Peu de données sont disponibles pour quantifier l’entrepreneuriat au féminin en Afrique centrale. Toutefois, il est important, au regard de certaines études menées par l’OIT et l’AFD, de souligner que l’entrepreneuriat féminin en Afrique Centrale est un exemple pour toutes les femmes dans le monde. Mais, il est essentiel que l’on accompagne ces femmes en facilitant leur accès à l’éducation et au financement, et en développant les infrastructures.

Les femmes entrepreneures en Afrique sont souvent motivées par la nécessité de subvenir aux besoins de leur famille et de leur communauté, mais elles aspirent également à l’autonomie économique et à l’émancipation. Elles sont impliquées dans une large gamme de secteurs, y compris l’agriculture, l’artisanat, le commerce, les services et les nouvelles technologies. Leur présence dans ces secteurs contribue à diversifier l’économie africaine et à favoriser l’innovation.

Selon l’étude Women Entrepreneurship in Africa : a path to empowerment, 24 % des femmes africaines créent leur entreprise, et en moyenne une femme sur trois déclare avoir un projet de création. C’est le plus fort taux de création d’entreprises (depuis la création jusqu’à 42 mois d’activité) constaté à l’échelle mondiale (contre 17 % en Amérique latine et Caraïbes, 12 % en Amérique du Nord et 8 % en Europe et Asie centrale). Pour l’immense majorité de ces femmes, il s’agit d’assurer leur subsistance et celle de leur famille. Un phénomène que l’on retrouve surtout dans les sociétés, comme celles des pays d’Afrique Centrale, où domine l’économie informelle dans laquelle la situation économique des femmes est particulièrement vulnérable.

Pour un accompagnement durable des femmes en Afrique centrale

Dans cette étude, deux chiffres interpellent : 39 % des entrepreneuses cessent leur activité parce que non profitable et 15 % parce qu’elles n’ont pas accès aux financements nécessaires pour se développer. D’où l’enjeu d’un accompagnement durable des femmes africaines, pour les former, créer des incubateurs, convaincre les investisseurs, structurer des réseaux grâce au numérique; autant de « bonnes pratiques » qui accélèrent la construction d’une nouvelle ère pour le continent africain.

En Afrique Centrale, il est capital de mettre en place des politiques et des programmes visant à soutenir l’entrepreneuriat féminin en fournissant un accès équitable aux financements, aux formations, aux réseaux et aux opportunités commerciales. L’entrepreneuriat est donc une opportunité de développement socio-économique à saisir. Cela permettra non seulement de lutter contre la pauvreté et le sous-emploi des femmes, mais cela favorisera la création des richesses sans laisser personne de côté.

Baltazar ATANGANA

Gender and inclusion advisor

noahatango@yahoo.ca

Crédit photo: AMECAS

BEACH SOCCER : Le Sénégal face à la Guinée ce dimanche

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Tract-En vue des éliminatoires de la Can de Beach Soccer Égypte 2024, les « Lions » du sable en déplacement pour le match aller feront face à la Guinée ce dimanche à partir de 16h .

Une affiche au allure de derby entre les deux pays voisins. Pour la première fois les deux sélections s’affronteront sur un match de Beach Soccer.

SORTIE SUR IRADIO : Abdou Latif Coulibaly prêt à soutenir Amadou Ba

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Tract-L’ancien ministre de la Bonne gouvernance ne veut plus entendre parler de Macky Sall et de sa formation politique. Après sa démission de l’Alliance pour la République ( Apr), Abdou Latif Coubaly ne compte pas lâcher la politique.

Il a révélé, à l’émission Jury du dimanche (Jdd) sur Iradio, de ce 21 juillet, qu’il est prêt à accompagner le candidat malheureux de la dernière élection, Amadou Ba, à condition que celui-ci crée son mouvement ou son parti politique.

« J’ai quitté Benno et l’APR d’abord. Je n’y suis plus, je suis parti. J’avais gelé mes activités, je suis parti maintenant. J’attends qu’une personnalité se prononce. Je suis vieux pour aller créer un parti politique. C’est fini ! Je n’ai pas d’élan de parti. Même si je ne suis pas actif comme tout le monde, j’ai des opinions, je peux les transmettre. Je peux en parler, c’est ça que je veux dire. Mais je ne vais pas rester un citoyen inactif qui ne fait rien du tout. Je crois que je possède toujours mes moyens, physiques, intellectuels surtout », a-t-il expliqué.

M. Coulibaly a informé cependant, qu’il est prêt à accompagner Amadou Ba, candidat malheureux à la dernière présidentielle, si ce dernier crée son propre affaire. « Macky Sall, on s’est quitté, c’est terminé. Je ne suis pas d’accord avec lui, c’est fini. J’ai quitté l’APR. Par contre, si Amadou Ba crée un parti politique, il m’avait déjà parlé de sa volonté d’avoir son mouvement politique, on pourrait l’accompagner. L’APR, c’est fini ! Je suis parti depuis », fait-il savoir.

RECRUDESCENCE DE L’IMMIGRATION CLANDESTINE : Plus de 250 candidats interceptés en moins de 24 heures

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Tract-Il y a eu une recrudescence de l’immigration irrégulière au Sénégal, comme en témoignent deux interceptions effectuées par la Marine nationale en moins de 24 heures. Vendredi, une pirogue transportant 202 migrants a été interceptée au large de Lompoul.

Un autre groupe de 57 migrants a été appréhendé ce samedi sur la Langue de Barbarie à Saint-Louis, dans le nord du pays.

« Une patrouille terrestre de la Base navale de la Marine nationale à Saint-Louis a interpellé, ce jour, sur la Langue de Barbarie, un groupe de 57 migrants », informe la Marine nationale sénégalaise sur X (anciennement Twitter).

La même source rapporte que parmi le groupe de 57 migrants interceptés sur la Langue de Barbarie, il y a « 14 Ivoiriens, 17 Maliens, 4 Gambiens et 22 Sénégalais ».

JUSTICE : Le lutteur Saloum-Saloum pris en flagrant délit de détention de cocaïne

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Tract-Le lutteur Saloum-Saloum a encore récidivé. Il a été pris en flagrant délit de détention de Cocaïne dans un bar à Dieupeul avant d’avaler une partie de la drogue qu’il détenait sur lui.

D’après Senego, l’arrestation musclée s’est passée dans la nuit du mercredi au jeudi. Le lutteur a fait dans la résistance face aux policiers. Constatant son impuissance, il a essayé de corrompre les limiers qui s’étaient lancés à sa poursuite.

Placé en garde à vue, le lutteur a été déféré vendredi au parquet pour détention et trafic de cocaïne, rébellion, outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions et tentative de corruption

Pour rappel, le utteur de son vrai nom Serigne Saliou Samba, a été écroué pour les mêmes infractions en 2022 avant d’être libéré sous contrôle judiciaire.

CONTROVERSE SUR LE MARCHÉ DES BRACELETS ÉLECTRONIQUES : Aissata Tall Sall réagit aux accusations de Adama Gueye

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Tract-Dans une publication sur sa page Facebook, le journaliste Adama Gaye a accusé Aïssata Tall Sall d’avoir attribué le contrat surfacturé des bracelets électroniques au mari de sa fille. En réaction, l’ancienne ministre de la Justice sous le régime de Macky Sall a démenti ces allégations, appelant Adama Gaye à cesser de la diffamer. Elle a précisé n’avoir jamais octroyé de marché à son gendre.

« Je voudrais solennellement et publiquement demander à Mr Adama Gaye d’arrêter de me diffamer. Il a, à plusieurs reprises, écrit que j’ai octroyé le marché de bracelets électroniques à mon gendre », a posté Aïssata Tall Sall sur son compte X.

« Cela est absolument faux! Je n’ai jamais donné un marché à mon gendre ni celui là, conclu des années avant mon arrivée à la justice, ni un autre », a-t-elle précisé.

BFEM 2024 : 191 362 candidats débutent les épreuves ce lundi

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Tract-Le Brevet de Fin d’Études Moyennes (BFEM) débute ce lundi 22 juillet 2024 sur l’ensemble du territoire national.

Le ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Mamba Guirassy, a assuré que toutes les dispositions ont été prises pour le bon déroulement de l’examen. Il a également lancé un appel aux candidats afin qu’ils respectent les règles strictes établies, notamment l’interdiction d’utiliser les téléphones portables dans les centres d’examen.

« Tout est fin prêt pour les 191 362 candidats que nous avons. Les épreuves sont bien acheminées. À tous les candidats aux parents et à tous les acteurs, nous redisons la même chose, l’usage du téléphone ou de tout appareil assimilé est interdit dans les centres. Il ne faut pas du tout faire le forcing », a fait savoir le ministre de l’Éducation nationale à nos confrères de la RFM.

Cette année, 191 362 candidats cherchent à obtenir le diplôme marquant le passage au cycle secondaire. Ils sont répartis dans 1 155 centres, contre 1 135 en 2023, soit un écart positif de 20 centres. De même, le nombre de jurys est passé de 1 277 à 1 315, soit une augmentation de 38 jurys.

[TRIBUNE] Augustin Senghor a- t- il droit à un éventuel 5e mandat consécutif à la tête de la Fédération Sénégalaise de Football? (Par Me Moustapha Kamara)

Tract – Depuis quelques jours mon téléphone n’arrête pas de sonner pour une question récurrente ; la gouvernance de la Fédération sénégalaise de football (FSF) en l’occurrence le nombre de mandats auquel a droit l’actuel Président.

 

Augustin a-t-il droit à un 5e mandat consécutif ?

Le moins que l’on puisse dire c’est que les avis sont très partagés. D’aucuns pensent que l’actuel président peut se présenter indéfiniment donc à un 5e mandat au motif que les textes de la FSF ne s’y opposent pas.

En effet, l’article 40 des statuts de la FSF précisent que « le Président est élu par l’assemblée générale. Le mandat a une durée de 4 ans … et peut être réélu ».

En outre, son bilan sportif avec les sélections nationales serait positif.

En face, d’autres pensent totalement le contraire. En effet, pour eux ou à tout le moins pour la majorité avec lesquels j’ai discuté, Augustin après 4 ans mandats consécutifs doit partir même s’ils reconnaissent des progrès durant notamment son 4e mandat. Au demeurant, il ne s’agit même pas de juger son bilan pour apprécier s’il reste ou pas mais d’une question de principe, d’héritage et de tradition démocratique du Sénégal qui doit s’appliquer également en matière sportive.

Qu’est-ce que j’en pense ?

A vrai dire, pour ma part, la réponse est simple car si les statuts de la FSF restent vagues sur le sujet, pas à cause de leur imprécision mais à cause de leur ancienneté, les textes des fédérations internationales sportives comme la FIFA et CAF dont dépendent la FSF ou encore les textes français plus tranchent clairement la question.

En effet, les statuts de la FSF sur la question du nombre de mandats du Président de la FSF datent du 22 avril 2010. Or, depuis 14 ans, beaucoup d’eau ont coulé sous le pont de la gouvernance des fédérations sportives. Et comme d’habitude, les dirigeants de notre fédération ne se sont jamais mis à niveau malgré les promesses électorales de changer les textes. Nous subissons par conséquent, cet immobilisme statutaire dont « le seul véritable écueil demeure le nombre de mandats avec l’installation de véritables systèmes pérennisés par des modes électoraux souvent trop favorables pour les hommes en place ».

Force est de constater par ailleurs que le football local doit réinventer un modèle plus favorable à son vrai professionnalisme et donc à sa rentabilité.

Sur le plan international que ça soit dans certaines législations nationales ou les règlements sportifs des fédérations internationales ou grandes fédérations nationales, toutes disciplines confondues, les mandats sont limités à 3.

En effet, l’article 33 alinéa2 des statuts de la FIFA « Le Président est élu par le Congrès. La durée de son mandat est de 4 ans … le nombre total de mandat du Président est limité à 3 (consécutifs ou non) ».

En outre, l’article 22 alinéa 8a et 8b des statuts de la CAF précisent que « la durée du mandat du Président est de 4 ans…Le Président et les membres du COMEX ne peuvent être élus pour plus de 3 mandats consécutifs ».

En France, l’article 26 alinéa 4 des statuts de la FFF précise qu’«une même personne ne peut exercer plus de 3 mandats de Président de FFF de plein exercice, qu’ils soient consécutifs ou non. »

Cet article est en réalité une application des dispositions de la loi n°2022-296 du 2 mars 2022 qui vise à favoriser la vie démocratique dans les instances dirigeantes des fédérations sportives et des ligues professionnelles qui s’applique aussi bien en matière de limitation de mandat, de parité que de transparence dans la déclaration de patrimoine et d’intérêts.

Par conséquent, ma réponse est NON. L’actuel Président de la FSF n’a pas à un éventuel 5e mandat, au regard de ce qui se pratique actuellement dans la gouvernance démocratique des fédérations sportives internationales et nationales. Et le Sénégal qui est l’une des plus grandes démocraties politiques au Monde doit également l’être sur le plan sportif.

Maître Moustapha KAMARA

Docteur en droit du sport, MBA management

Professeur à Paris Business School

Avocat à la Cour

CONDITIONS DE DÉTENTION DANS LES PRISONS : Bassirou Diomaye Faye reçoit un rapport

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Tract-Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a reçu, ce vendredi, le rapport annuel de l’Observatoire national des lieux de privation de liberté (Onlpl).

Selon une note de la Présidence, c’est une première depuis la création de cette institution qu’un rapport est remis au Chef de l’Etat.

“Ce document, crucial pour l’évaluation des conditions de détention et des droits des détenus, vise à améliorer le système pénitentiaire national », lit-on sur la publication.

Il est par ailleurs évoqué, dans ladite note, l’engagement du président de la République, lui aussi ancien détenu, à inscrire désormais la remise de ce rapport dans l’agenda républicain de notre pays.

Bassirou Diomaye Faye a, par la même occasion, salué les recommandations formulées dans ledit rapport.

BOUNKILING : Affrontements entre des jeunes et des agents des eaux et forêts

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Tract-Des affrontements sanglantes ont éclaté jeudi entre des jeunes du village de Gouta Demba Diop dans la commune de Tankon ( Bounkiling) et des agents des Eaux et Forêts et Chasse.

Selon des sources de Seneweb, les jeunes étaient en train d’abattre des arbres au niveau de cette bande frontalière allant de Sénoba à Ndorna, soit 15 kilomètres de leur village. Les agents se sont farouchement opposés à cette exploitation abusive des ressources forestières de la localité.

Ces affrontements ont fait deux blessés par balle du côté des villageois. L’un a été atteint au ventre et serait en réanimation dans un hôpital en Gambie, l’autre atteint au bas-ventre, est en soins intensifs au niveau du poste de santé frontalier de Sénoba.

À cet effet, l’administration territoriale, les agents des Eaux et Forêts, les éléments de la gendarmerie et de l’armée se sont déployés sur les lieux. Une enquête est ouverte pour retrouver les exploitants forestiers.

BAH DIAKHATÉ CONTRE ME OUSSEYNOU FALL : L’affaire sera jugée devant le tribunal correctionnel

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Tract-Après deux (2) retours de parquet, l’activiste républicain Bah Diakhaté sait enfin le sort qui lui sera réservé dans le dossier qui l’oppose à l’avocat, Me Ousseynou Fall.

Le prisonnier a été réintégré à la Maison d’arrêt de Rebeuss ( Mar). Son dossier, classé pour citation directe du parquet, il sera jugé devant le tribunal correctionnel.

C’est, rappelons le, suite à la plainte de Me Ousseynou Fall pour injures publiques et diffamation que Bah Diakhaté a été extrait de sa cellule et présenté à la Sûreté Urbaine ( Su). Face aux policiers, il avait évoqué la Loi d’amnésie pour sa defense.

[AFRICA TIMES] Le roi de la Kora, Toumani Diabaté n’est plus !

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Tract-L’artiste Toumani Diabaté, père de l’artiste Sidiki Diabaté a rendu l’âme, ce vendredi 19 juillet à 58 ans à la Clinique Golden Life où il était hospitalisé depuis plusieurs jours.

A noter que, Toumani Diabaté a remporté deux grammy awards, à chaque fois en collaboration avec Ali Farka Touré.

Un premier en 2006 (année du décès d’Ali Farka Touré) dans la catégorie World Music pour l’album “In the Heart of the Moon” et un deuxième en 2010 pour “Ali et Toumani”, sacré meilleur album de musique traditionnelle.

GUÉOUL : Trois (3) morts et trois (3) blessés dans un accident de la route

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Tract-Un accident de la route survenu à Guéoul, dans le département de Kébémer (nord-ouest), a coûté la vie à trois personnes. Trois autres ont été blessées, selon le lieutenant Ousseynou Ndiaye, commandant de la compagnie d’incendie et de secours (sapeurs-pompiers) de Louga.

Il précise que « l’accident a eu lieu vers 11 heures, lorsqu’un véhicule particulier […] a dérapé avant de heurter violemment un tronc d’arbre. Les sapeurs-pompiers sont intervenus rapidement pour évacuer les blessés à l’hôpital régional Amadou-Sakhir-Mbaye de Louga », a ajouté M. Ndiaye.

Il signale que « les trois personnes blessées ont été prises en charge dans cet hôpital, dont la morgue a reçu les corps des personnes décédées ».

Ousseynou Ndiaye exhorte les automobilistes à conduire prudemment et à respecter les règles du code de la route, d’autant plus que « l’hivernage connaît souvent de nombreux accidents de la route, sur la route Guéoul-Sakal surtout ».

IMMIGRATION IRRÉGULIÈRE : Une pirogue interceptée à Lompoul avec plus de 200 candidats

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Tract-Les nombreuses pertes en vies humaines ne découragent plus les candidats à l’immigration irrégulière. Ils affichent de plus en plus leur volonté d’affronter « le ventre de l’Atlantique  » pour paraphraser l’écrivaine sénégalaises Fatou Diome.

Ainsi, la Marine nationale sénégalaise informe dans un poste avoir intercepté ce vendredi 19 juillet au large de Lompoul « une pirogue transportant 202 candidats à l’immigration irrégulière dont 5 femmes et un mineur ».

Selon toujours, la même source, tous les migrants ont été débarqués à Dakar et remis au service compétents.

‘ESCROQUERIE ET ABUS DE CONFIANCE’ : Marie Lô jugée le 5 septembre prochain

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Tract-Marie Lô, fille du chanteur Ismaëla Lô, sera bientôt fixée sur son sort. Son dossier a été appelé hier jeudi, à la barre du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Dans les liens de la détention depuis août dernier, elle est poursuivie pour « escroquerie et abus de confiance portant sur 600 millions de francs CFA ».

Le journal Les Échos qui donne l’information, informe que la prévenue se porte à merveille. « Tout de blanc vêtue, elle était zen quand elle a été appelée à la barre», a informé le journal.

Le canard de renseigner que le juge a renvoyé le procès au 5 septembre prochain sans donner plus de précisions.

SORTIE SUR LA 7 TV : Cheikh Omar Anne fait des révélations explosives !

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Tract-Cheikh Oumar Anne a fait le grand déballage hier jeudi, lors de son passage à l’émission « L’invité MNF » sur la 7 TV. Ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de l’Innovation sous le régime de Macky Sall, il est revenu sur les épisodes saillants de l’élection présidentielle.

Revenant sur les péripéties de report de l’élection présidentielle, Cheikh Omar Anne affirme qu’Ousmane Sonko, le PDS étaient en phase avec Macky Sall pour le renvoi de l’élection présidentielle. Cependant, il soutient qu’à l’APR, tout le monde ne s’alignait pas pour un report.

Il est aussi revenu sur le fameux protocole du Cap Manuel. Cheikh Omar Anne confirme l’accord. « Macky Sall a rencontré Diomaye et Sonko avant la présidentielle », a laissé entendre l’ancien ministre. Selon lui, les « négociations tournaient autour du renvoi de l’élection ».

