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[TRIBUNE] Macky Sall : le baroud d’honneur ou le chemin vers un 3ème Salltennat ? (Par Mamadou Lamine Diatta)

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Tract-Le Président Macky Sall aime bien ressasser son attachement viscéral au code d’honneur.

Aujourd’hui, c’est un euphémisme de dire qu’il est plutôt préoccupé par un baroud d’honneur aux allures inédites.
L’homme reste plus que jamais au cœur du jeu politique malgré la récente défaite de « son candidat » Amadou Ba.

Le Président Sall tient à barrer la route à un pouvoir engagé dans une opération vitale de consolidation des acquis pour dérouler enfin et mettre en œuvre le fameux Projet.
Macky Sall a donc décidé d’enfiler le bleu de chauffe afin d’engager un énième combat pour taper de nouveau dans l’œil des électeurs Sénégalais, mettre en ballotage le tandem Diomaye/ Sonko, contrôler l’assemblée nationale et rebondir de manière spectaculaire à la face du monde.
Vaste programme !

Le 4ème Président de la République du Sénégal a vraiment le Sénégal au cœur. Ce n’est point un jeu de mots au regard de cette posture, sa posture à lui qui reste une première dans l’histoire politique de cette jeune nation.

Jamais un ancien Chef d’État n’a tenu autant à tirer les ficelles pour prolonger son existence politique et peser de tout son poids dans l’élaboration des lois et la mise en œuvre des politiques publiques. Pas même son ancien mentor Maître Abdoulaye Wade qui avait , faudrait-il le rappeler soutenu en première ligne des listes du Pds et de sa fameuse coalition Wallu avec une sobriété pourtant en porte à faux avec son tempérament.

Macky Sall assure encore une présence plus que symbolique dans le jeu politique en acceptant de renforcer l’opposition pour éviter une majorité écrasante du nouveau pouvoir à l’assemblée nationale qui plongerait le pays dans le chaos à ses dires…
La même majorité qui lui avait permis de faire passer des lois et de gouverner à l’image de ses prédécesseurs Senghor, Diouf et Wade.
Il battra campagne au Sénégal selon un des hommes d’influence de son premier cercle, Farba Ngom en l’occurrence.
Il interviendra à partir du Maroc selon d’autres sources.
Alors viendra ou viendra pas ?
Les chemins de la politique restent insondables.
Dans le royaume Chérifien, l’ancien Président risque de passer pour un hôte encombrant en vertu des règles diplomatiques liées à l’obligation de réserve.
Mais Macky Sall est un politicien racé qui n’a pas l’habitude d’abdiquer…
Ce n’est pas le genre de ce guerrier qui a décidé de battre le rappel de ses troupes.
Il reste plus que jamais un acteur majeur du jeu politique.

Au détriment d’un certain Amadou Ba…Clairement ! Cette sourde guéguerre entre les camps de Macky et Amadou Ba se présente comme du pain beni pour l’actuelle majorité présidentielle.
Mais l’ancien poulain du Président Wade n’en a cure.
La pique liée au maquillage des chiffres officiels lancée il ya quelques jours par le Premier ministre Ousmane Sonko lui a visiblement fait mal.
Résultat, ce jeudi quasiment l’essentiel de la presse s’est jeté sur l’info pour la placarder à la Une en usant à fond de cet énième os à ronger…
Il est intéressant d’analyser les dynamiques actuelles.

Ce pays est rongé par la politique politicienne. Le développement économique et le progrès économique importent peu pour cette classe politique plutôt préoccupée par une bataille à fleurets mouchetés sur les chiffres de la polémique.
Au même moment ,Bakel Matam et d’autres localités situées le long du fleuve Sénégal attendent avec impatience d’hypothètiques soutiens de leurs concitoyens.
Mais tout le monde semble rester focus sur les prochaines législatives qui s’annoncent comme la der des ders ; le dernier « Mortal kombat  » entre Macky Sall et cette galaxie Sonko actuellement aux affaires…
Mais Macky Sall a peu de chances de gagner ce dernier combat d’autant qu’il n’a plus les leviers de la puissance publique. Mieux, les Sénégalais avaient congédié le 24 mars dernier son « candidat » qu’il a lui-même soutenu du bout des lèvres.
Autre paradoxe typiquement sénégalais !
Voilà toute la complexité de la mission de cet homme actuellement englué dans une sorte de labyrinthe pour sauver des soldats qui peinent à faire fonctionner la machine APR en son absence.
À dire vrai, cette bipolarisation entre les galaxies Sonko vs Macky Sall est tellement prononcée qu’on a assisté à une comparaison entre le Projet Sénégal 2050 et le PSE.
Senghor avait ses plans de développement, son successeur Abdou
Diouf, peu gâté par le contexte de marasme économique tenait mordicus à son ajustement structurel et ses nombreuses privatisations.
Maître Wade avec la légendaire grandiloquence qu’on lui connaît avait ratissé large en proposant le Plan Oméga pour l’Afrique et la Goana.Rien de nouveau sous le soleil : Chaque régime essaie de réussir son opération séduction en lançant un nouveau Plan ou Projet.
Autrement dit,sur les questions liées au développement et à la prise en charge des préoccupations existentielles du Sénégal réel ,la notion de continuité de l’Etat est écartée d’office par les divers acteurs.
Chaque régime tient à marquer son territoire et son empreinte.
Chaque Plan, chaque Projet comporte une forte dose politicienne voire propagandiste.
Normal, chacun veut marquer également son passage à la tête de l’État…
Et on tourne en rond depuis 1960…

[INTERVIEW ] Léona AHANDA, « construire une masculinité positive et épanouie. »

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Tract-Entretien avec Leona AHANDA, jeune femme camerounaise engagée, Gender advocate et Présidente de l’association Elle & Lui dont le leitmotiv est « Inspirer l’égalité et Forger le leadership. »

Association Elle et Lui : la genèse.

Il faut dire qu’initialement, j’avais envisagé la création d’un think tank pour faire du plaidoyer en faveur de l’égalité des sexes et de l’intégration de la dimension genre dans les politiques publiques. Cependant, j’ai rapidement réalisé que cette idée était plutôt commune, étant donné le nombre d’organisations déjà engagées dans ce domaine et qui le font remarquablement bien. Je cherchais donc une idée novatrice, impactante, visant un public spécifique et des actions concrètes.

Mon entourage me reconnaît sous le surnom de « Femme Forte et Indépendante ». Un jour, j’ai observé ma petite sœur, âgée de 7 ans, s’approprier cette identité avec tant de détermination, répondant à quiconque : « Je suis une femme forte et indépendante » et elle est tellement vaillante ! Cet instant a été révélateur. J’ai saisi qu’il était possible de modeler les enfants à un âge précoce pour qu’ils grandissent imprégnés de ces valeurs. Étant passionnée par le contact avec les enfants, je constate qu’ils se confient aisément à moi, appréciant nos échanges.

Ainsi est née l’association « Elle & Lui », le fruit de cette combinaison d’idées et de passions !

Quelle est la feuille de route de Elle et Lui ?

Notre feuille de route vise à créer un environnement où les deux sexes peuvent s’épanouir pleinement, développer leur leadership et s’affirmer. Nous mettons l’accent sur le respect, l’égalité et le soutien mutuel pour accompagner les jeunes dans leur développement personnel et social.

Nos axes d’intervention sont : Développement du leadership chez les jeunes filles; Éducation à la masculinité positive chez les jeunes garçons; Éducation à l’engagement citoyen et communautaire des jeunes; Promotion de l’égalité des sexes et lutte contre les stéréotypes de genre.

Votre association va-t-elle couvrir toutes les régions du pays ?

Bien-sûr que oui! Nous aspirons à étendre notre action et à couvrir progressivement toutes les régions du pays pour offrir nos programmes d’épanouissement et d’autonomisation aux jeunes filles et aux jeunes garçons, quelle que soit leur localisation. Et pourquoi pas à l’international ! On

Le monde de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes enregistre déjà plusieurs associations comme la vôtre. Quelle sera votre plus value ?

La particularité de notre approche réside dans notre volonté de modeler les enfants dès leur plus jeune âge (de 10 à 18 ans), en leur transmettant des valeurs d’égalité, de respect et de confiance en soi. En mettant un accent sur l’épanouissement des jeunes filles et la promotion d’une masculinité positive chez les jeunes garçons.

Comment comptez-vous soutenir le développement du leadership des jeunes filles dans les milieux défavorisés ?

Nous mettrons en place des programmes de développement du leadership spécifiquement conçus pour les jeunes filles des milieux défavorisés. Ces programmes incluent des ateliers de développement personnel, des sessions de mentorat et des opportunités d’engagement citoyen pour les aider à prendre confiance en elles et à devenir des leaders inspirantes.

On parle beaucoup plus d’autonomisation des jeunes filles et on a tendance à mettre de côté le fait que les jeunes garçons aussi ne sont pas en reste dans un contexte socio-économiquement atroce. Qui devrait être responsabilisées de l’autonomisation masculine ?

Le “Men empowerment” est également important dans un contexte de diversité et d’inclusion. Je crois en une responsabilité partagée: celle des individus, des familles, des éducateurs/trices, de  la société etc dans son ensemble pour promouvoir une masculinité positive. En encourageant les jeunes garçons à remettre en question les stéréotypes de genre, à exprimer leurs émotions et à développer leur sensibilité pour construire une masculinité positive et épanouie.

Propos recueillis par Baltazar Atangana.

LÉGISL’HÂTIVES : L’ordre de passage des listes sur la Rts publié !

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Tract-Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) a tenu une réunion ce jeudi avec la Radiodiffusion-Télévision Sénégalaise (RTS) et les représentants des 41 listes de candidats validées pour les élections législatives anticipées. Au cours de cette rencontre, un tirage au sort a été effectué afin de déterminer l’ordre de passage des listes pour l’enregistrement de leurs déclarations sur la RTS.

Les listes de candidats qui auront l’opportunité de s’exprimer en studio à la RTS dans l’ordre de passage établi sont les suivantes :

1. Coalition Farlu

2. Coalition Defar Sa Gokh

3. Les Nationalistes Jel Linu Moom

4. RV Naatangué

5. Coalition Mankoo Ligeeyal Sénégal (MLS)

6. Entité Alliance Nationale pour la Patrie

7. Secteur Privé

8. Union Naatall Kaaw-Gui (U.N.K)

9. Coalition Dekkal Teranga

10. Coalition Actions

11. Parti Bes du Niakk

12. Parti Alliance Jef Jel

13. Jubanti Sénégal

14. Union Citoyenne Bunt-Bi

15. Union Nationale pour l’Intégration, le Travail et l’Équité (U.N.I.T.E)

16. Coalition Xaal Yoon

17. Coalition Diam Ak Njarin

18. Coalition Dundu

19. Union des Groupes Patriotiques

20. PASTEF

21. Coalition Gox Yu Bees

22. Coalition Fédération du Renouveau

23. Marche des Territoires Andu Nawlé

24. Coalition Pôle Alternatif Kiraay Ak Ntantangue 37ème Voie

25. Coalition Samm Sa Kaadu

26. And Doolel Liguey Kat Yi

27. Grand Rassemblement des Artisans du Sénégal

28. And Ci Koolute Ngui Sénégal (AKS)

29. And-Suxali-Production-Transport-Ak-Commerce-Laap-Fal-Jikko

30. Sénégal Kese

31. Samm Sa Gafaka-Samm Sa Elleg Acsif

32. And Liguey Sunu Rew

33. Parti Ensemble pour le Sénégal (PEPS)

34. Parti Garap-ADS

35. Coalition And Beesal Sénégal-ABS

36. Alsar

37. Takku Wallu Sénégal

38. Coalition Nafoore Sénégal

39. Coalition Républicaine Samm Sunu Rew Jotal Kaddu Askanwi

40. Coalition Wareef

41. Coalition Sopi Sénégal

Les enregistrements des déclarations des candidats débuteront le jeudi 24 octobre dans les studios de la RTS. Chaque liste bénéficiera d’un temps d’antenne quotidien de 3 minutes pour présenter ses idées et programmes, dans le cadre d’un processus visant à garantir une information équitable et diversifiée aux électeurs.

CHAVIREMENT D’UN BATEAU AU MÔLE 2 : La version officielle du Port de Dakar

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Tract-Le Bateau «Princess Jessica» a coulé dans les eaux du Port autonome de Dakar (Pad). Les responsables portuaires se sont expliqués sur cet incident pour en donner les raisons.

Un incident s’est produit au Port Autonome de Dakar (Pad). En effet, un bateau a coulé au niveau du mole 2. Dans un communiqué de Presse parcouru par iGFM, le Pad explique que le navire dénommé «Princesse Jessica», qui était à quai, «a été heurté par le Mv Zografia, entraînant le chavirement du premier.»

Le Port assure cependant, qu’il y’a pas eu de perte en vie humaine et que les mesures nécessaires pour le renflouement du navire seront rapidement mises en œuvre. «Immédiatement après l’incident, les équipes du port sont intervenues pour sécuriser la zone. Un balisage a été mis en place et les procédures administratives ont été engagées conformément aux réglementations en vigueur», informe-t-il.

Les autorités portuaires soulignent aussi, que l’incident n’a aucun impact sur les activités portuaires, qui se poursuivent normalement.

AMADOU BA À SONKO : « Un chef de gouvernement ne crie pas au scandale »

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Tract-La campagne électorale pour les élections législatives prévue le 17 novembre 2024 a déjà débuté, même avant l’heure officielle. Dans la soirée du mercredi 16 octobre, le parti au pouvoir, Pastef Les Patriotes, a organisé un direct animé par son président, Ousmane Sonko, pour inciter ses militants et responsables politiques à contribuer financièrement à leur campagne, avec des montants allant de 1 000 à 5 millions de FCFA. De son côté, Amadou Ba, leader de l’opposition et tête de liste de la coalition « Jam ak Jarin », a rendu visite au mouvement des femmes de son parti situé aux Parcelles Assainies.

Dans son discours, Amadou Ba a annoncé son retour sur la scène politique, entraînant son choix de rester silencieux face à la gestion du nouveau régime. Il a exhorté ses militants et sympathisants à se mobiliser sur le terrain.

« La campagne en vue des législatives qui va démarrer bientôt est une campagne de responsabilité et de décision. Et il ne peut y avoir que deux choses : soit vous êtes fatigués de la situation actuelle du pays et vous voulez vous en sortir, vous votez pour la coalition « jam ak jarin », nous avons la solution. Soit vous continuez à subir », a déclaré en wolof, l’ancien Premier ministre sous Macky Sall.

Et de poursuivre : « J’avais pris congé, mais je suis de retour. Si je faisais souvent des sorties pour m’exprimer, ils seraient les premiers à dire qu’on cherche à leur nuire. C’est pourquoi j’avais opté pour le silence. Je les regardais faire, mais je savais, qu’ils en arriveraient là. Il n’est pas tard pour se rattraper, et ça ce n’est pas mon travail, c’est le vôtre. Il est temps que vous parliez à vos enfants. Il est temps que vous parliez avec vos époux, il est temps d’en parler sur les marchés, les mosquées, d’en parler autour de vous, de façon convaincante sans frustrer personne. Mais on ne peut forcer personne. Nous voulons la victoire pour le Sénégal, car nous sommes tous fatigués, nous souffrons tous ensemble, mais nous avons la solution ».

Concernant les sorties de l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko, Amadou Ba a estimé que « la position d’un gouvernement, c’est d’être présent quand tout va bien et de rassurer quand les choses ne sont pas bonnes. Un chef de gouvernement ne crie pas au scandale », a-t-il lancé à l’endroit du leader de Pastef.

BAKEL : Un enfant de 7 ans meurt noyé dans les eaux de crue

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Tract-Un drame est survenu ce jeudi, à Bakel, localité située sur la rive gauche du fleuve Sénégal, qui marque la frontière avec la Mauritanie en rive droite. Un mort a été enregistré. Il s’agit d’un enfant âgé de 7 ans. La victime a perdu la vie dans les eaux à Kidira, selon la Rfm.

Plusieurs villages, à Bakel, sont engloutis dans les eaux depuis plus de 3 jours, suite au lâcher des eaux du barrage de Manantal. Des familles ont perdu leurs domiciles. Pour se déplacer, les populations utilisent des pirogues.

Pour l’heure, aucune mesure urgente n’est prise. Le ministre de l’Intérieur, Jean Baptiste Tine, a effectué le déplacement sur les lieux avant hier, mardi, pour constater de visu les dégâts. Suite à sa visite, la jeunesse soninké a fait face à la presse à Dakar, pour dénoncer le retard noté dans l’aide que le gouvernement doit apporter aux sinistrés.

Lors d’un live sur sa page Facebook mercredi soir, le Premier ministre, Ousmane Sonko a annoncé que l’Etat va débourser la somme de 8 milliards de F Cfa pour soutenir les populations victimes des inondations causées par le débordement du fleuve.

Le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, est d’ailleurs, annoncé dans la région de Kédougou le vendredi 18 et samedi 19 octobre pour visiter les zones sinistrés le long de la Falémé et apporter la solidarité de la Nation au populations concernées

L’HOROSCOPE DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : une bonne nouvelle ! Vénus vous offre des possibilités de vous évader du quotidien !

Taureau : pas toujours facile, mais il est à présent nécessaire de renforcer la confiance que vous avez en vous !

Gémeaux : Vénus visite votre secteur relationnel, et l’Autre devient le centre de vos pensées !

Cancer : vous aurez plein de choses à faire et pourtant il faudra faire des pauses !

Lion : Vénus, en signe ami, vous donne mille occasions d’aimer, de jouer, et d’être inspiré artistiquement !

Vierge : cette tendance n’est pas votre tasse de thé, mais vous en tirez des avantages côté foyer !

Balance : vos échanges sont utiles, agréables et vos messages passent, quitte à vous déplacer !

Scorpion : que vous soyez en difficulté, ou que vous souhaitiez faire un emprunt, vive vos finances !

Sagittaire : vous êtes l’élu de cette période avec une vie plus douce, un charme fou, l’espoir renait !

Capricorne : c’est dans l’intimité et la complicité que vous vivrez les meilleurs moments à venir !

Verseau : en vue ? De nouvelles rencontres, et dans la vie en société, vous faites votre effet !

Poissons : si vous cherchez un job, ou que vous en changiez, vous avez vos chances !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides du Sénégal de ce jour

• 18 Octobre 1987Installation à Yoff de Seydina Mame Alassane Laye, quatrième Khalife de Seydina Limamoulaye. Il succède à Seydina Issa Laye II. La confrérie musulmane soufie des Layènes ou Layeniya est née en 1883 lorsque son fondateur Limamou THIAW plus connu sous le nom de Seydina Limamoulaye avait lancé un appel aux croyants, un appel dans lequel il s’était proclamé l’envoyé de Dieu, le Mahdi. Seydina Limamoulaye a été rappelé à Dieu en 1909, à l’âge de 66 ans.

• 18 Octobre 1975En Egypte, l’Association Sportive des Forces Armées (ASFA) remporte la coupe d’Afrique des clubs champions de basketball masculin après avoir battu en finale le Zamalec SC du Caire.par 78 points à 69.

• 18 Octobre 1960
Ordonnance portant amnistie des infractions commises au cours ou à l’occasion des incidents survenus à Tivaouane le 20 juin 1959 et à Fatick le 28 juillet 1960.

• 18 Octobre 1957
Mariage en secondes noces de Léopold Sédar SENGHOR, député du Sénégal à l’Assemblée nationale française, avec Colette Hubert DE BETTEVILLE appartenant à une famille de la noblesse normande. Un an plus tard, naissait Philippe Maguilen SENGHOR, l’enfant unique du couple, décédé à Dakar, le 6 juin 1981.dans un accident de voiture. En premières noces, le député Senghor avait épousé le 12 septembre 1946 l’antillaise Ginette ÉBOUÉ, attachée parlementaire au cabinet du ministre de la France d’outre-mer et fille de l’ancien gouverneur général de l’Afrique Equatoriale Française (AEF), Félix ÉBOUÉ.

• 18 Octobre 1891
Le Damel Samba Yaya FALL, successeur de Lat-Dior Ngoné Latyr DIOP, destitué par le gouverneur du Sénégal depuis 1883 et interné à Saint-Louis, se suicide en se jetant dans les eaux du fleuve Sénégal suite à l’interdiction à lui faite par le Gouverneur d’assister aux funérailles de sa mère, la linguère Isseu Tend FALL dite Débo Souka.

• 18 Octobre 1889
Démission de l’avocat Auguste DE BOURMEISTER, premier maire élu de Saint-Louis, ses prédécesseurs ayant tous été nommés par le gouverneur de la colonie. Il sera succédé par Jean-Jacques CRESPIN, un métis né à Saint-Louis.

• 18 Octobre 1833Décès à Gorée du Gouverneur du Sénégal Thomas RENAULT DE SAINT-GERMAIN. Il sera succédé par Eustache Louis Jean QUERNEL après un court intérim de Jean-Baptiste Bertrand Armand CADÉOT.

[Nom du Parti SET, ‘Sénégal En Tête’] Ousseynou Nar Gueye accuse Moustapha Guirassy de vol et d’usurpation de propriété intellectuelle

Par Ousseynou Nar Gueye, Tract.sn – Aujourd’hui, cela fait un mois jour pour jour, qu’il m’a reçu dans son bureau ministériel de l’Education nationale, le 17 septembre 2024.

J’accuse. J’accuse Moustapha Guirassy, devant l’opinion nationale et internationale, et surtout devant la justice de notre pays, en laquelle j’ai foi, si tant est que besoin.

Comme évoqué entre autres sujets lors de mon audience avec lui, sujet sur lequel il a fait du dilatoire et du mutisme, j’exige de Moustapha Mamba Guirassy de me payer le principal, les dommages et les intérêts pour l’utilisation qu’il fait depuis 6 ans et demi, soit depuis mars 2018, de la propriété intellectuelle, de ma création originale : l’acronyme, le nom et la signification du parti SET, « Sénégal En Tête ».


Toutes choses que je lui ai fournies après que son nom de parti SUD (Sénégalais Unis pour le Développement) créé par sa collaboratrice Coralie Briand, ait fini de faire flop et d’irriter la presse et l’opinion nationale, du fait que ce nom SUD renvoyait à des soupçons d’irrédentisme et à une collusion avec le MFDC, d’autant que Moustapha Guirassy est un Diakhanké du Sud-Ouest (Kédougou).

Je lui demande par mesure conservatoire de cesser d’utiliser le nom de parti SET Sénégal En tête jusque paiement du précédent, et aussi de ce qu’il me devra suite à ma future cession de droits de propriété intellectuelle pour l’avenir, sur ce nom; toutes choses dont j’estime le préjudice moral et financier à plusieurs dizaines de millions de FCFA.

Je demande à ses cadres et militants de parti de ne pas continuer à se rendre complices de cette forfaiture qui se déroule en continu.


Je n’étais pas salarié de M. Guirassy au moment de la fourniture du nom de parti SET, et même cela n’aurait pas pu suffire pour qu’il s’en approprie indûment et sans frais, sans autre forme de procès.

Oui, j’ai travaillé comme Conseiller Technique N°3 au Ministère de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie Numérique en charge du porte-parolat du Gouvernement, ministère dirigé par Guirassy, ceci de 2010 à janvier 2012, puis j’ai travaillé à son Groupe IAM de septembre 2012 à décembre 2017, y finissant comme Conseiller Spécial Senior du PDG.

Je l’appelle à se rendre à Canossa, après qu’il ait fait le mort (le Maure?), fait la sourde oreille aux canaux amiables, y compris à travers des membres de son parti.

Aussi, nous nous retrouverons au tribunal compétent de Dakar, assistés de nos avocats respectifs.