« C’est Macky Sall qui m’a demandé de soutenir Amadou Bâ. Il m’a dit que ce dernier était le seul qui pouvait gagner les élections. Mais un jour, un très proche de Macky Sall nous a dit de faire attention parce qu’il y a des gens qui essaient de faire changer d’avis au président par rapport au choix d’Amadou Bâ. Certains proches de Macky ne voulaient pas d’Amadou Bâ ».

Il a par ailleurs établi le lien de son opposition au renvoi avec son départ du gouvernement.

« Mon départ du gouvernement ne m’a pas surpris. J’avais dit à certains de mes proches, et même à Amadou Bâ qu’on allait me débarquer du gouvernement. C’est parce que j’étais contre le report des élections et je soutenais Amadou Bâ », a indiqué Cheikh Omar Anne.

FRANCE : Un Sénégalais de 27 ans abattu après avoir poignardé un policier

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Tract-Un Sénégalais a été abattu hier jeudi devant le magasin phare de Louis Vuitton sur les Champs-Elysées de Paris. Selon le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, la victime avait sorti un couteau et a blessé un policier. Cependant, il a souligné qu’aucun mobile terroriste n’était suspecté.

« L’agresseur » a sorti un couteau et a menacé les policiers qui « répondaient à un appel des agents sécurisant un magasin » sis dans le 8e arrondissement de Paris, ont expliqué les autorités françaises. Qui ont ajouté qu’il « a tenté de les poignarder à plusieurs reprises et a réussi à les poignarder ».

Touché par balle, le compatriote âgé de 27 ans, en situation régulière, a été grièvement blessé avant de succomber à ses blessures.

Une enquête est ouverte sur l’attaque.

RELIGION : Mise en place d’un ministère du culte en 2025 (Ousmane Sonko)

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Tract-Le Sénégal va mettre en place un ministère du culte à partir de l’année 2025.

D’après le quotidien les Echos, le Premier ministre Ousmane Sonko en a fait l’annonce lors de l’audience accordée à une délégation de Jama-Atou Nour Assounia. Cette dernière était venue solliciter l’aide du Premier ministre pour l’achèvement des travaux de la grande mosquée de Tivaouane.

“L’année 2025 marquera le premier budget que nous avons élaboré. Il y aura dans ce nouveau budget des fonds spécifiquement alloués au culte, a promis le chef du gouvernement. Ils prendront en compte toutes nos préoccupations en termes d’exposition, d’interlocuteurs…”, a fait savoir Ousmane Ousmane.

JOURNÉE NATIONALE DE L’ARBRE : Touba abrite l’édition 2024

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Tract-La ville de Touba abritera la journée nationale de l’arbre édition 2024 prévue le 04 août prochain. A cet effet, le gouverneur de la région de Diourbel, Ibrahima Fall a présidé ce jeudi un comité régional de développement (CRD) a informé l’APS.

L’Etat du Sénégal engagé dans une campagne de reboisement entend passer par cette journée pour intensifier ses activités. Dans le but de réussir ce projet, les nouvelles autorités promettent de faire dans la sensibilisation pour faire adhérer les populations. Le thème de cette année est : “Rôle du reboisement dans la souveraineté alimentaire et le développement économique”.

Cette journée d’après l’administrateur de la région de Diourbel précédée par la troisième journée nationale Sétal Sunu Reew qui aura lieu le 03 août prochain. Dans ce cadre, la population de Touba ainsi que les services techniques sont invités à participer activement à cette cérémonie. C’est du moins l’appel lancé par le gouverneur Fall.

“J’invite également les forces de défense et de sécurité à prendre les dispositions nécessaires pour assurer une bonne couverture sécuritaire de cet évènement”, a ajouté le gouverneur de Diourbel. Réagissant à cet appel, le colonel Ismaila Niang, inspecteur régional des eaux et forêts de Diourbel a laissé entendre que le choix de Touba pour abriter cette cérémonie officielle, se justifie par le fait que “la ville ne dispose pas de forêt classée, ni de frange maritime encore moins de cours d’eau”.

BIC-GOUV : Mame Gor Ngom, le nouveau boss !

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Tract-Le Bureau de l’Information et de la Communication du gouvernement (BIC-GOUV) a un nouveau patron.

Il s’agit de Monsieur Mame Gor NGOM. Journaliste de profession monsieur Ngom, en plus d’être titulaire d’une maîtrise en communication, est diplômé en sciences politiques de l’Université Gaston Berger Saint-Louis.

Mame Gor Ngom, rédacteur en chef du quotidien la Tribune pendant plusieurs années et auteur de « Billets de salon » est diplômé du CESTI.

PRODAC : Cheikh Ahmadou Bamba Ngom remplace Djimo Souaré

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Tract-Le Programme des domaines agricoles communautaires (PRODAC) vient d’avoir un nouveau coordonnateur national. Monsieur Cheikh Ahmadou Bamba NGOM, Agro-économiste, est nommé Coordonnateur national du Programme des Domaines agricoles communautaires (PRODAC), en remplacement de Monsieur Djimo SOUARE.

Sur la même lancée, Monsieur Abdou Mbacké SAMB, Enseignant, est nommé Président du Conseil de surveillance du Programme des Domaines agricoles communautaires (PRODAC), en remplacement de Monsieur Cheikh Ahmed Tidiane DIENG .

Ces décisions sont issues du communiqué du Conseil des ministres de ce jeudi 18. A rappeler également que le PRODAC fait désormais partie du ministère de l’Agriculture auparavant, il était sous la tutelle de celui de la jeunesse.

COMMUNIQUÉ DU CONSEIL DES MINISTRES DU JEUDI 18 MAI 2024

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Tract-COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU JEUDI 18 MAI 2024

Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce jeudi 18 juillet 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a renouvelé ses meilleurs vœux à la Oummah islamique et particulièrement à la communauté musulmane du Sénégal à l’occasion de la fête de Tamkharite (Achoura). Le Chef de l’Etat a adressé ses vives félicitations et réitéré sa confiance au Premier Ministre et à l’ensemble des Ministres et Secrétaires d’Etat pour le travail exceptionnel accompli, depuis leur installation, dans la prise en charge des urgences économiques et sociales et la mise en œuvre du PROJET de transformation systémique du Sénégal. Il a rappelé au Gouvernement sa détermination constante à ne ménager aucun effort pour la réalisation, avec le soutien du peuple, d’un Sénégal souverain, juste et prospère. Le Président de la République a demandé au Premier Ministre d’intensifier la mise en œuvre des réformes indispensables pour l’assainissement des finances publiques et la rationalisation du fonctionnement de l’Etat. Il a, sous ce rapport, appelé à la protection et à la relance endogène de l’économie nationale dans une perspective de prospérité et de progrès social durables.
A cet égard, il a invité le Gouvernement à accentuer le suivi de l’application effective des mesures de baisse des prix des produits et services de consommation courante mais également d’assurer une bonne maitrise des approvisionnements du pays en denrées essentielles et en hydrocarbures. Le Chef de l’Etat a exhorté le Premier Ministre à veiller avec les Ministres impliqués, notamment ceux en charge du Pétrole, des Finances et du Commerce, au suivi quotidien de l’exploitation de nos ressources pétrolières et gazières à travers l’opérationnalisation des meilleurs mécanismes de contrôle et de commercialisation des productions dans les champs d’hydrocarbures concernés. Le Président de la République a indiqué que le second semestre de 2024 doit consolider la phase cruciale, de rectification, d’ajustement, de réforme hardie des politiques publiques et de reddition des comptes.
L’objectif est de créer dans tous les secteurs de la vie économique, sociale, environnementale et culturelle, les conditions véritables pour bâtir durablement une souveraineté assumée dans le sillage d’une démocratie exemplaire et d’un Etat de droit de référence. Il a, dès lors, exhorté le Gouvernement d’être davantage à l’écoute des populations, d’anticiper et de travailler dans la solidarité, avec la mise en œuvre d’une stratégie de communication coordonnée, cohérente, persuasive et offensive. C’est dans cet esprit qu’il a demandé au Premier Ministre de prendre toutes les dispositions en vue de la présentation 2 prochaine devant l’Assemblée nationale de la Déclaration de Politique générale du Gouvernement déjà disponible. Evoquant la nouvelle politique de promotion de l’accès au logement, le Chef de l’Etat a rappelé que la gestion de la problématique des loyers et la construction de logements sociaux demeurent des urgences sociales. Il a demandé au Premier Ministre d’engager, sans délais, avec les Ministres concernés et les associations de consommateurs, l’évaluation des dispositifs de régulation des coûts du loyer selon les spécificités de chaque zone.
Le Président de la République a souligné l’urgence de faire le bilan exhaustif de l’état d’application de la loi de 2016-31 du 08 novembre 2016 portant loi d’orientation sur l’habitat social, de la gestion des pôles urbains créés, ainsi que des projets de construction de logements sociaux exécutés sur le territoire national. Dans cette perspective, il a indiqué au Ministre de l’Urbanisme et au Secrétaire d’Etat à l’Urbanisme et au Logement, la nécessité de renforcer la SICAP SA et la SN HLM dans leurs missions d’intérêt public à travers l’établissement d’une nouvelle doctrine pragmatique de promotion du logement social définie par l’Etat sur la base d’un Contrat d’Objectifs et de Moyens ambitieux avec une approche territoriale renforcée.
A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre de proposer un Programme rénové de développement des logements sociaux aux normes intégrant des mesures fiscales, foncières et financières incitatives et durables pour faciliter l’accès au logement et à la propriété foncière et immobilière. Cette réorientation majeure de la politique du logement doit favoriser la construction de logements décents et adaptés avec la mise à disposition transparente, à partir de cahiers des charges rigoureusement ficelés, du foncier aménagé et la montée en puissance des activités de la Société d’Aménagement foncier et de Rénovation urbaine (SAFRU). Dans la même lancée, le Président de la République a rappelé aux Ministres en charge des Domaines, de l’Intérieur, des Collectivités territoriales et de l’Urbanisme, et au Secrétaire d’Etat à l’Urbanisme et au Logement, la nécessité d’engager des concertations avec les maires et les chefs de villages en vue d’accélérer la réalisation du cadastre universel, de maitriser l’émergence de nouveaux pôles urbains et de définir des règles consensuelles en matière de restructuration des communes et de rénovation urbaine. Le Chef de l’Etat a également indiqué la nécessité de promouvoir et de soutenir les coopératives d’habitat afin de développer la construction de nouveaux logements avec notamment la mise à contribution des bailleurs publics et des fonds dédiés à l’habitat social et une meilleure implication de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), de la Banque de l’Habitat du Sénégal (BHS) et d’autres établissements financiers dans le secteur du logement.

Le Président de la République a invité le Premier Ministre à prendre toutes les mesures adéquates à l’effet de simplifier davantage le processus d’obtention du permis de construire pour accélérer la relance des constructions de logements mais aussi optimiser les impacts positifs du secteur stratégique du BTP sur l’environnement des affaires et l’emploi des jeunes. Il a ainsi demandé au Premier Ministre de tenir avec l’ensemble des acteurs impliqués un 3 Conseil interministériel sur le logement afin d’assurer une mise en œuvre optimale de la nouvelle politique de régulation des loyers et de promotion du logement social. Par ailleurs, le Chef de l’Etat a mis en exergue la nécessité d’une réflexion consensuelle sur l’architecture de nos Villes et Communes. A cet effet, il a rappelé l’attention particulière qu’il accorde au respect des règles d’urbanisme, d’architecture et de contrôle des constructions. Il a, enfin, demandé au Ministre des Collectivités territoriales, de l’Urbanisme et de l’Aménagement des Territoires d’engager, dans les meilleurs délais, une réflexion avec l’Ordre des architectes et les autres acteurs impliqués pour la mise en œuvre d’un cadre consensuel d’harmonisation, à terme, de l’architecture de nos Villes et Communes. À l’entame de sa communication, le Premier Ministre a adressé les vives félicitations du Gouvernement au Président de la République pour sa démarche pédagogique d’explicitation du PROJET lors de l’entrevue, hautement appréciée par le peuple, qu’il a accordée à la presse sénégalaise, le samedi 13 juillet 2024, à l’occasion de ses premiers 100 jours à la tête du pays.
Abordant la problématique de l’orientation des nouveaux bacheliers dans les différentes Universités sénégalaises, le Premier Ministre a jugé indispensable de veiller à la mise en adéquation des décisions d’orientation avec les profils et choix des bacheliers ainsi qu’au renforcement des infrastructures et des campus sociaux dans les régions afin de décongestionner l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il a également soulevé l’exigence de disposer d’une méthodologie à même de garantir la transparence absolue de l’allocation des bourses d’études et des locaux d’hébergement des étudiants dans les campus sociaux.
Évoquant le suivi des directives présidentielles sur la période avril-juin 2024, le Premier Ministre a fait part de la prise en charge satisfaisante, par les départements ministériels, des diligences portant sur l’état des lieux des programmes, projets et capital humain. Ce qui a facilité le démarrage rapide des audits. Il a également relevé, avec satisfaction, les efforts déployés par les départements ministériels pour la résolution de problématiques urgentes dans divers secteurs. Il a engagé les Ministres à s’assurer de la bonne préparation des projets de textes portant notamment sur les lanceurs d’alerte et l’accès à certaines hautes fonctions dans les secteurs publics et parapublics. Il a aussi demandé la finalisation du dossier relatif aux victimes des événements de janvier 2021 à février 2024 et du site internet dédié au recueil des profils de compétences des Sénégalais et des idées de projets. Par ailleurs, le Premier Ministre a fait part au Conseil de la réception du pré-rapport ayant sanctionné les travaux de la Commission chargée de passer en revue les occupations du Domaine public maritime de la Région de Dakar, en vue de restituer aux citoyens les rivages protégés de la mer et de préserver ses fonctions écologiques. Le Rapport final sera soumis à la très haute appréciation du Président de la République. Enfin, le Premier Ministre a évoqué l’organisation du concours d’entrée à l’Ecole nationale d’Administration (ENA) au titre de l’année 2024.
Il a demandé au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement, aux Ministres concernés et l’administration de l’ENA à engager des concertations en vue de l’augmentation des effectifs à recruter et de formuler des propositions de modernisation de l’ENA. L’objectif est de renforcer les ressources humaines 4 de l’administration pour la prise en charge satisfaisante des réformes nécessaires à la transformation systémique du Sénégal.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES :• Le Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens a fait une communication sur la problématique liée aux processus d’exploitation et de maintenance du TER dans une perspective de renégociation des contrats ; • Le Ministre de l’Environnement et de la Transition écologique a fait une communication sur le processus de classement du Lac Rose en réserve naturelle urbaine ; • Le Ministre de la Famille et des Solidarités a fait le point sur la situation du Programme national de Bourses de Sécurité familiale et du Registre national unique.

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES,
Le Conseil a examiné et adopté : • Le Projet de décret portant interdiction des activités minières et d’octroi de permis d’exploitation dans la zone du fleuve Falémé ; • Le Projet de décret fixant les conditions d’élaboration et de mise à jour du Plan intégré à moindre coût dans le secteur de l’électricité.

AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES
Le Président de la République a pris les décisions suivantes :
PRESIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE
1. Monsieur Cheikh Ahmed Bamba DIAGNE, Enseignant chercheur, maître de conférences à l’UCAD, est nommé Secrétaire Permanent du Comité d’Orientation Stratégique du Pétrole et du Gaz (COS- PETROGAZ), en remplacement de Monsieur Malick SALL ;
PRIMATURE .
2 Monsieur Mor FALL, Inspecteur général d’Etat, est nommé Directeur général de l’Ecole nationale d’Administration (ENA), en remplacement de Monsieur Mouhamadou Lamine DIALLO ;
3. Monsieur Mame Gor NGOM, titulaire d’une maîtrise en communication, est nommé Directeur général du Bureau de l’Information et de la Communication du gouvernement (BIC-GOUV) ;
4. Monsieur Birom Holo BA, titulaire d’un doctorat en optimisation et sûreté des systèmes, est nommé Chef du Bureau opérationnel de Coordination et de Suivi des Projets et Programmes.
MINISTERE DE L’ENERGIE DU PETROLE ET DES MINES
Monsieur Meissa Diakhaté, agrégé des facultés de droit, est nommé Président du Conseil d’administration du Fonds Spécial de soutien au secteur de l’Energie, en remplacement de Monsieur Cheikhna ANNE.
5. Monsieur Pape Moctar SARR, Ingénieur centralien, est nommé Président du Conseil d’administration (PCA) de la Société africaine de Raffinage (SAR), en remplacement de Monsieur Thierno NDIAYE ;
6. Joseph Sambesene DIATTA, Professeur assimilé des universités en physique, est nommé Président du Conseil d’administration de (PETROSEN Holding) en remplacement de Aymérou GNING ;
7. Monsieur Cheikh BITEYE, titulaire d’un master en administration des entreprises, est nommé Président du Conseil d’administration de l’Agence sénégalaise d’Electrification rurale (ASER), poste vacant;
8. Monsieur Adama DIAWARA, Professeur d’histoire et de géographie, est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale des Energies renouvelables (ANER), en remplacement de Monsieur Abdoulaye SY ;
9. Monsieur Pape Momar LO, Ingénieur en génie électrique, est nommé Directeur général du Réseau gazier du Sénégal SA (RGS SA), en remplacement de Monsieur Joseph Oufame MEDOU;
10. Monsieur Cheikh Moulaye Idriss FALL, Ingénieur en génie électrique, est nommé Directeur de l’Electricité, poste vacant ;
11. Monsieur El hadj NDIAYE, Titulaire d’un Doctorat en énergies renouvelables, est nommé Directeur du développement des Energies renouvelables, en remplacement de Monsieur Demba GAYE ;
12. Madame Oumou Khaïry DIOP, titulaire d’un master en économie, régulation et énergie, est nommée Secrétaire permanent à l’Energie, poste vacant ;
13. Monsieur Fidèle Djissibone DIEME, Ingénieur électromécanicien, est nommé Secrétaire général de l’Agence sénégalaise d’Electrification rurale (ASER), poste vacant ;

MINISTERE DES INFRASTRUCTURES ET DES TRANSPORTS TERRESTRES ET AERIENS
14. Monsieur Tahir NDIAYE, Consultant international en transport aérien, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société AIBD Assistance Services (2AS), en remplacement de Monsieur Ibrahima NDIAYE ;
15. Monsieur Ndiogou NDIAYE, Inspecteur principal de l’aviation civile, est nommé président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale de l’Aviation civile et de la Météorologie (ANACIM), en remplacement de Monsieur Mamadou Moustapha DIENG ;
16. Monsieur Mor Talla NDIAYE, Ingénieur en génie civil, est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence de Gestion des Routes (AGEROUTE), en remplacement de Monsieur Mamadou Mory DIAW ;
17. Monsieur Bara SOW, titulaire d’un master en finances, audit et contrôle de gestion, est nommé Directeur général du Fonds pour le Développement des Transports terrestres (FDTT), en remplacement de Monsieur Babacar GAYE ;
18. Monsieur Mamadou GOUDIABY, spécialiste des transports, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société Dakar Dem Dikk (DDD), en remplacement de Monsieur Habibou TIMBO ;
19. Monsieur Outhmane DIAGNE, Titulaire d’un Master II en Droit économique, est nommé Président du Conseil d’administration du Fonds d’Entretien routier autonome (FERA), en remplacement de Monsieur Pape Songdé DIOP ; MINISTERE DE

L’ENVIRONNEMENT ET DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE
20. Monsieur Mady BATHILY, Administrateur civil, est nommé Secrétaire général de l’Agence sénégalaise de la Reforestation et de la Grande Muraille verte (ASERGMV), en remplacement de Monsieur Maodo Malick NDAO ;
MINISTERE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
21. Monsieur Cheikh Mouhamadou MBAYE, Enseignant, est nommé Président du Conseil d’administration de l’Office national de Formation professionnelle (ONFP), poste vacant;
22. Monsieur Mouhamadou Makhtar DIA, Enseignant-Professeur, est nommé Président du Conseil d’administration du Centre national de Qualification professionnelle (CNQP), en remplacement de Monsieur Ibrahima NDOUR ;
23. Monsieur Malick SY, Cadre administratif à la retraite, est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale de la Maison de l’Outil (ANAMO), en remplacement de Monsieur Fossar Banding SOUANE;
24. Monsieur Demba DIOUM, Ingénieur en systèmes et réseaux, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de la Maison de l’Outil (ANAMO), poste vacant ; MINISTERE DE L’HYDRAULIQUE ET DE L’ASSAINISSEMENT
25. Monsieur Ahmad Iyane SOW, Professeur titulaire en médecine, est nommé Président du Conseil d’administration de l’Office des Lacs et Cours d’eau (OLAC), en remplacement de Monsieur Souleymane Barka BA ; MINISTERE DES PECHES ET DES INFRASTRUCTURES MARITIMES ET PORTUAIRES
26. Monsieur Ismaïla NDIAYE, Ingénieur des pêches et de l’aquaculture, est nommé Directeur des Pêches maritimes, en remplacement de Monsieur Diène FAYE ;
27. Monsieur Ahmadou Tidiane CAMARA, Ingénieur des pêches et de l’aquaculture, est nommé Directeur du Centre national de Formation des Techniciens des pêches et de l’Aquaculture (CNFTPA), en remplacement de Monsieur Samuel Joseph Waly FAYE ;
28. Monsieur Mohamed Ngouda MBOUP, enseignant-chercheur, est nommé Président du Conseil d’administration du Port autonome de Dakar (PAD), en remplacement de Monsieur Moussa SY ;
MINISTERE DE L’URBANISME, DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
29. Monsieur Abdou Khadre FOFANA, titulaire d’une maitrise en géographie et en géomatique, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société nationale de gestion intégré des déchets (SONAGED), en remplacement de Monsieur Talla CISSE ; 30. Monsieur Ibrahima DIOP, Analyste financier, est nommé Administrateur du Fonds pour l’Habitat social (FHS), en remplacement de Monsieur Ousmane WADE ;
31. Monsieur Assane DIOP, titulaire d’une licence professionnelle en comptabilité publique, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société d’Aménagement foncier et Rénovation urbaine (SAFRU) en remplacement de Monsieur Gorgui CISS ;
32. Monsieur Serigne Kosso SENE, Ingénieur agronome, est nommé Directeur général du Cadre de vie et de l’Hygiène publique, en remplacement de Monsieur Aliou Badara LY
MINISTERE DE LA SANTE ET DE L’ACTION SOCIALE
33. Monsieur Alioune Ibnou Abou Talib DIOUF, Pharmacien, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de Réglementation pharmaceutique (ARP), en remplacement de Madame Oumy Kalssoum Ndiaye NDAO ;
34. Monsieur Mamadou DIOP, Professeur agrégé en anatomie et organogénèse, est nommé Directeur du Centre national d’Oncologie de Diamniadio;
35. Monsieur Abdallah WADE, Médecin urgentiste, est nommé Directeur du Service d’Assistance médicale d’Urgence (SAMU en remplacement de Professeur Mamadou Diarra BEYE ;
36. Médecin-colonel Bécaye FALL, Professeur agrégé en pharmacie, est nommé Directeur des Laboratoires, en remplacement de Monsieur Amadou Mouctar DIEYE ; 37. Monsieur Boucar DIOUF, Médecin, est nommé Directeur général de l’Action sociale (DGAS), en remplacement de Madame Arame Top SENE;
38. Monsieur Fallou NIANG, Médecin, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional de Kolda, en remplacement de Monsieur Djibril YANSANE ;
39. Monsieur Yoro DIAGNE, Docteur en médecine, titulaire d’un master en management des établissements de santé est nommé Directeur de l’hôpital Abdoul Aziz SY DABAKH de Tivaone en remplacement de Madame Bineta Diop BADIANE
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE ET DE L’ELEVAGE 840. Monsieur Sémou Pathé DIOUF, Spécialisé en gestion de projets et ingénieur technique en agriculture, est nommé Directeur général de l’Agence nationale d’Insertion et de Développement agricole (ANIDA), en remplacement de Monsieur Aliou LECOR ;
41. Monsieur Alassane BA, Ingénieur agronome, est nommé Directeur général de la Société nationale d’Aménagement et d’Exploitation des Terres du Delta du Fleuve Sénégal et des Vallées du Fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED), en remplacement de Monsieur Aboubacry SOW ;
42. Monsieur Moustapha GUEYE, titulaire d’un doctorat en production et protection des végétaux, est nommé Directeur général de l’Institut supérieur de recherches agricoles (ISRA) en remplacement de Monsieur Momar Talla SECK ;
43. Monsieur Mbaye Sylla KHOUMA, Ingénieur en agronomie tropicale, est nommé Président du Conseil d’administration de l’Institut supérieur de recherches agricoles (ISRA) en remplacement de Monsieur Ngagne SENE ;
44. Monsieur Ousmane SYLLA, statisticien, est nommé Directeur de l’Analyse, de la Prévision et des Statistiques agricoles (DAPSA), en remplacement de Monsieur Ibrahima MENDY ;
45. Monsieur Bounama DIEYE, Ingénieur hydraulicien, est nommé Directeur du Matériel et de l’Equipement rural en remplacement de Monsieur Oumar SANE ;
46. Monsieur El hadj FAYE, Sociologue, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de Conseil agricole et rural (ANCAR) en remplacement de Madame Mariama DRAME ;
47. Monsieur Mamadou CISSOKHO, Expert en Agriculture, est nommé Président du Conseil d’administration de l’Agence nationale de Conseil agricole et rural (ANCAR), en remplacement de Mamadou Camara ;
48. Monsieur Taha SOW, Administrateur de sociétés, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société nationale de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal (SONACOS), en remplacement de Monsieur Youssou DIALLO ;
49. Monsieur Cheikh Ahmadou Bamba NGOM, Agro-économiste, est nommé Coordonnateur national du Programme des Domaines agricoles communautaires (PRODAC), en remplacement de Monsieur Djimo SOUARE ;
50. Monsieur Abdou Mbacké SAMB, Enseignant, est nommé Président du Conseil de surveillance du Programme des Domaines agricoles communautaires (PRODAC), en remplacement de Monsieur Cheikh Ahmed Tidiane DIENG ;
51. Monsieur Modou Guèye SECK, économiste, gestionnaire des projets, est nommé Directeur du Financement et du Partenariat avec les Organisations, en remplacement de Monsieur Serge MALOU ;
52. Monsieur Alfred Kouly SENE, Spécialiste en science des sols, est nommé Directeur général de l’Institut national de Pédologie (INP), en remplacement de Monsieur Mamadou SOW ;
MINISTERE DE LA MICROFINANCE ET DE L’ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE
53. Madame Mariama DIENG, Sociologue, est nommée Directeur de la Promotion de l’Economie sociale et solidaire, poste vacant ;
54. Monsieur Seydina Oumar NDIAYE, Economiste, est nommé Directeur des Stratégies et de la Prospective, en remplacement de Monsieur Mohamet DIOP ;
55. Monsieur Demba THIAM, Professeur de l’enseignement moyen secondaire, est nommé Président du Conseil d’orientation du Fonds national de la Microfinance, en remplacement de Ismaïla DEMBELE ;
MINISTERE DU TOURISME ET DE L’ARTISANAT
56. Madame Soda DIARRA, Spécialiste en marketing et management touristique, est nommée Directeur de la Promotion touristique, en remplacement de Monsieur Mohamadou Manel FALL ;
57. Madame Marie Ndéye Gnilane DIOUF, Economiste est nommée Directeur de l’Artisanat, en remplacement de Monsieur Ahmadou Bamba SARR ;
58. Monsieur Hady TOURE, Spécialiste en comptabilité et finances, est nommé Directeur de l’Encadrement et de la Transformation des Entreprises informelles, en remplacement de Monsieur Mamadou DJITE ;
59. Madame Sophie Nzinga SY, spécialiste en design, est nommée Directeur général de l’Agence pour la promotion et le Développement de l’Artisanat (APDA), en remplacement de Monsieur Papa Hamady NDAO ;
60. Monsieur Birame SARR, spécialiste en tourisme, est nommé Directeur de l’Ecole nationale de Formation hôtelière et touristique, en remplacement de Monsieur Moussa THIOR ;
61. Monsieur Sissao DIANE, Professeur de l’enseignement moyen secondaire, est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence pour la Promotion et le Développement de l’Artisanat, en remplacement de Monsieur Mamadou CISSOKHO ; 62. Monsieur Elhadji Malick MBAYE, Expert en tourisme, est nommé Secrétaire général de l’Agence sénégalaise de Promotion touristique, en remplacement de Monsieur Mamadou DIALLO ;
63. Monsieur Ibrahima TALL, Economiste statisticien, est nommé Coordonnateur du Projet Mobilier national, en remplacement de Monsieur Saloum NDIAYE ;
MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DU COMMERCE
64. Monsieur Mamadou COULIBALY, titulaire d’un master en ingénierie financière, est nommé Directeur général de la Société d’Exploitation du Marché d’Intérêt national et de la gare des gros Porteurs (SEMIG), en remplacement de Madame Fatoumata NIANG;
MINISTERE DE LA JUSTICE
65. Monsieur Alassane GUEYE, titulaire d’un doctorat en finance et économie, est nommé Directeur de la Bonne Gouvernance, en remplacement de Monsieur Arona SARR.
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
66. Monsieur Alioune SENE, Ingénieur en génie civil, est nommé Directeur de la Maintenance des Constructions et des Equipements de l’Enseignement supérieur en remplacement de Monsieur Ahmadou Bamba FALL ;
67. Monsieur Aliou SENE, Enseignant-chercheur, est nommé Directeur du Centre régional des Œuvres universitaires sociales de l’Université Alioune Diop de Bambey en remplacement de Monsieur Moustapha GUEYE.
68. Monsieur Jean Amédé DIATTA, Diplôme d’études approfondies en sociologie, est nommé Directeur des Bourses, en remplacement de Monsieur Khalifa GAYE ; MINISTERE DES FINANCES ET DU BUDGET
69. Monsieur François NDIAYE, inspecteur du cadastre, est nommé Directeur du Cadastre, en remplacement de Monsieur Ibrahima AW ;
MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DE LA SECURITE PUBLIQUE
70. Monsieur Birame SENE, Magistrat, précédemment directeur de la formation et de la communication à la direction générale des élections, est nommé Directeur général des Elections (DGE) en remplacement de Monsieur Thiendella FALL.
71.Monsieur Ousmane NGOM, spécialiste en passation des marchés publics, finances et gestion publiques, matricule de solde n° 624 961/D, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Économie du Plan et de la Coopération, en remplacement de Monsieur Malick SARR appelé à d’autres fonctions. 72.Monsieur Laïty MBENGUE, titulaire d’un master en Comptabilité et gestion financière, matricule de solde n° 625 060/O, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
73. Madame Ndéye Yacine GUEYE, Docteur en Economie de l’Education, matricule de solde n° 677 090/O, précédemment Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation est nommée Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Education nationale.
74.Monsieur Louis Benoit MBAYE, Professeur de l’Enseignement moyen, matricule de solde n° 666 139/A, est nommé Directeur de l’Administration générale et de 11 l’Equipement au Ministère de la Fonction publique et de la Réforme du Service public, en remplacement de Madame Mame Khady Sidy Aly BADJI appelée à d’autres fonctions. 75.Monsieur Mamadou Moustapha DIALLO, Spécialiste en gestion de projets et en Finances publiques, matricule de solde n° 634 436/Z, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère du Tourisme et de l’Artisanat, en remplacement de Monsieur Mandiaye DIOP appelé à d’autres fonctions.
76.Madame Fatou DIOUF, Professeur de l’Enseignement secondaire, matricule de solde n° 661 673/A, est nommée Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de l’Education nationale.
77.Monsieur Ibrahima NGOM, Conseiller aux Affaires culturelles, matricule de solde n° 611 781/F, est nommé Inspecteur technique au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture. 78.Monsieur Doudou SANKHARE, Inspecteur de l’Education populaire, de la Jeunesse et des Sports, matricule de solde n° 632 100/D, est nommé Inspecteur technique au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture.
79.Monsieur Omar Ben Khatap DANFAKHA, Conseiller aux Affaires culturelles, matricule de solde n° 600 620/B, est nommé Inspecteur technique au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture.
80.Monsieur Modou MBAYE, Ingénieur de Conception, Spécialiste en Science de la Vie, de la Santé et de l’Environnement, matricule de solde n° 515 420/G, précédemment Inspecteur technique au Ministère de la Famille et des Solidarités, est nommé Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de la Microfinance, de l’Economie sociale et solidaire.
81.Monsieur Malick THIAM, Juriste, matricule de solde n° 715191/R, est nommé Inspecteur technique au Ministère de la Microfinance, de l’Economie sociale et solidaire.

Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement Amadou Moustapha Njekk SARRE

100 JOURS DE DIOMAYE : Dr Babacar Diop se prononce

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Tract-Le leader du parti des Forces démocratiques du Sénégal (FDS) les Guelewaars et maire de la ville de Thiès a accordé un entretien au journal l’Observateur. Entretien dans lequel il a donné son point de vue sur les 100 jours de présidence du président Diomaye, la relation entre ce dernier et son premier, mais aussi le lien que lui maire entretient avec le président de la République.

Comme beaucoup de politiques, le Docteur Babacar Diop n’a pas dérogé à la règle. Il s’est prononcé à son tour sur les 100 jours du règne du Président Diomaye à la présidence de la République du Sénégal. Le leader des FDS-Guelewaars pense qu’il est très tôt pour dresser un bilan du régime même si des efforts significatifs sont notés comme la bonne gouvernance, la réduction du coût de la vie et la lutte contre la corruption.

À ce titre, Babacar Diop ajoute que « le Président Diomaye comprend que la lutte contre la corruption ne peut être effective que si elle est conduite de manière impartiale et transparente, sans instrumentalisation politique ». Selon lui, les « audits et les contrôles sont des outils essentiels pour assurer la transparence et l’intégrité des instructions politiques ».

Babacar Diop a aussi abordé la relation entre le Premier ministre, Ousmane Sonko et le Président Diomaye, il affirme que : « on ne peut jamais faire l’ombre d’un chef de l’Etat, ce n’est pas possible. Le 31 décembre, c’est le président que le peuple écoute, le 4 avril, fête de l’indépendance, quand il a crise, c’est vers le président que le peuple se tourne ».

Pour lui le débat sur une supposée ombrage du Premier ministre au président ne peut exister. De son avis, « le plus important est que chacun comprenne ses responsabilités ».

Abordant sa relation avec le chef de l’Etat qu’il a soutenu lors de la dernière présidentielle, Dr Babacar Diop révèle qu’elle « n’est pas déterminée par des postes parce qu’avant la sortie de Diomaye en prison, il m’a fait appeler et nous avons échangé sur le Sénégal, la crise que rencontre la démocratie ainsi que les reformes politiques, économiques et sociales à mener ».

Pour l’édile de Thiès, il n’a « jamais questions de postes » mais de « valeurs politiques, de dignité, de respect, de souverainisme, et de patriotisme ».

AFFAIRE FULBERT SAMBOU ET DIDIER BADJI : Leurs familles exigent l’audition d’Ismaïla Madior Fall

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Tract-L’affaire Fulbert Sambou et Didier Badji demeure toujours un mystère de ce qui entoure leur mort. Cependant, leurs familles sont déterminées à aller jusqu’au bout pour éclairer la lanterne sur cette affaire. Dans ce sillage, le juge d’instruction a été saisi par les familles des concernés pour une convocation et audition d’Ismaïla Madior Fall, accusé d’en savoir plus sur la mort des deux militaires.

Un « lapsus », d’après l’ancien ministre de la Justice sous le régime de Macky Sall qui lui vaudra d’être accusé par les familles des militaires disparus. En effet, lors d’une émission dénommée « l’invité de MNF » sur la 7tv, Ismaïla Madior a soutenu que « le dossier doit être inclus, en principe, dans la loi d’amnistie » ; cela lui vaudra d’être le sujet de critiques bien qu’il a déclaré que ce n’étais qu’un « lapsus ».

Mais cela n’a pas suffi pour les parents et amis des deux militaires pour qui ce « lapsus » n’est pas anodin. Ils sont convaincus que l’ancien ministre de la Justice en sait beaucoup plus sur cette affaire, rapporte le journal Les Échos.

Pour rappel, Didier Badji et Fulbert Sambou ont été portés disparu le 18 novembre 2022. Une disparition que les autorités de cette époque avaient tenté d’expliquer sans convaincre. L’affaire avait fait scandale et la famille était contrariée de l’attitude des autorités politiques et judiciaires. Le 22 novembre, le procureur de la République avait publié un communiqué pour annoncer la découverte du corps sans vie du sergent Fulbert Sambou de la Direction de renseignement militaire. S’agissant Didier Badji, il est toujours porté disparu.

À en croire le journal, une requête a été déposée sur la table du juge d’instruction du troisième cabinet. « Pour l’intérêt de la justice, le constitutionnaliste devrait être convoqué et l’auditionner. Surtout les hommes du nouveau régime avaient crié haut et fort que le mort de toutes les victimes des manifestations devait être élucidé », relate le quotidien Les Échos.

[REPORTAGE] 100 JOURS DU PRÉSIDENT DIOMAYE: Grand oral ‘com-vainquant’ de Serigne Ngoundou, craintes et attentes ‘chrono’ des Sénégalais 

TRACT – Le Président de la République Bassirou Diomaye Faye, après 100 jours à la tête de l’État, avait reçu vendredi dernier la presse nationale au Palais présidentiel où il leur a accordé un interview durant lequel plusieurs questions ont été traité.

 

Dans ses réponses, le Président de la République s’est prononcé sur le statut et le rôle que jouent son Premier ministre Ousmane Sonko qui fait couler beaucoup d’encre. Il avait également, entre autres, promis une renégociation des contrats pétroliers, un mouvement futur dans les rangs de la magistrature…

En ce sens, dans des échanges que Tract a eu avec des citoyens sénégalais, ces derniers se sont majoritairement exprimés sur les deux sujets mentionnés plus haut.

Pour Adama Diallo, le Président Diomaye nourrit un complexe d’infériorité devant son Premier ministre Ousmane Sonko qui selon lui, joue le rôle de Chef d’État:

“ Nous citoyens avons Bassirou Diomaye Faye comme Président de la République, mais ce dernier, considère lui, Ousmane Sonko comme le Chef de l’État”

“J’ai effectivement suivi l’intégralité de la rencontre entre le Président de la République Bassirou Diomaye Faye et la presse nationale comme bon nombre de sénégalais. Mais vraiment, il faut qu’on se dise la vérité, nous citoyens avons Bassirou Diomaye Faye comme Président de la République, mais ce dernier, considère lui, Ousmane Sonko comme le Chef de l’État. Je ne suis pas certainement le seul qui a vu que le Président Diomaye a le complexe de Sonko de par la façon dont il parle de lui et dont il lui laisse faire et ça, les actes du Premier ministre le démontre. C’est lui qui reçoit les ambassadeurs des autres pays, c’est lui qui reçois les hommes d’affaires, c’est lui qui décident même des dossiers à traiter et desquels mettre en attente. Je ne suis pas assez vieux pour avoir vécu depuis le temps de Senghor mais je sais qu’aucun gouvernement du Sénégal n’a jamais fonctionné de cette façon. J’ai bien peur qu’à ce rythme où nous avons deux Présidents, nous allons droit vers le K.O et qu’il y aura tôt ou tard un conflit d’intérêts politiques entre eux. Le Président Diomaye doit prendre ses responsabilités et les assumer, il n’est pas élu pour laisser quelqu’un d’autre faire son travail”, a-t-il estimé.