Devant cet état de fait désolant, infamant pour lui et persistant à mon préjudice, je suis désormais de ceux qui pensent que M. Guirassy n’est plus légitime à donner des leçons de morale et à gérer les ceux qui s’occupent d’améliorer l’intellect et de construire les affects de nos chères petites têtes crépues, au sein de l’Education Nationale, corps dans lequel j’ai servi avec enthousiasme et abnégation pendant deux années comme jeune fonctionnaire, à l’âge de 23 ans avant de reprendre mes études supérieures et de changer de carrière

Jub. Jubal. Jubanti ? Il faut que Guirassy Jub té Jubal. Moi, j’ai bien la ferme volonté de faire en sorte que soit Jubanti M. Moustapha Guirassy.

Vive la Justice. Vive la République. Vive le Sénégal.


Ousseynou Nar Gueye
– En 2017, Membre fondateur de l’ancien parti SUD (Senegalais Unis pour le Développement) de Moustapha Guirassy


– De 2017 à 2022, Secrétaire National du Parti SET de Moustapha Guirassy (Sénégal En Tête) en charge de la Communication, des Questions Éducatives et de la Coopération Africaine


-Directeur Général d’Axes et Cibles Com et de Global Com International, du média numérique Tract.sn et du journal digital Tract Hebdo

ogueye@axes-et-cibles.com

  

[LE BIAIS D’O.N.G] Meeting ce samedi à Dakar Arena :  PASTEF EN PRÉ-CAMPAGNE ILLÉGALE (Par Ousseynou Nar Gueye)

Par Ousseynou Nar Gueye, Tract.sn – Cette activité du parti au pouvoir « Pastèque » est illégale.


Mais nous ne les laisserons pas violer tout seuls la loi en matière d’interdiction de propagande un mois avant le début de la campagne électorale officielle. S’ils la violent, nous en ferons de même.


Pastef et Ousmane Sonqueault nous ont tellement habitués à enjamber allègrement les prescriptions de la loi à la façon d’un Donald Trump tropical, au point que nous leur croyons permises leurs pires inepties, y compris le viol des consciences (sans parler de la corruption de personnes mineures, pour parler euphémistiquement).


La loi est pourtant très claire : « il est interdit, à partir du vendredi 27 septembre, toute propagande déguisée ayant pour support les médias nationaux, publics et privé en perspective des élections législatives anticipées du 17 novembre. La période interdite de précampagne s’étend du vendredi 27 septembre 2024 à 00 heure au samedi 26 octobre 2024 à minuit.


J’en attend et j’en appelle à ce que le CNRA nouvellement dirigé par mon ami M.O.N, Mamadou Oumar Ndiaye, agisse et sévisse.

J’en appelle aussi au Ministère de l’intérieur du Général Jean-Baptiste Tine, bien qu’il soit dans le GOS d’Ousmane Sonko, Gouvernement Ouvriers Spécialisés.

J’en appelle enfin à la CENA et au Conseil Constitutionnel.

Au total, en cette période de drame à Bakel et dans la Falémé, il est indécent que PASTEF tienne des activités de politique politicarde.

Ousseynou Nar Gueye

Directeur Général de Tract.sn et de Tract Hebdo

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DÉNIGRÉS DANS LA SÉRIE ‘XALISSO’ : Les maitres coraniques haussent le ton !

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Tract-Dans un communiqué, le mouvement MODDAP condamne fermement le contenu de la « série Xalisso », qui selon ses membres « constitue une menace pour l’éthique de notre société et une tentative de saper la place de l’enseignement religieux ».

D’après le MODDAP cette série est « une offense injustifiée à l’encontre des érudits qui portent un message noble d’éducation des générations et d’inculcation des valeurs morales ». Selon le mouvement « certaines scènes cherchent à dénigrer l’image des maîtres coraniques et à remettre en question leur statut religieux et social. »

Pire, dénonce le MODDAP, la série est diffusée sur la chaîne nationale. « Il est particulièrement inquiétant que cette série soit diffusée par une chaîne financée par les contribuables sénégalais, ce qui engage une responsabilité encore plus grande dans la protection des valeurs éthiques et religieuses de notre nation », lit-on sur le communiqué.

INONDATIONS À BAKEL ET ENVIRONS : Sonko pour l’État annonce une enveloppe de 8 milliards pour soutenir les sinistrés

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Tract-Le Premier ministre Ousmane Sonko s’est adressé aux Sénégalais ce mercredi via sa page Facebook. À l’entame de ses propos, monsieur Sonko a exprimé son soutien aux impactés de la Falémé. Il a aussi informé du décaissement par l’Etat d’une somme de 8 milliards FCFA en plus des médicaments, des vivres et autres nécessités pour venir en aide aux populations sinistrées.

Ousmane Sonko a indiqué que l’Etat est au chevet des sinistrés, la preuve, « malgré la situation, aucun sinistré ne passe la nuit à la belle étoile », a souligné Sonko, ajoutant qu’ils sont tous recasés. Pour ceux qui n’ont pas de soutien de leur proche, ils sont logés dans les écoles, mais aussi des tentes et des bâches sont déployées sur les lieux par l’armée.

Le Premier ministre a tenu à préciser que ces dégâts ne sont pas dus au barrage comme le pensent d’aucuns, mais, plutôt au débordement du fleuve Sénégal. Et que le barrage a joué un grand rôle pour atténuer les dégâts. Car sans cet édifice selon Sonko, le pire aurait pu se produire allant même jusqu’à entrainer des pertes en vies humaines. Et que même certaines de ces localités seraient rayées de la liste. Toutefois, il appelle les Sénégalais à un élan de solidarité pour ces sinistrés.

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DE CE MERCREDI 16 OCTOBRE 2024

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Tract-Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 16 Octobre 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a salué l’éclatant succès de la cérémonie de lancement de la « Vision Sénégal 2050 ».

Il a renouvelé ses félicitations au Premier Ministre et à l’ensemble du Gouvernement pour la qualité du travail réalisé entièrement par des structures de l’Etat et des experts nationaux. Dans la même lancée, il a demandé au Premier Ministre de vulgariser le document auprès de toutes les forces vives de la Nation et des populations en vue de l’appropriation collective et de l’implémentation participative rapide du master plan, défini sur dix ans, avec une phase d’amorçage quinquennale à partir de 2025. Au regard des urgences de redressement de la situation économique, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement, sur la base de l’audit des finances publiques effectué, de poursuivre les efforts d’assainissement du train de vie de l’Etat ainsi que la consolidation budgétaire engagée afin d’améliorer significativement les marges de manœuvre des pouvoirs publics.

Le Président de la République a souligné l’importance d’un Etat performant dans ses missions, méthodes et modes d’intervention afin de soutenir la montée en puissance des Pôlesterritoires identifiés. Ces Pôles doivent s’ériger en véritables bassins de l’industrialisation du Sénégal intégrant des filières stratégiques moteurs de croissance, de développement durable équitable et de création d’emplois. Il a exhorté le Gouvernement à davantage valoriser les filières et secteurs fortement créateurs d’emplois. Dans ce sillage, il a demandé au Gouvernement de proposer une politique nationale de l’emploi conforme aux objectifs de la Vision Sénégal 2050 déclinée et de veiller au suivi permanent des entreprises publiques et privées en difficulté afin de préserver le tissu économique et l’emploi. Dans cette dynamique de changement de paradigme dans la gouvernance publique, le Chef de l’Etat a appelé à une responsabilisation plus soutenue du secteur privé national. Il a souligné l’impératif pour le Gouvernement d’accentuer l’amélioration incitative de l’environnement des affaires notamment en termes d’attractivité et de compétitivité, le renforcement du dialogue Etat-secteur privé, la digitalisation des administrations, la promotion de « champions nationaux » dans tous les secteurs porteurs et dans toutes les filières stratégiques et, bien sûr, la transformation de l’économie informelle, fortement ancrée dans notre société, pour en faire un levier de croissance et de création d’emplois décents.

Le Président de la République a souligné l’importance d’un Etat performant dans ses missions, méthodes et modes d’intervention afin de soutenir la montée en puissance des Pôlesterritoires identifiés. Ces Pôles doivent s’ériger en véritables bassins de l’industrialisation du Sénégal intégrant des filières stratégiques moteurs de croissance, de développement durable équitable et de création d’emplois. Il a exhorté le Gouvernement à davantage valoriser les filières et secteurs fortement créateurs d’emplois. Dans ce sillage, il a demandé au Gouvernement de proposer une politique nationale de l’emploi conforme aux objectifs de la Vision Sénégal 2050 déclinée et de veiller au suivi permanent des entreprises publiques et privées en difficulté afin de préserver le tissu économique et l’emploi. Dans cette dynamique de changement de paradigme dans la gouvernance publique, le Chef de l’Etat a appelé à une responsabilisation plus soutenue du secteur privé national.

Il a souligné l’impératif pour le Gouvernement d’accentuer l’amélioration incitative de l’environnement des affaires notamment en termes d’attractivité et de compétitivité, le renforcement du dialogue Etat-secteur privé, la digitalisation des administrations, la promotion de « champions nationaux » dans tous les secteurs porteurs et dans toutes les filières stratégiques et, bien sûr, la transformation de l’économie informelle, fortement ancrée dans notre société, pour en faire un levier de croissance et de création d’emplois décents.

Le Président de la République a relevé la priorité qu’il accorde à la maitrise du secteur extractif, de l’agriculture et du numérique. Il a appelé à la relance du secteur spécial du tourisme pour lequel notre pays détient des avantages comparatifs notables. Dans cette perspective de promotion d’une économie endogène et ouverte au reste du monde, il a souligné 2 l’importance d’asseoir une politique portuaire et maritime innovante, qui soutient la modernisation et la compétitivité indispensable des ports publics, notamment le Port autonome de Dakar.

Face aux enjeux et défis signalés, le Chef de l’Etat a rappelé au Premier Ministre l’importance primordiale de la finalisation, en relation avec toutes les parties prenantes impliquées, du projet de loi sur la souveraineté économique et de la doctrine de financement de l’économie nationale. Sur la problématique du financement, il a indiqué au Gouvernement, l’urgence d’une évaluation intégrale des dispositifs publics existants ainsi que la nécessité de promouvoir un cadre national robuste et souverain pour impulser le financement adéquat de l’économie.

A ce titre, il a demandé au Premier Ministre de tenir des concertations nationales sur le crédit et le financement de l’économie. Dans la même lancée, il a indiqué au Premier Ministre la nécessité de présenter en Conseil des Ministres, un rapport trimestriel d’évaluation de la déclinaison sectorielle et temporelle de « Sénégal Vision 2050 » sur la période 2025-2029.

Le Président de la République est largement revenu sur l’assistance de l’Etat aux populations sinistrées par les crues des fleuves Sénégal, Gambie et leurs affluents et sur la nécessité d’actualiser les plans de prévention et de résilience contre les risques de catastrophes naturelles. Il a exprimé la compassion de la Nation aux populations sinistrées et demandé au Gouvernement d’intensifier la mise en œuvre du Plan d’urgence de riposte et de secours ainsi que la préservation des cultures, du bétail et des différentes activités économiques des zones touchées.

Au regard des dégâts importants constatés et des risques de récurrence du phénomène lié aux changements climatiques, le Chef de l’Etat a indiqué au Gouvernement la nécessité d’actualiser les dispositifs nationaux de protection civile adaptés. A ce titre, il a relevé l’urgence d’intégrer le principe directeur de la prévention des risques par un suivi systématique de la situation hydrologique nationale en relation étroite avec l’OMVS et l’OMVG. D’où la nécessité de concevoir des plans d’aménagement adaptés des localités établies le long des fleuves et de leurs affluents et de mettre en œuvre des plans de résilience pour endiguer les effets des crues sur les habitations et les activités économiques.

Le Président de la République a informé le Conseil, qu’il se rendra, les 18 et 19 octobre 2024 dans la région de Kédougou, pour notamment visiter les zones sinistrées le long de la Falémé et apporter la solidarité de la Nation aux populations concernées. Saisissant l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’alimentation, le Chef de l’Etat a insisté sur l’impératif d’asseoir notre souveraineté alimentaire à travers l’accélération de la mise en œuvre d’une politique agricole rénovée et ambitieuse. A cet effet, il a indiqué l’urgence de redéfinir les objectifs d’aménagements hydroagricoles, particulièrement au niveau des vallées du fleuve Sénégal et de l’Anambé, pour accroitre de façon significative les surfaces emblavées, de même que les productions rizicoles, avec le développement de la mécanisation et l’accroissement des systèmes de maitrise de l’eau.

Le Président de la République a demandé au Premier Ministre de prendre les mesures urgentes pour réviser, en fonction des nouveaux objectifs d’aménagement et de production fixés, les lettres de mission et les moyens d’intervention de la Société nationale d’Aménagement et d’Exploitation des Terres du Delta du Fleuve Sénégal (SAED) et de la 3 Société de Développement agricole et industrielle (SODAGRI) en particulier.

Il a rappelé au Ministre de l’Agriculture, l’urgence de sécuriser les assiettes foncières des Domaines agricoles communautaires et de l’ISRA en vue d’intensifier le rythme de production des semences certifiées en quantité suffisante. Il a demandé au Gouvernement de renforcer la transformation locale de la production agricole nationale tout en soulignant que la filière riz, devra être mieux accompagnée par la baisse des coûts de l’énergie durant la transformation avec le recours notable à l’énergie solaire au niveau des rizeries installées. Il a, en outre, relevé la nécessité de faire la situation et de présenter les perspectives de développement des centres polyvalents de formation en Agriculture.

Le Chef de l’Etat a invité le Gouvernement à renforcer davantage le secteur des pêches, au regard de sa contribution significative à la qualité de l’alimentation des populations. Dans cet élan, il a demandé au Premier Ministre de renforcer les ressources allouées au sous-secteur porteur de l’aquaculture afin de permettre le maillage optimal du territoire national.

Le Président de la République a demandé au Premier Ministre d’engager la réflexion pour la création, à terme, d’un Conseil national de l’Alimentation. Ce cadre stratégique multisectoriel permettra de mieux consolider les politiques, programmes, projets et structures concourant au renforcement des productions nationales céréalières, animales et halieutiques, mais également à la surveillance des approvisionnements, à la sécurité sanitaire des aliments et à la qualité de la consommation nationale.

Le Chef de l’Etat a enfin adressé ses vives félicitations aux « Lions du Sénégal » de football pour leur brillante qualification à la « Coupe d’Afrique des Nations 2025 » prévue au Maroc où il leur souhaite de réaliser de nouveaux exploits. A l’entame de sa communication, le Premier Ministre a exprimé toute la satisfaction du Gouvernement pour l’accueil très favorable réservé par le peuple sénégalais au nouveau Référentiel des politiques économiques et sociales « Sénégal Vision 2050 ». Il a adressé ses vifs remerciements à Monsieur le Président de la République qui a salué ce travail, fruit d’un long processus inclusif ayant impliqué d’éminents experts sénégalais issus notamment de l’Administration publique, des collectivités territoriales, du secteur privé et de la société civile.

Pour atteindre les objectifs de la vision d’un « Sénégal souverain, juste et prospère », et en premier lieu sa déclinaison en un plan quinquennal 2025-2029, le Premier Ministre a demandé aux Ministres de prendre résolument en charge quatre (04) principaux défis : – l’appropriation du Référentiel au sein des différents départements ministériels ; – la mise en œuvre du plan quinquennal 2025-2029, notamment la déclinaison des objectifs stratégiques en objectifs opérationnels, programmes et projets assortis de plans de performance annuels et d’indicateurs appropriés ; – la gestion, au niveau des départements ministériels, de la transversalité des programmes et projets grâce à la définition d’une cartographie précise des processus types d’une administration publique moderne ; – le renforcement des capacités des ministères en matière de conduite de plans stratégiques. Abordant le second point de sa communication, le Premier Ministre a rendu compte, à Monsieur le Président de la République, de l’exécution de sa directive relative à l’accompagnement du retour des déplacés de Casamance pour leur réinstallation adéquate.

Ainsi, un Conseil interministériel, tenu le 8 octobre 2024, a abouti à la mise en place d’un « Plan Diomaye pour la Casamance », articulé autour d’un plan d’action détaillé, d’un budget total de 54 milliards de fcfa, pour une réinstallation adéquate des déplacés dans leurs localités d’origine respectives et dans des conditions satisfaisantes de vie sociale. Le Premier Ministre a exhorté les Ministres en charge de l’exécution du plan d’action, chacun en ce qui le concerne, de veiller à une planification optimale des tâches, à une coordination étroite des interventions ainsi qu’au respect scrupuleux des engagements souscrits et des délais d’exécution. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : • Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a fait une communication sur la situation des inondations suite au débordement des eaux des fleuves Sénégal et Gambie ; • Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement a fait une communication sur la situation hebdomadaire de la gestion des inondations ; • Le Ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires a fait le point sur le port de Ndakhonga-Foundiougne et les ports secs ; • Le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage a fait une communication sur les mises en place et cessions des intrants agricoles 2024, l’état des cultures et le suivi des exportations de produits horticoles.

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES,

Le Conseil a examiné et adopté : • Le Projet de décret portant collecte de la rémunération pour copie privée.
Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement
Amadou Moustapha Njekk SARRE

L’HOROSCOPE DE CE JEUDI 17 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : belle journée qui vous est dédiée. Veillez toutefois à ne pas vous emballer et à le regretter ensuite !

Taureau : vous n’êtes pas très à l’aise, vous ! Il vous faut prendre sur vous, sans quoi vous souffrez !

Gémeaux : ça se passe bien ! Vos projets avancent, et vos rapports aux autres sont enrichis !

Cancer : vous vous démenez pour une personne que vous aimez. Et parfois, ça semble ne pas suffire, ce qui vous fait mal !

Lion : vous vous envolez pour ailleurs, avec une distraction à domicile, ou grâce à un voyage, en vrai !

Vierge : ça va trop vite pour vous. Vous avez besoin de temps, pour réfléchir et discuter !

Balance : journée super importante sur le plan relationnel !

Scorpion : vous aurez du mal, et il faudra prendre soin de vous, restez seul si l’extérieur vous épuise !

Sagittaire : aujourd’hui, la journée promet d’être belle, encourageante, surtout côté cœur !

Capricorne : vous ne vous dispersez pas, et vous allez direct, au but fixé ! Très efficace !

Verseau : les satisfactions viendront de vos échanges. Aussi si vous êtes en voyage !

Poissons : votre trésorerie, argent et biens matériels : il en est question aujourd’hui, et il y a à faire !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE JEUDI 17 OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides de ce jour !

• 17 Octobre 2022
L’international de football Sadio MANÉ de l’équipe du Bayern de Munich est classé deuxième derrière le Français Karim BENZEMA du Real de Madrid et devant le Belge Kevin DE BRUYNE de Manchester City à la 66ème cérémonie du Ballon d’Or organisée au Théâtre du Châtelet à Paris. C’est la deuxième fois qu’un africain monte sur ce prestigieux podium après le libérien Georges WEAH qui avait remporté le trophée en 1995. Sadio MANÉ recevra par la même occasion le Prix Socrates (1ère édition) pour ses actions humanitaires.

• 17 Octobre 2002Sous l’impulsion du Président Abdoulaye WADE, le Ministre des Affaires Étrangères, Cheikh Tidiane GADIO, obtient la signature d’un accord de cessez-le-feu entre les forces loyalistes et les mutins ivoiriens après avoir rencontré ces derniers et discuté avec eux pendant une heure et demie.

• 17 Octobre 1993
Décès à l’âge de 69 ans à Bayeux, en France, de Jean-Baptiste COLLIN. D’origine française, il fut maire, député, haut responsable de l’Union Progressiste Sénégalaise (UPS) devenue le Parti Socialiste(PS) en 1976. Plusieurs fois ministre, Il fut un homme-clé de la vie politique sénégalaise pendant une trentaine d’années, d’abord auprès du président du Conseil de gouvernement Mamadou DIA, puis du président de la République Léopold Sédar SENGHOR, mais surtout de son successeur Abdou DIOUF, devenant de fait le numéro deux du régime.

• 17 Octobre 1949
Arrêté du Haut-Commissaire Paul BECHARD instituant une carte d’identité pour tous les citoyens français d’Afrique Occidentale Française (AOF). Depuis le décret du 4 mai 1946, l’AOF n’était plus dirigée par un Gouverneur général mais par un Haut-Commissaire de la République.

• 17 Octobre 1947
Inauguration à l’IFAN de l’exposition Cognagui par le Haut-Commissaire en Afrique Occidentale Française (AOF) René BARTHES. Les Coniaguis sont une population d’Afrique de l’Ouest, vivant au sud-est du Sénégal et en Guinée. Ils font partie du groupe Tenda, comme les Bassaris, les Badiarankés et les Bédiks.

• 17 Octobre 1899
Un décret de réorganisation de l’Afrique Occidentale Française (AOF) supprime la colonie du Soudan français dont les cercles seront rattachés aux colonies limitrophes dans la fédération. La colonie du Sénégal héritera ainsi des 11 cercles suivants : Kayes, Bafoulabé, Kita, Satadougou, Bamako, Ségou, Djenné, Nioro, Goumbou, Sokolo et Bougouni: La colonie du Soudan français sera reconstituée le 1er Janvier 1921.

• 17 Octobre 1897
Le ministre français des colonies, André LEBON, débarque à Dakar pour l’inauguration du Pont Faidherbe de Saint-Louis rénové. La première inauguration de l’ouvrage d’art avait eu lieu le 2 juillet 1865.

CRISE À EMEDIA INVEST : Cinq (5) mois sans salaires, les employés menacent de cesser le travail

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Tract-Depuis près de cinq mois, les employés d’Emedia Invest n’ont toujours pas perçu leurs salaires, une situation alarmante qui touche de nombreuses familles.

Ces travailleurs, membres du Groupe Emedia Invest, souhaitent exprimer leur profonde indignation face à la persistance des arriérés de salaires. Ils déplorent également la suspension prolongée de l’assurance maladie, un droit essentiel dont ils sont privés depuis trop longtemps.

« Cette violation des droits des travailleurs doit cesser », alerte le syndicat. Ils lancent ainsi un ultime appel à la direction pour qu’elle assume ses responsabilités en régularisant sans délai les salaires impayés et en rétablissant l’assurance maladie. À défaut, les employés, par manque de moyens, se verront contraints de suspendre, dès ce lundi, toute activité rédactionnelle.

La section Synpics d’Emedia demeure plus déterminée que jamais à défendre les droits des travailleurs et à lutter pour des conditions de travail justes et équitables.

ÉLÈVES VOILÉES EXCLUES À FATICK : L’établissement présente ses excuses aux parents et décide de se « conformer à l’arrêté ministériel »

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Tract-L’Inspecteur d’académie de Fatick a réussi à dissuader les parents d’élèves qui avaient commencé à retirer les dossiers de leurs filles voilées, exclues du Collège catholique du Sine, dans le but de les transférer vers d’autres établissements.

Selon Bès Bi qui rapporte l’information, la situation a évolué après les excuses du principal de l’établissement, Patrice Mbengue. « Nous reconnaissons avoir interdit l’accès à l’école à des élèves en raison du port du voile. Nous présentons nos excuses aux parents et aux élèves », a-t-il déclaré.

Toutefois, il a tenu à préciser que cette interdiction était clairement stipulée dans le règlement intérieur du collège catholique. Cependant, l’établissement a décidé de se « conformer à l’arrêté ministériel », qui proscrit l’interdiction du port du voile et d’autres signes religieux.

ÉLIMINATOIRES CAN 2025 : Le Sénégal se qualifie de justesse !

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Tract-Le Sénégal s’est imposé (0-1) face au Malawi ce mardi lors de la quatrième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025. Dans un match serré, les « Lions » ont finalement trouvé la faille grâce à Sadio Mané, auteur d’un coup franc décisif à la 90+6e minute.

Cette victoire assure la qualification de l’équipe nationale du Sénégal pour la prochaine CAN qui se déroulera au Maroc. Le Burkina Faso, déjà qualifié, reste en tête du groupe L avec 10 points (+7).

Le Sénégal, deuxième avec 7 points et une différence de buts de +6, affrontera le Burkina Faso le 11 novembre pour la 5e journée des éliminatoires.

AUDITIONNÉ CE LUNDI À LA GENDARMERIE : Cheikh Dieng brise le silence

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Tract-Le Dr Cheikh Dieng a été entendu lundi, à la section de recherches de la gendarmerie, sur l’affaire Onas. Ce mardi, il a fait le point sur ce qu’il a dit aux enquêteurs.

«J’ai répondu à la convocation de la Section de Recherches dans le cadre de l’affaire Onas. L’opportunité m’a ainsi été donnée de répondre de 16h à 19h30 à toutes les questions des enquêteurs de la gendarmerie et de leur apporter des éléments clairs et probants sur leurs interrogations, avec à l’appui, des preuves matérielles irréfutables.

Je suis tranquillement rentré chez moi à l’issue de cette audition que j’avais attendue impatiemment pour confirmer devant la justice mes déclarations lors du point du presse. La vérité peut prendre des chemins sinueux, mais elle finit toujours par éclater au grand jour, au grand dam des comploteurs et des manipulateurs.»

MACKY SALL DÉMENT FORMELLEMENT SONKO : « Ses propos sont totalement faux »

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Tract-Après plusieurs mois de silence, Macky Sall, l’ancien président du Sénégal, a enfin répondu aux accusations de mauvaise gestion économique portées par le Premier ministre Ousmane Sonko.

Dans une interview exclusive avec Bloomberg TV, Macky Sall a fermement rejeté les conclusions de l’audit mené par le nouveau gouvernement. Selon Sonko, l’administration Sall aurait sous-estimé le niveau de la dette publique, provoquant une dégradation de la note de crédit du Sénégal. Macky Sall a qualifié ces affirmations de « totalement fausses », réaffirmant que son gouvernement avait laissé une économie robuste.

Un démantèlement méthodique des accusations du PM Ousmane Sonko

Pour rappel, le Premier ministre Ousmane Sonko avait révélé un ratio dette/PIB atteignant 76,3 %, bien au-dessus des 65,9 % initialement annoncés sous Macky Sall. Cette annonce a conduit Moody’s à dégrader la note de crédit du Sénégal à B1, plaçant le pays dans la catégorie des dettes à haut risque. Pourtant, Macky Sall a riposté en précisant que l’endettement sous son mandat était maîtrisé et orienté vers des investissements stratégiques.

« Il est illusoire de penser qu’un pays peut se développer sans recourir à la dette », a-t-il martelé. Selon lui, cette dette n’était en aucun cas synonyme de mauvaise gestion, mais servait à des projets d’infrastructures vitaux, tels que les autoroutes et la ville satellite de Diamniadio, visant à décongestionner Dakar.

« Le Sénégal était sur une bonne trajectoire »

Pour Macky Sall, son départ a laissé un Sénégal en pleine croissance économique, avec des perspectives florissantes grâce à l’exploitation imminente des ressources pétrolières et gazières. « J’ai quitté un pays où les indicateurs étaient au vert », a-t-il déclaré, dénonçant l’interprétation alarmiste du Premier ministre Sonko.

D’après l’ancien président de la République, le développement de ces nouveaux secteurs, soutenu par des partenaires comme BP Plc et Kosmos Energy Ltd, promettait une croissance économique de 6 % en 2023. Selon lui, cet avenir énergétique rendait toute critique infondée. Il a également rejeté les insinuations selon lesquelles l’endettement de son administration avait étouffé l’économie : « Nous avons emprunté pour construire le futur, et non pour nous enliser dans la dette. »

Dans cette guerre des chiffres et des interprétations, Macky Sall se pose comme le défenseur de son bilan économique, résolument opposé à ce qu’il considère comme une manipulation politique orchestrée par Sonko. « Ce débat ne devrait même pas avoir lieu », conclut-il, confiant en la solidité des fondations posées durant ses années au pouvoir.

L’HOROSCOPE DE CE MERCREDI 16 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : c’est vous qui menez la danse, mais sans l’accord de celui qui vous fait face, rien de possible !

Taureau : une histoire d’amour vous travaille, le corps et l’esprit, allez courage !

Gémeaux : la Lune s’invite dans un secteur très sympa, celui de l’amitié, belle journée en vue !

Cancer : pleins feux sur votre ambition et sur ce que vous souhaitez devenir dans la vie !

Lion : il en sera de plus en plus question, de votre famille et de votre lieu de vie, soyez prêt !

Vierge : la vie relationnelle est toujours d’actualité, avec toujours des moments forts !

Balance : beaucoup de mouvement dans votre vie financière, avec un projet à l’appui !

Scorpion : la journée promet d’être fatigante, mais vous vous accrochez, vous voulez arriver !

Sagittaire : et si vous aviez le sourire ? L’espoir revient en amour, avec vos enfants et sur le plan artistique !

Capricorne : vous assurez en tant que parent, c’est du sérieux ! Vous devez décider, intervenir !

Verseau : c’est en échangeant avec votre entourage, en prenant la route aussi, que vous vous sentez bien !

Poissons : vous comptez vos sous. A moins que vous n’ayez envie de vous offrir quelque chose !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE MERCREDI 16 OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides de ce jour !

• 16 Octobre 2018En match retour des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations de football 2019, le Sénégal se qualifie à Khartoum après avoir battu le Soudan par 1 but à 0. L’unique but de la partie a été marqué par Sidy SARR.

• 16 Octobre 2017Election du Sénégal avec 188 voix au Conseil des droits de l’homme pour la période 2018-2020 à l’occasion de la 72ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies.

• 16 Octobre 2017
Décès à Dakar à l’âge de 79 ans du Général Boubacar WANE, ancien chef d’état-major particulier du Président Abdou DIOUF. A la tête du bataillon des commandos, il avait participé activement à l’opération Fodé Kaba II pour le rétablissement de l’ordre républicain en Gambie en 1981, après le renversement du président démocratiquement élu, Dawda Kairaba Jawara, par une bande conduite par Koukoy Samba Sagna.

• 16 Octobre 2016
Décès à l’âge de 62 ans à Quimper, en France, de Jean Christophe SAGNA, ancien joueur de la Jeanne d’Arc de Dakar et de l’Équipe nationale de football du Sénégal.
• 16 Octobre 2015
Vote en assemblée plénière d’un budget de 180.000 euros par la région de Basse Normandie pour sauvegarder les archives du poète, homme politique et académicien, Léopold Sédar SENGHOR qui a vécu à Verson dans le Calvados après sa retraite de la présidence de la République du Sénégal en 1980.
• 16 Octobre 1872
Attaque du poste français de Sédhiou par la population autochtone hostile à la présence française. Un traité signé le 24 mars 1837 avait autorisé la création du poste administratif français de Sédhiou en Casamance.

FATICK : Une dizaine d’élèves interdites d’accès au Collège catholique du Sine

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 Tract-À Fatick, le port du voile suscite des remous. Hier- lundi, une dizaine d’élèves ont été exclues du Collège catholique du Sine, d’après des témoignages de parents qui se sont confiés à nos confrères de Bês Bi.

Le principal de l’établissement invoque le non-respect du règlement intérieur concernant le port du voile. Une décision qui provoque l’indignation des parents, dénonçant l’attitude de la direction.

Rappelons que mardi 8 octobre, au Cours Sainte-Bernadette (Dakar), une fille a été empêchée de suivre ses cours à cause de son voile.

« On vient de m’informer que ma fille a été empêchée de suivre ses cours à l’école Cours Sainte-Bernadette. La raison invoquée, quand j’ai posé la question, était que la surveillante avait demandé à ma fille de retirer son voile », a confié une mère désespérée au micro de nos confrères de PressAfriK. « Ce qui est sûr, c’est que ce matin, j’avais bien dit à ma fille de ne pas retirer son voile si on le lui imposait ».

Cependant suite à la publication de l’arrêté ministériel l’élève a été réintégrée avec son voile.

AUTOROUTE À PÉAGE : Lamine Ndiaye victime d’un accident

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Tract-Lamine Ndiaye, artiste comédien bien connu des Sénégalais a été victime d’un accident ce lundi.

Parti pour assister à la cérémonie de présentation du référentiel Sénégal 2050 à Diamniadio. La voiture de l’artiste, natif de la Médina à Dakar a fait un tonneau sur l’autoroute à péage, de retour de cette cérémonie.

Monsieur Ndiaye, renseigne son entourage « s’en est bien sorti ».

CRUE DU FLEUVE DU SÉNÉGAL : LE PRÉSIDENT DIOMAYE FAYE ATTENDU À KÉDOUGOU LES 18 et 19 OCTOBRE

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Tract-Lors de son discours pour la présentation du nouveau projet référentiel Sénégal 2024, le Président Bassirou Diomaye Faye a, d’emblée, exprimé sa profonde solidarité envers les populations riveraines du fleuve Sénégal, gravement affectées par les récentes inondations causées par une crue exceptionnelle. Il a d’ailleurs annoncé une visite sur le terrain à Kédougou les 18 et 19 octobre 2024.

« J’exprime ma solidarité aux populations riveraines du fleuve Sénégal qui ont été durement frappées par les inondations dues à la crue de ce fleuve éponyme. Mes chers compatriotes, je me rendrai dans la région de Kédougou pour apporter mon réconfort aux populations et partager leur deuil les 18 et 19 octobre 2024 », a déclaré le chef de l’Etat.

Sur la nécessité d’une intervention coordonnée de plusieurs ministères, le Président Faye a souligné que le ministère de la Famille et des Solidarités, ainsi que celui de l’Intérieur et de la Sécurité publique, sont déjà mobilisés en première ligne pour apporter une aide urgente et adaptée aux populations sinistrées.

« SÉNÉGAL 2050 » : Ousmane Sonko dévoile les quatre axes du ‘PROJET’

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Tract-Le Sénégal a officiellement présenté ce lundi 14 octobre 2024 son nouveau document de politique nationale de développement, intitulé « Sénégal 2050 ». Cette initiative stratégique, qui succède au Plan Sénégal Émergent (PSE), a pour ambition de redéfinir le développement du pays sur le long terme, en se concentrant sur quatre axes majeurs : la souveraineté, l’inclusion, la compétitivité et la durabilité.

Les quatre axes du « Sénégal 2050 » illustrés par le Baobab : Symbole central du plan, le Baobab – arbre emblématique du Sénégal – incarne les quatre piliers de cette transformation nationale. Chaque partie de l’arbre représente un axe stratégique fondamental : les racines incarnent la bonne gouvernance et l’engagement africain, le tronc représente l’aménagement optimal et le développement durable, les branches symbolisent le capital humain et l’équité sociale, et enfin les fruits illustrent l’économie compétitive que le pays espère développer d’ici 2050.

Une vision ambitieuse pour refonder le Sénégal

Lors de la cérémonie de lancement au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD) à Diamniadio, le Premier ministre Ousmane Sonko a souligné l’importance de cette vision : « Ce qui nous réunit aujourd’hui, la vision 2050 pour le Sénégal, est l’aboutissement d’un long combat pour refonder le Sénégal sur des bases solides et durables ». Il a insisté sur la nécessité de s’appuyer sur l’expertise locale et de renforcer la collaboration avec le secteur privé national, en vue d’atteindre ces objectifs ambitieux.

Des défis à relever pour un Sénégal souverain et compétitif

Le Premier ministre a également dressé un état des lieux des principaux défis à surmonter. Il a souligné l’insuffisance de la création de valeur, avec une croissance économique de seulement 0,4 % en moyenne du PIB, comparant la situation à celle de pays comme le Maroc, qui compte 500 entreprises pour 10 000 habitants, contre seulement 10 entreprises pour 10 000 au Sénégal. Il a aussi mis en avant les inégalités sociales, rappelant que quatre Sénégalais sur dix vivent encore dans la pauvreté.

Un cadre pour une transformation systémique et durable

Le plan « Sénégal 2050 » propose une approche intégrée pour créer un environnement économique compétitif et autonome. Il repose sur une transformation systémique, avec une plus grande responsabilisation des citoyens tant à l’intérieur du pays qu’au sein de la diaspora. Le gouvernement met également en avant des solutions durables pour surmonter les défis économiques, sociaux et environnementaux à long terme.

Des experts ont présenté les détails du plan, comprenant un diagnostic de la situation actuelle, la vision pour 2050 et un cadre de mise en œuvre quinquennal, destiné à mesurer les progrès réalisés et ajuster les stratégies en conséquence.

JUSTICE : Diéguy Diop finalement placée sous contrôle judiciaire

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Tract-Dieguy Diop et Cie sont placés sous contrôle judiciaire par le juge du 3e cabinet ce lundi. Ils sont inculpés pour faux et usage de faux et escroquerie portant sur les derniers publics.

La responsable de l’APR a été déférée vendredi dernier et avait bénéficié d’un retour de parquet.

L’ex directrice de la Promotion de l’économie sociale et solidaire pour éviter la prison s’était engagée à payer un montant estimé à 28 millions de francs CFA.

CNRA : Babacar Diagne passe le témoin à Mamadou Oumar Ndiaye ce mardi

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Tract-Le nouveau patron du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) prend fonction aujourd’hui mardi 15 octobre.

En effet, la cérémonie de passation de service entre Babacar Diagne, président sortant et Mamadou Oumar Ndiaye, le nouveau président aura lieu ce mardi à 12 heures dans les locaux de l’institution sise au dixième étage Immeuble Tamaro, rue Mohamed 5 x Jules Ferry à Dakar.

Nous apprend, le communiqué parvenu à la rédaction de Tract.

L’HOROSCOPE DE CE MARDI 15 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : vous gardez vos ressentis pour vous, à moins que vous ne trouviez un confident sur votre chemin !

Taureau : votre cœur sera parfois malmené ! Mais il y a du bon ! Restez maitre de vos émotions !

Gémeaux : vous ne serez pas toujours sur la même longueur d’onde que votre partenaire !

Cancer : ça se passe bien et vous trouvez des affinités avec une personne que vous admirez !

Lion : il est question de votre âme, de votre vie intérieure, mais aussi de vos finances !

Vierge : une journée qui vous importe, vous serez en lien, ou en opposition, avec un partenaire !

Balance : journée agitée, mais pas désespérée ! Vous avancez dans votre travail !

Scorpion : une personne compte sur vous et vous faites tout pour ne pas la décevoir !

Sagittaire : tout se passe en famille, ou au sujet de votre habitation !

Capricorne : vous aurez l’occasion de vous évader, corps et esprit ! De quoi reprendre des forces !

Verseau : l’actualité se porte sur votre porte-monnaie, vous vous mettez à jour !
Poissons : il ne faut pas renoncer ! Et surtout aujourd’hui, il faut foncer !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE MARDI 15 OCTOBRE

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Découvrez les éphémérides de ce jour !

• 15 Octobre 2022Assemblée générale constitutive à Dakar du Réseau des Elus Locaux du Sénégal (REELS) regroupant les élus des partis de l’opposition. Le leader du parti PASTEF/Les Patriotes, Ousmane SONKO, est coopté par ses pairs pour assurer la présidence du réseau.

• 15 Octobre 2015Le Sénégal est élu membre non permanent du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) au titre de la période 2016-2017 avec 187 voix. Il intègre le Conseil de l’ONU pour la troisième fois après 1968/69 et 1988/89.

• 15 Octobre 2013Décès à l’âge de 59 ans à Coudekerque-village en France de Bruno METSU, entraineur des lions de la Téranga finalistes de la Coupe d’Afrique des Nations de football à Bamako et quart de finalistes de la Coupe du Monde en Asie en 2002. Il sera inhumé le 21 octobre 2013 au cimetière musulman de Yoff à Dakar.

• 15 Octobre 2012
Au cours de la nuit, Cheikh Béthio THIOUNE, Guide religieux des Thiantacones (Mourides), qui était en détention provisoire depuis le mois d’avril à la prison de Thiès dans l’affaire du double meurtre de Médinatou Salam, est transféré à la Prison de Rebeuss à Dakar.

• 15 Octobre 1974
Une convention signée à Dakar remplace celle portant création de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) signée à Saint-Louis le 12 décembre 1959. Regroupant 18 États membres, l’ASECNA est la plus ancienne institution de coopération et d’intégration africaine et malgache.

• 15 Octobre 1965
Inauguration à Dakar du Centre d’Études des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI) par Ibra Mamadou WANE, Ministre de l’Éducation Nationale. Le Sénégal a été le premier pays africain francophone à se préoccuper de former, sur place, dans une mouvance africaine, les futurs journalistes et agents de l’information. Dès 1961, en effet, un stage régional de formation accélérée a été organisé avec la collaboration de l’UNESCO. En 1963-1964, un second stage régional d’une année universitaire complète s’était déroulé à la faculté de droit et de sciences économiques de l’Université de Dakar.

• 15 Octobre 1896
Institution d’un comité agricole à Saint-Louis dans le but de se concerter sur les mesures les plus adéquates à prendre pour le développement de l’agriculture dans la colonie du Sénégal. C’est avec la prise de fonction à Saint-Louis comme gouverneur du Sénégal du baron Jacques François ROGER en 1822 que les premiers essais agricoles avaient commencé avec la collaboration de Jean Michel Claude RICHARD, jardinier en chef de la colonie, qui donnera son nom à Richard-Toll (le champ de Richard en langue wolof).

Sénégal « 2050 » : l’Etat veut développer une industrie culturelle forte

(Tract)- Le nouveau document de politique nationale de développement « Sénégal 2050 », présenté au public, lundi, vise à faire des industries culturelles et créatives, une filière à forte valeur ajoutée, renseigne APS.

« Les industries culturelles et créatives, à savoir la mode, le cinéma, les arts visuels, les arts de la scène, l’édition, la musique, entre autres domaines dans lesquels des Sénégalais talentueux ont su se faire un nom sur la scène mondiale. l’Etat désormais les accompagnera pour développer la production de contenus, leur distribution et faire de cette filière une industrie forte comme on le voit aujourd’hui dans d’autres pays », a dit Victor Ndiaye, le président-fondateur du cabinet Performances Group.

Ce cabinet a pris part à l’élaboration du nouveau document de référence des politiques publiques sénégalaises.

Cette vision pour les industries culturelles et créatives, souligne-t-il, va offrir ainsi à la jeunesse sénégalaise des opportunités de milliers d’emploi qualifiés.

La contribution des industries culturelles et créatives dans le Produit intérieur brut sera multipliée par deux, selon le schéma présenté ainsi que l’emploi formel autour de cette filière à forte valeur ajoutée, d’après le document de présentation de « Sénégal 2050 ».

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Clap de fin sur le Festival Dakar Séries Saison 2 : «Or Blanc» de l’Ivoirienne Johanna Boyer-Dilolo remporte le Grand Prix

(Tract)- Le Festival Dakar Séries Saison 2 s’est achevé avec éclat, mettant en lumière la créativité et le talent du cinéma panafricain. Durant cinq jours, réalisateurs, scénaristes et acteurs se sont affrontés dans une compétition de haute volée. Le Grand Prix Long Métrage a été décerné à l’Ivoirienne Johanna BoyerDilolo pour sa série «Or Blanc», tandis que la réalisatrice sénégalaise Kalista Sy a brillé dans la catégorie Court Métrage.

Le rideau est tombé sur la deuxième édition du Festival Dakar Séries après cinq jours intenses d’échanges artistiques, de projections et de célébrations de la créativité panafricaine. C’est l’Institut français de Dakar qui a accueilli la clôture de cet événement.

Après des moments de suspense, d’émotions fortes et d’incertitude sur le dénouement, la Côte d’Ivoire a finalement remporté le Grand Prix de la Meilleure Série catégorie long métrage, avec «Or Blanc» de la réalisatrice Johanna Boyer-Dilolo, salué unanimement par le jury. Le jury, présidé par la Sénégalaise Angel Diabang, a salué «Or Blanc» pour «sa narration captivante, sa réalisation soignée et sa photographie impressionnante, transmettant des émotions profondes». Ce film a su s’imposer dans une compétition où la qualité des œuvres était particulièrement élevée.

Yaay 2.0 Kalista Sy remporte le Prix du meilleur Scénario court métrage

La réalisatrice sénégalaise Kalista Sy, avec son film Yaay 2.0, a remporté le Prix du meilleur Scénario dans la catégorie court métrage. «Wassanam» de Pape Abdoulaye Seck a été distingué par un Prix d’encouragement pour la performance de la jeune actrice Oumy Ndong.

Le Prix du meilleur Pitch, financé par le Fonds de promotion de l’industrie cinématographique et audiovisuelle (Fopica), a été attribué au projet «Galette des Rois» du jeune sénégalais Mamadou Lo, avec une dotation d’un million de FCFA.

Le Prix du meilleur Pitch africain a, quant à lui, été remporté par Ngaki Power, récompensé par une enveloppe de deux millions de FCFA. En tout, quinze films provenant d’une dizaine de pays africains étaient en lice dans cette compétition. Le public, venu en grand nombre, a été conquis par l’ambiance unique du festival.

Créativité et innovation

La compétition a également vu le Kenya se distinguer avec sa série «Big Girl», qui a raflé trois prix : Meilleure Jeune Actrice, Meilleur Montage et Meilleure Série Court Métrage. La diversité et la qualité des projets en lice ont impressionné les jurés qui ont salué la performance des candidats. «Ces projets sont à la fois inspirants, ambitieux et audacieux», a souligné Angela, réalisatrice et présidente du jury pitch, venue du Togo. «Nous sommes impatients de suivre l’évolution de vos carrières et de voir où votre talent vous conduira», a-t-elle dit.

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LÉGISL’HÂTIVES : Macky Sall appelle a faire barrage le 17 novembre

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Tract-L’APR ne cache pas son mépris pour la gestion du Premier ministre, le qualifiant de responsable d’une « gouvernance hasardeuse » ayant plongé le pays dans une crise économique sans précédent. Dans un communiqué, les Républicains estiment que les Sénégalais auraient pris conscience de leur erreur du 24 mars et seraient prêts à corriger le tir lors des prochaines élections en ne permettant pas à la coalition de Sonko d’obtenir la majorité à l’Assemblée nationale.

Le parti de Macky Sall dénonce également les « menaces » et les « arrestations pour crimes de contestation » sous l’administration de Sonko, critiquant ce qu’ils perçoivent comme une dérive autoritaire. Ils n’ont pas manqué de railler le Premier ministre pour des décisions jugées dérisoires, comme « l’interdiction des machines à café dans les bureaux de l’administration, un exemple pour illustrer son manque de vision», selon l’APR.

La décision de Macky Sall de se présenter comme tête de liste de la coalition « Takku Wallu Sénégal » est interprétée par ses partisans comme une acte de confiance. « Le Président ne craint rien », clame le communiqué, ajoutant que les Sénégalais se seraient réveillés de leur « torpeur » et seraient désormais prêts à barrer la route à ce qu’ils qualifient de « dictature rampante » menée par Sonko.

L’affaire ASER et les critiques contre Aminata Touré

L’APR ne se contente pas de critiquer Ousmane Sonko. Il revient également sur le scandale de l’Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale (ASER), une affaire qui aurait, selon le parti, exacerbé la colère populaire contre le gouvernement de Sonko, notamment après le limogeage controversé de Saer Niang. Ce dossier, rarement abordé par la coalition au pouvoir, serait un « indicateur supplémentaire de la mauvaise gestion actuelle du pays.»

Aminata Touré, ancienne proche de Macky Sall devenue alliée de Sonko, est également visée. Qualifiée d’« hallucinée », elle est accusée d’avoir retourné sa veste pour plaire à Sonko, tout en omettant ses propres contradictions. La note de l’Apr rappelle ses anciennes déclarations sur l’implication supposée de Sonko dans la déstabilisation du pays lors des émeutes liées au pétrole et au gaz.