Sur le Même sujet, Emmanuel Manga lui, voit les choses différemment:

“Il a fait des promesses et celle qui m’intéresse le plus est la renégociation des contrats pétroliers…Nous espérons qu’après ces négociations le gouvernement nous présentera des contrats gagnant-gagnant d’une façon transparente”

“J’ai vu un Diomaye très rassurant, confiant et à l’aise contrairement à ce qu’on voyait lors de ses premières sorties et ça c’est un bon signe, ça montre qu’il commence à bien porter le ‘costume’ de Président de la République. Sur le fond de cet entretien, il a fait des promesses et celle qui m’intéresse le plus est la renégociation des contrats pétroliers mais aussi sur ceux de toutes les ressources naturelles que disposent le sous-sol du Sénégal. Nous espérons qu’après ces négociations le gouvernement nous présentera des contrats gagnant-gagnant d’une façon transparente. Et vu leur façon de faire depuis leur élection, je reste confiant que les choses vont changer. Malheureusement, je vois qu’il y a certains qui n’ont même pas pu avoir le nombre de parrains demandé pour être candidat à la récente élection présidentielle, réunir à chaque fois la presse pour tirer sur Diomaye et particulièrement sur Sonko après chaque sortie de ces derniers. Mais ils doivent savoir qu’ils se montrent ridicules parce qu’ils ne parlent que pour parler, que pour montrer qu’ils existent et pour être leader de l’opposition sans même être allés à l’élection présidentielle”, a argumenté M. Manga.

Comme pour répondre aux détracteurs du duo Diomaye-Sonko, Lamine Badiane dixit:

“Il est vraiment trop tôt pour parler de bilan au bout de 100 jours pour quelqu’un qu’on a élu pour 1825…Si j’étais politicien, j’allais savoir que c’est pas le moment de s’opposer à moins qu’ils veulent manifester leur frustration de ne pas être ministres ou directeurs généraux”

“J’étais agréablement surpris de voir que le Président Diomaye s’exprime mieux que Sonko. Il est posé, imperturbable, cohérent et éloquent. Même si on ne le soutient pas politiquement, il faut quand-même lui accepter ça. Maintenant pour son bilan de 100 jours, je pense qu’il l’a fait pour respecter une tradition républicaine et pour faire preuve de transparence mais il est vraiment trop tôt pour parler de bilan au bout de 100 jours pour quelqu’un qu’on a élu pour 1825 jours, soyons raisonnables et ne nous laissons pas manipuler par ces nouveaux opposants. J’ai même entendu certains politiciens, désespérés de voir qu’ils ne peuvent pas mettre en mal le Président de la République avec son Premier ministre, tenter de frustrer la presse en disant que le Président Diomaye n’a pas fait face à la presse mais plutôt à une partie de la presse. Vous voyez à quel point c’est ridicule de vouloir se faire remarquer ? Est-ce qu’il est possible de convoquer plus de 100 journalistes au Palais, radios, télés, presse écrite et presse en ligne réunis et donner à chacun la possibilité de poser des questions ? Si j’étais politicien, j’allais savoir que c’est pas le moment de s’opposer alors que rien n’est encore fait, à moins qu’ils veulent manifester leur frustration de ne pas être ministres ou directeurs généraux. Ils seront longtemps frustrés et il est temps qu’ils comprennent que ce pays n’est pas un gâteau à se partager mais plutôt un champ où chacun doit jouer son rôle”, a-t-il lancé à l’endroit de Bougane Gueye et de Thierno Bocoum qu’il a cité nommément.

Hadj Ludovic

 

MAROC : Des migrants sénégalais saccagent le centre d’accueil d’Argoub

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Tract-Cinquante trois (53) jeunes sénégalais, candidats à la migration irrégulière, en attente de rapatriement au centre d’Argoub, situé à 90 Km au sud de la ville de Dahla, se sont révoltés hier mercredi. « Ils ont mis le feu, cassé des portes », selon le Consul général du Sénégal à Dakhla, Babou Sène. Un blessé a été enregistré.

« Concernant la manifestation violente organisée avant-hier soir par les 53 compatriotes candidats à l’émigration irrégulière en attente de rapatriement depuis le 14 juin, j’ai discuté avec eux et tout est rentré dans l’ordre », a déclaré M. Sène.

Qui de regretter : « « Il y a un seul blessé mais malheureusement ils ont causé d’énormes dégradations dans le centre ».

A en croire Babou Sène, les jeunes ont mis le centre sens dessus-dessous. « Ils ont mis le feu, cassé des portes, …J’ai attiré leur attention sur le fait qu’ils doivent préserver l’image du Sénégal à l’étranger et faire preuve de résilience car les autorités sénégalaises travaillent pour leur rapatriement dans les meilleurs délais », a-t-il lancé dans les colonnes de Libération.

M. Sène a profité de l’occasion pour lancer un appel aux candidats à l’émigration irrégulière qui sont dans les centres d’accueil. « Ces jeunes doivent savoir que les centres d’accueil ne sont pas des hôtels. Les autorités marocaines leur donnent le gîte et le couvert mais selon leurs moyens. Ils doivent faire preuve de résilience et respecter les lois et règlements des pays d’accueil. Les jeunes doivent également être informés qu’ils peuvent rester dans les centres d’accueil entre 3 semaines et 1 mois et demi avant d’être rapatriés », a conclu M. Sène.

TRÈS REMONTÉS CONTRE LES AUTORITÉS DU COUD : Les étudiants organisent un concert de casseroles

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Tract-Les résidents de ce pavillon mythique (pavillon A) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) sont en colère contre les autorités du Centre des œuvres universitaire de Dakar (COUD). Ce mercredi vers les coups de 19 h, ils sont sortis en masse sur leur balcon pour animer le concert de casseroles organisé par le collectif des étudiants du pavillon A (CEPA).

Ces étudiants réclament de meilleures conditions de vie dans le pavillon. Le collectif égrène un chapelet de doléances. « Dans le pavillon, il y a un manque d’eau répétitif. Il n’y a pas de Wifi. Nous n’arrivons pas à faire des recherches dans nos chambres. Alors que d’autres pavillons en ont des wifi. Dans les couloirs du bâtiment, il n’y a pas d’éclairage. Ce qui pose le problème de sécurité », regrette Babacar Diallo, le coordinateur du collectif.

Le collectif fustige également le mutisme des autorités. Le leader du CEPA se réjouit du bon déroulement du mot d’ordre d’aujourd’hui. « Le message est bien passé. L’autorité est au courant depuis longtemps. Nous avions essayé de lui (DG) parler avant la fête de la Tabaski, mais sans succès. Nous avions aussi écrit son chargé de communication pour que le DG soit au courant, mais nous n’avons toujours pas de retour », confie-t-il.

« Ce jeudi, l’ensemble des chefs de département et de service du Coud à savoir les services Hébergement, environnement, informatique vont nous recevoir. Cela afin de parler de la situation », révèle M. Diallo.

Les résidents du pavillon A entendent continuer le combat si leurs revendications ne sont pas satisfaites.

Pour rappel, le Pavillon A est le premier logement d’étudiants construits à l’UCAD. Cela c’est avant l’accession de notre pays à l’indépendance. Il est composé de plus de 400 chambres.

100 JOURS DE DIOMAYE : Aminata Touré répond à ses anciens collègues de l’APR

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Tract-Face à la presse ce mercredi, l’ancienne Première ministre sous Macky Sall a profité de l’occasion pour répondre à ses anciens collaborateurs.

« Les membres de l’ancien régime veulent éclipser cette lueur d’espoir qui est intervenue au Sénégal depuis le 24 mars dernier. Et ils le font en tenant des propos mensongers, discourtois. Leur objectif, c’est faire oublier à l’opinion leurs scandales. Alors qu’ils ignorent carrément que c’est impossible » fait-elle savoir devant les journalistes.

Lors de son face-à-face avec les médias l’ex-présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese) a évoqué le dossier Fonds Covid-19 en fustigeant les personnes impliquées « au moment où des centaines de personnes perdaient la vie à cause de la Covid, des politiques dilapidaient l’argent du contribuable sénégalais ».

En ce qui concerne l’affaire Mbour 4, le leader du mouvement MIMI est intransigeant sur la question. « Je demande à l’Etat de reprendre tous les terrains et de les remettre au peuple », a-t-elle lancé. Invitant les autorités « à repenser les critères de lotissements pour éviter qu’une telle chose se reproduire ».

AIBD : Une Française interpellée avec 40 kg de cocaïne

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Tract-La Douane a annoncé, ce mercredi, une nouvelle saisie de cocaïne opérée à l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd).

La Brigade spéciale des Douanes de l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) a effectué une nouvelle saisie de cocaïne.

Il s’agit de 36 plaquettes d’un poids de 40,3 kilogrammes d’une contrevaleur de 3 milliards 200 millions de francs CFA, informe la Division de la Communication et des relations publiques de la Douane ce mercredi. Ladite saisie avait été opérée le dimanche 14 juillet 2024 vers 23h.

La drogue été soigneusement rangée dans deux valises appartenant à une dame de nationalité française en partance pour l’Europe. Le test positif à la cocaïne effectué par les agents des Douanes a été confirmé par le Laboratoire national d’Analyse de Drogues de la Police technique et scientifique. La mise en cause a été arrêtée et la procédure suit son cours.

DPG DE SONKO DEVANT L’ASSEMBLÉE NATIONALE : Les présidents des trois (3) groupes parlementaires se sont rencontrés

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Tract-Les présidents des trois groupes parlementaires de l’Assemblée nationale, Abdou Mbow (Benno), Ayib Daffé (YAW) et Lamine Thiam (Wallu), se sont réunis mardi dernier dans le bureau du premier.

Objectif : calmer la tension qui couve ces dernières semaines entre l’exécutif et le législatif.

Le trio a trouvé un accord en vue de la correction du Règlement intérieur du Parlement et de la Déclaration de politique générale du Premier ministre, Ousmane Sonko, devant les députés.

«Il appartient désormais au président de l’Assemblée nationale de convoquer une réunion du bureau et de la conférence des présidents pour déclencher la procédure», rapporte Les Échos, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi 18 juillet.

Aussi, informe le journal, une nouvelle proposition de loi sera initiée et une session extraordinaire convoquée. Les propositions de loi des députés Cheikh Abdou Mbacké Dolly et Nafy Diallo, déposées en ce sens, devant rester lettre morte, souffle Les Échos.

POLITIQUE : Mimi Touré face à la presse cet après-midi à 15 heures

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Tract-Aminata Touré, Présidente de Mimi24, tiendra une conférence de presse très attendue aujourd’hui au siège national de Mimi24 à Hlm Grand Yoff, Dakar.

L’événement débutera à 15 heures et devrait réunir un parterre de journalistes.

Cette conférence de presse de Mimi, membre de la Coalition Diomaye, se tient dans un contexte où la scène politique sénégalaise est en ébullition. Et cela fait suite à l’interview du President Bassirou Diomaye Faye accordée à la presse sénégalaise à l’occasion de ses 100 jours au pouvoir.

Après cette sortie, l’opposition est montée au créneau pour s’attaquer au chef de l’Etat.

FORTES PLUIES : Un (1) mort enregistré à Sédhiou

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Tract-Dans le sud du pays, l’hivernage s’est bien installé. Cependant, les fortes pluies occasionnent des dégâts matériels et humains. Hier mardi, les eaux ont emporté une vie humaine à Sédhiou.

Les pluies ont fait une victime à Sédhiou. Hier dans la journée, au quartier Santassou, une fille est tombée dans un canal. Alertés, les pompiers de la 43ème compagnie n’ont, malheureusement, pas pu sauver la victime.

Après avoir cherché au niveau de son point de chute, rien n’a été trouvé. Le corps sera finalement repêché 200 mètres plus loin. «On a pu repêcher le corps. Mais il était malheureusement sans vie. Il s’agit d’une fille âgée de 10 ans. Le corps a été acheminé à la morgue de l’hôpital régional de Sédhiou», indiquent les pompiers.

FOOT FÉMININ : Les lionnes enchaînent les victoires en préparation pour la CAN 2025

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Tract-L’équipe nationale féminine du Sénégal a bouclé ses deux rencontres de préparation pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations féminine, qui se tiendra au Maroc en 2025.

Après une victoire prometteuse de 1-0 contre la RD Congo vendredi dernier, le Sénégal a confirmé en remportant hier mardi, une seconde victoire consécutive contre la même équipe, cette fois-ci sur un score de 2-0.

A noter que Fatoumata Baldé a marqué son premier but en équipe nationale.

En juin dernier, les « Lionnes » avaient disputé deux rencontres amicales face à l’Afrique du Sud, conclues par un nul (1-1) et une défaite (0-2).

INTOXICATION ALIMENTAIRE : ‘La BRIOCHE DORÉE’ visée par une plainte d’une cliente

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Tract-Une des clientes de la Brioche Dorée a subi une mésaventure qu’elle n’est pas prête d’oublier de sitôt. En effet, tout commence le jeudi 20 juin, la cliente M.S commande un demi-poulet avec accompagnement sauce crue marinée, frites, salade et tomate à la brioche dorée de PAI.

Après consommation, elle commence à ressentir les premiers symptômes d’une intoxication, à savoir une diarrhée intense, des vomissements, du sang dans les selles et de la fièvre. Durant 48 h, elle ne consomme aucun aliment. Elle se contente juste de boire du jus de fruit de peur de vomir a expliqué la victime dans la plainte qu’elle a déposée à la police de Golf Sud, rapporte le journal Les Échos.

Après la plainte et la saisine de l’association des consommateurs du Sénégal, la jeune fille, est contactée par deux responsables de la brioche dorée pour un règlement à l’amiable. Ils ont tenté de rembourser à la fille le préjudice qu’elle a subi. Au total, c’est une somme en voisinant les 300 000 FCFA que la victime a dépensé à l’hôpital plus le préjudice subi par son entreprise avec une baisse de son chiffre d’affaires.

À en croire le journal, les responsables de la Brioche Dorée ont refusé de dédommager la jeune femme, la somme de 300.000 mille FCFA. Face à l’entêtement des responsables de l’entreprise, la cliente a décidé d’aller jusqu’au bout afin d’obtenir gain de cause.

ZIGUINCHOR : Les agents du projet ISMEA annoncent une grève du 18 au 20 juillet 2024

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Tract-Le collectif des agents du projet Investir dans la Santé de la mère, de l’enfant et de l’adolescent (ISMEA) à décidé d’arrêter toutes les activités de soins à partir du jeudi 18 juillet pour « protester contre les retards de salaires et leurs difficiles conditions de travail ».

Ledit collectif a fait l’annonce hier, lundi lors d’un point de presse tenu à l’hôpital régional de Ziguinchor.

« Conformément au droit du travail, tous les collègues du projet ISMEA sont invités à cesser toute activité de soins et à rester chez eux du jeudi 18 au samedi 20 juillet 2024 », a appelé Absatou DIOP, sage-femme, et par ailleurs porte-parole du jour. « Depuis plusieurs mois, nous constatons des retards de salaire pouvant aller jusqu’au 15 du mois pour des gens qui ne reçoivent aucune compensation pour les heures supplémentaires effectuées, ni ne bénéficient de prise en charge médicale, ni d’allocations de logement », a déploré la porte-parole des agents du projet ISMEA.

Selon toujours Absatou Diop, rapporte Walf, « ces ressources humaines qualifiées ont largement contribué à combler le gap des déserts médicaux dans ces zones, à améliorer la prise en charge médicale des populations et à impacter ainsi positivement sur les indicateurs de santé ».

FRANCE : Emmanuel Macron confirme la démission du gouvernement

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Tract-Lors d’un Conseil des ministres, dans la matinée du mardi 16 juillet, Emmanuel Macron a signifié qu’il accepterait la démission du gouvernement de Gabriel Attal, en fin de journée. Le Premier ministre a, quant à lui, garanti que son gouvernement assurera jusqu’au bout « la continuité de l’État », notamment en vue des Jeux olympiques.

C’est dans une ambiance un peu particulière que s’est tenu le Conseil des ministres, mardi 16 juillet, pour le gouvernement de Gabriel Attal.

En quittant l’֤Élysée, la ministre déléguée chargée des personnes âgées et des personnes handicapées, Fadila Khattabi, a simplement mentionné que la réunion avait été chargée en émotions, rapporte Charlotte Urien-Tomaka, du service politique de RFI.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a quant à lui dévalé le perron du palais en dénouant sa cravate, avant de rejoindre la place Beauvau, à pied. Entre les balais des voitures et la foule de journalistes, la cour de l’Élysée était en pleine effervescence.

« La reconnaissance, la passion et le devoir »

Le Premier ministre, Gabriel Attal, a affirmé durant le Conseil des ministres que son gouvernement, qui sera démissionnaire et chargé des « affaires courantes » dès mardi soir, continuerait d’assurer la « continuité de l’État », notamment en vue des Jeux olympiques.

Lors de son intervention face aux autres ministres, Gabriel Attal a tenu à saluer le travail de ses ministres. « Nous aurions pu disparaître. Nous avons évité le pire. L’avenir est à écrire. Et je sais, Monsieur le Président de la République, pour connaître les femmes et les hommes autour de cette table, que toutes et tous ont la France au cœur et que la flamme ne s’éteint jamais pour ceux qui veulent servir les Français », a dit le Premier ministre en présence d’Emmanuel Macron.

Un discours construit autour de « trois mots » : « la reconnaissance, la passion et le devoir ». « Reconnaissance » pour la « confiance » d’Emmanuel Macron, « que nous avons honorée, toutes et tous, loyalement », a-t-il dit. Et « reconnaissance, bien sûr, à titre personnel, pour tous mes ministres. Nous avons formé une équipe soudée, déterminée et au combat », a ajouté Gabriel Attal, estimant avoir « lancé des chantiers importants » pour « changer les vies concrètement ».

Le Premier ministre a ensuite salué « la passion avec laquelle, depuis six mois, deux ans, sept ans, nous avons servi la France, engagé des transformations majeures pour notre pays » et « la passion pour les Français, qui sont et demeureront les seuls guides et les seuls juges de notre action ».

Enfin, il a conclu sur le « sens du devoir exceptionnel qui a animé toute l’équipe gouvernementale », même lors des réformes « les plus impopulaires ».

EXPLOITATION DES CARRIÈRES DE NGOUNDIANE : Birame Soulèye Diop ‘sur le terrain’

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Tract-L’Etat du Sénégal entend impliquer davantage les Sénégalais dans le secteur des mines. C’est l’un des voeux de l’Etat dans ce secteur. Et l’annonce est du ministre de l’énergie, du pétrole et des mines, Biram Soulèye Diop. En visite dans les carrières de Ngoundiane, Biram Soulèye Diop s’est penché sur certaines préoccupations.

« Il arrive que nous constations que dans les entreprises qu’on retrouve très peu ou presque pas de compétences sénégalaises. Alors que ces ressources que nous exploitons, selon les dispositions de la Constitution appartiennent au Peuple. Tous les moyens doivent être déroulés pour permettre au Peuple d’avoir accès aux ressources, mais également de ressentir les répercussions en termes de compétences, d’assistance technique et des entreprises sénégalaises qui tirent profit de ses ressources », a déclaré le ministre Biram Soulèye Diop.

Le ministre a saisi l’occasion pour s’entretenir avec les travailleurs et les populations. Puisque le feu commençait à couver dans cette partie où on exploite la majeure partie des carrières du Sénégal. Les populations jusque-là n’ont jamais ressenti les avantages de ces exploitations qui se font sous leur nez. Pour le ministre Biram Soulèye Diop, cette revendication est tout à fait légitime. « Les populations ont raison de dire que nous voulons sentir l’impact. C’est organisé par la loi. Avant on avait la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE), mais elle n’ a pas de cadre légal », a informé monsieur.

D’autre part, le ministre Biram Soulèye Diop a exhorté aux entreprises à se conformer à la nouvelle législation. Cette dernière permettra aux populations et le Sénégal tout entier de bénéficier des exploitations de ses ressources.