Appel au rassemblement autour de Macky Sall

L’APR conclut son communiqué par un appel à l’unité nationale et à la vigilance face aux « forces obscures » qui menaceraient la stabilité du Sénégal. Le 17 novembre est présenté comme un moment important pour protéger le pays d’une dérive vers un régime autoritaire. Pour les Républicains, Macky Sall est le seul capable de garantir la cohésion nationale et de préserver la démocratie sénégalaise face à ce qu’ils perçoivent comme une menace réelle.

FLEUVE SÉNÉGAL-GAMBIE : Jean Baptiste Tine annonce des actions pour les sinistrés

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Tract-Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Jean Baptiste Tine, a soutenu dimanche, que ‘’des actions sont en cours” pour apporter ”aide et assistance” aux sinistrés des zones touchées par le débordement des eaux des fleuves Sénégal et Gambie, dans le cadre d’un Plan d’urgence de riposte aux crues.

‘’Des actions sont notamment en cours pour apporter aide et assistance aux sinistrés, dans le cadre d’un Plan d’urgence de riposte aux crues, élaboré conformément aux décisions de la réunion interministérielle, tenue le 17 septembre 2024’’, a-t-il dit dans un communiqué transmis à l’APS, dimanche.

‘’D’ores et déjà, les gouverneurs des régions concernées, qui sont à pied d’œuvre depuis le début de l’hivernage, vont lancer un avis de pré-alerte et prendre la direction des opérations’’, a-t-il assuré, appelant toutes les populations des zones impactées à ‘’la vigilance et au calme’’.

Il tient à exprimer ‘’sa compassion’’ aux populations impactées.

Jean Baptiste Tine souligne par ailleurs que ‘’des informations hydrologiques et météorologiques révèlent que les côtes d’alerte ont été atteintes, voire dépassées dans plusieurs localités, situées en bordure des fleuves Sénégal et Gambie’’.

‘’Un débordement des eaux, déjà constaté dans les régions de Matam et Tambacounda avec des dommages matériels considérables, risque d’atteindre prochainement la région de Saint-Louis’’, prévient-il.

Le ministre avance qu’’’ une onde de crue, annoncée à Bakel dans les prochains jours, pourrait accélérer la montée des eaux’’. ‘’Un phénomène qui résulte d’une accumulation des débits les plus importants jamais observés depuis 1961, liée aux changements climatiques’’, a-t-il expliqué.

Il a assuré que ‘’ l’évolution du niveau des eaux est suivie de près en rapport avec l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal(OMVS) et l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie(OMVG)”.

Avec APS

INONDATIONS À BAKEL : L’ancien PM Amadou Ba réagit !

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Tract-Face à la situation catastrophique dans laquelle vivent les populations de la commune de Ballou, dans le département de Bakel et à l’absence de réactions des nouvelles autorités, l’ancien Pm Amadou Bâ a rendu public un communiqué pour apporter son soutien aux populations sinstrées.

« En ces moments particulièrement difficiles, je tiens à exprimer ma solidarité et mon soutien sincère à toutes les populations touchées par les inondations.

La montée des eaux a causé des dégâts importants et continue de menacer plusieurs localités. Soyez assurés que je suis pleinement à vos côtés.

Je salue votre courage et votre résilience face à cette épreuve, qui forcent l’admiration.

J’appelle les autorités compétentes à intensifier leurs efforts pour apporter une aide rapide et efficace aux populations en détresse.

Plus que jamais, restons unis et solidaires. C’est ensemble, dans la solidarité et l’entraide, que nous surmonterons cette crise.

Avec toute ma sympathie et mon soutien ».

Amadou BA
Ancien Premier Ministre

NOMINATIONS DES CHARGÉS DE MISSION : Thierno Alassane Sall dénonce « de mauvaises pratiques népotistes »

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Tract-Thierno Alassane Sall a, via son compte X, dénoncé ce qu’il considère comme étant de « mauvaises pratiques népotistes». Le membre de la coalition Sénégal Kessé, faisait référence dans son post à la vague de nomination de Chargés de missions récemment nommés par le chef de l’Etat.

« Des dizaines de recrutements de chargés de mission à la présidence de la République, à la veille des élections législatives. Pendant que les jeunes non encartés n’ont plus d’espoir et nombre d’entre eux n’ont pour seul PROJET que le ‘Barça ou Baarsàq. Un constat implacable : les mauvaises pratiques népotistes persistent. Alioune Tine avait parlé ‘d’État pastefien, mais la réalité dépasse cette formule. C’est le ‘Système’ honni qui perdure. En fin de compte, tout change, pour que rien ne change. Terrible », a dénoncé le président de la République des Valeurs sur son compte X.

À noter que le nouveau régime poursuit les séries de nominations, après les envoyés spéciaux, ministres-conseillers et hauts représentants du chef de l’État, ce sont désormais les chargés de mission qui renforcent le cabinet présidentiel.
Des nominations qui ont fini par créer des indignations à l’endroit de certains acteurs politiques qui y voient des intérêts politiques, au détriment de l’intérêt public.

NÉCROLOGIE : La journaliste Isseu Dior Fall n’est plus !

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Tract-Isseu Dior Sall a été appelé à Dieu ce dimanche à Mbour. L’ancienne de Sud FM et directrice de Mbour FM a plongé ses anciens collègues et consœurs de Sud FM et Mbour FM dans la douleur.

« Aujourd’hui, c’est toute une corporation qui perd une sœur », a déclaré Samba Niébé Ba ancien du Groupe Sud communication. « C’est non seulement, Sud FM qui perd une soeur, mais tout le Sénégal », a déclaré Mouhamed Baro ancien journaliste à Sud FM.

Isseu Dior Sall est inhumée au cimetière Darou Salam de Mbour.

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE LUNDI 14 OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides de ce jour !

• 14 Octobre 2023
Ouverture à Dakar de la 70ème Conférence régionale de l’Association internationale des gestionnaires d’aéroport (ACI-Afrique) sous l’égide de Limak-AIBD-Summa (LAS) autour du thème  » La résilience par l’innovation ». La conférence a réuni plus de 300 délégués, managers, exposants et professionnels des secteurs de l’aviation et des transports aériens.

• 14 Octobre 2021Décès à Dakar à l’âge de 61 ans, des suites d’un malaise, de Joseph KOTO, ancien joueur de la Jeanne d’Arc de Dakar et de l’équipe nationale de football du Sénégal. Devenu entraîneur de l’équipe nationale après une carrière de joueur bien remplie, il réussit à faire le doublé de la coupe de l’Union des Fédérations Ouest-Africaines de football (UFOA) en 2009 à Cotonou et en 2011 à Dakar.

• 14 Octobre 2019
Décès à Dakar à l’âge de 83 ans du professeur Boubacar LY. Surnommé le père de la sociologie à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), l’ancien doyen de la Faculté des lettres aura contribué à la formation de plusieurs générations d’intellectuels africains.

• 14 Octobre 2016
A Dakar, la marche de l’opposition politique regroupée autour du Front pour la Défense du Sénégal (Mankoo Wattu Sénégal) est durement réprimée par les forces de l’ordre.

• 14 Octobre 2015Le Commissaire de Police Oumar MALE est nommé Directeur général de la Police Nationale. Il succède au Commissaire Anna Sémou FAYE, la première femme nommée à ce poste en 2013.

• 14 Octobre 2011Décès à l’âge de 77 ans d’Abdoulaye SEYE, premier athlète d’origine sénégalaise à remporter une médaille olympique. Il avait obtenu une médaille de bronze pour la France aux Jeux Olympiques d’été de Rome (1960) en réalisant un temps de 20 secondes 7 dixièmes aux 200 mètres derrière l’Italien Livio BERRUTI et l’Américain Lester CARNEY.

• 14 Octobre 2000Aux championnats du monde de Karaté à Munich en Allemagne, Mohamed Aly NDIAYE est champion du monde après avoir triomphé du Franco-sénégalais Seydina BALDÉ dans la catégorie des poids lourds (+80 kg).

• 14 Octobre 1953
Naissance à Dakar d’Amsatou Sow SIDIBÉ, universitaire et femme politique. Première sénégalaise agrégée en sciences juridiques et politiques, elle est aussi l’une des deux premières femmes à se présenter à l’élection présidentielle en 2012, obtenant 0,19% des suffrages au premier tour. La seconde Diouma Dieng DIAKHATÉ, styliste, avait obtenu 0,12 % des voix. Lors du deuxième tour, toutes les deux s’étaient alliées à la coalition Benno Bokk Yakaar pour soutenir le candidat Macky SALL de l’Alliance Pour la République (APR,) qui était sorti vainqueur de l’élection. Avant elles, Marième Wane LY, secrétaire générale du Parti de la Renaissance Africaine (PARENA), qui s’était déclarée candidate à l’élection de 2000 avait fini par retirer sa candidature.

• 14 Octobre 1927
Première traversée de l’Atlantique sud sans escale de Saint-Louis du Sénégal à Natal au Brésil en 18H 15mn par Dieudonné COSTES et Joseph LE BRIX à bord d’un avion Bréguet.

L’HOROSCOPE DE CE LUNDI 14 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : prévoyez de réaliser de bonnes affaires sur le plan financier ! C’est parti !

Taureau : pleins feux sur les autres, avec une personne en particulier qui vous plait beaucoup !

Gémeaux : c’est une bonne période pour travailler plus, et prendre les rendez-vous côté santé !

Cancer : c’est dans la sphère intime que cela se joue, avec vos enfants, votre élu de cœur !

Lion : il y a des discussions, difficiles mais nécessaires, à propos ou au sein de votre foyer !

Vierge : bonne nouvelle pour vous, avec Mercure en signe ami, vos échanges s’améliorent !

Balance : à présent, vous argumentez au sujet de votre argent, et vous réglez ce qui doit l’être !

Scorpion : grâce à vos paroles, vos écrits, vous êtes percutant, on fait avec vous !

Sagittaire : alors vous serez parfois frustré de ne pas être entendu, ou mal compris, mais c’est passager !

Capricorne : Mercure fait un bel aspect à votre signe, un projet est en bonne voie !

Verseau : sur le plan professionnel et si vous occupez une fonction dans la société, vous négociez !

Poissons : il y a du dépaysement dans l’air mais pour un motif sérieux, qui vous engage !

[COLY EXPRESS -Législ’Hâtives du 17 novembre] Heures de ‘Keur’ clameurs’: Vociférations, stupeurs et soubresauts (Par C.T. C.)

Tract – La politique reprend du service au Sénégal, comme toujours d’ailleurs, où elle ne finit jamais de commencer, à se reposer et à nous reposer les oreilles. Tout le temps finalement.

Les législatives vont encore nous replonger dans un tintamarre indescriptible de propositions de faire de notre pays un Eldorado où il fera bon vivre, un pays réenchanté où le pétrole coule à flot, où le gaz détonne du fond des mers qui ont englouti nombre de ses fils, et où l’on boit le lait à la mamelle des nombreuses vaches nourricières pour peu cher.

 

Les politiciens gageront leur dernier sabador qu’ils pourront endiguer ce vœu périlleux des candidats aux mirages… d’outre-mer. Qu’importe ce qu’ils diront, ils voudront mêler l’illusion politique aux chimères d’une vie au-delà des eaux. Ils vont à la pêche des voix en prêchant entre les voies d’une campagne totalement reproduite avec des têtes nouvellement listées. Tenez, quand on nous dit que Macky Sall, ex-président de la République a fait volteface, en enlevant son ceinturon «bombé» ‘4P macronisés’, pour reprendre le vaisseau qui le fera revenir au bercail… Vous y croyez? Mieux vaut être tête de liste chez soi que bras armé «sous-pesé » aux quatre coins du monde ?

Attendons, bien sûr, que  l’ancien président veuille se remettre sur le tarmac glissant des revenants politiques désacralisés. Et qu’il se résout à être un adversaire de ses anciens prisonniers – Diomaye mooy/and Sonko – qui président aujourd’hui aux destinées de la Nation, mais surtout se testant concurrent d’Amadaou Ba son candidat d’hier qui, après sa déception de ne pas avoir été soutenus par nombre de ses camarades appertisés dans Benno Bokk Yakkar,  a pris ses libertés en brandissant un nouveau parti.

Alors, allons-nous assister à une campagne iconoclaste entre ceux qui, hier encore, voulaient engager le bras de fer avec leurs opposants devenus jeunes loups, nouveaux tenants du pouvoir ?

Disons-le tout de suite, un gigantesque chantier attend le Sénégal. Alors, il faut que nos politiques ou non politiciens de service  commandent une exceptionnelle dose de détermination, un sens des responsabilités nationales, un sentiment d’engagement social. Sans surtout oublier, pendant que nous y sommes, une bonne veine de diligence. Parce que ça urge ! Parce qu’on nous dit que les coffres du  Sunugaal sont vides, les caisses râpées jusqu’au dernier franc CFA. Et dîtes-nous comment tout cela est possible ? Il y aura la guerre des chiffres, la mer des promesses et… la marre des invectives que vont investir mafieux et ripoux.

Et, c’est cette classe politique qui va exceller dans les vociférations publiques qui exaspèrent, nous conduisant dans des  conséquences souvent négatives, mais parfois aussi révélatrices d’enjeux plus profonds. Les braillements et avanies publiques remplaceront souvent le véritable débat d’idées, en créant un climat d’agressivité où les échanges deviennent plus émotionnels que rationnels, limitant ainsi la qualité des discussions politiques, signe d’incompétence ou de mépris pour les préoccupations réelles.

Mais alors, qu’on ne nous fasse pas assister à cette sorte de théâtre politique – dans le mélimélo d’un manque de dialogue constructif, une détérioration de la confiance, un détournement des vrais enjeux -, qui masque l’inaction ou les échecs sur des dossiers cruciaux depuis des lustres.

Rien ne va plus, faites vos jeux!

Et on verra qui gagnera le gros lot(o) électoral parlementaire, un certain dimanche 17 novembre 2024.

Cheikh Tidiane Coly Al Makhtoum

[L’ÉCO DES SAVANES] Cynoia, agrégateur leader africain de solutions (voix, mails, agendas, gestion de projets) tient son évènement numérique à la DER/FJ, vendredi prochain, 18 octobre (Par Ousseynou Nar Gueye)

Tract.sn – Vous êtes un pionnier de l’innovation en Afrique ? Que vous dirigiez une entrprise tech audacieuse ou une entreprise traditionnelle en pleine métamorphose numérique, Cynoia vous convie à une après-midi à Dakar.

Joignez-vous à nous pour une après-midi inspirante, conçue pour connecter entrepreneurs, leaders et innovateurs avec notre équipe. Vous aurez l’opportunité de découvrir en avant-première Cynoia V.2 – plus qu’un simple outil de gestion de projet, notre plateforme est un véritable levier de croissance, prêt à accélérer votre succès.

Cynoia, agrégateur africain leader de solutions de multitasking collaboratif sur le lieu de travail (voix, données, agendas, e-mails, gestion de projets), basé en Tunisie et en France, en présence de ses co-fondateurs Nassreddine Riahi, Ayoub Rabeh et de leur équipe, sera heureuse de vous accueillir à son évènement, dans les locaux de la DER/FJ.

Notre événement exclusif réunit les esprits les plus brillants du business africain pour une session de networking intense et productive. C’est l’occasion rêvée de tisser des liens précieux, d’échanger des idées novatrices et de forger des partenariats stratégiques qui propulseront votre entreprise vers de nouveaux sommets.

Les places sont limitées pour garantir des échanges de qualité et des opportunités de networking optimales. Si vous êtes un leader visionnaire prêt à façonner l’avenir du business en Afrique, cet événement est fait pour vous.

Au plaisir de vous retrouver à notre meet-up Cynoia (www.cynoia.com), en partenariat avec la DER/FJ

Pour toute demande de renseignement supplémentaire au Sénégal et contact presse :
Ousseynou Nar Gueye
ogueye@axes-et-cibles.com

[LE BIAIS D’O.N.G] Financements internationaux : le GOS (Gouvernement Ouvriers Spécialisés) d’Ousmane Sonko a le tort d’avoir souvent tort (Par Ousseynou Nar Gueye)

Ousmane Sonko, Premier ministre du GOS (Gouvernement Ousmane Sonko = Gouvernement Ouvriers Spécialisés) a tort sur toute la ligne : le Sénégal a bel et bien besoin des financements internationaux pour se développer. Il ne faut pas que Sonko cherche des échappatoires pour faire diversion après avoir dégradé la signature financière de l’État du Sénégal.

Les investissements directs étrangers ne sont pas de la charité de la part de l’Occident et des pays emergents et des BRICS: eux aussi ont intérêt à ce que tous les pays du Sud global se développent économiquement : pour la stabilité socio-politique mondiale, pour la paix universelle, pour l’annihilation de la crise migratoire créée par les pays du Sud, pour leur créer de nouveaux marchés, pour ne pas faire peser le Sud sur leurs systèmes de sécurité sociale et leur modèle social par la pression migratoire venue du Sud.

Et nous, Sud et Sénégal y gagnons : investissements financiers bienvenus + indispensables transferts de technologie qui viennent avec cet argent, + et enfin accès aux marchés du Nord avec des produits transformés à valeur ajoutée décuplée.

N’en ayons pas honte : c’est win-win.

Ousmane Sonko, vous avez le tort d’avoir souvent tort, avec votre GOS adepte de polémiques stériles et de « clivantéisme ».

Ousseynou Nar Gueye

Directeur Général de Tract.sn et de Tract Hebdo

[PEOPLE-INDISCRET TRACT] Voici pourquoi Mamy Camara, ex de Youssou Ndour, a divorcé d’avec Manar Sall

Tract.sn – Manacoro Mamy Camara, ex femme de Youssou Ndour, avait été remariée à Manar Sall, manager dernièrement à la tête de Petrosen Holding qui a été limogé par PR Diomaye.

Manar et Mamy avait fini par divorcer. Pourquoi? Mamy ne voulait plus de Manar, qui est un « défaillant » : en effet, il avait épousé comme troisième femme la veuve du bassiste Habib Faye.

Bref, Manar, toujours à courir les ex et les veuves des membres du Super Étoile. Une bien pâle étoile que celle de Manar…Wataawat, Manar !

Par Dieyla Sow

Tract

LÉGISL’HÂTIVES: Début et fin des dates de retraits des cartes d’électeurs connues 

“La distribution des cartes d’électeurs se poursuivra dans des commissions administratives instituées dans les communes, trente-cinq jours (35) avant le scrutin, soit le 12 octobre 2024”.

 

Telle est l’annonce que le directeur général des élections a faite dans un communiqué pour informer les citoyens et à l’ensemble des acteurs du processus électoral.

“ À l’étranger, le distribution se fait dans les représentations diplomatiques ou consulaires”, a ajouté le directeur général des élections dans sa note.

À retenir que la distribution des cartes d’électeur va se poursuivre sur l’ensemble du territoire national jusqu’au 16 novembre 2024, veille du scrutin et à l’étranger jusqu’au 17 novembre, jour du scrutin.

Hadj Ludovic

PONT FAIDHERBE DE SAINT-LOUIS: L’importante annonce du préfet sur la circulation 

TRACT – “La circulation va être temporairement interrompue sur le pont Faidherbe de Saint-Louis dans la nuit de ce dimanche 13 au lundi 14 octobre entre 00h et 3h du matin, pour une opération d’ouverture et de fermeture de la travée tournante”.

 

Le préfet de Saint-Louis qui a donné l’information invite “les usagers à prendre toutes dispositions utiles afin que les désagréments liés à cette opération soient moindres”.

Hadj Ludovic

AFFAIRE ONAS: L’étau se resserre autour de Dr Cheikh Dieng 

TRACT – La Section de recherches est désormais en charge de l’affaire opposant l’ex-Directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (Onas), au ministre de tutelle, Cheikh Tidiane Dièye.

 

Le premier cité, Cheikh Dieng, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est convoqué demain à 16 heures pour répondre à la convocation des enquêteurs.

Dans cette affaire, le ministre de la justice Ousmane Diagne, devant l’Assemblée nationale, avait annoncé l’ouverture d’une enquête concernant le scandale présumé à l’Onas:

“Je peux vous assurer que sur mes instructions, une enquête complète a été ordonnée, et je dis bien une enquête sur l’ensemble des faits. Je peux vous donner ma parole que la lumière sera faite sur cette affaire”, avait-il promis.

Hadj Ludovic

NOMINATIONS DES COORDONNATEURS DES JPS: L’analyse politique du Journal «Le Quotidien» en vue des législatives

TRACT – “Une douzaine de coordonnateurs des Jeunesses patriotes du Sénégal (Jps) ont été nommés chargés de mission. Il s’agit, entre autres, des coordonnateurs des Jps de Kédougou, Saint-Louis, Koungheul, Diourbel et Tambacounda”.

 

Le Journal Le Quotidien qui relate cette information a montré toute sa préoccupation sur ces nominations qu’il considère comme étant une stratégie politique :

« Ces nominations sont une manière pour le camp du pouvoir de remobiliser la base électorale, surtout à la veille des Législatives anticipées du 17 novembre prochain « en casant » les jeunes qui constituent le cœur de Pastef et qui ne cessent de réclamer leurs nominations ».

Le quotidien d’information juge que cette façon de faire est loin de la rupture promise par le nouveau régime:

« Dans les pratiques politiques au Sénégal, le chargé de mission est une fonction fourre-tout, qui permet juste de caser une clientèle politique. De Abdoulaye Wade à Macky Sall et désormais Diomaye Faye, on décide d’y recourir pour offrir un emploi rémunéré à des militants ou proches », a signé Le Quotidien.

Hadj Ludovic

RESTE(S) DU MONDE-IRAN: Du nouveau sur le meurte du général iranien tué par Israël

TRACT – Le corps du général Abbas Nilforoushan, tué au Liban par Israël fin septembre, a été retrouvé d’après une annonce faite hier par l’Iran.

 

Dans un communiqué qu’ils ont rendu, les Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de l’Iran a annoncé:

« Le corps du martyr Abbas Nilforoushan a été retrouvé grâce à des efforts continus ».

Ces derniers précise:

“La date du rapatriement du corps et des funérailles sera annoncée ultérieurement”.

Pour rappel, Abbas Nilforoushan, l’un des principaux commandants de la Force Qods, l’unité d’élite des Gardiens de la Révolution, avait été tué le 27 septembre dans la banlieue sud de Beyrouth avec Nasrallah par une frappe israélienne.

Hadj Ludovic

LÉGISL’HÂTIVES : La surprenante réaction des Pastef de Pikine suite à la déclaration de Mame Diarra Fam 

TRACT – À la surprise de plus d’un, la députée sortante Mame Diarra Fam a décidé de soutenir la liste de Pastef, rejetant ainsi l’alliance entre son parti le Pds et l’Apr en vue des législatives du 17 novembre.

 

Contrairement à ce qu’on s’attendait, certains des Patriotes de Pikine, la base de l’ancienne parlementaire, ne veulent pas de son soutien.

En le faisant savoir ouvertement dans une note reprise par Les Échos, les camarades de parti de Ousmane Sonko, déclarent:

“La section communale de Pastef Guinaw Rail Nord ne saurait battre campagne aux côtés d’une telle personne”, ont-t-ils averti.

Ces Patriotes se justifient:

“À la veille de la présidentielle, cette dame nous a accusés à tort d’avoir attaqué sa maison avec des coupe-coupe, des pierres et des cocktails Molotov. Nous n’oublierons jamais que suite à ses accusations infondées, elle nous a traités de bandits, de brigands, d’association de malfaiteurs et nous a même insultés de mère”, ont-il argumenté.

Pastef Guinaw Rail Nord n’a pas non plus pardonné à Mame Diarra Fam d’avoir «traité le Président Bassirou Diomaye Faye de poulet», lorsqu’il était candidat pour le fauteuil présidentiel, et d’avoir voté pour le report de la présidentielle du 24 mars.

Hadj Ludovic

Bargny, ville côtière, 70.000 habitants, disparaît bientôt : ‘J’ai du mal à fermer l’œil la nuit’

Tract.sn – Bâtiments engloutis, murs fissurés ou affaissés, toitures endommagées, toilettes détruites, trous béants ici et là : à Bargny, l’une des localités du Sénégal les plus menacées par la montée des eaux, l’érosion côtière gagne du terrain et hante le sommeil des populations qui redoutent de voir leur ville disparaître d’ici peu si rien n’est fait.

Le dernier épisode de submersion mi-août a laissé ses stigmates sur l’habitation de Ndeye Yacine, située sur le front de mer. Une partie du bâtiment a été engloutie, malgré les pneus et sacs de sables dressés pour faire barrage aux vagues.

Le mur de clôture n’a pas été épargné, exposant au regard indiscret la petite cour pavée de coquillages et un bâtiment délabré où se sont regroupés autour du thé quelques membres de la famille.

Seules quelques pièces surchargées de bagages et rongées par l’humidité sont désormais utilisables. En tout, 6 de ses 10 enfants ont quitté le foyer, se désole Ndeye Yacine.

Une trentaine de maisons ont été submergées dans le quartier, laissant plusieurs familles sans toit.

« Tout a été englouti »
Ndeye Yacine, qui habite Bargny depuis sa naissance, raconte la brutalité de la montée des eaux. « J’ai du mal à fermer l’œil la nuit de peur que la mer attaque une nouvelle fois et emporte tout. Mais je n’ai nulle part ailleurs où aller », soupire la sexagénaire dans le bruit des vagues qui viennent mourir au pied de la maison. Elle espère que les nouvelles autorités apporteront vite des solutions.

Le Sénégal perd chaque année 0,5 à 2 mètres de côte, selon le ministère de l’Environnement. Il cite parmi les causes l’élévation du niveau de la mer, les écoulements de surface, mais également l’extraction de sable sur les plages et les constructions abusives sur les côtes.

Le Groupe d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) alerte de longue date sur la montée du niveau des océans liée au réchauffement climatique et sur les risques pour les habitants des zones côtières, qui constituent plus de la moitié de la population du Sénégal.

Le Sénégal perd chaque année 0,5 à 2 mètres de côte, selon le ministère de l’Environnement.

Ce seront des inondations plus fréquentes et plus graves, une érosion accrue et des épisodes météorologiques extrêmes qui pourraient se produire tous les ans au lieu d’une fois par siècle dans le passé.

À Bargny, où vivent quelque 70 000 personnes, la ligne de côte a reculé d’une soixantaine de mètres, assurent les habitants, qui font remonter le mal au début des années 1980. Il s’est toutefois exacerbé ces dernières années, disent-ils.

Beaucoup se souviennent d’une magnifique plage de sable parsemée d’arbres. Mais tout cela a disparu.

« Avant, il y avait ici un cimetière, des mosquées, des aires de jeu. Mais tout a été englouti » ces dernières années, regrette Ndeye Yacine, pointant son doigt au large où dérivent quelques pirogues colorées.

Non loin de là, son voisin Ibrahima Diouf, un retraité de 63 ans, répare son petit barrage devant sa maison, une dalle à hauteur d’homme. En short et débardeur, il applique plusieurs couches de ciment sur une partie endommagée du bloc de pierre. Quelques enfants l’aident dans la tâche.

Émigration irrégulière
Il ne compte pas abandonner sa maison familiale. « Mes grands-parents ont vécu ici, ma mère habite ici. Pourquoi partir et pour aller où ? Il n’y a plus de terre à Bargny. Je réparerai autant de fois qu’il faut », assure-t-il.

Autrefois petit bourg de pêcheurs, Bargny est désormais une zone industrielle de la capitale Dakar, qui ne cesse de s’étendre. Elle abrite l’une des plus grandes cimenteries d’Afrique de l’Ouest et une centrale électrique à charbon. La pollution y a fortement augmenté.

Quelque 70 000 personnes vivent à Bargny.

La raréfaction des poissons, la démolition de plusieurs maisons par la montée des eaux, les difficiles conditions de vie et le manque de perspectives ont poussé de nombreux jeunes à prendre la route migratoire vers l’Europe.

Mamadou Seck, un jeune de la localité, raconte que Bargny « est surnommé l’AIBD » (en référence à l’aéroport international Blaise-Diagne de Dakar) de l’émigration irrégulière, tant les départs y sont nombreux ces dernières années.

Pour Médoune Ndoye, membre d’une association de défense de l’environnement à Bargny, l’État doit vite construire des brise-lames et restaurer l’écosystème marin en reboisant la zone avec des filaos, des cactus et des cocotiers. Sans quoi, le village ne sera plus qu’un souvenir dans quelques années, prévient-il.

Tract

AFFAIRE LOCAFRIQUE : Khadim Bâ placé sous mandat de dépôt

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Tract-Khadim Ba est placé sous mandat de dépôt sur instruction du juge du Pool judiciaire financier (PJF).

Le patron de Locafrique est poursuivi pour escroquerie sur deniers publics, infractions douanières, faux et usage de faux et blanchiment de capitaux.

[TRIBUNE]  BUBAAKAR BORIS JOOB, ET AUTRES DÉCOLONIAUX, DÉNONCENT UNE ‘FRANCOPHONIE, PROJET D’AMBITION IMPÉRIALISTE’ DE LA  ‘FRANCE OFFICIELLE’ 

Tract.sn – La Francophonie, un projet au service de l’ambition impérialiste française

Le 19e sommet de la Francophonie se déroule ces 4 et 5 octobre 2024 à Villers-Cotterêts, en France. Dans cette tribune, Thomas BorrelBoubacar Boris DiopKhadim NdiayeOdile Tobner et Aminata Dramane Traoré dénoncent l’ADN colonial de l’Organisation internationale de la francophonie et le double discours de l’institution sur les droits humains.

« L’unité du langage entraîne peu à peu l’union des volontés », écrivait en 1904 le géographe Onésime Reclus, ajoutant : « Nous avons tout simplement à imiter Rome qui sut latiniser, méditerranéiser nos ancêtres, après les avoir domptés par le fer. » C’est bien en ces termes que fut théorisée la « Francophonie » par celui qui forgea ce néologisme. Celle-ci serait « tout à la fois un espace de résistance et de reconquête », expliquait pour sa part le président Emmanuel Macron au sommet de Djerba, en 20221. Plus d’un siècle sépare ces deux citations, dont la juxtaposition illustre l’ambiguïté coloniale qui persiste chez celles et ceux qui vont célébrer la Francophonie lors du sommet de Villers-Cotterêts.

Loin de nous l’idée de contester l’intérêt d’avoir au moins une langue en commun pour échanger en étant dans différents pays, sur différents continents. D’ailleurs, nous ne nous en privons pas. Mais la Francophonie représente bien plus que cela : c’est un projet politique mu par la vieille ambition impérialiste française.

Façonner l’imaginaire politique

Dans nombre de pays, la Francophonie, c’est avant tout la promotion d’une langue coloniale, qui continue de façonner la manière de penser, de s’exprimer et de vivre le monde. C’est aussi l’affirmation d’un élitisme forcené puisque, face aux langues locales, l’usage familial du français concerne souvent une frange limitée de la population, avant tout urbaine et généralement plus aisée. Lorsque cette langue est celle de l’administration, des bourses d’études et des crédits de recherche, les élites politiques et économiques proviennent donc le plus souvent de ces milieux restreints où le français est très tôt devenu une seconde langue maternelle, voire la langue privilégiée. La reproduction des élites y prend ainsi une dimension linguistique qui façonne l’imaginaire culturel et politique… en cultivant un fort arrimage culturel à la France.

C’est d’ailleurs l’intention, même pas cachée, des promoteurs et promotrices de la Francophonie à Paris. « Maintenant que nous avons décolonisé, notre rang dans le monde repose sur notre force de rayonnement, c’est-à-dire avant tout sur notre puissance culturelle », reconnaissait le général de Gaulle en 1966. « La Francophonie prendra un jour le relais de la colonisation ; mais les choses ne sont pas encore mûres », précisait-il2. Elles le sont devenues.

De nos jours, chaque rapport parlementaire français sur les relations franco-africaines est l’occasion de rappeler l’importance de la diffusion de la langue et de la culture française qui permet, comme l’écrivent en 2018 les députés Michel Herbillon et Sira Sylla, de « créer les conditions d’un rapprochement profond et sur le temps long, de liens quasi émotionnels, d’une intimité qui peut s’avérer décisive en matière diplomatique ». Car, rappellent-ils, « si le travail de chancellerie permet d’avoir des “alliés”, la diplomatie culturelle permet de se faire des “amis” »3.

Instrument de puissance culturelle

Et l’amitié peut – et doit – payer. C’est Jacques Attali qui l’explique le mieux, dans son rapport remis il y a dix ans au président Hollande, sur la « Francophonie économique ». Il y insiste sur la « corrélation entre la proportion de francophones dans un pays et la part de marché des entreprises françaises dans ce pays » et propose de créer à terme une « Union économique francophone aussi intégrée que l’Union européenne »4. Un grand marché commun au centre duquel rayonnerait la France.

La mise en œuvre d’un projet politique nécessitait bien une institution multilatérale derrière laquelle dissimuler les ambitions françaises. « La Francophonie est une grande idée », expliquait le général de Gaulle en Conseil des ministres en 1963, ajoutant toutefois une précaution stratégique : « Il ne faut pas que nous soyons demandeurs. » Une mythologie savamment entretenue voudrait que la création, en 1970, de l’Agence de coopération culturelle et technique, ancêtre de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), ait été initiée par le président sénégalais Léopold Sédar Senghor et quelques autres. C’est oublier opportunément l’impulsion donnée par de Gaulle et par son Premier ministre Georges Pompidou, qui créa dès 1966 un « Haut Comité pour la défense et l’expansion de la langue française » en mobilisant justement son ami de jeunesse Senghor.

L’OIF est devenue l’outil dont la France avait besoin pour essayer de continuer de peser sur la scène internationale : un instrument de puissance culturelle, dont Paris assure la plus grosse part du budget et organise l’agenda politique, tout en prenant soin de ne jamais placer un Français à sa tête – toujours ce soin de ne pas être « demandeurs ».

Air de déjà vu

Outre les objectifs de diffusion culturelle et linguistique et de développement économique, l’OIF vise officiellement à « promouvoir la paix, la démocratie et les droits de l’Homme ». Car le rayonnement français entend se faire aussi sur le plan des « valeurs » que Paris brandit régulièrement, comme pour mieux faire oublier les terribles compromissions de sa politique étrangère, notamment en Afrique et au Moyen-Orient. L’OIF reprend ainsi à son compte l’hypocrisie de la France, et son discrédit croissant sur le continent africain. Ses opérations « d’observation » de scrutins sont réputées pour le blanc-seing qu’elles offrent aux plus sinistres farces électorales. Le vernis « pro-démocratie » de l’institution ne sert qu’à légitimer certains des pires régimes de la planète, pourvu qu’ils torturent en français.

Toute cette mascarade du sommet de Villers-Cotterêts est d’autant plus pénible qu’on nous fait déjà, comme lors du « nouveau » sommet Afrique-France de Montpellier il y a trois ans, la promesse d’un format « innovant », avec de « jeunes entrepreneurs » et « créateurs »Comme à Montpellier, le sens du spectacle nécessitera sans doute quelque interpellation intrépide, pour montrer que l’OIF n’a pas peur de se moderniser.

Mais cette fois il ne sera même pas question des autres piliers de l’impérialisme français, tels que l’armée ou la monnaie, et on entend déjà clamer la nécessité de réformes destinées à donner encore plus de poids politique à la Francophonie, en feignant de croire qu’elle peut être une piste de solution au problème qu’elle symbolise depuis toujours.

Tract (avec presse digitale)

EN CONFÉRENCE DE PRESSE : Bougane qualifie Sonko de ‘poltron’ et promet de poursuivre son combat

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Tract-Le leader de Gueum Sa Bopp après son élargissement fait, s’est adressé à la presse pour se prononcer sur son audition à la Division de la cybercriminalité et sur la situation du pays. Une rencontre à laquelle ont assisté, Assane Diouf, activiste, Pape Djibril Fall, Abdou Mbow entre autres.

Lors de sa prise de parole l’ancien député Pape Djibril Fall a soulevé le cas du directeur général des moyens généraux du palais, Cheikh Oumar Diagne pour lui c’est ce dernier qui devait être convoqué. Lui, d’après monsieur Fall, qui a insulté les tarikhas. « Aujourd’hui, ne serait-ce que pour des raisons humanitaires, le commissaire Keita ne devait pas être mis en prison ainsi qu’Ameth Suzanne Camara et autres ».

« Nous avons toujours combattu l’abus de pouvoir et personne ne pourra nous dévier de notre chemin. Nous en appelons au peuple à ne pas donner à des gens comme ceux-là, la majorité à l’Assemblée nationale », a déclaré sur un ton ironique, le leader de Gueum Sa Bopp.

Poursuivant ses déclarations, le patron de Dmedia a taxé Ousmane Sonko de poltron, tout en évoquant ses déboires avec la justice. « Ousmane Sonko, à la prison de Sébikhotane avait simulé une maladie. C’est ainsi qu’il a été transféré au pavillon spécial dans un confort qui lui permettait de négocier avec Macky Sall », a confié Bougane Guèye Dani.

JUSTICE : Kader Dia, Bougane et Yerim Seck libres !

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Tract-Le chroniqueur de la Sen Tv est sorti libre du Tribunal de Dakar où il a fait face au procureur ce jeudi. Son avocat, Me Elhadj Diouf a déclaré que Bougane Gueye Dany et cheikh Yérim Seck sont aussi libres.
Déférés au parquet ce jeudi, Kader Dia, Bougane Gueye Dany et Yérim Seck sont sortis libres de leur face à face avec le procureur de la République.

Le chroniqueur de la Sen Tv, qui s’est présenté face aux journalistes, a déclaré : «Je rends grâce à Dieu. J’ai toujours eu confiance à la Justice de mon pays et aujourd’hui après 72 heures de garde à vue, je suis libre. Ca a été difficile, parce que ça pèse lourd mentalement et physiquement, mais ça ne pouvait se terminer que comme ça», a-t-il réagi au sortir du tribunal. Son avocat, Me Elhadj Diouf a confirmé que Cheikh Yérim Seck et Bougane Gueye Dany sont aussi libres.

‘SETAL SUNU REW’ : Sonko et Diomaye attendus respectivement à Ziguinchor et à Mbour

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Tract-Le Président Bassirou Diomaye Faye sera à Mbour le samedi 5 octobre pour prendre part à la journée de nettoyage, précisément au lycée Demba Diop. De son côté, le Premier ministre Ousmane Sonko se rendra à Ziguinchor où il effectuera le Setal Sunu Rew à l’université Assane Seck.

L’information a été donnée ce jeudi par le ministre de l’Education, Moustapha Mamba Guirassy. Il a tenu ces propos en marge de la rencontre tenue avec les acteurs communautaires pour préparer l’événement.

Pour rappel, le ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Mamba Guirassy avait via une publication sur son compte X, invité les Sénégalais à se mobiliser le samedi 5 octobre pour un grand nettoyage des espaces d’apprentissage, notamment les écoles, les centres de formation, des universités entre autres…

« Le samedi 5 octobre, ensemble, réhabilitons nos écoles, repeignons les murs, nettoyons les cours, réparons les tables bancs. Chaque geste compte, chaque effort est une pierre posée pour construire l’avenir de nos enfants. Lançons un appel solennel à toute la population sénégalaise afin d’y participer massivement, comme dans les éditions précédentes », a publié le ministre sur son compte X.

À noter également que cette 5e édition du Stal Sunu Rew coïncide avec la Journée internationale de l’enseignant.

BLOQUÉ À L’AÉROPORT : Madiambal Diagne accuse le nouveau régime

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Tract-Le journaliste Madiambal Diagne, candidat déclaré aux législatives de novembre s’est fendu d’un poste sur son compte X pour dénoncer une situation dont il a été victime ce jeudi à l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD). Alors qu’il devait voyager, le journaliste dit être bloqué par la police à l’aéroport réclamant un passeport diplomatique.

Madiambal connu pour ses sorties critiques envers les nouvelles autorités estime que des instructions ont été données à la police de l’aéroport pour lui retirer le passeport diplomatique, qu’il n’a pas.

« Je voyage ce soir. Des instructions ont été données à la police de l’aéroport pour me retirer le passeport diplomatique. Je n’ai jamais possédé un tel document, pour bizarre que cela puisse paraître aux nouvelles autorités du pays. La police me fait poireauter pour vérification. Comment leur donner un document que je n’ai jamais eu ? Mon pays est drôle », a lancé le journaliste.

Le patron du journal le quotidien de poursuivre : « La police doit quand même pouvoir voir dans ses machines que je n’ai jamais voyagé avec un passeport diplomatique. Franchement ce doit être élémentaire ».

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE VENDREDI 04 OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides du Sénégal de ce jour !

• 4 Octobre 2023
En Malaisie, l’équipe nationale du Sénégal de football des malentendants est éliminée en demi-finale de la Coupe du Monde par celle de l’Ukraine aux tirs au but (7-8) après un match acharné qui s’est conclu sur un score de 1-1 à la fin du temps réglementaire. En matchs de poule, l’équipe coachée par Souleymane Bara FOMBA, championne d’Afrique en titre, a battu celles de l’Argentine (2-0), de l’Arabie Saoudite (3-0) et des États-Unis d’Amérique (1-0).

• 4 Octobre 2022Ouverture à Dakar d’un séminaire régional sur le renforcement de la coopération judiciaire et policière dans la lutte contre le trafic de migrants et la traite des personnes. La rencontre a enregistré la participation de magistrats et de policiers venus de la Côte d’Ivoire, de l’Espagne, de la France, de la Gambie, de la Guinée, de la Mauritanie, du Niger et du Sénégal.

• 4 Octobre 2022L’explosion de la chaudière de l’usine Star industries située à Nébé, dans la commune de Tocky Gare (région de Diourbel), fait un bilan de 7 morts et 3 blessés.

• 4 Octobre 2016
Lancement au Sénégal de la carte nationale d’identité biométrique des citoyens de la Communauté Economique Des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

• 4 Octobre 1962
Le capitaine Ahmet FALL est le premier officier nommé Directeur de la Gendarmerie Nationale. Il restera au poste jusqu’en juin 1964. Il a été succédé par le Commandant Tamsir BA.

• 4 Octobre 1960Établissement des relations diplomatiques entre la République du Sénégal et l’Empire du Japon. Une ambassade du Japon au Sénégal, la première en Afrique subsaharienne francophone, sera ouverte en 1962.

• 4 Octobre 1958Avènement de la Communauté franco-africaine qui compte le Sénégal parmi ses membres. Le Sénégal avait voté « oui » à 97,55% au référendum du 28 septembre 1958 proposé aux colonies françaises d’Afrique par le Général Charles DE GAULLE, Président du Conseil de gouvernement français,

• 4 Octobre 1863Signature d’un traité rattachant au territoire colonial français le Ndiambour, le Saniakhor, l’Andal et le Baouar.

• 4 Octobre 1768
Pierrre Louis DE RASTEL DE ROCHEBLAVE est nommé Gouverneur de Gorée et Dépendances. Il succède au capitaine Claude LE LARDEUX DE LA GASTIÈRE. En 1758, les Anglais avaient pris le Sénégal aux Français. A la faveur de traités signés à Paris le 10 février 1763 avec les Anglais les possessions françaises étaient réduites aux Antilles et à Saint-Pierre-et-Miquelon en Amérique, à l’île de Gorée en Afrique.

L’HOROSCOPE DE CE VENDREDI 04 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : une bonne nouvelle côté finances vous donne ou vous redonne le sourire !

Taureau : fuyez la foule et les ragots. Recentrez-vous sur ce qui compte pour vous !

Gémeaux : en multipliant les rencontres, vous liez connaissance avec des personnes que vous admirez !

Cancer : de force ou de gré, vous vous occupez de vos enfants et de vos amours aussi !

Lion : la communication est l’un de vos atouts, profitez-en, faites passer votre message !

Vierge : vous vous rapprochez de certains, et vous prenez vos distances avec d’autres !

Balance : vous luttez pour un travail, pour être écouté en famille, ça va s’arranger, patience !

Scorpion : ne ruminez pas et gardez les yeux ouverts, c’est bientôt à votre tour de jouer !

Sagittaire : une journée lumineuse ! Vivez la avec intensité, profitez-en !

Capricorne : c’est du sérieux aujourd’hui, et vous êtes fin prêt. Et vous serez aidé !

Verseau : peut-être attendez-vous trop de l’autre, au travail et dans votre vie privée ?

Poissons : vous secourez volontiers les âmes en peine et on apprécie !

[GRAND TEXTE] Y.ND, 65 ans, devenu sixty-sexygénaire ce mardi 1er octobre, : ‘À Chaque Sénégalais, il y a son Youssou Ndour’; Voici le mien, lors de notre avant- dernière rencontre, il y a 10 ans, avant celle de 2023 (Par Ousseynou Nar Gueye)

Paru le 1er octobre 2024 dans Tract Hebdo, repris ce 4 octobre dans Tract.sn –

La fois d’avant encore, je l’ai vu en février 2012 à l’hôtel Le NDiambour, alors qu’il voulait être candidat à la présidentielle et il m’avait dit lire mes tribunes sur l’élection wadisée, dans Seneweb, avec un grand enthousiasme et un important intérêt, me souriant de sa grande banane d’éternel jeune homme .

Puis la fois d’avant, l’avant-dernière fois, nous nous vîmes le samedi 27 décembre 2014 avec Youssou Ndour, et prîmes une photo, avec moi, réprimant mon sourire à une blague.

Youssou qui a été mon patron le plus emblématique. De janvier 2001 à début 2007, je fus son Responsable de Projets, Chargé du Copyright, de l’édition musicale, des relations avec le milieu des producteurs de musique , sherpa spécial en direction d’El Hadj Ndiaye (PCS 2000 ),et de Mamadou Konté, les grands fauves. Et aussi, j’étais chargé du projet de création d’une école des métiers techniques de la musique en coopération avec la ville d’Issoudun en France (Youssoudun?), Secrétaire Général de « l’association des activités du festival de musique DK 24 » dont Youssou Ndour était Président; association non dissoute à date de 2024…. J’ai créé l’acronyme CIPEPS asso des producteurs de musique, nommément Coalition Interprofessionnelle des Producteurs et Éditeurs Phonographiques du Senegal, en 2004-2005, en ai écrit les statuts et l’ai faire entrer au Conseil National du Patronat du Sénégal (CNP) en 2007.

Lamine Fall, qui m’appelle Maître et Mentor (et son ami Dave me nomme..le Gourou, lol), en est aujourd’hui et de tout temps le Secrétaire Permanent de cette Cipeps là , en 2024, et ce depuis 2006, au sein du CNP.

La création de la CIPEPS matérialise la « volonté politique » de Youssou de pacifier l’espace sénégalais de la production musicale, notamment dans ses rapports d’alors avec El Hadj Ndiaye, qui étaient exécrables (Ndiaye et sa Pyramide Culturelle du Sénégal bénéficiant d’un important soutien financier et logistique des Présidents Diouf puis Wade, ce que Y. ND n’avait pas)… et avec feu Mamadou Konté (repose en paix, Mamadou… »Mamadou m’a dit »…), qui étaient empreints de jalousie fielleuse de la part de ce dernier, sans vouloir offenser sa mémoire.

« A chaque Sénégalais, il y a son Youssou Ndour ». Ce 1er octobre 2024, il célèbre ses 65 ans, en route vers 66. Route 66, comme aux USA. 66 comme tant d’incantations de chapelets rituels en Islam.

J’ai vendu un concert de Youssou Ndour aux Nations Unies sous le SG de l’ONU Ban Ki Moon,ce qui m’a valu mon premier voyage aux USA en 2004. Avec Mbacké Dioum, en diatigui cornaqueur à New York au Sofitel (celui là même où survint l’affaire DSK) où passa me visiter mon frère d’armes Ibou Wade, mangeai un soupou kandia d’anthologie venu de Harlem et où je résidais à plus de 20 étages au dessus du sol à quelques pas de Time Square, Mbacké Dioum donc nous parla de la rumeur positive enflante sur le talent d’un certain Akon; rappeur US d’origine Thiam sénégalaise. Encore inconnu en Afrique.