INAUGURATION DE LA GRANDE MOSQUÉE DE TIVAOUNE : La délégation Jama- Atoun Nour Assouniya reçue par Sonko

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Tract-Le Premier ministre Ousmane Sonko a rencontré ce mardi 16 juillet une délégation de JAMA-ATOUN NOUR ASSOUNIYA. Cette dernière en a informé à travers sa page facebook.

L’ association a en charge les travaux d’achèvement de la grande mosquée de Tivaouane. Ses membres ont saisi cette opportunité pour informer le Premier ministre de la remise des clés de la mosquée au Khalif général des Tidianes. Cette cérémonie est prévue au prochain Gamou, d’après les membres de la délégation.

A ce titre, indiquent les visiteurs du Premier ministre, « l’Etat et ses services sont sollicités pour la diligence nécessaire à la finalisation des travaux et à l’inauguration prochaine de la grande mosquée ». Dans son adresse le Premier ministre a rassuré ses hôtes du jour de la contribution de l’Etat pour la réussite de l’inauguration.

PROBLÈMES D’EAU ET LITIGES FONCIERS : L’honorable député Sokhna Ba interpelle le gouvernement

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Tract-L’honorable député Sokhna Ba a fait savoir, sur sa page X, qu’elle a interpellé le gouvernement du président Bassirou Diomaye Faye à travers trois questions.

« Nous avons interpellé le gouvernement à travers trois questions écrites adressées au ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement et au ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des territoires », a écrit la députée du PUR

Selon la benjamine de l’Assemblée nationale, ces questions concernent « les problèmes d’eau dans les villages du département de Guinguinéo, le litige foncier des filaos situé dans le département de Guédiawaye, dans le site Hamo 4 et le foncier du village de Gabar 2 situé dans la commune de Léona, dans le département de Louga.

PRÉSIDENTIELLE AU RWANDA : Paul Kagame obtient 99,15% des voix, selon des résultats partiels

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Tract-Selon ces résultats lus à la télévision nationale par la présidente de la commission électorale Oda Gasinzigwa, « le candidat du Front patriotique rwandais, Paul Kagame, a obtenu 99,15% des voix à l’élection présidentielle, le candidat du Parti Démocratique Vert du Rwanda, Frank Habineza, a obtenu 0,53%, le candidat indépendant Philippe Mpayimana a obtenu 0,32% ».

Après l’annonce des résultats provisoires par la commission électorale vers 22h, Paul Kagame a pris la parole en direct du QG de son parti, le Front Patriotique Rwandais, devant ses soutiens. « Je sais que tout le monde n’est pas présent ici ce soir, mais je voulais tous vous remercier un par un, pour avoir été à mes côtés jusqu’à la dernière minute, jusqu’à ce que ce soit tranché. Ces résultats sont clairs, il n’y a plus aucun doute maintenant. Est-ce que vous m’avez déjà vu perdre espoir ? Bien sûr que non. Jamais ! Que ce soit dans le passé… ou même à l’avenir ! C’est parce que je sais que j’ai votre soutien et que nous trouverons toujours des solutions ensemble. Quant à ce score de 99%, il est très impressionnant. Et même si j’étais élu à 100%… cela n’est pas qu’une question de chiffre, c’est le reflet de la confiance que vous me portez. Et c’est ça qui compte le plus pour moi. »

Pour ce scrutin, il était opposé aux mêmes adversaires que lors de la dernière présidentielle en 2017, le leader du seul parti d’opposition autorisé Frank Habineza et l’indépendant Philippe Mpayimana, face à qui il avait remporté 98,79% des voix. Des résultats provisoires complets sont attendus le 20 juillet, avant la proclamation des résultats définitifs le 27 juillet.

Dans un bureau de Kigali, où était présente notre envoyée spéciale, Liza Fabbian, un seul nom résonnait dans la salle lors du dépouillement : Paul Kagame. Le président sortant, écrase encore une fois ses opposants, triés sur le volet. Les principales figures de l’opposition, les voix les plus critiques, ont été disqualifiées en amont de l’élection.

« Le résultat, c’est comme s’il était déjà connu »
Pourtant, la jeune Sifa est allée voter avec fierté ce lundi, elle, qui n’a connu qu’un seul dirigeant à la tête de son pays : « J’étais très curieuse de participer à une élection. C’est pour ça que je me suis levée très tôt ce matin. Ça s’est très bien passé, il y a une forte participation. Et le résultat, eh bien, c’est comme s’il était déjà connu, puisque nous savons bien ce que nous voulons. »

Durant sa campagne, Paul Kagame s’est toujours montré confiant, présentant cette nouvelle élection comme une formalité… un plébiscite de son action à la tête du Rwanda. Un message bien reçu par Claude, interrogé à la sortie de son bureau de vote : « Je viens de passer et je rentre pour dire à ma dame et aux enfants de passer aussi. Parce que c’est une obligation, c’est aussi une responsabilité pour faire avancer la société. J’ai constaté qu’il y avait de l’engouement du côté du président sortant. Maintenant, on verra. »

Après une réforme constitutionnelle adoptée en 2015, Paul Kagame peut encore diriger le Rwanda pendant deux mandats de cinq ans, jusqu’en 2034.

ÉQUIPE NATIONALE : ‘Le contrat d’Aliou Cissé va être prolongé pour un an et demi’ (Me Augustin Senghor)

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Tract-Invité de l’émission Galaxie Sport sur la RTS1, Me Augustin Senghor, président de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF), a annoncé la prolongation du contrat d’Aliou Cissé. Selon lui, le bail sera étendu pour un (1) an et demi.

« Le contrat d’Aliou Cissé va être prolongé pour 1 an et demi avec les changements de date de la CAN », a annoncé Me Augustin Senghor.

Initialement prévu pour se terminer en 2026, le contrat d’Aliou Cissé sera désormais étendu pour une durée supplémentaire d’un an et demi, portant ainsi sa validité jusqu’en 2028.

PLAINTE DE ME OUSSEYNOU FALL : Bah Diakhaté encore placé en garde à vue !

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Tract-Condamné le 3 juin dernier, à trois mois de prison ferme pour diffusion de fausses nouvelles, « l’activiste républicain » Bah Diakhaté est sous le coup d’une nouvelle procédure.

À la suite d’un soit-transmis du parquet, il a été extrait de prison hier et entendu à la Sûreté urbaine (Su) de Dakar après une plainte déposée par Me Ousseynou Fall, avocat et membre du pool qui défendait Ousmane Sonko sous l’ancien régime.

Il a été placé en garde à vue par les hommes du commissaire Bara Sangharé, chef de cette unité d’élite de la police pour « injures publiques, diffamation et menaces ».

Selon « Libération », il sera présenté ce mardi au procureur de la République près le Tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Il y a lieu de signaler que l’activiste Bah Diakhaté, est également sous le coup d’une autre procédure judiciaire qui fait suite à la plainte déposée contre lui par Ababacar Mboup, ancien patron d’And Sam Djiko Yi.

OCCUPATION DU DOMAINE PUBLIC MARITIME : Le pré-rapport remis à Sonko

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Tract-Le Premier ministre Ousmane Sonko a reçu lundi 15 juillet le pré-rapport de la commission ad hoc chargée du contrôle et de la vérification des titres et occupations sur les anciennes et nouvelles dépendances du Domaine Public Maritime (DPM) sanctionnant les deux mois de travaux de ladite commission dans la région de Dakar.

Cette cérémonie s’est déroulée en présence du ministre, Secrétaire général du Gouvernement, Président de ladite Commission, du ministre de l’Urbanisme, des collectivités territoriales et de l’aménagement des territoires ainsi que des membres de la commission.

Le service communicationnel de la primature d’indiquer que le rapport final sera transmis au Président de la République au courant de cette semaine, à l’issue de son approbation par le Premier ministre.

PEOPLE : Marième Faye Sall à Dakar pour le mariage de son fils Ibrahima Sall

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Tract-L’ex Première Dame, Marième Faye Sall, est à Dakar. L’épouse de l’ancien chef d’Etat, Macky Sall, est venue assister au mariage de son fils, Ibrahima Sall.

Ce dernier, âgé de 25 ans, s’est marié hier lundi, avec la fille du célèbre milliardaire Tahirou Sarr. Leur union a été scellée dans la plus grande discrétion à Yoff, chez le père de la mariée.

Le journal « Les Echos » qui donne l’information, renseigne que le papa du marié à savoir l’ancien président Macky Sall n’a pas assisté à la cérémonie.

Il a été représenté par une forte délégation composée du président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, du maire de Dakar-Plateau, Alioune Ndoye, de l’ancien maire de Yoff, Abdoulaye Diouf Sarr, de l’ancien ministre de la Communication Moussa Bocar Thiam, et d’autres figures de l’ancien régime.

SORTIE DE DIOMAYE : Pastef félicite le Président Diomaye Faye et défie Macky Sall

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Tract-Le Bureau politique national de PASTEF-LES PATRIOTES (BPN) a exprimé sa reconnaissance envers le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye pour son récent entretien avec la presse sénégalaise, tout en saluant ses propos sur les réalisations du Premier ministre Ousmane Sonko et de son gouvernement.

Le communiqué a loué les réalisations du nouveau régime dans divers secteurs : la gouvernance, le développement économique, social, environnemental et culturel, ainsi que la gestion des ressources naturelles et des infrastructures. Le bureau a également critiqué l’ancien régime pour ses « pratiques » passées et a appelé à une transparence accrue concernant l’utilisation des fonds publics.

Le communiqué conclut par un message à l’endroit de l’ancien président Macky Sall : « Le BPN met au défi le Président Macky Sall lui-même (larbins et cire-babouches s’abstenir) de démentir d’avoir vidé, en trois mois avant son départ, les fonds politiques de la Présidence de la République ».

Le communiqué en intégralité :

 

COMMUNIQUÉ – PASTEF|| Le Bureau politique national de PASTEF- LES PATRIOTES (BPN) félicite le Président de la République Bassirou Diomaye Faye pour sa brillante et convaincante entrevue accordée à la presse sénégalaise le samedi 13 juillet 2024.

De la même manière que le Président de la République a exprimé lors de cet entretien sa satisfaction par rapport aux réalisations du Premier ministre Ousmane Sonko et de tous les membres du gouvernement, le BPN félicite ces derniers pour les diverses performances dans les domaines de la gouvernance, du développement économique, social, environnemental et culturel, de la gestion des ressources naturelles, du foncier et des infrastructures, mais aussi pour le rayonnement international du Sénégal.

Durant ces trois derniers mois, le Sénégal a confirmé son maintien sur les voies de la souveraineté, de la justice et de la prospérité empruntées depuis le plébiscite historique du 24 mars 2024. Le nouveau régime a bien entendu le peuple sénégalais et s’est attelé à prendre, à la grande satisfaction de la majorité de la population, les mesures qui étaient les plus urgentes après 12 longues années d’étranglement.

Le Président Bassirou Diomaye Faye et le gouvernement de son premier ministre Ousmane Sonko doivent poursuivre, sans ralentir ni regarder dans le rétroviseur, leur noble mission de soulagement et de libération du peuple, bien que les tenants de l’Ancien et Pathétique Régime, qui a mis à genoux ce pays par des pratiques innommables et inimaginables trouvent encore matière à gesticuler et à narguer de leur arrogance et de leur outrecuidance les Sénégalais. Ignorance, suicide, stratégie d’anticipation ou tout cela en même temps ? Il est vrai que la peur panique peut expliquer leur fuite en avant.

Continuons résolument le travail pour la transformation systémique du Sénégal et laissons les Assassins et Pillards de la République ainsi que leurs seconds couteaux et chiens de garde aboyer, monologuer et délirer. Bientôt, leurs cris d’orfraie céderont la place à un silence assourdissant. Bientôt, les Sénégalais seront édifiés sur l’ampleur du massacre perpétré durant ces 12 années de magistère et les conséquences désastreuses qui en découlent. Le compte à rebours est lancé et personne n’échappera à l’obligation de reddition.

Par ailleurs le BPN met au défi le Président Macky Sall himself (larbins et cire babouches s’abstenir) de démentir d’avoir vidé en trois mois, avant son départ, les fonds politiques de la Présidence de la République. Dans cette circonstance, nous demanderons que les preuves de cette boulimie inélégante soient portées à la connaissance de la population.

Le don de soi pour la patrie !

SITUATION POLITIQUE ACTUELLE : ´je vous reviendrai’ lance Amadou Ba

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Tract-Amadou Bâ qui a pris part à la cérémonie de commémoration de l’anniversaire du décès de Ousmane Tanor Dieng, donne rendez-vous aux sénégalais. Il compte s’exprimer sur la situation nationale dans les prochains jours.
«Je reviendrai dans les détails pour commenter l’actualité politique nationale très prochainement», a déclaré Amadou Bâ. L’ex premier ministre est arrivé en seconde position lors de l’élection présidentielle de 2024.

«Aujourd’hui je suis là pour prier pour Tanor et commémorer l’anniversaire de sa disparition», a-t-il indiqué aux journaliste, témoignant que le défunt fut un grand patriote, un grand commis de l’Etat et un homme politique hors pair.

DUO SONKO-DIOMAYE : Thierno Bocoum soupçonne un ‘deal’

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Tract-« Un jeu trop flou », c’est ainsi que Thierno Bocoum qualifie la relation entre le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre (Pm) et mentor politique, Ousmane Sonko.

Revenant sur leurs rapports, le Chef de l’État a soutenu, samedi, qu’il souhaite au leader de Pastef de présider aux destinées du pays. Ainsi, poursuit Diomaye, « je l’encourage à non pas lorgner le fauteuil présidentiel mais à bien le regarder».

Une déclaration qui cache mal un « deal », selon Thierno Bocoum. « On est face à un président de la République qui ne met pas en avant un projet mais un deal. Son jeu avec son PM est trop flou. La constitution est claire, c’est lui (Bassirou Diomaye Faye) qui a été élu et qui jouit de la légitimité et de la légalité. Ses prérogatives en tant que président sont clairement définies et les prérogatives de son premier ministre sont claires. Donc, il ne saurait y avoir de copinage à la tête du pays », peste Bocoum.

L’ancien député (sous la bannière du Rewmi de Idrissa Seck) constater pour le déplorer, « une soumission du Président de la République envers son premier Ministre ». « Soit il assume sa responsabilité de Président de la République démocratiquement élu ou qu’il démissionne, organise des élections et aille soutenir son mentor », lance le Président du mouvement Agir qui appelle l’opposition et les forces vives à s’ériger contre ce « deal ».

AUDITION DE LA FSF PAR LA COUR DES COMPTES : Augustin Senghor ‘pas du tout inquiet’

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Tract-Le président de la Fédération sénégalaise de Football (FSF), Augustin Senghor a réagi à son audition par l’institution judiciaire financière, la Cour des comptes. Mais pour le patron du football sénégalais,il y a pas de quoi fouetter un chat. Et que cette procédure rentre dans le cadre normal des choses.

Il réagissait en marge de la finale de la coupe du Sénégal. “L’exercice de contrôle et de gestion est un exercice normal qui se fait dans un État qui se respecte. On est partis intégrante de cet État, on pense travailler au service de cet État et on a aucun problème dans le cadre de l’audit des contrôles de la CAN 2021 et de la coupe du monde 2022. C’est normal que la Cour des comptes puisse nous demander des informations qu’on a données tranquillement et tout le monde, c’est que c’est un principe connu de tous”, a expliqué Augustin Senghor.

Poursuivant, il a affirmé qu’il n’a jamais été question pour la FSF de gérer des fonds.“On sait que dans toutes les compétitions en tout cas sous notre magistère, la fédération n’a jamais géré de fonds publics. On exprime nos besoins qui sont exécutés, c’est comme ça que ça se fait. Donc, il n’y a pas d’inquiétude là-dessus, on est sereins et disponibles pour tout ce qui concerne la justification de nos activités”, s’est défendu l’édile de la commune de Gorée.

Pour rappel, la question de l’utilisation des fonds tirés de la participation de la Coupe du monde avait envahi la place publique, il y a un certain moment.

UNIVERSITÉ GASTON BERGER : Le recteur réclame l’érection d’un centre hospitalier universitaire

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Tract-L’université Gaston Berger veut l’érection d’un centre hospitalier universitaire. Ce souhait a été émis par son recteur, le professeur Magatte Ndiaye.

”Notre ambition, notre projet et notre bataille de tous les jours c’est d’avoir un centre hospitalier universitaire à Saint-Louis”, a-t-il déclaré.

Le recteur s’exprimait en marge de la cérémonie de remise de diplômes de la 7èmepromotion médecine de l’Unité de formation et de recherche des Sciences de la santé (UFR 2S).
« Saint-Louis mérite d’avoir un centre hospitalier universitaire qui permettra aux enseignants encadreurs de cette université, spécialistes de tous les domaines de la médecine de pouvoir bien exercer leur métier et surtout de prendre en charge toutes les pathologies auxquelles la population saint-louisienne, je dirais plus d’ailleurs la population des pays environnants, est confrontées, pour une bonne prise en charge », a estimé le recteur de l’université Gaston Berger de Saint-Louis.

Il n’a pas manqué de relever la ressource humaine déployée par la faculté de médecine au profit de l’hôpital.
« 50 stagiaires, que nous envoyons […] à l’hôpital de Saint-Louis et tous les chefs de service qui sont là-bas, qui se trouvent être des enseignant-chercheurs de l’Université Gaston Berger, je crois que nous sommes à l’étroit maintenant à Saint-Louis « , a argumenté le recteur de l’université.
« Saint-Louis mérite d’avoir un centre hospitalier universitaire qui permettra aux enseignants encadreurs de cette université, spécialistes de tous les domaines de la médecine de pouvoir bien exercer leur métier et surtout de prendre en charge toutes les pathologies auxquelles la population saint-louisienne, je dirais plus d’ailleurs la population des pays environnants, est confrontées, pour une bonne prise en charge », a conclu le professeur Magatte Ndiaye.

[Lettre ouverte au Président Bassirou D. Faye] Problématique du féminin patriote: Genre & Participation à la gouvernance de rupture; approche et ébauche de solutions (Par Ndeye Ramatoulaye Mangara Diop)

Excellence Monsieur le Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar FAYE,

Alors que nous venons de fêter vos 100 jours à la tête de notre si cher pays, permettez-moi de vous adresser, Monsieur le Président, cette missive en tant que citoyenne sénégalaise sincèrement préoccupée par la représentation des femmes au sein des instances de décision de notre pays. Actuellement, votre gouvernement compte quatre femmes sur vingt-cinq ministres et cinq secrétaires d’Etat, soit 13,3% de votre équipe. Ce chiffre n’est certes pas négligeable mais, reste encore insuffisant pour garantir une représentation équitable de notre société. Il est donc impératif de reconnaître qu’une véritable revue à la hausse du pourcentage de femmes dans les postes de responsabilité reste une question majeure et urgente.

Monsieur le Président de la République,

Selon le dernier rapport du recensement de l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) de 2023, les femmes représenteraient 49,4% de la population totale du Sénégal. Malgré leur importance numérique, elles ne bénéficient que de 15% des postes de direction dans le secteur privé et un peu moins dans le secteur public. Comme mentionné plus tôt, ces statistiques révèlent une sous-représentation alarmante de la gente féminine dans les sphères décisionnelles, ce qui limite non seulement leur potentiel individuel mais aussi le développement inclusif et équilibré de notre nation.
Il serait toutefois intéressant de souligner que les défis auxquels sont confrontées les femmes sénégalaises dans leur accès aux postes de décision sont multifacettes. Outre les obstacles traditionnels comme les normes culturelles et les inégalités d’accès à l’éducation (seuls 59% de femmes sur la proportion de la population âgée de 10 ans ou plus sont alphabétisées), il existe des barrières structurelles telles que les stéréotypes de genre persistants et les disparités économiques.