Mon premier visa américain de 10 ans en 2003 donc. New-York où je partis en rdv avec EMI Music et Sony Music, et avec la réalisatrice de cinéma et productrice Elizabeth Chai Vasarhelyi, reçue quelques mois plus tôt à Dakar à mon bureau des Almadies et à mon domicile de la Cité des Magistrats aux Mamelles, avec son époux blond et preneur de vues.

Vasarhelyi, dont j’ai supervisé le montage juridique du (projet de) film documentaire de 102 minutes, « Youssou Ndour : I bring What I Love », finalement sorti en 2008, un an après mon départ de chez la « Youssou Ndour Family Business ».

Un documentaire produit par 57th & Irving Productions : En 2005-2006, Elizabeth Chai Vasarhelyi suit la tournée de Youssou N’Dour, classé parmi les 100 personnalités les plus influentes au monde par le Time Magazine l’année suivante. On le connaissait jusque-là comme porte-voix de l’Afrique. Il devient alors porte-parole de l’Islam, une religion qu’il veut faire exister aux yeux du monde occidental au-delà de l’intégrisme. Intégrant une dimension sacrée à sa musique, il propage un message de tolérance fédérateur qui trouvera des détracteurs dans son pays, où il est pourtant extrêmement populaire. Le film promeut ce message tout en nous embarquant dans la vie de la tournée, rythmée par l’expression si riche des chansons de Youssou Ndour, dans la lignée des plus grands griots.

Résumé de ce premier film documentaire long-métrage d’Elizabeth Chai Vasarhelyi ? « Au point culminant de sa carrière, Youssou N’Dour a décidé de composer “Egypt”, un album religieux dédié à une vision tolérante de l’Islam, enregistré au Caire avec l’orchestre de Fathy Salama. C’est une période critique et un tournant dans la carrière de Youssou. Son courageux message musical a été chaleureusement accueilli dans les pays occidentaux, mais a créé de sérieuses polémiques au Sénégal. Pendant plus de deux ans, la réalisatrice Elizabeth Chai Vasarhelyi a suivi Youssou N’Dour à travers le monde, le filmant en concert mais aussi dans des moments plus intimes avec sa famille et son entourage. “I Bring What I Love” est le recueil d’un voyage difficile. Youssou y a assumé sa démarche, se posant en voix d’espoir », dans un monde qui sortait de la guerre américaine en Irak.

Je fus ainsi Coordonnateur des 4 managers internationaux de Youssou Ndour. Incluant Thomas Rome, manager américain de Youssou et avocat new yorkais, qui prendra ma suite dans ce rôle de coordonnateur en 2007. Thomas Rome m’appelait « Mazarin ». Incluant aussi Michelle Lahana La Gazelle pour la France; Mady Dramé pour l’Afrique, et son manager pour le Royaume-Uni.

J’ai finalisé la convention de partenariat avec le Africa Festival de Würzburg en Bavière allemande, où je me suis rendu .

Mon DESS Mastère en politiques culturelles et gestion des Arts option politiques culturelles internationales m’a préparé à ce rôle, auprès de Y.ND. Obtenu en 1999, sous la houlette de ma directrice de mémoire, aussi stricte que belle et maternelle : Brigitte Remer.

Hasard ou signe du destin : en 2007, mon poulain Lamine Fall la rencontre à Alexandrie en Egypte où Brigitte Remer est devenue directrice du Centre Culturel français. J’avais soutenu Lamine à partir pour l’université Léopold Sédar Senghor, mise en place par l’Organisation de la Francophonie (OIF) à Alexandrie. Pour y passer un diplôme en gestion culturelle, validant ses acquis de manager d’artiste, Lamine Fall, historique manager d’Alioune Mbaye Der, dirige la Sarl OSCAR depuis 10 ans (gestion d’accès événementiels. Et enfin, nous avons partagé le projet d’accompagnement fourni à l’AMAA (Association des managers et Agents d’Artistes du Senegal), financé par l’ADEPME et le 3FPT (2021 – 2022) où Lamine a été un excellent formateur.

Mes quatre années antérieures, de 1995 à 1998, comme directeur de l’Alliance française de Saint-Louis, m’ont aussi préparé à ce rôle d’ingénierie culturelle auprès de l’immense Youssou Ndour (Kaar Kaar, machallah…).

A Saint-Louis, je m’attelais, entre autres, à organiser la Fête de la Musique quand les représentants locaux du ministère de la Culture avaient fait défaut. Avec l’appui de la Gouvernance de Saint-Louis et de la Radio de Teranga FM (notamment de Ben Makhtar Diop, mais aussi de Golbert Alioune Badara Diagne). Teranga FM où j’eus une émission hebdomadaire pendant mes années Ndar-Ndar, D’are D’art : « Francophonie au bout des Ondes ».

En janvier 2021, ce sont les initiales Y.ND (wolofisées en Waiyyendi) qui composent le titre du premier de mes deux romans, le second, sorti en décembre 2023, étant « Immeuble Nal, Douala ».

La dernière fois que j’ai vu Youssou Ndour ? En mai 2023, à l’ancien palais de justice à son Forafricc (Forum Africain des Industries Créatives et Culturelles) où j’ai été paneliste invité par la Fondation Youssou Ndour pour les industries culturelles et créatives , FYNICC. J’y ai ete panéliste sur un thème des enjeux du numérique sur la création et les arts. Panel partagé avec mon ami et frère l’avocat Maître Sylvain Sankale , et avec ma soeur Ngone Ndour, PCA re-redoublante de la SODAV. Un panel modéré par Maître Nafissatou Tine , avocate et PDG à Bruxelles de Sunulex. La fille d’ Alioune Tine, lequel était assis au premier rang, ce jour-là.

Youssou, et Aby Ndour étaient aussi aux premiers rangs.

L’occasion pour moi de lui taper la bise et de saluer son époux.Plus tard, dans l’imposant hall de l’ancien Palais de Justice de Dakar qui accueille le FORAFRICC , je serre la main pèle- mêle, aux tontons flingueurs de la Youssou Ndour Family and Team : le toujours souriant Mara Dieng, le Bastos toujours jeune Mbaye Dieye Faye (né lui aussi le 1er octobre comme Youssou Ndour, mais un an plus tard, en 1959), Saint-Louis Mané, binôme stellaire de Youssou; le volcanique petit-frère -à-vie Bouba Ndour, directeur des programmes de la TFM; l’encostumé éternellement encravaté Kamou Seck, chef de protocole…Lors de mon panel, ma vieille branche Bernard Vershueren de Creative Africa est au fond de la salle : ce fils adoptif du deuxième plus grand acteur sénégalais après feu Douta Seck et avant feu Ousseynou Diop (« l’homosexuel » du film Touki Bouki): feu James Campbell né Badiane.

« Joyeux Happyversaire ! » encore, au nom de tous nos Tractonautes , à l’iconique Kor Aïda Sans Pagne (ou champagne? on ne le saura jamais) Coulibaly, Youssou « Ennnn’ ddouuur ».

Qui est l’un des 5 noms les plus connus du Sénégal depuis 40 ans. Sans discontinuer. Soit depuis 1984 qu’il a fait irruption sur la scène internationale, parmi les plus connues comme équivalent du Sénégal, quand vous rencontrerez des étrangers chez eux.

Youssou qui depuis 1974, a été le subconscient artistique et musical des Sénégalais, qui adorent le mbalakh et les ballades folk . Alors que l’opposant Abdoulaye Wade fut leur subconscient et l’impensé politique de 1974 à 2000.

Depuis Wade, Diouf, Macky , sont passés. Nous en sommes à PR Diomaye Faye maintenant.

Reste dans la postérité des noms qui sonnent égaux au nom du Sénégal ailleurs dans le monde : Senghor, Wasis Diop, le footeux El Hadj Diouf, Diomaye et toujours et encore : …Youssou Ndour.

Gâteau d’anniversaire pour tous !
Avec l’interprète de la chanson « Juum » : nit ku dul juum amuul.

65 ans? Waouh! Bès bu déllusi moo néx..

Ça ne rajeunit personne. J’ai moi-même 52 ans. Li maa wèèsu dey delussé, mèlni sèètu….

Au maroquin de la Culture qu’a occupé difficultueusement Youssou, il faut tout de même nommer un homme ou une femme de Culture; et non un fonctionnaire ou un enseignant de la Culture.

Et je ne désespère pas d’être nommé un jour ministre de la Culture, des industries culturelles et créatives, du patrimoine, de la Communication et de l’éducation populaire, de mon pays le Sénégal; sous ce « Diomayat » 2024-2029, pourquoi pas?

Ou plus assurément (kaar kaar..), sous un prochain « Birimat »,inch’Allah, de 2029 à 2034, quinquennat de mon leader de parti (UDP Kiraay), mon grand frère et tête de liste de la Coalition Pôle Alternatif 3ème Voie, Birima Mangara, pour les Législ’Hâtives du 17 novembre 2024.

Mon courant de pensée politique au sein de UDP Kiraay de mon frère l’ex Ministre au Budget (2014-2019) Birima Mangara est : Options Nouvelles Générations (O.N.G) – Woorna Niu Gérer, en wolof.

Yallah baakhna. Même si,  » bu nieup khamé foo jeum, doo fa massa ègg…. » (vous la connaissez hein, celle-là !).

Yalna Yallah dooli sütüra, à tous les muñkat, que nous sommes et que nous nous efforçons de rester, jour après jour, Sisyphe remontant toujours notre rocher vers le haut de la montagne. Tout ce qui monte finit par converger.

Ousseynou Nar Gueye
Directeur Général de Tract.sn et de Tract Hebdo, d’ Axes & Cibles Com et de Global Com International

[INTERVIEW] Paul ENOKA: ‘La littérature représente l’espoir du monde’

Tract – Entretien avec Ferdinand Paul ENOKA Egyptologue, historien, journaliste et écrivain. Il a récemment publié «Les ombres lumineuses».

 

Présentez-vous à nos lecteurs

Je suis Ferdinand Paul Enoka, Egyptologue, historien et Journaliste. Je suis née à Yaoundé en 1978 et j’y ai grandi. J’ai fait mes études maternelles et primaires à l’Ecole Publique Départementale sis à côté de l’EMIA (Ecole Militaire Inter Armes). Le Lycée, je l’ai fait tour à tour au Collège Bilingue d’Application qui est par la suite devenu Lycée Bilingue d’Application. Ensuite, je suis allé à Sangmélima où j’ai fait et raté le Bac. C’est ainsi que je fus envoyé à Maroua par le biais de ma grande sœur au Lycée Classique de Maroua. C’est dans cet établissement que je vais obtenir mon Bac et revenir à Yaoundé pour faire l’université.

J’ai donc fait un parcours d’histoire générale d’abord puis, je me suis spécialisé en égyptologie, une branche de savoir assez pointue et ardue dans le but d’étudier les humanités classiques africaines. En effet, jusqu’à la fin des années 1990, l’université camerounaise comme bien d’autres en Afrique n’accordait pas une place sérieuse à l’histoire ancienne du Cameroun et de l’Afrique. La décision des autorités camerounaises d’ouvrir cette spécialisation suite aux multiples visites de Cheikh Anta Diop à Yaoundé va me donner l’occasion d’aller en profondeur dans notre histoire.

Par la suite, j’ai étudié le Journalisme à l’Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication ESSTIC. J’en suis sorti nanti d’une maîtrise en Journalisme. J’ai également été étudiant pendant une année à l’Université Catholique d’Afrique Centrale (UCAC) où j’ai étudié la finance. Enfin, j’ai fait deux années à l’Académie de Droit Constitutionnel en Afrique où j’ai étudié auprès des grands maîtres, les constitutions, les élections et les problématiques de la citoyenneté.

J’ai aussi embrassé une carrière d’enseignant d’abord au lycée et ensuite à l’Université de Maroua où j’exerce depuis bientôt 14 ans.

Historien, vous avez décidé de vous lancer en littérature avec « Les ombres lumineuses » (2024). Pourquoi ?

En réalité, je suis un passionné des belles lettres depuis ma prime enfance. Je crois que je l’ai hérité de mon père qui était un lecteur invétéré. Vous savez, quand je suis née, la télé n’existait pas encore au Cameroun. Et quand, en 1985, elle est arrivée, très peu de camerounais pouvaient se permettre le luxe de l’avoir. Donc, la lecture renfermait à la fois la distraction et le savoir.

Par conséquent, j’avais lu avant d’entrer à l’université les ouvres de Victor Hugo, voltaire, Rousseau, Baudelaire etc. pour les classiques européens. Pour l’Afrique, j’avais lu Mongo Beti (particulièrement main basse sur le Cameroun, ville cruelle et mission terminée), le Vieux nègre et la médaille de Ferdinand Oyono, les Bimanes du vénérable Séverin Cécile Abéga, Cahiers d’un retour au pays Natal de l’immense Césaire, hosties noires du génie Léopold Sédar Senghor et l’enfant noir de Camara Laye pour ne citer que ces grands noms.

Au moment de m’inscrire à l’université, je voulais faire soit la poésie, soit l’histoire. Il se trouve qu’a la séance d’orientation, on m’informa qu’il n’existait pas une filière poésie. Je décidai alors de m’inscrire en histoire. Tout ceci pour dire que la littérature a toujours été en moi. En faisant des études d’histoire, je ne m’en suis d’ailleurs pas trop éloigné. Quand vous faite de l’histoire, vous vous retrouvez à lire des romans et des poèmes engagés qui ont contribué parfois à donner naissance à des révolutions.

Enfin, je suis né dans une famille de poète et poétesse dans la pure tradition bantoue. Et ici, littérature et histoire sont souvent indissociables. Voilà en quelques mots comment l’égyptologue et historien que je suis s’est retrouvé dans la littérature. En fait, j’y suis né.

Les ombres lumineuses se pose comme une poésie-souvenirs. Une sorte d’extensions artificielles de votre mémoire. Une somme de textes écrits et publié 25 ans plus tard. Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Quel est a été le déclic de cette publication ?

En fait, le poète écrit en général ses sensibilités, ses rêves, ses aspirations. Le poète est généralement confronté au monde qui est le sien et à celui dans lequel il vit. Il en ressort donc naturellement une interpénétration entre le réel poétisée que vous qualifiez de poésie-souvenir et une création purement imaginaire dans laquelle il met une intensité esthétique, lyrique, pathétique… selon ce qu’il veut exprimer.

Il se trouve donc que les hasards de la vie m’ont fait témoins d’événements capitaux heureux et malheureux que j’ai consigné dans le genre poétique. C’est par exemple la catastrophe de Nsam dans laquelle j’ai vu des amis d’enfance disparaitre, carbonisés par des flammes. C’est particulièrement le cas des frères Akassou et Ntsama (frères cadets de Chantal Ayissi, Ayissi Le Duc, famille très connue au Cameroun). De même, suite au triomphe des Lions Indomptables à Sydney, au bout de la nuit du 30 septembre 2000, et devant la liesse populaire, proche de l’hystérie qui s’en était suivie en cassant toutes les considérations tribales qui fleurissent souvent dans notre pays, je décidais d’écrire la danse des félins. Une ode aux Lions Indomptables, patrimoine national du Cameroun.

J’ai donc écrit à la fois suivant des évènements historiques identifiables et suivant les rêves qui trottaient dans ma tête. Pourquoi avoir attendu 25 ans pour les publier ? question difficile. Il se trouve que je n’étais pas certain que le temps fût arrivé d’une part, et d’autre part, je souhaitais les publier dans une maison d’édition sérieuse, susceptible de me donner un travail de qualité et un bon accompagnement. Il m’est donc arrivé de les relire durant cette période et d’apporter quelques modifications qui me semblaient nécessaires. Ce sont toutes ces contingences qui peuvent expliquer cette longue maturation.

Le goût de conter poétiquement les faits et aventures tant réels qu’imaginaires, caractéristique de votre écriture littéraire, tire-t-il sa source de votre formation d’enseignant d’histoire ?

(rire) Comment le savoir par moi-même ? Cela peut être possible. Mais, je ne me suis pas toujours mis consciemment dans le costume de l’historien quand j’écrit un poème. Mais, les critiques littéraires que vous êtes avez la capacité de déceler le subconscient probable d’un auteur. Toutefois, je note que j’appartiens à une génération où l’instinct dans l’écriture a souvent prédominé. Cet instinct a pu être influencé par bien de lectures. J’ai par exemple aimé hosties noires et femme noire de Senghor, les souffles de Birago Diop, l’albatros de Baudelaire, les passantes de Brassens, Demain, dès l’aube du grand Victor Hugo… forcément, ça laisse des traces.

Donc, ces exemples de grands poètes que j’ai pris révèlent à chaque fois une mise en scène poétisée d’histoires parfois vécues. Mais, derrière l’histoire qui, en fin de compte est la plus grande inspiratrice de la littérature, il y a la magie du poète qui tente d’exprimer et de traduire par les mots et au-delà deux ; car le mot va souvent plus loin que ce qu’il est ou dit, les réalités de la vie.

Donc la réponse à votre question, bien difficile du reste, peu être oui et non. Mais, ce qui est certain est que l’histoire reste la matrice qui permet au poète de créer des sensibilités, des émotions quasis divines.

Comment qualifieriez-vous votre recueil « Les ombres lumineuses » ?

Je ne sais si vous voulez savoir pourquoi je l’ai qualifié de « Les ombres lumineuses » ou comment je le qualifie dans le sens d’une appréciation. Devant cette ambiguïté, je préfère prendre les deux bouts.

Pourquoi je l’ai qualifié « les ombres lumineuses », c’est précisément parce que la trame des poèmes montre bien que l’ombre, le chaos, la destruction et toutes les autres déceptions et malheurs qui nous environnent sont paradoxalement la source de laquelle jaillit la lumière.

Il y a un poème que j’ai intitulé la maladie. Je l’ai écrit à un moment où ma santé était critique. J’ai pu voir de cette souffrance qui sont vraiment ceux qui tiennent à moi. En fait, dans la souffrance, vos relations s’amoindrissent parfois de manière incroyable. Toutefois, cette situation vous ouvre à de nouvelles réalités plus heureuses. Vous voyez le monde et les gens différemment. Cette histoire qui est mienne est aussi l’histoire de milliers de personnes. C’est donc cette universalité qui lui donne de la valeur.

Pour le deuxième volet, j’ai voulu écrire un texte qui remette l’homme au centre des intérêts de la vie. Comme vous le savez, le matérialisme issu du capitalisme ronge chaque jour ce qui fait que l’homme soi homme en tant qu’humain. Or, au vu des guerres qu’on crée désormais pour s’enrichir ou simplement pour montrer sa puissance, au vu de ces enfants abandonnés dans la rue et qui deviennent des poisons sociaux comme le phénomène des microbes, au vu des féminicides qui vont grandissant, au vu de l’instrumentalisation de Dieu etc., j’ai pensé qu’il fallait proposer un discours qui renforce l’idéal de l’humain qui au fond, n’aspire qu’à la paix, à la quiétude et au bonheur. Voilà comment je qualifie les ombres lumineuses. Je veux dire, une tentative de faire germer des humains humanisés.

Des projets d’écriture, notamment littéraires, en cours ?

Oui, il y a une pièce de théâtre qui est en cours de rédaction. J’espère que des dramaturges lui donneront un bel écho. Il y a aussi une nouvelle qui est en chantier. Une sorte de fresque de scènes de vie autour du personnage de Mama Jeannine et un roman autobiographique sur le personnage d’Obaki. Je ne peux en dire plus pour l’instant. Mais, j’espère qu’ils seront bien accueillis par les critiques.

Que représente la littérature pour vous ?

Pour moi, la littérature représente l’espoir du monde. Elle représente la perpétuation du génie humain, sa capacité à créer, à fabriquer des imaginaires qui vont nourrir les racines de la vie. Aujourd’hui où on fait l’éloge sans réserve de l’intelligence artificielle, il y a bien lieu de s’inquiéter de l’avenir de la littérature. Si une machine, sous vos instructions peut vous écrire un poème, un roman ou même peindre un tableau, vous voyez que la capacité créatrice de l’homme diminuera au point de s’éteindre.

Je ne suis pas entrain de dire que l’Intelligence artificielle est mauvaise dans l’absolue. Mais, pour les consommateurs de technologies que nous sommes, pour les mondialisés que nous sommes, nous Africains, il y a bien un autre piège que les mondialisateurs nous tendent subtilement au nom du progrès de la science.

Voilà pourquoi il faut encourager la lecture et l’écriture afin que nous soyons maître de nous-mêmes. De ce point de vue, la littérature représente la clé de notre rédemption dans le monde. Vous savez, il y a un discours en Afrique aujourd’hui qui a décrété l’inutilité des disciplines comme la philosophie, la littérature et la poésie qui en est la forme les plus subliminale. On veut fabriquer des outils, on veut des machines, on veut ce qui est utile de manière plus pratique. Mais quand on les aura fabriqués, à quoi cela servira si l’on n’a pas pensé à comment les utiliser ? A quoi cela servira si l’on n’y a pas travaillé une morale, une éthique et même une spiritualité pour ne pas transformer ces outils en monstre ? Ces questions à elles seules suffisent à dire combien restera utile la littérature en tant qu’arme de remise en question de l’homme.

En ce début de siècle particulièrement agitée (crises : climatiques, politiques, idéologique etc.) quelle est la place de l’historien et celle de l’écrivain ?

Vous avez raison de dire que ce début de siècle est particulièrement agité. Il est même très inquiétant au regard de ce que vous avez évoqué dans votre question. Pourtant, à y regarder de près, ces crises ne sont pas nouvelles. C’est peut-être parce qu’on oublie très souvent l’histoire qu’elles se répètent.

L’histoire est la mémoire des peuples. C’est le repère des nations, c’est la boussole qui permet d’avancer en évitant de commettre les erreurs du passé. A chaque fois qu’on a ignoré l’histoire ou qu’on l’a piétiné, on a retrouvé ses pièges dans le futur. C’est donc dire que l’historien à un travail énorme. Les historiens travaillent d’ailleurs beaucoup dans ce sens. Le problème se situe d’après moi à deus niveaux. D’abord, les politiques chez nous ne semblent pas avoir pris la mesure de l’importance de l’historien dans nos sociétés. La preuve, il n’existe même pas une histoire générale du Cameroun. Je souligne ici que ce n’est pas faute de l’engagement des historiens. Il y a que comme dans tous les pays qui se respectent, des projets de ce calibre sont portés par l’Etat car, ils lui servent à bien gouverner.

Pour ce qui est de l’écrivain, il est aussi une sorte d’historien dans la mesure où, très souvent, il raconte son temps en tant que témoin. Le vieux nègre et la médaille d’Oyono par exemple est certes une peinture d’une époque mais cette ouvre questionne jusqu’aujourd’hui les problématiques de récompense ou de reconnaissance de l’Etat ainsi que les fantasmes que ces médailles suscitent. L’écrivain invite donc à réfléchir en permanence sur hier, aujourd’hui et demain.

Propos recueillis par Baltazar ATANGANA

noahatango@yahoo.ca

CAVE DU TRIBUNAL DE DAKAR : Des nouvelles de Bougane, Yerim Seck et Kader Dia

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Tract-Cheikh Yérim Seck, Bougane Gueye Dany et Kader Dia sont actuellement au Tribunal de Dakar. Ils ont tous été déférés dans la matinée de ce jeudi.

Comme annoncé, Bougane Gueye Dany, qui a été placé en garde à vue depuis hier, a été conduit au palais de Justice de Dakar où il devra faire face au procureur. Le leader de « Gueum sa bop » est arrivé vers 11 heures au Tribunal de Dakar où l’attendaient ses avocats et militants.

Cheikh Yérim Seck aussi est à la cave du Tribunal de Dakar. Il devrait faire face au procureur vers 16 heures selon Me Wélé son avocat. Il est poursuivi pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles.

Le dossier de Kader Dia, après deux retours de parquet, risque d’aller en instruction. Son avocat Me Elhadj Diop a révélé qu’il attend de voir quel Juge d’instruction va entendre leur client pour être fixé sur l’heure de l’audition, rapporte la Rfm.

SECTION DES RECHERCHES : Thierno Alassane Sall convoqué ce jeudi

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Tract-Le leader du parti République des valeurs est convoqué ce jeudi à 11 heures à la Section de recherches de la Caserne Samba Diery Diallo, pour une audition dans le cadre d’une plainte dans l’affaire ONAS, selon PressAfrik.

Rappelons que l’ancien parlementaire avait saisi les autorités judiciaires après le limogeage de Cheikh Dieng, ancien directeur de l’ONAS

Il avait mandaté, au bureau du Procureur de la République, un de ses conseillers juridiques, accompagné d’une Responsable de son parti pour déposer la plainte. Selon TAS, les accusations et contre accusations entre Cheikh Dieng et le ministre Cheikh Tidiane Dièye doivent être élucidées.

MOMAR DIONGUE NOMMÉ DIRECTEUR DE L’AGENCE DE PRESSE SÉNÉGALAISE

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Tract-Le journaliste Momar Diongue vient d’être porté à la tête de l’agence de presse sénégalaise (APS) en remplacement de Thierno Amadou Sy.

Par décret présidentiel de ce mercredi l’ancien rédacteur en chef de Nouvel Horizon a, désormais les rênes de l’agence.

« Monsieur Momar Diongue, Journaliste, titulaire d’une maitrise en Lettres Modernes est nommé Directeur de l’Agence de Presse Sénégalaise, en remplacement de Monsieur Thierno Amadou SY », renseigne le communiqué du Conseil des ministres.

DIPLOMATIE : Le Président Diomaye Faye annoncé en Turquie le 31 octobre

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Tract-Sur invitation du Chef de l’État turc Recep Tayyib Erdogann, le président de la République Bassirou Diomaye Faye se rendra en Turquie le 31 octobre prochain pour sa première visite officielle.

Cette visite rapporte l’APS, était au menu de la réunion de la troisième session de consultation politique entre le Sénégal et la Turquie.

Les deux délégations se sont rencontrées au siège du ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères à Dakar.

CNRA : Mamadou Oumar Ndiaye remplace Babacar Diagne

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Tract-La nouvelle vient de tomber, Mamadou Oumar Ndiaye, MON pour les intimes prend les commandes du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) en remplacement de Babacar Diagne.

Le décret de nomination a été signé ce mercredi par le président de la République Bassirou Diomaye Faye et rendu publique dans le communiqué du Conseil des ministres de ce mercredi.

« Monsieur Mamadou Oumar NDIAYE, Journaliste, est nommé Président du Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel, Poste Vacant », renseigne le document.

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DE CE MERCREDI 02 OCTOBRE

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Tract-Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 02 octobre 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. Le Président de la République s’est tout d’abord incliné devant la mémoire de Monsieur Amadou Mahtar MBOW, Enseignant hors pair, ancien Ministre de l’Education, de la Culture et de la Jeunesse, ancien Député et ancien Directeur général de l’UNESCO. Il a salué le parcours exceptionnel de ce grand commis de l’Etat qui a brillamment servi son pays et fortement contribué au développement du système éducatif national, à la promotion du vivre ensemble et au rayonnement international du Sénégal.

Dans cet élan, le Chef de l’Etat a demandé aux Ministres en charge de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Culture de préparer un hommage national à cet illustre compatriote dont les écrits et l’engagement patriotique et panafricain doivent être vulgarisés auprès des jeunes générations d’élèves et d’étudiants à travers l’expression culturelle et les contenus d’enseignement. A l’occasion de la célébration « d’octobre rose », le Président de la République a exprimé sa compassion à l’endroit des femmes atteintes de cancer. Il a demandé au Ministre de la Santé et de l’Action sociale d’apporter son soutien aux différentes organisations et de participer activement à la réussite des actions entreprises durant ce mois.

En cette veille de rentrée scolaire et universitaire, le Président de la République a adressé un message d’encouragement et ses meilleurs vœux de succès à toute la communauté éducative, en particulier au corps enseignant et aux apprenants. Il a demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires, en relation avec les parties prenantes, pour, d’une part, accélérer la transformation consensuelle du système éducatif national et, d’autre part, garantir le bon déroulement de l’année scolaire et universitaire 2024-2025.
Il a souligné la nécessité de veiller au renforcement du dialogue social dans le système éducatif mais également à l’amélioration du cadre de vie dans les écoles. Par ailleurs, le Chef de l’Etat a invité le Gouvernement à procéder au lancement, sans délai, d’un vaste programme de résorption des abris provisoires, de réhabilitation et de construction aux normes d’établissements scolaires.
Il a, en outre, indiqué l’impératif de finaliser le nouveau Programme national de l’Education et de la Formation en adéquation avec les valeurs historiques et culturelles de la Nation. Ce programme doit également tenir compte des défis de notre société et des enjeux liés au numérique et à l’Intelligence artificielle.

Au regard de la jeunesse de notre population, le Président de la République a insisté sur l’urgence de rebâtir notre modèle d’école publique autour du civisme, de la citoyenneté, de 2 nos langues nationales et de l’ouverture aux langues étrangères universelles mais également à la préparation aux aptitudes scientifiques, techniques, technologiques et professionnelles de nos élèves face aux évolutions du monde contemporain.
Le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre et les Ministres concernés pour les efforts significatifs consentis pour redresser et réorienter le système éducatif national par la méthode, dans le consensus, la culture du résultat et la confiance des partenaires sociaux.
Afin d’assurer un meilleur pilotage et une coordination optimale des activités scolaires et universitaires, le Président de la République a décidé de la création d’un Conseil supérieur de l’Education et de la Formation, organe de supervision logé à la Primature qui va assurer, avec la participation des acteurs impliqués, le suivi et l’évaluation systématique du Programme national de l’Education et de la Formation.

Revenant sur la situation des finances publiques, le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre et l’ensemble du Gouvernement pour la présentation de l’état des lieux exhaustif des finances publiques.

Parlant du lourd héritage du régime précédent, des constats d’écarts remarquables sur les statistiques des finances publiques et de leurs conséquences directes sur la gouvernance publique et les engagements présents et futurs de l’Etat, le Président de la République a invité le Premier Ministre à prendre, sans délai, les mesures impératives de redressement pour accélérer le retour rapide à l’orthodoxie budgétaire, financière et comptable conformément à la Constitution et aux textes législatifs et réglementaires en la matière.
Le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre pour le pilotage abouti de la finalisation du nouveau référentiel de politique économique et sociale basé sur le Projet pour un Sénégal souverain, juste et prospère. Il s’est réjoui de la réussite de cet exercice délicat, inclusif et prospectif de refondation endogène de notre modèle de développement fondé sur les principes de patriotisme économique, de progrès social, de responsabilité et de redevabilité.
Ce document national de présentation et de planification des axes de notre politique économique et sociale va révéler et refléter les choix stratégiques et opérationnels devant asseoir la transformation systémique du Sénégal. Il a, dans ce sens, informé le Conseil qu’il présidera, le lundi 14 octobre 2024 au CICAD, la cérémonie de présentation et de vulgarisation du Document de Politique nationale de Développement, en présence du Gouvernement, du monde socio-économique et de l’ensemble des partenaires du Sénégal.

Evoquant le regain de pluviométrie constaté ces dernières semaines qui a provoqué des sinistres dans plusieurs localités du pays, le Président de la République a demandé au Ministre de l’Agriculture, au Ministre de l’Intérieur en charge de la Protection civile et au Ministre de l’Hydraulique, de faire le point sur les impacts de la pluviométrie et des crues des fleuves Sénégal, Gambie et Casamance sur les zones de cultures et d’habitation. Il a exhorté le Gouvernement à mobiliser les moyens logistiques adéquats en vue de faciliter le désenclavement rapide des localités isolées par l’effondrement d’ouvrages de franchissement causé par les fortes pluies et encouragé la solidarité nationale à l’endroit des populations sinistrées.

Le Chef de l’Etat a également demandé au Gouvernement de réviser et de vulgariser le mécanisme d’assurance agricole. Il a, en outre, invité le Ministre de l’Agriculture à rendre compte du dispositif de préparation de la campagne de commercialisation agricole. Le Président de la République est enfin revenu sur sa visite aux Etats Unis d’Amérique, du 21 au 28 septembre 2024, où il a participé au Sommet de l’avenir et au débat de l’Assemblée générale des Nations Unies.
Cette mission a été l’occasion d’exprimer à la communauté internationale la volonté du Sénégal d’œuvrer à la promotion de la paix et de la sécurité mondiale et d’impulser une nouvelle dynamique dans ses relations avec ses partenaires. C’est ainsi que les Etats-Unis d’Amérique ont exprimé leur disponibilité à aider le Sénégal pour la réalisation du « New Deal Technologique » faisant ainsi de notre pays un hub technologique et numérique en Afrique.
Le Premier Ministre a, d’emblée, adressé à Monsieur le Président de la République, au nom du Gouvernement, ses félicitations pour la pertinence de son message délivré lors de l’Assemblée générale de l’ONU et les retombées positives attendues des audiences accordées à diverses personnalités et des visites effectuées dans certaines structures lors de son séjour aux États-Unis d’Amérique.
Abordant les thèmes de sa communication, le Premier Ministre est revenu sur la situation de référence des finances publiques dévoilée lors du point de presse qu’il a tenu le jeudi 26 septembre 2024. Cet exercice illustre la détermination de Monsieur le Président de la République pour la transparence dans la gestion des affaires publiques.

Le Premier Ministre s’est appesanti sur la priorité que représente, pour le Gouvernement, le rétablissement, dans des délais raisonnables, d’une saine gestion des finances publiques, au regard de l’étendue des dérives ressorties de l’état des lieux de la gestion du régime sortant. A cet égard, il a demandé au Ministre des Finances et du Budget et au Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, de prendre les dispositions appropriées à cet effet, en relation notamment avec le Fonds monétaire international (FMI). Le Premier Ministre a ensuite informé le Conseil des dispositions prises pour la bonne tenue, le 14 juillet 2024, de la cérémonie présidée par le Chef de l’Etat, consacrée à la publication du nouveau Référentiel des politiques économiques et sociales du Sénégal sur la période 2025-2050.
Il a relevé la nécessité, pour les Ministres, chacun en ce qui le concerne, d’assurer le relais par la communication avec les parties intéressées au titre des politiques sectorielles. Enfin, le Premier Ministre a rappelé aux Ministres et Secrétaires d’Etat l’attention toute particulière à accorder au suivi rapproché de l’exécution des diligences relatives notamment à la rentrée des classes 2024-2025, à l’orientation des nouveaux bacheliers, à la lutte contre la migration irrégulière, à la gestion de l’impact sur les populations et les cultures des inondations d’origine pluviométrique ou fluviale, aux mesures préventives contre les accidents de la route ainsi qu’à l’apurement des arriérés de paiement dus aux opérateurs intervenant dans le secteur agricole.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES :
Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur les principales conclusions du rapport de l’audit des finances publiques sur la période 2019-mars 2024, réalisé par l’Inspection générale des Finances, leur implication sur le cadrage macro-budgétaire et les axes de réforme nécessaires pour prendre en charge les déviations relevées. Cet audit a été effectué à la suite d’un ordre de mission qu’il a signé, adossé à des termes de référence basés sur les orientations qu’il a données à ses services. Les résultats de cet audit ont fait l’objet du point de presse tenu par Monsieur le Premier Ministre le 26 septembre 2024.

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES,
Le Conseil a examiné et adopté : • le projet de décret portant organisation du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens.
AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES,
Le Président de la République a pris les décisions suivantes : Au titre de la Présidence de la République : Monsieur Mamadou Oumar NDIAYE, Journaliste, est nommé Président du Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel, Poste Vacant ; •
Monsieur Mamadou Lamine DIANTE, est nommé Président du Haut Conseil du Dialogue social en remplacement de Madame Innocence NTAP NDIAYE ; •
Monsieur Moustapha DJITTE, Magistrat, matricule de solde n°602 388/E est nommé Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Commande publique (ARCOP), en remplacement de Monsieur Saer NIANG.

Au titre de la Primature :
• Monsieur Hatab SANE est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale de relance des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC)
Au titre du Ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens :

• Monsieur Souleymane GUEYE, Expert en Transport aérien est nommé Directeur des Transports aériens en remplacement de Monsieur Oumar Xassimou Dia ;
• Monsieur Badara DIOP, Ingénieur d’exploitation de l’aviation civile est nommé Directeur des Infrastructures aéroportuaires en remplacement de Monsieur Cheikh DIOUF ;

• Monsieur Mandiaye FAYE, Ingénieur des transports est nommé Directeur de la circulation routière et de la mobilité en remplacement de Monsieur Mouhamadou Moustapha NIANG ;

• Monsieur Abdoul Siléye Fatah BA, Ingénieur des transports, matricule n°627472/L précédemment Chef de la Division du Centre de Contrôle Technique au Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et Aériens, est nommé Directeur des transports Routiers en remplacement de Monsieur Yaya Samba NIANG ;

• Monsieur Yancoba Ben Alfousseyni SONKO, Master QHSE est nommé Président du Conseil d’Orientation du Fonds de Développement des Transports terrestres.

Au titre du Ministère de l’Industrie et du Commerce :
• Monsieur Babacar SEMBENE, Commissaire aux Enquêtes économiques principal, est nommé Directeur général de l’Agence de Régulation des Marchés au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Ansoumana SANE ;

• Madame Françoise FAYE, Commissaire aux Enquêtes économiques principal, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise pour la Propriété industrielle et l’Innovation technologique au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Makhtar DIA.

• Monsieur Ahmed Tidiane DIA, Commissaire aux Enquêtes économiques principal, est nommé Directeur du Commerce extérieur au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Ansou BADJI.

• Monsieur Henri Fall CARVALHO, Ingénieur en Industries agricoles et alimentaires, matricule de solde n° 618 880/M, est nommé Directeur des Petites et Moyennes Entreprises au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Seydina Aboubacar Sadikh NDIAYE.

• Monsieur Issa WADE, Commissaire aux Enquêtes économiques, est nommé Directeur général de l’Organe de Régulation du Système de Récépissé d’Entrepôt au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Driss Junior DIALLO.
• Ali Fourou BA est nommé PCA du CICES

Au titre du Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions :
• Monsieur Babacar SY, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, est nommé Directeur de l’Emploi au Ministère du Travail, en remplacement de Modou Fall, appelé à d’autres fonctions.
Au titre du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme du Service public :
• Monsieur Salif COLY, Professeur de l’Enseignement secondaire, matricule de solde n° 551.277/Z, est nommé Directeur du Centre national de Formation et d’Action, en remplacement de Monsieur Kalidou SOKOMA, appelé à d’autres fonctions ;
• Monsieur Ibrahima DIENG, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde n° 515.700/B, précédemment Directeur des Ressources humaines au Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération, est nommé Directeur général de la Fonction publique, en remplacement de Monsieur Amadou Matar CISSE, appelé à d’autres fonctions ;

Au titre du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat :
• Monsieur Gora GAYE, titulaire d’un Diplôme d’Etudes approfondies en Géographie, est nommé Secrétaire général de l’Agence pour la Promotion et le Développement de l’Artisanat (APDA), en remplacement de Monsieur Youssoupha BA, appelé à d’autres fonctions.
• ANSOUMANA SANE, Promoteur touristique est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence sénégalaise de Promotion touristique.

Au titre du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique :
• Monsieur Momar Diongue, Journaliste, titulaire d’une maitrise en Lettres Modernes est nommé Directeur de l’Agence de Presse Sénégalaise, en remplacement de Monsieur Thierno Amadou SY ;
• Cheikhouna BEYE, Enseignant-chercheur, Maître de Conférences en Sciences de l’Information et de la Communication, est nommé Président du Conseil d’Administration de la RTS.

Au titre du ministère de la Santé :
• Monsieur SEGA GUEYE, titulaire d’un Doctorat en Sociologie, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de la Couverture Maladie universelle en remplacement de Monsieur Cheikh Tacko DIOP.
Au titre du ministère de la Justice :
• Monsieur Mbossé SOW, Greffier, est nommé PCA de l’Office national de Recouvrement des Avoirs criminels (ONRAC).

Au titre du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique :
• Monsieur Abdou Salam KANTE, Conducteur de travaux, retraité des armées, est nommé PCS de l’Agence d’assistance à la sécurité de proximité (ASP) en remplacement de Monsieur Hamidou Mbow ;
• Monsieur Cheikh NIANG, Magistrat matricule de solde 600 667/A est nommé Secrétaire général du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique en remplacement de Monsieur Alioune Aïdara NIANG admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.

Au titre du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique :
• Monsieur Sadibou DJIBA, Professeur d’Enseignement secondaire en Sciences naturelles est nommé PCA de l’Agence nationale de la Reforestation et de la Grande muraille verte.
Au titre du Ministère de la Pêche et des Infrastructures maritimes et portuaires :
• Madame Sokhna Benga, Administrateur des Affaires maritimes, matricule de solde n° 618 080/U, est nommée Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Ibrahima CAMARA ;
• Monsieur Bécaye Diop, titulaire d’un MBA en Management, est nommé Directeur général de l’Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Massamba Achille Edouard GUEYE ;

• Madame Mbeugué GAYE, Biologiste, est nommée Directeur général de l’Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Massamba Achille Édouard GUEYE ;

• Monsieur Aliou Ba, Économiste des Ressources naturelles, Expert en Pêche et Aquaculture, est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale de l’Aquaculture au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Killé SAKHO.

Au titre du ministère des Finances et du Budget :
• Monsieur Idrissa SAMB, Inspecteur principal des Impôts est nommé Administrateur du Fonds de Garantie Automobile.

Le Ministre de la Formation professionnelle,
Porte-Parole du Gouvernement
Amadou Moustapha Njekk SARRE

L’HOROSCOPE DE CE JEUDI 03 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : c’est toujours la vie relationnelle qui prime et un rendez-vous pourra être déterminant !

Taureau : sachez-le, c’est en vous que vous trouverez la force pour faire face à l’extérieur !

Gémeaux : vous vous apercevez que vous êtes un amoureux hors pair ou un super parent !

Cancer : il est question de votre foyer, vous le préservez, les vôtres et votre domicile !

Lion : c’est toujours très enivrant, et même s’il y a des soucis, vous savez parler et convaincre !

Vierge : la période est très liée aux finances. Et c’est plutôt positif !

Balance : élu de ce jour, vous êtes sur le devant de la scène, on vous écoute attentivement !

Scorpion : vous ne dites pas tout de vous, et vous avez tout à fait raison !

Sagittaire : l’amitié vous fait chaud au cœur. Peut-être aussi un amour qui vous tient fort !

Capricorne : votre avenir, entre autres, professionnel, est d’actualité. Vous avez de bonnes idées !

Verseau : vous prenez la route, vous vous dépaysez, à domicile ou en voyageant !

Poissons : tout ce qui vous pèse ? Essayez d’en faire quelque chose. Vous en êtes capable !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE JEUDI 03 OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides du Sénégal de ce jour !

• 3 Octobre 2016
Création du Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires frontaliers (PUMA) pour répondre à la nécessité d’assurer la prise en charge des préoccupations légitimes des populations des parties névralgique du territoire national. Le PUMA cible les régions administratives de Fatick, Kaffrine, Kaolack, Kédougou, Kolda, Matam, Saint-Louis, Sédhiou, Tambacounda et Ziguinchor. Ces 10 régions ont la particularité d’être frontalières avec les 5 pays limitrophes du Sénégal que sont la Gambie, la Guinée Bissau, la Guinée, le Mali et la Mauritanie.

• 3 Octobre 2015A Yaoundé au Cameroun, l’équipe nationale du Sénégal remporte le 22ème championnat d’Afrique des Nations de basketball féminin après avoir battu en finale celle du pays hôte par 81 à 66.

• 3 Octobre 2007Pape DIOP est élu Président du Sénat qui avait été supprimé par le référendum de 2001 et qui venait d’être restauré par une loi constitutionnelle du 12 février 2007. Il restera à ce poste jusqu’à la suppression de l’institution par le président Macky SALL en septembre 2012.

• 3 Octobre 1990Décès à Orléans en France du Général Amadou FALL, premier Chef d’état-major de l’armée sénégalaise. Il avait été radié des cadres de l’armée par le Président Léopold Sédar SENGHOR en 1963, au lendemain de la crise politique survenue au sommet de l’État en décembre 1962.

• 3 Octobre 1977
Création à Dakar par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) du Centre Ouest-africain de Formation et d’Etudes Bancaires (COFEB). Initialement dédié à la formation des cadres de la BCEAO pour accompagner le processus d’africanisation, le centre étendra par la suite sa mission au renforcement de capacités des fonctionnaires des administrations publiques des Etats membres de l’UEMOA, des cadres des établissements de crédit exerçant dans l’Union et du personnel des autres banques centrales des pays africains francophones.

• 3 Octobre 1862
A la tête de ses talibés, l’Almamy du Rip, Maba Diakhou BA, allié de l’ex damel du Cayor Macodou Coumba Yandé FALL, attaque le poste français de Kaolack défendu par le sergent BURG et douze hommes. Macodou qui avait été déchu de son trône au Cayor par les français en faveur de Madiodio Déguène Codou FALL en mai 1861 s’était réfugié dans le Rip auprès de Maba.

• 3 Octobre 1856
Décès de Marcellin HERICÉ, maire de Saint-Louis. Il avait remplacé Nicolas D’ERNEVILLE. L’intérim sera assuré par son premier adjoint Blaise DUMONT.

 [REPORTAGE-TRACT] TAILLEURS-AMBULANTS À CLIQUETIS AU SÉNÉGAL : Les tailleurs nigériens ambulants et sonnants de Ndar

TRACT – Depuis quelques années, il est difficile, que dis-je, presque impossible de rester une journée sans voir passer des jeunes sillonner les rues et ruelles des villes, machine à coudre sur les épaules. Faisant tinter leurs ciseaux dans leur main, ils sont à la recherche de clients qui aimeraient bien leur confier chemises, pantalons, jupettes et autres boubous… charcutés par le temps ou quelque négligence.

Sans aucune formation en couture, c’est ainsi que la majeure partie d’entre eux ne travaillent uniquement qu’à coudre des habits déchirés, moyennant une somme de 200 à 500 FCFA par pièce selon l’ampleur des dégâts de l’étoffe présentée. Nous avons voulu en savoir plus.

Pour entrer dans leur univers qui se façonne en plein air, il nous a suffi de nous faufiler dans quelques quartiers de Saint-Louis pour rencontrer ces tailleurs ambulants qui voudront bien nous livrer les secrets de ce métier, un phénomène qui a fini de prendre sa place dans le décor des villes et villages du Sénégal.

Après une tentative sans succès durant la matinée, nous sommes retournés sur le terrain, l’après-midi et, par chance, nous sommes tombés sur un groupe de trois jeunes qui revenaient en ville après une journée passée dans les villages environnants de Saint-Louis.

Le premier constat, est qu’ils sont tous des étrangers, originaires de Niger. Aucun sénégalais, parmi le trio.