Cependant, ces défis représentent également des opportunités potentielles. Une plus grande représentation des femmes non seulement promeut l’égalité des chances, enrichit la diversité des perspectives et des compétences au sein des organisations mais traduit et fait escalader (implique ou informe la hiérarchie) plus fidèlement les vraies problématiques socioculturelles et économiques du genre.

Voici donc, à apprécier très humblement, quelques propositions de solutions:

Définir des Objectifs Clairs et

Mesurables (méthodologie

S.M.A.R.T) : Pour progresser vers l’inclusion, il est essentiel que le gouvernement se fixe des objectifs concrets et mesurables. Par exemple, viser à augmenter la présence des femmes à 30% dans les postes de direction d’ici 2025, avec une progression continue vers la parité totale, basée bien entendu sur la compétence, d’ici 2030. Ces objectifs devraient être accompagnés de politiques de quotas dans les nominations et les promotions pour assurer une représentation équitable non seulement dans le gouvernement mais aussi dans ses démembrements.
Afin de baliser ce premier point, il serait intéressant d’impulser**:

La définition de Programmes de Mentorat, de Coaching et l’accompagnement à la Création d’un Réseau de Solidarité Féminine
Le renforcement des programmes de mentorat et de coaching est indispensable pour soutenir le développement professionnel des femmes. Ces initiatives peuvent fournir aux jeunes femmes des modèles de réussite, des conseils pratiques et un soutien professionnel nécessaire pour surmonter les obstacles et aspirer à des rôles de leadership. Ce modèle reposerait essentiellement sur la sincérité et le vœu réel de collaboration des mentors et mentorés.

L’accompagnement à l’établissement d’un réseau solide de solidarité féminine peut jouer un rôle crucial dans le soutien continu aux femmes leaders et aspirantes. Ce réseau peut faciliter des échanges d’expériences, des mentorats informels et des opportunités de réseautage professionnel, renforçant ainsi la confiance et les compétences des femmes dans des environnements professionnels souvent dominés par les hommes.
**Impulser signifie ici avoir le leadership, poser les jalons pour la réussite de ces programmes car il n’est pas du rôle de l’Etat de les mettre en œuvre.

Le Renforcement de l’Éducation et de la Formation
Investir dans l’éducation et la formation des femmes est une priorité stratégique. Cela inclut l’amélioration de l’accès à l’éducation primaire et secondaire, ainsi que la promotion des études supérieures dans des domaines tels que les STEM (les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques). Un accès équitable à l’éducation est fondamental pour permettre aux femmes de pourvoir des postes de responsabilité; ceci basé sur le mérite et les compétences.
Nous devons quand même mettre en exergue et encourager les efforts qui sont actuellement consentis par votre gouvernement à travers les actions du Ministère de l’Education Nationale, et le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Impact Économique et Social
Les avantages économiques et sociaux d’une plus grande représentation des femmes dans les postes de décision sont indéniables.

Selon McKinsey & Company (2015) dans le document « Diversity Matters”, les entreprises avec une diversité de genre élevée étaient 15% plus susceptibles d’avoir des rendements financiers supérieurs.
Ce point concerne surtout les démembrement de l’Etat ayant la possibilité de générer des revenus tels que APIX SA ou Senum SA.

Source: Lien

Le Harvard Business Review (2016) dans son article « Why Diverse Teams Are Smarter » explique comment les équipes diverses (en termes de genre et d’expérience) prennent de meilleures décisions que des équipes homogènes. L’étude souligne que la diversité mène à une meilleure compréhension des marchés de consommateurs et à une innovation accrue.

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Aussi, Le Peterson Institute for International Economics (2016) avec son thème de recherche « Is Gender Diversity Profitable? Evidence from a Global Survey » a trouvé qu’une augmentation de 30% dans la part de leadership féminin est associée à une augmentation de 15% de la rentabilité nette.
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Enfin Boston Consulting Group (BCG) (2018) à travers son étude « How Diverse Leadership Teams Boost Innovation » a découvert que les entreprises avec des équipes de direction diversifiées génèrent 19% de plus en termes de revenus d’innovation par rapport à leurs homologues moins diversifiées.

Source: Lien
Considérations Culturelles et Sociales
Il est crucial d’aborder les défis culturels et sociaux spécifiques qui influencent la participation des femmes dans les sphères de leadership. Cela inclut la sensibilisation aux stéréotypes de genre, la promotion de modèles de rôle positifs, et le respect des traditions locales tout en promouvant l’égalité des chances et la diversité. Une approche inclusive et respectueuse de la diversité culturelle est essentielle pour construire un environnement où toutes les femmes sénégalaises peuvent réaliser leur plein potentiel.

En conclusion, Monsieur le Président,

Avec votre plébiscite porteur d’espoir et de soif de changements positifs dans la vie de tous vos concitoyennes et concitoyens, l’heure est venue pour le Sénégal de prendre des mesures décisives en faveur de la promotion des femmes dans les instances de décision. En adoptant des politiques audacieuses et inclusives, nous pouvons non seulement promouvoir la justice sociale, stimuler une croissance économique durable et équilibrée mais, de manière plus importante, prendre à bras le corps les difficultés intrinsèques au genre et à la gente.
Je voudrais terminer en vous félicitant pour la réussite de votre sortie pour vos trois mois au pouvoir . Vous avez fait preuve d’une maîtrise parfaite des sujets abordés, d’une excellente structure, d’un calme olympien mais d’une fermeté sans équivoque; ceci en mettant le Sénégalais au centre de vos préoccupations.

Respectueusement,

Ndèye Ramatoulaye MANGARA – DIOP
ramam043@gmail.com
Ingénieure électrique – Diplômée de l’Université Concordia, Montréal
Spécialiste IT (Banking, Business Intelligence, Cybersécurité…)
Spécialiste de Programmes/Projets
Membre de la Coalition Diomaye Président
Présidente de l’Association Femmes et Environnement (association oeuvrant pour l’ entreprenariat féminin et la préservation de l’environnement)
Passionnée des questions de développement relatives au Sénégal

POLÉMIQUE SUR LA DÉCLARATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE : ‘La DPG est prête depuis au moins le 10 juin’ lance Dr Abdourahmane Diouf

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Tract-Dans une interview accordée à la presse sénégalaise, samedi dans la soirée, le Président Bassirou Diomaye Faye a annoncé avoir demandé au Premier ministre, Ousmane Sonko, de surseoir à sa déclaration de politique générale populaire, qui était prévue ce lundi 15 juillet.

Le chef de l’État a également affirmé avoir persuadé le Président de l’Assemblée nationale (Amadou Mame Diop) de discuter avec la majorité pour mettre à jour le règlement intérieur. Une réunion à cet effet est prévue mardi prochain, afin que le Premier ministre, Ousmane Sonko, puisse présenter sa Déclaration de politique générale devant les députés du peuple.

Interrogé sur cette « crise » entre l’Assemblée nationale (AN) et le Pm à l’émission JDD, Dr Abdourahmane Diouf de répliquer : « Il n’y a jamais eu de crise. Il y a eu des manœuvres politiciennes auxquelles nous avons répondu par des déclarations politiques d’envergures. C’est la politique qui répondait à la politique. Et à chaque fois qu’on reviendra à un débat des institutions, nous sommes prêts ».

Dr Diouf a salué, par ailleurs, la célérité du chef de l’Etat. « Nous saluons la célérité du Président de la République qui, dans le cadre de la séparation des pouvoirs, a trouvé une solution sans tambour, ni trompette. Je pense que ça édifie aussi sur sa capacité à prendre en charge un certain nombre de dossiers sans être dans le triomphalisme. Et il est heureux que le président de l’Assemblée nationale accepte de revenir à une célérité institutionnelle, et le Premier ministre aussi va aller faire sa DPG ».

Le ministre, a tenu, toutefois, à préciser qu’: « il n’a jamais été dit que le Pm n’irait pas à l’AN faire sa DPG». Dans sa réponse à la lettre du député Guy Marius Sagna, Sonko a donné « une réponse politique à une manœuvre politicienne », a-t-il estimé.

L’invité de Babacar Fall persiste et signe : « La DPG, elle est institutionnelle. Le Président de la République est extrêmement responsable et il a réglé le problème ».

Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Sénégal, a informé avoir déjà fait sa partition pour la DPG. « Elle est prête à être communiquée aux députés du peuple depuis au moins le 10 juin. Nous avons les arguments pour faire face ».

Dr Abdourahmane Diouf de renseigner que cette DPG a été faite sur les référentielles « du Projet »

DIC : L’Imam sénégalais expulsé de la France, libre !

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Tract-L’Imam Ahmadou Kaba, expulsé de la France pour « radicalisme » puis placé en garde à vue à la Division des investigations criminelles (Dic) est libre.

Il a recouvré la liberté mercredi matin. Selon Libération qui donne l’information dans sa parution de ce lundi, sa garde à vue a été levée car les enquêteurs n’ont décelé aucun acte pouvant attester qu’il se serait radicalisé ou qu’il aurait des connections avec les milieux radicaux.

Pour rappel, Imam Ahmadou Kaba, un sénégalais âgé de 37 ans, a été expulsé de France après avoir été arrêté dans la commune de Troyes, dans le département de l’Aube. Il était connu pour ses prêches jugés « radicaux et misogynes ». Les autorités françaises ont rapidement décidé de le renvoyer du territoire français. Ahmadou Kaba a été expulsé vers le Sénégal à bord d’un vol d’Air France le mercredi 10 juillet.

SORTIE DU PRÉSIDENT DIOMAYE : Après Bougane, Thierno Bocoum face à la presse ce lundi

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Tract-Après le Président, la parole aux opposants !

En effet, après l’entretien du Président de la République avec une partie de la presse samedi, les réactions fusent de partout surtout du côté des opposants. Ainsi après Bougane, c’est au tour de Thierno Bocoum.

Ce dernier informe qu’il va tenir un point de presse ce lundi 15 juillet à 16 heures.

Le lieu sera communiqué dans les prochaines heures, renseigne le président du Mouvement Agir.

DIPLOMATIE : Bassirou Diomaye Faye nomme Abdoulaye Bathily Envoyé Spécial

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Tract-Face à la presse, samedi, le Président Diomaye Faye répondant à une interpellation sur sa mission de médiation auprès de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), a déclaré avoir convaincu le professeur Abdoulaye Bathily de devenir son envoyé spécial sur les questions Internationales.

« J’ai pu convaincre le professeur Abdoulaye Bathily (pour faire de lui) mon Envoyé spécial pas seulement sur cette mission de médiation dans laquelle la CEDEAO m’a impliqué, mais aussi sur d’autres missions pour lesquelles, j’aurai besoin de son expérience, de sa respectabilité et de sa stature », a -t-il fait savoir, indiquant par ailleurs : « Avant d’accepter ce poste d’Envoyé spécial Abdoulaye Bathily « m’a régulièrement conseillé par rapport aux prises de position », a dit Bassirou Diomaye Faye.

Diomaye en a profité pour rendre hommage à ces « grands hommes, connus ou moins connus, vivants ou illustres disparus qui se sont beaucoup sacrifiés. En reposant sur eux, on peut bâtir des consensus forts au niveau national, dans la sous-région mais aussi au niveau international ».

100 JOURS DU DUO SONKO-DIOMAYE : Bougane tire sur le nouveau régime

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Tract-Lors du face-à-face avec la presse à l’occasion de ses 100 jours au pouvoir, le président Bassirou Diomaye Faye a fait un bilan de ses réalisations et sa feuille de route.

Cette intervention a suscité de nombreuses réactions, notamment celle de Bougane Guèye Dany, leader du mouvement Guem Sa Bopp, qui n’a pas mâché ses mots pour critiquer l’actuel régime.

« Nous serons des sentinelles pour faire face au régime. J’ai entendu le président hier dire que c’est très tôt pour faire un bilan. Alors qu’il loue les qualités de son Premier ministre. Ce qui veut dire qu’il est contradictoire », a-t-il déclaré.

Bougane soupçonne un deal entre le président sortant Macky Sall et Ousmane Sonko. Car les deux hommes ont des accords et désaccords. Ainsi il accuse les politiciens sénégalais d’œuvrer pour les puissances occidentales. « Ousmane Sonko et Macky Sall se sont rencontrés à plusieurs reprises. Ils ne diront pas le contraire. J’ai des preuves ».

En matière d’emploi des jeunes, surtout les marchands ambulants, Bougane Guèye a été particulièrement virulent. Il a affirmé que le président Bassirou Diomaye Faye avait échoué dans ce domaine tout comme son prédécesseur, ne parvenant pas à offrir des solutions concrètes à la jeunesse désillusionnée et en quête d’opportunités.

En outre, il a critiqué certaines déclarations du président, qu’il a jugées déconnectées de la réalité vécue par la population. Il a exhorté le président à se concentrer davantage sur les problèmes quotidiens des citoyens et à proposer des mesures concrètes pour améliorer leur situation.

SORTIE MÉDIATIQUE DU PRÉSIDENT DIOMAYE : Abdou Mbow ‘déçu’

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Tract-Suite aux propos tenu par le Président, Bassirou Diomaye Faye, samedi face à la presse les réactions ne se sont pas fait attendre du côté des hommes politiques surtout la nouvelle opposition. Sur cette lancée, Abdou Mbow, président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY), ne semble pas aimer les témoignages du Président envers son Premier ministre.

Ainsi, sans tourner autour du pot, le député de Bby qui s’est confié à Rfm, demande la démission du chef de l’Etat, pour organiser des élections enfin d’élire Ousmane Sonko, au vu de ce qu’il a dit sur l’Assemblée nationale. Il a même annoncé une déclaration prochaine pour rétablir la vérité.

Pour revenir sur ses propos : « Je voudrai montrer ma déception qui est une déception grande. Quand un Président mobilise la presse, je pensais qu’il allait dire enfin où son régime va aller, où se trouve le Projet que l’on cherche qui est invisible. Et dire enfin que son Premier ministre va aller faire sa déclaration de politique générale. Nous avons vu un président de la République qui a montré qu’il n’est pas l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Ousmane Sonko, je ne lui dis pas de lorgner le fauteuil mais de le regarder. Mais, s’il n’est pas capable de diriger le Sénégal, au nom de Dieu, il n’a qu’à démissionner et organiser des élections anticipées pour élire Sonko comme il le souhaite », a déclaré le président du groupe parlementaire BBY.

Poursuivant : « Tout ce qu’il a dit sur l’Assemblée Nationale en protégeant son Premier ministre est loin de la vérité. Le Sénégal ne mérite pas des hommes d’Etat comme ça. Dans les prochains jours, on fera une déclaration pour éclaircir tout ce qu’il a dit. Parce que tout ce qu’il a dit est faux… Et, ça n’a rien à voir avec la réalité ».

GAMOU MÉDINA BAYE 2024 : Le comité d’organisation a tenu sa première réunion

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Tract-Dans un communiqué rendu publique, il est noté que le Comité d’organisation des manifestations et activités de la Fayda (COMAF) s’est réuni le samedi 13 juillet pour lancer les préparatifs relatifs au Gamou international de Médina Baye Niass.

Cette rencontre, lit-on sur le document a été présidée par le président du COMAF, Serigne Cheikh Baye Mamoune Niass, en présence des différents membres, avec l’autorisation et la bénédiction du khalife de Médina Baye Niass, Cheikh Mouhamadou Mahi Niass.

Une occasion pour le comité d’organisation de passer au peigne fin le bilan de l’année dernière, dégager les grandes orientations à travers les doléances qui seront posées sur la table du gouvernement, l’organisation interne. Le comité d’organisation va déposer le cahier des sollicitations auprès du préfet de Kaolack.

Le communiqué informe qu’ un CRD sera organisé avec le gouverneur de Kaolack et un suivi régulier sera fait par le comité d’organisation pour prendre en compte toutes les doléances posées sur la table du gouvernement.

JAXAAY : Un étudiant arrêté avec 27 plaquettes de haschisch

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Tract-La police de Jaxaay a porté un nouveau coup dur dans le milieu interlope. Tout a commencé lorsque le limier en chef a été informé d’un intense trafic de haschisch entretenu par un étudiant établi à Almadie 2.

Séance tenante, un limier, habillé en civil, est entré en contact avec le dealer en passant une commande de quatre plaquettes. Ne se doutant de rien, M.Diop a débarqué sur les lieux du rendez-vous où il a été interpellé en possession de 27 plaquettes de haschisch, selon des sources de Seneweb.

Interrogé sur procès-verbal, l’étudiant incriminé a reconnu son statut de dealer avant de balancer l’identité de son fournisseur établi à Ngor.

DIOMAYE SUR L’EXPLOITATION DU PÉTROLE : ‘Nous allons renégocier tous les contrats pétroliers’

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Tract-Dans une interview exclusive accordée à la presse sénégalaise, le Président Bassirou Diomaye Faye a réaffirmé son engagement à renégocier les contrats miniers et pétroliers. Il a affirmé que ces renégociations visent à accroître la part du Sénégal dans les revenus générés par ces ressources naturelles.

« Ma conviction est qu’on aurait pu mieux négocier parce que d’autres pays africains l’ont fait. Notre stratégie est de voir les pistes de renégociation. De ce fait, nous allons renégocier les contrats et essayer de voir comment investir sur d’autres secteurs pour leur développement et éviter la malédiction du Pétrole », a déclaré le chef de l’Etat.

Il a également abordé la question de la « malédiction du pétrole » et du « syndrome hollandais », en exprimant son désaccord avec ces concepts.

« Je ne crois pas à la malédiction du pétrole ou le syndrome hollandais. La stratégie est de faire de cette ressource un levier pour développer les autres secteurs (métiers du numérique, formation professionnelle, agriculture et pêche) », a-t-il expliqué.

« Nous allons renégocier pour augmenter nos parts. Après les renégociations, vous verrez un grand changement. Nous devons croire en notre potentiel. Il y aura une renégociation et ce sera bénéfique pour le Sénégal », a promis le Président Faye.

[ACTU MONDE] Donald Trump victime d’une tentative d’assassinat !

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Tract-L’ex-président Donald Trump, candidat républicain à l’élection américaine de novembre, a été évacué d’un meeting de campagne en Pennsylvanie, du sang visible sur son oreille droite, après que des détonations ont été entendues, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Il serait victime d’une tentative d’assassinat, la balle est passée à quelques centimètres de son oreille.

Donald Trump, qui venait de commencer son discours, a aussitôt été entouré par ses gardes du corps qui l’ont escorté de l’estrade à sa voiture.

Il a levé le poing en signe de défi, sous les acclamations de ses partisans.

BASSIROU DIOMAYE FAYE SUR LES AMBITIONS PRÉSIDENTIELLES DE SON PM : ‘Il mérite le fauteuil présidentiel’

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Tract-Lors de la conférence de presse tenue ce samedi au palais présidentiel, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a abordé avec clarté sa relation avec son Premier ministre, Ousmane Sonko.

En réponse à une question sur leur relation, le Président Faye a souligné sa confiance en son Premier ministre, le qualifiant comme étant le meilleur des Premiers ministres de l’histoire du Sénégal.

« Je suis très serein, car j’ai le meilleur des Premiers ministres de l’histoire du Sénégal », a déclaré le Président Bassirou Diomaye Faye.

Interrogé sur la possibilité qu’il ne fasse qu’un seul mandat présidentiel et qu’il soutienne la campagne de Sonko pour la présidence, le chef de l’Etat s’est voulu clair.

« J’ai évolué pendant 10 ans sous son ombre avec loyauté, je l’encourage à non pas à lorgner le fauteuil présidentiel, mais à regarder le fauteuil. Il mérite le fauteuil présidentiel, car il s’est beaucoup sacrifié pour le Sénégal. Il a les compétences et les capacités pour mener le pays de l’avant », a ajouté le Président.

Le chef de l’État a également clarifié sa relation avec Ousmane Sonko dans le cadre de leurs rôles respectifs : « Celui que tu voulais qu’il soit président de la République, s’il devient maintenant Premier ministre, c’est bénéfique. Mon estime ne changera en rien sur sa personne. J’étais sous son ombre, aujourd’hui, je suis son supérieur puisque je suis le président de la République. Ce n’est pas un problème. Constitutionnellement, le Premier ministre n’est pas puissant », a soutenu le locataire du Palais présidentiel.

PRÉSIDENT DIOMAYE FAYE SUR LES FONDS SPÉCIAUX ET POLITIQUES : ‘Je n’ai rien trouvé’

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Tract-L’ex Président de la République Macky Sall a-t-il siphonné les fonds politiques de la présidence avant de partir? Dans une interview accordée à 5 médias sénégalais pour marquer ses 100 premiers jours au pouvoir, le Président Bassirou Diomaye Faye a déclaré avoir trouvé des caisses totalement vides. En effet, interpellé sur les fonds spéciaux et politiques, il confie: «je n’ai rien trouvé».

Ces fonds, gérés dans une opacité totale et sans aucune traçabilité ni contrôle eu égard à leur caractère secret, s’élèvent à 10 milliards de F CFA par an sous la Présidence de Macky Sall, selon certaines informations. Ils s’élevaient à 8 milliards F CFA par an sous la présidence de Wade et à 500 millions sous Abdou Diouf.

Revenant sur sa promesse de les supprimer, le président Bassirou Diomaye Faye semble rétropédaler. Il envisage d’en faire des fonds secrets gérés par un comité restreint.

POLÉMIQUE SUR LA DÉCLARATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE : ‘J’ai demandé à Ousmane Sonko de sursoir à sa déclaration prévue ce lundi’

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Tract-Le débat sur la déclaration de politique générale (DPG) de Ousmane Sonko a même retenti au palais présidentiel. Face à la presse, ce samedi, le président Bassirou Diomaye Faye affirme avoir agi en sous-marin pour régler cette affaire.

« Je n’ai pas été silencieux sur ce qui se passe à l’Assemblée nationale. Mais je ne l’ai pas fait savoir à la presse. Le Premier ministre a été dans la logique de faire sa DPG à l’Assemblée, mais il a été interpellé par un député (Guy Marius Sagna) et c’est normal qu’il réponde », a fait savoir Bassirou Diomaye Faye, qui reproche aux députés d’avoir souhaité violer la loi pour répondre à la volonté d’Ousmane Sonko de ne pas faire sa DPG à l’Assemblée.

Face à cette situation à l’Assemblée, Bassirou Diomaye Faye a décidé de convier au palais le président de l’hémicycle, Amadou Mame Diop. Il a également parlé au Premier ministre Ousmane Sonko pour lui demander de reculer. « J’ai dit à Amadou Mame Diop de rectifier le règlement intérieur le plus rapidement possible pour que le Premier ministre puisse venir faire sa DPG. Après cette discussion, il a organisé une réunion, ils ont décidé de faire mettre à jour le règlement intérieur mardi. Ousmane Sonko avait dit vouloir faire sa DPG devant une assemblée populaire lundi, je lui ai dit de sursoir puisque j’ai discuté avec les membres de l’Assemblée. Après leur réunion de mardi, si le règlement intérieur est corrigé, il ira faire sa DPG. Le Premier ministre Ousmane Sonko a accepté ma requête », a fait savoir Bassirou Diomaye Faye.

MOBILE ET INTERNET : Orange évoque des perturbations !

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Tract-Si vous êtes abonnés de Orange et que votre réseau a subi des perturbations aujourd’hui, ce n’est pas à votre niveau. L’opérateur de téléphonie vient d’annoncer des soucis techniques à son niveau.

«Sonatel informe son aimable clientèle que des perturbations sont notées pour certains clients sur les réseaux mobile et Internet», a annoncé la compagnie de téléphonie.

Elle déclare qu’un retour progressif est actuellement noté, tout en assurant que ses équipes techniques sont toujours mobilisées pour un rétablissement du service.

MISS SÉNÉGAL 2024 : Mame Fama Gaye de Fatick sacrée !

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Tract-La Miss Sénégal nouvelle vision 2024 s’appelle Mame Fama Gaye, 24 ans, 1m80. Elle vient de la région de Fatick. La 2èmedauphine est la Miss de Louga et la troisième Miss, celle de Dakar, Mariem Ly, étudiante en licence de droit.

La cérémonie a été riche en spectacle et en couleurs, mélangeant modernité et astuces traditionnelles. Le public du grand théâtre Doudou Ndiaye Coumba Rose a eu droit à quatre tableaux avec des tenues traditionnelles accompagnées de belles chorégraphies. Ensuite, s’en est suivi une présentation avec des tenues de ville au cours de laquelle les robes de soirée chic et glamour brillant ont été mises en scènes.

Multiples facettes sous les projecteurs, teint noir, marron ou foncé ou encore teint clair, sourire ravageur pour tenter de séduire les jurés. Avant de venir à la culture générale pour jauger le niveau intellectuel de ces belles-dames. Mais au final, c’est la région de Fatick qui est sacrée.

CONFÉRENCE DE PRESSE : Après le Président Diomaye, Bougane s’adressera aux Sénégalais !

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Tract-Entre l’opposant Bougane Guèye Dany et les tenants du nouveau régime, c’est du marquage à la culotte.

«Le président du parti ‘’Gueum Sa Bopp’’ organise un point de presse le dimanche 14 juillet 2024, à 19 heures», informe son service de communication.

Le rendez-vous avec les journalistes est convoqué au lendemain de la conférence de presse très attendue du président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Celle-ci est prévue ce samedi au Palais.

ÉDUCATION : Les décisions de nomination et les arrêtés d’admission, tous signés par l’État !

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Tract-Le gouvernement a apuré toutes les instances de décisions de nomination et arrêtés d’admission parfois vielles de plus de 5 ans. Selon le journal Le Témoin dans sa parution du jour, les décisions de nominations, les régularisations d’indemnités, les arrêtés d’admission au certificat d’aptitude professionnel (CAP) et au certificat élémentaire d’aptitude pédagogique (Ceap), ainsi que les arrêtés de catégorisation des établissements ont tous été signés.

Le journal rapporte que tous les arrêtés de catégorisation des établissements de 2023 à 2024 ont-ils été signés. De même que les décisions de nomination et de régularisation d’indemnités compensatoires de surcharge horaire concernant un total de 2890 enseignants pour les années 2020, 2021 et 2023.
Pour ce qui est des arrêtés d’admission au certificat d’aptitudes pédagogiques (CAP) et au Certificat élémentaire d’aptitudes pédagogiques, (CEAP) ce sont 7370 enseignants concernés.

D’après le ministre de l’éducation nationale, Moustapha Guirassy, rapporte le journal, cela va garantir une classification appropriée et actualisée des établissements scolaires au Sénégal, des conditions de travail optimales pour les enseignants, mais aussi et surtout améliorer l’efficacité administrative dans le secteur de l’éducation nationale.

KENYA : Le chef de la police démissionne après les manifestations meurtrières

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Tract-Au Kenya, le chef de la police a dû démissionner au lendemain du limogeage de la quasi-totalité du gouvernement et deux semaines et demie après des manifestations contre un projet de loi de finances violemment réprimées par les forces de l’ordre locales. Japhet Koome a en effet démissionné ce 12 juillet 2024 et le président du pays, William Ruto, l’a accepté, selon un communiqué publié sur X par le porte-parole de la présidence. L’intéressé était en poste depuis novembre 2022.

Aux yeux des manifestants, il était vu comme le responsable des violences policières qui ont émaillé le mouvement de contestation de la loi de finances, rapporte notre correspondante à Nairobi, Gaëlle Laleix.

Le 25 juin, des manifestations contre de très contestés projets de nouvelles taxes avaient dégénéré, de jeunes manifestants prenant d’assaut le Parlement. La police avait tiré à balles réelles sur la foule.

Selon la Commission nationale kényane des droits de l’Homme (KNHCR), 39 personnes sont mortes depuis la première manifestation le 18 juin. De nombreuses organisations de défense des droits humains ont alors critiqué les méthodes employées par les forces de l’ordre et demandé l’ouverture d’enquêtes.

Mais si le départ de Japhet Koome était une des requêtes des manifestants, cela pourrait ne pas calmer la tension. « Sa démission n’est pas suffisante, déplore Ernest Cornel, chargé de communication de la KNHCR. Il doit assumer ses responsabilités. Il doit être jugé ! ». La KNHRC avait déjà porté plainte l’année dernière contre Japhet Koome. Mais cela pour les violences policières qui avaient eu lieu durant la contestation post-électorale de 2017 et qui avaient tué 33 personnes.

Une dizaine de corps retrouvés près du poste de police de Kware
Le même jour, une dizaine de corps ont également été retrouvés dans le bidonville de Mukuru à Nairobi. Enfermés dans des sacs plastiques, ils gisaient à l’air libre dans une carrière, non loin du poste de police de Kware. Quand les populations se sont regroupées pour demander des comptes, elles ont été dispersées aux gaz lacrymogènes. Une enquête est ouverte et les fouilles se poursuivront demain.

Le bilan pourrait encore s’alourdir, car les fouilles de la police, ont été interrompues en fin d’après-midi par un mouvement d’humeur des riverains de Mukuru, qu’elle a dispersés avec des gaz lacrymogènes. « Comment la police peut-elle passer à côté d’une chose pareille, s’indigne un habitant joint par téléphone. On veut des réponses. »

Le fait que les corps aient été retrouvés dans des sacs plastiques rappelle le sinistre souvenir de la rivière Yala. En mars dernier, une quarantaine de cadavres, y avaient été retrouvés emballés de manière similaire. Les organisations de défense des droits de l’homme avaient alors soupçonné que ces dépouilles appartiennent à des victimes d’exécutions extrajudiciaires.

« Nous n’en sommes pas là, tempère Ernest Cornel, chargé de communication de la Commission kényane des droits de l’homme. mais la police doit faire la lumière sur ce qui s’est passé à Mukuru, établir des responsabilités et justice doit être rendue. »

Les violences policières sont plus que jamais au cœur des préoccupations du mouvement de la jeunesse Gen Z, c’est-à-dire la génération Z.

La police kényane avait déjà été accusée d’usage excessif de la force et d’exécutions extrajudiciaires. Et des manifestations contre la vie chère, à l’appel de l’opposition, avaient donné lieu l’an dernier à des pillages et des affrontements meurtriers au Kenya, faisant au moins 50 morts selon les ONG. Le 26 juin, William Ruto avait annoncé le retrait du projet de loi de finances.

Jeudi 11 juillet, le chef de l’État a annoncé le départ de la quasi-totalité de son équipe, à l’exception de son ministre des Affaires étrangères et du vice-président du pays.

BILAN DES TROIS (3) MOIS DU DUO SONKO-DIOMAYE : ‘En 100 jours, on ne peut pas changer la vie d’une Nation’

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Tract-Entre critiques et interpellations, les 100 jours du régime Sonko- Diomaye occupent ses derniers jours les débats. Allant des hommes politiques, des organisations de la société civile et ou des citoyens lambdas, c’est le sujet de choix dans toutes les discussions.

Une situation qui ne laisse pas indifférent le directeur général de la RTS, Pape Alé Niang. Le journaliste qui semble mal à l’aise face à cette actualité qui fait la une de tous les journaux dénonce une fixation et signale qu’on ne peut pas changer la vie d’une Nation en 100 jours.

«On fait trop de fixation sur les 100 jours du régime. Un concept à la limite médiatique. Mais que représentent 100 jours dans un mandat de 5 ans ? Peut-on vraiment maîtriser l’appareil étatique si complexe en 100 jours ? Peut-être décliner une vision…

Parler des premiers actes posés. Mais en 100 jours, on ne peut pas changer la vie d’une Nation. Certains diront Thiéne bou naré nekh bou bakhé khégn. Wayé si 100 jours dém marché rek gua mana tool », a publié le DG de RTS sur son compte X.

DIPLOMATIE : Le Président Bassirou Diomaye Faye a reçu la ministre turque de la Famille et des Affaires sociales

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Tract-Son Excellence, le Président Bassirou Diomaye Faye a reçu aujourd’hui Mahinur ÖZDEMİR GÖKTAŞ, la ministre turque de la Famille et des Affaires sociales.

Selon la Présidence qui donne l’information sur son compte X la ministre Turque est en mission à Dakar.

Toutefois la même source précise que Mme ÖZDEMİR GÖKTAŞ était porteuse d’un message du Président turc Recep Tayyib Erdogan à destination de son homologue sénégalais.

ORIENTATION DES NOUVEAUX BACHELIERS : Les inscriptions sur CAMPUSEN ouvertes du 07 au 27 août 2024

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Tract-Dans un communiqué rendu public, ce vendredi, la Direction générale de l’Enseignement supérieur porte à la connaissance des nouveaux bacheliers que les inscriptions sur la plateforme CAMPUSEN vont démarrer à partir du mercredi 7 août 2024 et prendront fin, le mardi 27 août 2024 à 23 h 59 mn.

À noter que CAMPUSEN est la plateforme où se font les demandes de préinscription et d’admission dans les établissements publics d’enseignement supérieur du Sénégal (universités publiques et instituts supérieurs d’enseignement professionnel-ISEP).

Pour les inscriptions, le document indique que les nouveaux bacheliers devront créer un compte afin d’obtenir un numéro d’Identification nationale de l’étudiant (INE).

C’est suite à cela qu’ils pourront faire leurs choix d’orientation dans les différentes filières des établissements publics (universités publiques et Instituts supérieurs d’enseignement professionnel-ISEP). Toutefois, la direction ajoute que le nouveau diplômé doit valider sa demande d’admission.

[FOCUS ‘TRACT’] DÉCOUVERTE/CULTURE: La particularité du mariage Dinka où la mariée est libre pendant 4 ans 

TRACT – Les Dinka sont un peuple d’agriculteurs-pasteurs du Soudan du Sud vivant dans les régions du bassin du Nil, au sud du Kordofan et du Nil Supérieur.

 

Les Dinka sont considérés comme l’un des peuples les plus hauts d’Afrique et du monde. La taille moyenne des hommes, selon diverses estimations, est de 185 à 190 cm et celle des femmes de 175 à 180 cm. 

Le peuple Dinaka n’a pas d’autorité politique centralisée, mais plutôt de nombreux clans indépendants mais liés. Les populations se déplacent dans le Darfour selon une tradition millénaire qui suit un cycle pastoral de 60 ans. Ce cycle est déterminé par les conditions de reconstitution des ressources naturelles.

Les Dinka vivent en petites communautés autonomes de tradition patrilinéaire et exogame. Ainsi, la société dinka, divisée en classes, repose sur une structure dualiste : chaque clan est divisé en deux groupes, dans lesquels seuls les mariages exogamiques sont autorisés, l’homme prenant son épouse dans l’autre groupe opposé. 

Chez les Dinka, un mariage, même consenti, peut s’assimiler à un achat qui n’est conclu que lorsque le prétendant accepte de fournir au père de la femme qu’il convoite, un certain nombre de têtes de bétail.

Dans la coutume du mariage Dinka, malgré le paiement d’une dot allant de 100 à 500 vaches, les femmes sont traitées avec piété.

Une fois qu’un homme se marie, sa femme ne cuisinera ni ne balayera pendant 4 ans.  Cette période est appelée « Anyuuc » (Accueil Généreux). Il est destiné à la nouvelle mariée de se reposer, de se détendre et d’étudier les valeurs de la ferme de son mari.

Pendant ce temps, la sœur de son mari fera la cuisine, lavera les ustensiles, ramassera du bois de chauffage, cherchera de l’eau et fera d’autres travaux domestiques jusqu’à plus tard.

Après 4 ans, son mari décide d’organiser une très grande fête appelée « Thaat » (fête de la cuisine) où 3 vaches et 5 chèvres sont abattues pour initier une femme à la cuisine pour la famille.

Hadj Ludovic 

 

JUSTICE : Viviane condamnée à payer plus de 16 millions à NSIA Assurances

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Tract-Le Tribunal de grande instance de Dakar a rendu son verdict sur l’affaire opposant la chanteuse Viviane Chidid à NSIA Assurances Sénégal. La reine du Djoloff Band qui a perdu la manche, a été condamnée à payer la somme de 16 millions 324 mille 916 F CFA en guise de réparation.

Les Échos qui donne l’information dans sa parution de ce vendredi, renseigne que Viviane a été déclarée « responsable des dommages causés à l’immeuble Goéland sis à Dakar, Boulevard Djily Mbaye, cercle Mess des officiers ».

Le juge de la 3e Chambre civile souligne que la Nsia Assurances Sénégal est subrogée dans les droits de son assuré le sundic immeuble Goeland S/C3H Immobilier.

OPÉRATION DE DÉSENCOMBREMENT DU PLATEAU : Le maire Alioune Ndoye ne compte pas reculer !

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Tract-Le maire de Dakar Plateau, Alioune Ndoye n’entend pas reculer d’un iota dans sa lutte contre le désencombrement du centre ville. C’est donc un combat de longue haleine qui s’installe entre autorités municipales du Plateau et marchands ambulants.

En atteste la journée de mercredi qui a été particulièrement marquée par des violences. En cause les agents municipaux chargés de cette opération de déguerpissement se sont vus opposer une farouche résistance par les camelots. C’est donc dire que que la situation commence à prendre d’autres proportions. D’autant plus que les vendeurs ambulants n’entendent pas se laisser faire.

La mairie de Dakar plateau contre vents et marrées poursuit son initiative. Ce jeudi encore, les agents de la mairie ont investi le centre ville pour poursuivre le travail. Et c’est le même spectacle que celui d’hier qui s’est offert à eux.

L’édile de Dakar plateau abordant le sujet face à la presse a affiché sa ferme volonté de poursuivre les opérations de déguerpissement tant qu’il a l’aval de l’Etat. « Ce qui s’est passé au marché Sandaga est totalement inacceptable. Je rappelle aussi que nous allons assumer. Nous allons continuer ces opérations de déguerpissement jusqu’à ce que les autorités étatiques qui nous avaient instruits de procéder à ces opérations nous demandent d’arrêter », a confié le maire sur les ondes de la RFM.

Le maire de Dakar Plateau, au moment de confier ces mots à la RFM, le préfet de Dakar Dr Djiby Diallo était en conclave avec les marchands ambulants. Cette rencontre est pour, certainement, aboutir à une solution. D’ailleurs, la présidente du Haut conseil du dialogue social, madame Innocence Ntap Ndiaye a lancé un appel tendant à privilégier le dialogue. Elle a fait cette invite lors de son intervention dans la partie « point de vue » du journal midi de la RFM de ce jeudi.

DÉCLARATION DE PATRIMOINE DU PRÉSIDENT DIOMAYE ET DU PREMIER MINISTRE OUSMANE SONKO : Madiambal Diagne réclame leur publication

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Tract-« Déclaration au niveau de l’Ofnac et du Conseil Constitutionnel, c’est bien mais les rendre publiques c’est encore mieux », à soutenu le patron du groupe Avenir communication sur X.

Rappelons que le Premier ministre, Ousmane Sonko, indique le communiqué du Conseil des ministres du mercredi 10 juillet, et les autres membres du gouvernement ont déjà déclaré leur patrimoine.

ARRESTATION DU PRÉSUMÉ MEURTRIER DE AWA CISSÉ À KAFOUNTINE : La Gendarmerie apporte des précisions

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Tract-Le présumé meurtrier de la dame Awa Cissé a été arrêté par la Gendarmerie nationale le 07 juillet 2024 à 17 heures. Cela grâce à l’enquête ouverte par le Haut-commandant et diligentées par la compagnie de Gendarmerie de Bignona avec l’appui de la Section de Recherches de Ziguinchor. Il sera présenté aux autorités judiciaires compétentes.

Dans le communiqué, la Gendarmerie nationale renseigne que depuis le mois de janvier 2024, les populations de Kafountine ont vécu une série d’agressions nocturnes de femmes dans leurs domiciles.
Selon toujours la note publiée, « l’agresseur muni d’une arme blanche, infligeait des blessures à ses victimes et emportait leurs téléphones portables.

« Dans la nuit du 28 au 29 juin 2024. l’une de ses agressions a entraîné la mort de la nommée Awa CISSE, décédée des suites de ses blessures infligées par arme blanche ».

VOLEURS DE CANIVEAUX : Le ministre Cheikh Tidiane Dièye annonce des sanctions judiciaires

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Tract-Le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Cheikh Tidiane, a annoncé des mesures décisives contre ceux qui sabotent les caniveaux et volent des matériaux essentiels aux infrastructures hydrauliques révélant que le Directeur Général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a déposé une plainte contre X auprès de la gendarmerie.

Cette action selon le ministre vise à sanctionner les individus impliqués dans ces actes préjudiciables à la gestion des infrastructures hydrauliques du pays.

TRAFIC DE DROGUE : 365 kg de cocaïne saisis par la Douane à Koumpemtoum

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Tract-La Brigade mobile des Douanes de Koumpentoum (est du Sénégal dans la région de Tambacounda), a effectué une importante saisie de 365,04 kg de cocaïne. Cette quantité est évaluée à une valeur de vingt-neuf milliards deux cent trois millions deux cent mille francs CFA (29.203.200.000 FCFA). Cette saisie a eu lieu ce mercredi 10 juillet.

Dans le cadre d’un contrôle, les soldats de l’économie ont immobilisé un camion pour procéder à un contrôle. Mais le chauffeur en a profité pour prendre la fuite, s’en est suivi une longue course-poursuite. Malgré tout, le fugitif a réussi à s’échapper et à s’éclipser dans la nature.

Selon des informations de Seneweb et reprises par les Echos, la marchandise a été soigneusement dissimulée dans des cavités spécialement aménagées. Ainsi, l’opération douanière a abouti à la saisie de 338 plaquettes de cocaïne sur un plateau venant de l’étranger.

FRAUDE AU BAC : Les huit (8) candidats arrêtés à Dahra Djoloff jugés et condamnés

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Tract-Les huit (08) candidats au baccalauréat 2024 arrêtés à Dahra Djoloff (nord-ouest) pour fraude lors du premier tour de l’examen, ont été jugés mercredi, par le tribunal de Louga. L’administrateur du groupe WhatsApp « Sampou Rek », A. F, a été condamné à un mois de prison ferme. Quand aux sept (07) autres ,ils ont écopé de 15 jours de prison ferme.

Devant la barre, les fraudeurs ont avoué et reconnu les faits qui leur sont reprochés. Du coup, leur avocat aurait demandé la clémence pour ses clients.

Parmi les prévenus y figurent deux filles : une allaitante et une mariée sans enfant.

Par ailleurs, dans la même localité, deux candidats admis au second tour du bac ont été arrêtés hier mercredi, pour « tricherie », lors des épreuves de mathématique.

DIPLOMATIE : Le vice-ministre des Affaires étrangères russe reçu par le Président Diomaye

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Tract-Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye a reçu en audience ce mercredi 10 Juillet, le vice-ministre des Affaires étrangères russe, représentant spécial du Président de la Fédération de Russie en Afrique et au Moyen Orient Mikhaïl Bogdanov.

En visite depuis mercredi sur le territoire sénégalais, il compte vulgariser sa coopération et renforcer ses partenariats avec le Sénégal dans divers secteurs.

Selon l’agence de presse russe Tass, le président sénégalais et son hôte ont discuté « de projets communs dans le secteur de l’énergie, de l’exploitation minière et du traitement des minéraux », dans le cadre du renforcement des relations russo-sénégalaises.

ÉVASION À LA PRISON DE MATAM (Source A)

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Tract-Un pensionnaire de la prison de Matam se serait évadé entre samedi et dimanche derniers. «Le détenu aurait pris la poudre d’escampette le matin de bonne heure», précise Source A, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi, citant des informateurs «proches de la Maison d’arrêt et de correction (MAC)».

Contacté par le journal, qui déclare n’avoir pas réussi à joindre les responsables de la MAC de Matam dans une première tentative de vérification des faits, l’administration pénitentiaire n’aurait ni confirmé ni infirmé l’information. «Nous ne sommes pas forcément tenus d’apprendre ce qui se passe à Matam», aurait répondu un interlocuteur du quotidien d’information.

Source A ajoute que l’évadé serait un trafiquant de drogue domicilié au quartier Soubalo, qui purgeait une peine de deux ans. «Aux dernières nouvelles, le fugitif est toujours dans la nature», souligne le journal.

‘SÉTAL SUNU RÉEW’ : La 3e édition prévue les 3 et 4 août prochains

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Tract-Le Chef de l’Etat est revenu sur l’ancrage social du concept d’engagement citoyen « Setal Sunu Rew ».

Il a félicité le Premier Ministre, le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, les membres du Gouvernement, les Autorités administratives, les Maires, les services de l’Etat, les acteurs privés, les jeunes, les femmes et les forces vives de la Nation en action, pour le succès de la seconde édition de la Journée de mobilisation nationale « Setal Sunu Réew » qui s’est déroulée le samedi 06 juillet.

Dans le même sillage, Bassirou Diomaye Faye a demandé au Gouvernement de veiller à la bonne préparation de la 3ème édition qui sera consacrée à la thématique de la « Reforestation » dans le cadre de la Journée nationale de l’arbre. Celle-ci sera exceptionnellement célébrée les samedi 03 et dimanche 04 août 2024.

GESTION DES FONDS PUBLICS : La FSF convoquée par la Cour des comptes

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Tract-Selon DSports, les tensions internes au sein de la Fédération sénégalaise de football (FSF) n’ont pas échappé à la vigilance de la Cour des comptes, qui surveille de près cette institution depuis un certain temps. En conséquence, la Cour des comptes a décidé d’examiner minutieusement la gestion des dirigeants de la FSF.

Le président Augustin Senghor, son deuxième vice-président Abdoulaye Sow, ainsi que l’ancien président de la Commission des finances Abdoulaye Fall, ont été convoqués par les enquêteurs. Ces derniers, selon le site, cherchent à clarifier l’utilisation des fonds publics attribués à la Fédération, ainsi que les revenus générés par les différentes compétitions auxquelles le Sénégal a participé, telles que la Coupe du monde au Qatar en 2022 et la Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire en 2023.

Les dirigeants de la FSF ont été entendus peu de temps après les deux derniers matchs de qualification pour la Coupe du monde 2026 contre la RD Congo (1-1) et la Mauritanie (1-0). Selon DSports.sn, la Cour des comptes a exigé que Me Augustin Senghor et son équipe soumettent rapidement une liste détaillée contenant toutes les informations relatives aux subventions, primes et revenus perçus durant la période de la Coupe du monde 2022 et des récentes compétitions africaines.

 

Cette initiative serait perçue favorablement par de nombreux observateurs, qui la considèrent comme le début d’une nouvelle ère. Plusieurs présidents de clubs ont relevé que, depuis deux décennies, les rapports financiers présentés par la FSF lors des assemblées générales manquaient souvent de justificatifs appropriés. En d’autres termes, la Cour des comptes passera au crible l’ensemble des finances de la FSF pour vérifier si les fonds publics sont utilisés de manière adéquate pour le développement du football sénégalais.

DÉCLARATION DE PATRIMOINE : Birahim Seck interpelle le Conseil constitutionnel

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Tract-Dans le Communiqué du Conseil des ministres de ce mercredi, le Premier ministre Ousmane Sonko s’est félicité de l’acquittement par le Président de la République lui-même et l’ensemble du Gouvernement de leurs obligations de déclaration de patrimoine.

Ces déclarations ont été respectivement reçues au Conseil Constitutionnel et à l’OFNAC, dans les délais impartis, à savoir trois (3) mois après la prise de fonction. Par conséquent, le PM a demandé aux Ministres de veiller au respect scrupuleux de cette exigence, par les responsables assujettis, placés sous leur tutelle.

Réagissant à cette réflexion du Premier Ousmane Sonko, Birahim Seck du Forum civil a posté un message et non des moindres sur son compte X.
Le message de monsieur Seck sonne comme quelqu’un qui est resté sur sa fin par rapport à une préoccupation. « L’information sur la déclaration de patrimoine des assujettis présents au Conseil des ministres du 10 juillet 2024 est appréciable. Cependant, le Conseil constitutionnel n’a pas encore fourni au public l’information relative au patrimoine du Président Diomaye et son Premier ministre Ousmane Sonko », a affiché Birahim sur son compte X.

RÉSULTATS 1er GROUPE DU BACCALAURÉAT : L’Office du Bac évoque une amélioration par rapport à 2023

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Tract-Dans un communiqué en date de ce mercredi 10 juillet la Direction de l’Office du Baccalauréat, informe que cette année, il y a eu une amélioration par rapport à 2023.

Ce communiqué fait suite aux résultats du premier groupe d’épreuves. Le nombre d’admis selon l’office du bac est de « 35.492, soit un taux de réussite (admis d’emblée) de 23,40%, contre 22,13% en 2023 et 24,05% en 2022 ›, révèle le Pr. Cheikh Ahmadou Bamba Gueye.

Le directeur de l’Office a également précisé que 49.025 candidats sont autorisés à subir les épreuves du second groupe, soit 32,33% des présents contre 33,81% en 2023 et 33,58% en 2022.

Selon le Document de l’Office du Baccalauréat, 8.784 candidats sont admis avec mention. Ils sont répartis ainsi : 156 mentions « Très bien » contre 126 en 2023 ; 1.483 mentions « Bien » (ils étaient 1.132 en 2023) et 7.145 mentions « Assez bien » contre 5.217 en 2023.

À noter que les épreuves du second groupe ont démarré depuis hier.

COMMUNIQUÉ DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 10 JUILLET 2024

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Tract-Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 10 juillet 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a présenté ses meilleurs vœux de santé, de paix et de bonheur à la Oummah Islamique au seuil du nouvel an musulman 1446. Il a saisi cette occasion pour demander au Gouvernement de prendre toutes les mesures requises pour assurer le bon déroulement des évènements religieux à savoir le Grand Magal de Touba, le Maouloud et l’Assomption qui se tiendront dans les prochaines semaines au Sénégal. Revenant sur les recommandations des Assises de la justice et des réformes urgentes de ce secteur, le Chef de l’Etat a marqué son accord de principe sur les recommandations consensuelles des Assises de la justice consignées dans le rapport. Il a félicité le Gouvernement, le Ministre de la Justice notamment, les membres de son Cabinet, le facilitateur, les membres du Bureau et le Comité scientifique des Assises, ainsi que toutes les parties prenantes pour leurs contributions remarquables ayant permis l’élaboration et la mise à disposition d’un rapport public de qualité.

Le Président de la République a salué l’esprit participatif et inclusif de l’exercice, soutenu en cela par l’activation de la plateforme JUBBANTI. Cette innovation notable dans la communication de l’Etat consacre la digitalisation de la participation citoyenne à l’action publique mais également le pragmatisme dans le déploiement du PROJET de transformation systémique du Sénégal. Ce qui s’inscrit dans l’engagement primordial à asseoir un Etat de droit, une République exemplaire et une Nation solidaire à travers des institutions fortes et une justice crédible qui agrée le Peuple sénégalais au nom duquel elle est rendue. Le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre, au Ministre de la Justice et aux ministres concernés, de lui proposer un calendrier de mise en œuvre des réformes du secteur de la justice en droite ligne du programme législatif du Gouvernement. Cet agenda législatif doit viser notamment la révision de la Constitution et des Codes spécifiques.

Le Président de la République a demandé l’évaluation, sous l’égide du Ministre des Finances et du Budget, des coûts et impacts financiers des réformes proposées en vue d’apprécier l’opportunité de leur priorisation dans la programmation budgétaire. Il a informé le Conseil de sa disponibilité à recevoir encore toute contribution ou proposition pertinente relative à la réforme du Conseil supérieur de la Magistrature concernant notamment l’élargissement de ses membres aux acteurs n’appartenant pas au corps des magistrats et la problématique de la présence dans l’instance du Président de la République et du Ministre de la Justice.

Le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre et au Ministre de la Justice de faire une communication mensuelle en Conseil des Ministres sur l’état de mise en œuvre des recommandations et décisions issues des Assises de la justice et de tenir compte, dans cet exercice à leur conformité avec les valeurs de notre société, notre culture et nos croyances. Au chapitre de la gestion durable de l’assainissement des Communes du Sénégal, le Chef de l’Etat a fait remarquer que l’urbanisation croissante du Sénégal et les difficultés d’aménagement de nos Communes ont accéléré le phénomène des inondations et augmenté les besoins en infrastructures d’assainissement. Il a demandé au Premier Ministre et au Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement d’intensifier, avec la Brigade nationale des Sapeurs-pompiers et l’ensemble des services de l’Etat mobilisés, le déploiement efficace des dispositifs de prévention et de gestion des inondations dans les localités touchées. Il a souligné, en outre, la nécessité de mobiliser, en mode alerte, les mécanismes publics de solidarité nationale pour assister les populations sinistrées en relation avec les autorités administratives. Le Président de la République a demandé au Premier Ministre d’évaluer les actions de lutte contre les inondations déroulées dans cette dernière décennie pour ensuite engager une réorientation de la stratégie nationale d’assainissement en cohérence avec le renouveau des politiques en matière d’aménagement du territoire, d’urbanisme et d’habitat. Il a, à ce titre, invité le Premier Ministre à procéder à l’actualisation et à la généralisation des Plans directeurs d’Assainissement (PDA) et de lui proposer un nouveau Programme intégré de Développement de l’Assainissement (PIDA).

Le Chef de l’Etat est revenu sur l’ancrage social du concept d’engagement citoyen « Setal Sunu Réew ». Il a félicité le Premier Ministre, le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, les membres du Gouvernement, les Autorités administratives, les Maires, les services de l’Etat, les acteurs privés, les jeunes, les femmes et les forces vives de la Nation en action, pour le succès de la seconde édition de la Journée de mobilisation nationale « Setal Sunu Réew » qui s’est déroulée le samedi 06 juillet. Il a, dans le même sillage, demandé au Gouvernement de veiller à la bonne préparation de la 3ème édition qui sera consacrée à la thématique de la Reforestation dans le cadre de la Journée nationale de l’arbre. Celle-ci sera exceptionnellement célébrée les samedi 03 et dimanche 04 août 2024. Au titre de son agenda diplomatique, le Président de la République a informé le Conseil de sa participation, le 07 juillet 2024 à Abuja, au 65ème Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO. Dans sa communication, le Premier Ministre a fait part des visites qu’il a effectuées à Touba et à Tivaoune auprès du Khalife général des Mourides et du Khalife général des Tidianes. Il a saisi l’occasion de ces visites pour entretenir les Khalifes généraux de l’ambition de transformation systémique du Sénégal avec les principes de JUB, JUBAL et JUBBANTI.

Le Premier Ministre s’est ensuite félicité de l’acquittement par le Président de la République lui-même et l’ensemble du Gouvernement de leurs obligations de déclaration de patrimoine, respectivement au Conseil Constitutionnel et à l’OFNAC, dans les délais impartis, à savoir trois (3) mois après la prise de fonction. Il a demandé aux Ministres de veiller au respect scrupuleux de cette exigence, par les responsables assujettis, placés sous leur tutelle. Évoquant le succès des journées de mobilisation citoyenne, le Premier Ministre a recommandé que cette activité puisse se muer en un Programme national de promotion de la citoyenneté et de l’Economie sociale et urbaine. Cette évolution permettrait d’ancrer l’esprit de volontariat et de responsabilité effective dans la gestion de la salubrité publique, aux fins de favoriser l’insertion socioprofessionnelle des jeunes. Revenant sur les enseignements de sa participation à la journée « Setal Sunu Réew » du 6 juillet 2024 à Saint-Louis pour y représenter le Chef de l’Etat, le Premier Ministre a déploré les retards relevés dans l’exécution des chantiers d’assainissement, de gestion des inondations et de lutte contre l’érosion côtière, notamment des différents projets et programmes. Ces constats rendent urgente l’élaboration d’un état des lieux complet de ces projets et programmes. Le Premier Ministre a également insisté, à la suite du Chef de l’Etat, sur l’importance capitale attachée à la gestion préventive des inondations, en engageant le Ministre des Finances et du Budget à accorder une priorité absolue, dans les arbitrages budgétaires, à la prise en charge des dépenses y afférentes.

Enfin, le Premier Ministre a informé le Conseil de la mise en place, sur instruction de Monsieur le Président de la République, par arrêté en date du 3 juillet 2024, d’un Comité d’examen des contrats conclus dans les secteurs stratégiques. Le Comité a pour mission principale d’analyser, dans les contrats susvisés, la présence centrale de l’intérêt national ainsi que ses mécanismes de sauvegarde en vue d’assurer, le cas échéant, les objectifs d’équilibre requis. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : • Le Ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères a rendu compte du déroulement de l’édition 2024 du Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam ; • Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement a fait le point sur la journée nationale « Setal Sunu Réew » et sur les inondations ; • Le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a fait le point sur « les vacances agricoles ».

Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement Amadou Moustapha Njekk SARRE.

100 JOURS DE DIOMAYE : La Coalition Diomaye Président face à la presse ce samedi

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Tract-Selon le communiqué parvenu à Tract, la coalition Diomaye Président va tenir une conférence de presse ce samedi 13 juillet 2024 de 14h à 18h à l’Amphithéâtre de la Maison de la Presse Babacar Touré.

Cela pour marquer les trois mois de la prise de fonction du Président Bassirou Diomaye FAYE.

D’après cette note, signée par la présidente de la coalition Dr Aida Mbodj, tous les membres de ladite structure politique vont prendre part à cette rencontre avec la presse.
Selon les membres de l’actuel régime ce rendez-vous avec la presse sera « l’occasion de communiquer en particulier sur les actions phares prises par le Président de la République pour améliorer leurs conditions de vie et, en général sur l’actualité politique ».

MEURTRE DE AWA CISSÉ : Les aveux glaçants du tueur présumé

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Tract-Le présumé meurtrier de la dame Awa Cissé, lâchement tuée le 28 juin dernier à Kafountine sur son lit conjugal, a été arrêté le lundi dernier par les gendarmes de la Section de recherches de Ziguinchor. Il s’agit de Daouda Diallo plus connu sous le sobriquet de Abdou Diallo.

Selon L’Obs, le mis en cause est arrivé, il y a un an, à Kafountine. Originaire de la Guinée, il était orpailleur à Kédougou avant de migrer à Kafountine où il a été hébergé par son oncle.

Déniché et arrêté par les gendarmes-enquêteurs de la Section de recherches de Ziguinchor, Daouda Diallo alias «Abdou Diallo» a été perdu par son téléphone portable. Il a été localisé par les hommes en bleu à Kafountine.

Après son arrestation, il est retourné, hier mardi, sur les lieux du crime. Une reconstitution des faits a été organisée dans la matinée, par les gendarmes-enquêteurs. A l’occasion, il a fait un aveu de taille.

«Je reconnais les faits qui me sont reprochés. Je suis l’auteur de tous ces actes barbares et plus particulièrement la dame Awa Cissé que j’ai tuée sous les yeux de ces enfants à coups de machette», a reconnu, devant les gendarmes-enquêteurs, Daouda Diallo dit Abdou Diallo.

KAFFRINE : Un agent de police se suicide chez lui

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Tract-Un agent de police s’est donné la mort, mardi, en se tirant une balle, nous apprend l’APS.

Un agent de police s’est donné la mort, mardi, en se tirant une balle, a appris l’APS, du commissaire central de la police de Kaffrine, Balla Fall.

Brigadier-chef en service au commissariat central de Kaffrine, il a été retrouvé dans sa salle de bain.

Issu de la 36eme promotion de l’Ecole nationale de Police, il était un agent ”très professionnel, modeste”, selon les témoignages de ses proches.

Les causes de son suicide restent pour le moment inconnues.

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