Issoufou, âgé de 23, machine à coudre sur les épaules, une paire de ciseaux dans la main, a accepté malgré une attitude réticente de ses compagnons, de nous faire le récit de son voyage au Sénégal:

“Au Niger, dans mon village, les conditions de vie y sont très difficiles. Mes parents, pauvres, ne nous ont pas laissé grand-chose après leur décès. La seule richesse qu’ils détenaient, c’était des chèvres. Après le partage de cet héritage avec mes neuf (9) frères, j’ai eu sept (7) chèvres que j’ai entretenues pendant trois (3) mois, mais difficilement. Lorsqu’une de mes chèvres est morte, j’ai décidé de vendre les six (6) pour faire du commerce ou quelque chose de très rentable. J’ai parlé de mon projet à mon frère aîné qui, du fait de mon manque d’expérience en commerce, m’a dissuadé de renoncer à cette idée et de ne pas me précipiter pour mon avenir vu que je suis encore jeune. Par la suite, j’étais découragé et j’en ai échangé avec mon ami ici présent. Lui, il est au Sénégal depuis deux ans. Lors de nos discussions, il m’a conseillé de venir le rejoindre et de faire ce travail de tailleur ambulant. Voilà comment je suis arrivé ici”, nous a-t-il raconté dans un premier temps.

Un paquet de biscuits à la main, le jeune homme originaire du Niger poursuit:

“Je suis passé par le Mali pour venir au Sénégal. J’ai fait presque une semaine pour y arriver. Mon ami m’a accueilli et m’a hébergé, on partage le loyer à la fin de chaque mois, chacun donnant 15.000f pour le paiement de la chambre. Deux après mon arrivée, j’ai acheté une machine à coudre, deux paires de ciseaux et des fils. Ce sont là les outils dont on a besoin pour faire le travail. J’avoue que je n’ai jamais appris le métier de tailleur. Mais dans ce travail, avoir une formation en couture n’est pas nécessaire parce qu’on fait seulement des bricolages”.

Sur la même dynamique, il renchérit:

“Il faut avouer que l’on rencontre beaucoup de difficultés, le travail ne marche pas toujours. On peut travailler du matin au soir et nous retrouver avec 2.000 FCfa à la fin de la journée. Si je gagne davantage dans une journée, c’est 3.500 pas plus. On fait plusieurs kilomètres par jour, avec la machine à coudre qui fait plus de 10 kilos sur nos épaules et on peut faire plusieurs heures de marche sans trouver un client. Avec le minimum qu’on gagne on est obligé de faire des économies, en essayant de dépenser le minimum. C’est pourquoi je peux rester une semaine sans manger du riz parce que la nourriture au Sénégal coûte très chère. Et l’autre difficulté que nous rencontrons, c’est la langue. Le wolof est trop compliqué. Quand nous avons un ou une cliente qui ne comprend pas le français, la communication devient difficile. Au lieu de nous parler, c’est des signes qu’il nous fait avec les mains pour nous montrer ce qu’ils veulent. Une seule chose sur laquelle on peut se comprendre, c’est sur le prix. Je fais des efforts pour comprendre le wolof mais, c’est une langue très difficile à apprendre”.

Lui emboîtant le pas, son ami et tuteur Oumarou se confie à son tour:

“Moi, je me suis mieux adapté qu’Issoufou parce que j’ai fait 2 ans ici avant qu’il ne vienne me rejoindre. On est du même village et on est amis depuis notre enfance. J’ai eu les mêmes difficultés que lui lors de mes premiers mois. Quand je suis arrivé au Sénégal, je dormais dans la rue, dans des garages de voitures, je n’avais pas encore le minimum pour louer une chambre. C’est après que j’ai rencontré un compatriote qui m’avait hébergé chez lui pendant un mois, le temps que je sois stable. Maintenant, je remercie Dieu, je n’ai pas beaucoup d’argent mais je ne dors plus dans les rues. Le Sénégal est un pays où la vie est trop chère, on dépense la moitié de ce qu’on a gagné en nourriture et l’autre moitié sert à payer le loyer. Il est trop difficile de faire des économies si on ne se prive pas de deux ou un repas par jour. La chance qu’on a est que les Sénégalais sont très ouverts et très solidaires. Ils s’assoient avec nous, discutent avec nous sans manquer de respect. C’est une chose qui facilite notre intégration. Moi, plusieurs fois des clients m’ont obligé avec insistance à manger chez eux pendant que je leur bricolais des vêtements. Ce n’est pas chez nous, mais c’est quand-même moins dure que ce que j’envisageais avant de venir ici”, a-t-il conclu.

Hadj Ludovic

[COLY EXPRESS] Au-delà des valses de l’Atlantique: Quand la brise se transforme en ‘baiser du diable’ (Par C. T. COLY)

Tract – Le drame des jeunes sénégalais qui tentent de traverser la Méditerranée ou l’Atlantique pour rejoindre l’Europe sonne perpétuellement comme un ressac périlleux, souvent fatal. Au Sénégal, le phénomène devient plus accru ces dernières années, davantage inquiétant ces récents mois, encore énormément affolant ces actuelles semaines.

Le constat est ahurissant quand on découvre des milliers de jeunes mettre leur vie en danger en embarquant sur des bateaux de fortune. Parce qu’ils espèrent trouver de meilleures opportunités économiques en se décrassant de leurs situations de pauvreté dans leurs pays d’origine. Malheureusement, pour beaucoup, ce voyage se termine tragiquement, engloutis dans les eaux.

Cette situation reflète-t-elle un profond malaise économique, politique et social qui pousse la jeunesse sénégalaise à prendre des risques extrêmes ? Toujours est-il que les causes sont multiples : manque d’opportunités, chômage endémique, instabilité politique, conflits, ainsi qu’un système de gouvernance souvent inadapté, depuis des décennies, à répondre aux aspirations des jeunes.

Alors, on ne peut plus se permettre de marmonner, les mains dans les poches d’un grand-boubou froufroutant, que l’enfer est venu seulement des autres qui ne sont plus là pour gérer les ‘problèmes’, et gouverner les affaires… en l’état. C’est aux tout nouveaux locataires du Palais et autres héritiers du petit-Palais  de prendre à bras le corps cette situation d’une marée humaine jeune, déstabilisée à jeun.

Il est tout à fait normal d’indexer, de situer les responsabilités face à ces tragédies profondes et poisseuses. Mais, le plus urgent reste la recherche de solutions ponctuelles et fonctionnelles, adéquates et adhérentes pour endiguer ce fléau troublant et submergeant qui sape le moral des jeunes et des familles.

Ici et maintenant, les gouvernements sénégalais, africains, ainsi que la communauté internationale, sont soumis à l’urgence de trouver des solutions à ce problème, notamment en investissant dans l’éducation, la création d’emplois, et le développement économique, afin que les jeunes puissent voir un avenir possible sur leur propre continent.

Au cas contraire, naitra perpétuellement le spectacle des pirogues et autres embarcations de fortunes franchissant les lignes imperceptibles d’un ailleurs illusoire, dramatique au-delà des océans.

Quand sur les plages, nombre de familles, les yeux embués par les exhalaisons des vagues de douleurs, ont fini de confondre la brise de mer au ‘baiser du diable’.
Cheikh Tidiane COLY Al Makhtoum

[Interview] Mirabell MAYACK: ‘Il faut avancer son projet avec une main de fer’

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Tract – Entretien avec Mirabell MAYACK, fondatrice du African Investment Day, une conférence qui explique l’Afrique francophone aux investisseurs non-francophone de l’Europe. 

 

Présentez-vous à nos lecteurs?

Je suis Mirabell Mayack, née d’une mère allemande et d’un père Camerounais. Mon premier mot était “lettre de crédit” et pas Maman ou Papa. Je suis née et j’ai grandi dans une entreprise familiale ou le sujet principal était le business. Comme dans mon enfance, je passe ma vie entre les aéroports, les mentalités différentes et les cultures qui sont à l’opposé l’un de l’autre. Je travaille pour un cabinet britannique et je suis la fondatrice du African Investment Day, une conférence qui explique l’Afrique francophone aux investisseurs non-francophones de l’Europe.

Quel a été le déclic pour vous lancer ?

Je ne me suis pas lancée car j’ai toujours été dans un milieu entrepreneur. Quand je vois une opportunité j’y vais. Mais dans le cas de la promotion de l’Afrique francophone dans les cercles européens, ça a été une opportunité que j’ai observé. Les Suisses, Allemands, Autrichiens et Anglais investissent plutôt dans les marchés maghrébins ou anglophones de l’Est. Personne ne leur parlait de l’Afrique francophone, donc j’ai pris les choses en main et j’en ai fait un business.

En Afrique, le milieu de la finance (business etc.) a encore la réputation d’être un milieu très masculin. Qu’est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans ce secteur ?

C’est un phénomène international. Le monde de la finance en Europe est très masculin et surtout très blanc, alors qu’il y a plein de diasporas capable surtout dans les capitales européennes.

En Afrique francophone, j’ai trouvé que le manque de personne qui ne sont pas liées au patron est plus un défi que la diversité. La finance ou plutôt l’investissement est passionnant pour moi surtout quand il s’agit des investissements venant de l’Europe pour l’Afrique francophone. Il faut maîtriser et aimer traiter dans différente juristication et c’est surtout le côté compliance qui me passionne. C’est très difficile de trouver des traces digitales en Afrique francophone. Donc nous intervenons pour rendre toutes transactions transparentes.

Vie privée et vie professionnelle : y a-t-il eu un moment de votre carrière ou vous avez été contrainte de faire un choix entre les deux ?

Jamais. Je fais toujours ce que je veux, à ma façon et je suis mon instant.

De toute façon, l’Afrique francophone est ma vie privée et est devenue ma vie professionnelle.

La place des femmes dans les entreprises africaines est en constante évolution. Leur impact positif est de plus en plus reconnu. Pensez-vous que c’est une tendance qui a vocation à perdurer ? Une tendance à encourager ?

La femme africaine est la colonne vertebrale de l’Afrique. C’est une tendance comme partout qui est à encourager.

Comment pensez-vous que vos projets participent à l’amélioration de la vie des femmes, dans les pays où vous intervenez ?

Tout projet qui contribue à lancer une entreprise et qui va faire grandir le secteur privé, qui crée du travail est une amélioration pour les populations en général. Pour la vie des femmes en particulier, je ne suis pas sûre car les projets n’étaient pas uniquement dédiés aux femmes. Tout ce que je peux faire de mon côté, c’est essayer de changer le regard qu’ont les investisseurs sur la femme africaine.

Souscrivez-vous à l’idée selon laquelle les femmes incarnent le visage de la pauvreté en Afrique ?

C’est mon préjugé préféré et ça me rend furieuse. C’est une image qu’on a fait circuler jusqu’à aujourd’hui en Europe. Ceux qui font ça reçoivent régulièrement des gifles digitales de ma part. Ça montre un esprit très pauvre de la part des institutions qui font croire que la femme africaine est le visage de la pauvreté.

Selon vous, quelles sont les erreurs à éviter lorsque l’on entreprend en Afrique et qu’on est une femme ?

C’est une très bonne question.

Il faut avancer son projet avec une main de fer. Pas de gentillesse et il ne faut surtout jamais accepter des faveurs ou des invitations. Il faut vraiment se concentrer et savoir se battre au maximum. Il faut avoir un mental d’acier et si possible faire de très bonnes économies. Surtout, il ne faut compter et attendre personne.

En général, il faut réfléchir avant d’y aller. Comme partout, un plan business, des calculs sont des outils à avoir dans sa valise.

Pour terminer, quelles sont les choses à faire absolument ?

Investir en Afrique ou simplement investir dans les projets que d’autres sont en train de monter. L’entrepreneuriat, ce n’est pas pour tout le monde. Et pas tout le monde est un entrepreneur. Donc ,il faut absolument investir, trouver des opportunités et trouver sa formule en investissant.

Propos recueillis par Baltazar ATANGANA

noahatango@yahoo.ca

 

 

CONVOCATION DE CHEIKH YERIM SECK: Les détails de l’interrogatoire

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Tract-Yérim Seck placé en garde à vue pour avoir contesté les chiffres fournis par le Premier ministre Ousmane Sonko. C’est en tout cas, ce qui semble ressortir de l’interrogatoire de l’ancien journaliste de « Jeune Afrique » hier à la Police

Dans sa livraison de ce mercredi, L’Observateur a consacré une bonne page à l’affaire Cheikh Yérim Seck. Le quotidien renseigne que le journaliste a été convoqué pour ses propos sur les chiffres avancés par le Premier ministre lors de sa sortie pour justifier des détournements faits par l’ancien régime de Macky Sall. Chiffres qu’il avait démentis.

En lui montrant un court extrait de l’émission (L’invité de Mnf), les enquêteurs lui ont demandé de revenir, de façon concise, sur les chiffres qu’il avance. Le journaliste a vite fait de les corriger, leur disant qu’il n’a pas annoncé de chiffres, que c’est le Premier Ministre qui a avancé des chiffres, à propos du déficit public et du ratio de la dette par rapport au PIB (Produit Intérieur Brut).

 

Mais les policiers ont voulu savoir s’il avait l’intention de remettre en cause la véracité de ces chiffres ou d’exprimer un point de vue personnel. Cheikh Yérim leur rétorque que son intention était, dans le cadre de l’expression de son point de vue personnel, de remettre en cause la véracité des chiffres avancés par le Premier Ministre. Il ajoute que de science certaine, aucune des sources habilitées, notamment le Fmi et la Banque mondiale, n’a donné les chiffres avancés par le Premier ministre.

 

Selon L’Obs, il a précisé que même le site officiel du Ministère des Finances du Sénégal ne donne pas ces chiffres. Cheikh Yérim pousse les choses plus loin en leur disant que même le rapport de la Cour des Comptes, organisme habilité, n’a pas donné ces chiffres avancés par le Premier ministre. Face aux questions des limiers pour savoir sur quelle source il s’est basé, le journaliste leur apprend que toutes les sources habilitées, attestent que ce que dit le Premier ministre est faux.

 

Les enquêteurs lui demandent ensuite s’il a vérifié les informations données par Sonko auprès de sources crédibles ou officielles. Cheikh Yérim est resté sur sa ligne de défense et a laissé entendre aux enquêteurs, selon des sources proches de l’enquête, qu’il n’y a pas meilleure source que le site officiel du Ministère des Finances du Sénégal, dont les chiffres diffèrent de ceux avancés par le Premier Ministre.

 

II leur apprend que même le représentant résident du Fmi a confirmé, dans une interview, les chiffres antérieurs à la déclaration du Premier Ministre. Il leur précise également qu’aucun pays de l’Uemoa avec un déficit supérieur à 10% ne peut lever de fonds, selon la réglementation communautaire. Il ajoutera que rien qu’en septembre 2024, le Sénégal a levé trente-cinq (35) milliards sur le marché de l’Uemoa. Ce qui est, selon le journaliste, la preuve que le chiffre de déficit budgétaire avancé par le Premier ministre est faux.

 

C’est là que les enquêteurs lui auraient dit que ses propos seraient diffamatoires à l’encontre du Premier Ministre ou même susceptibles de troubler l’ordre public. Le journaliste, niant avoir diffamé qui que ce soit, leur a signifié avoir dit des faits étayés par tous les organismes spécialisés sur la question. Il ajoute que sa seule intention était de rétablir la vérité des faits dans l’intérêt d’un dialogue démocratique et juste.

 

Il leur a aussi signifié, selon L’Obs, que le fait que les nouvelles autorités aient pu lever 1,665 milliards FCfa depuis leur arrivée au pouvoir prouve que ce que le Premier ministre a dit est faux. Car au-delà d’un déficit de 10 % et d’un ratio de la dette de 80% par rapport au Pib, on ne peut lever un franc Cfa. Il ajoute que les documents pour prouver cela sont partout. Retrouvez l’intégralité de l’article dans L’Observateur.

 

 

GUY MARIUS SAGNA SUR SON AGRESSION : ‘Je ne céderai à aucune pression des Etats membres de la CEDEAO’

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Tract-Guy Marius Sagna, s’est exprimé pour la première fois depuis son agression à Lomé. Le député a d’emblée remercié toutes les personnes de près ou de loin qui ont tenu à marquer leur solidarité à son endroit.

Il a dit être au courant de ces messages que récemment, car étant victime du vol de son portable et de son cartable lors de son agression. Le député panafricaniste a tenu à lever quelques équivoques par rapport à certains reproches.

« Il y a des choses qui sont réglées par les textes de la CEDEAO que beaucoup de gens ignorent », a-t-il soutenu.

Pour étayer son argumentaire, le parlementaire fait référence au protocole additionnel sur le renforcement des prérogatives du parlement de la CEDEAO. Selon lui, ce « document rappelle la nécessaire transition d’une CEDEAO des Etats à une CEDEAO des peuples ».

Il explique les dispositions de l’article 2 de cet acte qui dispose que  » les membres du parlement sont chacun représentant de toutes les populations de la CEDEAO ». « Je ne représente pas le Sénégal, mais toutes les populations de la CEDEAO», se défend Guy Marius Sagna.

Il estime d’ailleurs pour qu’il ne s’en occupe pas des problèmes des populations de la communauté, il faut l’empêcher d’être un député de la CEDEAO. Avant d’enchaîner en convoquant « l’article 3 du protocole additionnel sur le renforcement des prérogatives du parlement qui précise que le parlement est l’assemblée représentative de la Communauté ».

En ce sens, il indique qu’il est important que les citoyens de l’organisation communautaire connaissent leurs droits, y compris les devoirs du parlement vis à vis d’eux.

Selon lui, « toutes ces choses sont cachées aux citoyens par le syndicat des chefs d’Etats et des parlementaires de la CEDEAO pour continuer à se pérenniser et à éterniser leurs régimes dictatoriaux ».

D’après Guy Marius, certains ont même avancé la « question à savoir, comment un député d’une assemblée dissoute, peut continuer à siéger au parlement de la CEDEAO ? ».

Pour répondre à cette interpellation, le député revisite les dispositions de l’article 18 dudit document, qui affirme que le «député reste en fonction jusqu’ à son remplacement par un nouveau député issu de son pays ».

En outre, il soutient qu’il n’était pas le seul député sénégalais, convié à cette session. « La preuve nous étions 5 députés sénégalais sur 6 à être présents au Togo », a fait savoir le député panafricaniste et souverainiste, rappelant les lignes de son serment.

« Je m’engage à servir les intérêts des populations de la CEDEAO et à ne céder à aucune pression des Etats membres de la Communauté », a indiqué Guy Marius.

Selon lui, ce « document leur confère aux parlementaires de la CEDEAO de veiller à l’obligation de la reddition des comptes, de promouvoir la démocratie et les droits de l’homme, la bonne gouvernance et au renforcement de la démocratie représentative ».

Pour le député, « toutes ces dispositions réglementaires, lui donnent habilitation de rencontrer toutes les populations de la CEDEAO, quel que soit leurs pays.

ÉQUIPE NATIONALE DU SÉNÉGAL : Aliou Cissé officiellement limogé !

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Tract-Au poste depuis mars 2015, Aliou Cissé n’est plus sélectionneur de l’équipe nationale de football du Sénégal. Il aura marqué l’histoire de son pays en remportant la première Coupe d’Afrique des Nations (CAN).

Comme annoncé par IGFM ces derniers jours, Aliou Cissé a officiellement quitté le banc de l’équipe du Sénégal. Son contrat n’a pas été renouvelé. L’information a été confirmée par la Fédération sénégalaise de football, ce mercredi, dans un communiqué. La nouvelle est tombée à dix jours du match Sénégal-Malawi et à 48h de la publication de la liste des Lions pour les 3e et 4e journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2025. Son adjoint Pape Thiaw devrait assurer l’intérim pour la participation de l’équipe à la phase de qualification à la « CAN 2025 », compte tenu du caractère urgent de la situation.

Le communiqué officiel de la FSF :

La Fédération Sénégalaise de Football informe l’opinion publique qu’elle a reçu ce lundi 30 septembre 2024 une lettre confidentielle de Madame la Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Madame Khady Diéne GAYE portant non approbation de l’avenant de renouvellement pour une année du contrat de l’entraineur de l’équipe nationale A, Aliou CISSE pour les motifs suivants: la non atteinte des objectifs assignés dans le cadre de l’avenant du 07 novembre 2022 arrivé à terme le 31 aout 2024 (victoire à la CAN 2023 et qualification en quart de finale à la coupe du monde 2022), la régression de notre équipe nationale au classement FIFA et le risque de désaffection entre notre sélection nationale et les sénégalais en général.

L’autorité a déduit comme conséquence de sa décision que Monsieur CISSE n’était plus couvert par un contrat dûment approuvé par l’Etat du Sénégal et ne pouvait plus diriger la sélection nationale à compter de cet instant. Madame le Ministre a in fine invité la FSF à prendre les dispositions utiles pour assurer la participation du Sénégal à la phase de qualification à la CAN 2025.

Le Comité d’Urgence de la FSF élargi aux membres du Comité Exécutif s’est réuni ce jour, mardi 1er octobre 2024 à 16H30 pour analyser la situation découlant de ladite correspondance et a pris les décisions suivantes :

1) Prend acte de la décision de Madame le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture de ne pas approuver le renouvellement du contrat de l’Entraineur de l’Equipe Nationale A du Sénégal, Monsieur Aliou CISSE

2) Donne mandat au Président de la FSF et au Directeur Technique National pour mettre en place un staff intérimaire pour la continuité de la participation de l’équipe à la phase de qualification à la « CAN 2025 », ‘, compte tenu du caractère urgent de la situation ;

3) Annule la conférence de presse de publication de la liste des joueurs pour les matches des 3ème et 4ème journées contre le Malawi prévue le vendredi 04 octobre 2024;

4) Décide de faire publier par le service de Communication de la FSF ladite liste le même jour à 10H sur son site web et sur ses plateformes digitales ;

La FSF tient à remercier Monsieur Aliou CISSE pour sa bonne collaboration et ses brillants résultats à la tête des différentes sélections nationales qu’il a eu à diriger depuis son arrivée en 2011 et lui souhaite pleins succès pour l’avenir.

BRIGADE DE LA CYBERCRIMINALITÉ : Bougane Gueye Dany poursuivi pour diffamation et injures publiques

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Tract-Bougane Gueye Dany, qui a déféré à la convocation de la Division de lutte contre la cybercriminalité, est poursuivi pour diffamation et injures publiques.

Bougane Gueye Dany avait été convoqué, ce mercredi, par la la Division de la Police en charge de la lutte contre la Cybercriminalité. Sur les lieux depuis 11 heures, l’homme politique et homme d’affaires a été entendu. Son audition est à présent terminée.

Le leader de Gueum sa bop est poursuivi, selon Rfm, pour injures publiques et diffamation. Ses propos incriminés seraient tenus lors de ses derniers points de presse. Pour l’instant, il est toujours dans les locaux de la Division de la lutte contre la Cybercriminalité.

CONVOCATION DE BOUGANE GUEYE : La mise en garde musclée de sa coalition

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Tract-La coalition «Sàmm sa Käddu», à laquelle appartient «Guem Sa Bop», vient de réagir sur la convocation de Bougane Gueye Dany par la Brigade de Cybercriminalité.

«La convocation du Président Bougane Gueye Dany à la cybercriminalité, à la veille des élections législatives est une provocation et une insulte à la démocratie.» Telle est la réaction de la coalition Samm sa Kaddu.

Elle déclare dans son communiqué de presse parvenu à Tract, qu’en convoquant un candidat de la liste «Sàmm sa Käddu» aux élections législative à venir, c’est toute une coalition qui cherche à être déstabilisée et divertie. Elle dit donc prendre à témoin l’opinion sur les menaces que le régime Sonko-Diomaye fait peser sur la démocratie et les libertés.

«La coalition Sàmm sa Käddu met en garde le régime actuel sur sa volonté cynique d’utiliser les prérogatives régaliennes de l’Etat du Sénégal pour museler ses adversaires politiques. Sämm Sa Kàddu fera face aux tentatives d’intimidation au nom de la démocratie et des libertés», avertit-elle.

BRIGADE DE CYBERCRIMINALITÉ : Cheikh Yerim Seck placé en garde à vue

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Tract-Cheikh Yérim Seck vient d’être placé en garde en vue, nous apprend la RFM. Il est accusé de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles.

L’ancien journaliste de Jeune Afrique était convoqué ce mardi par la Division de la cybercriminalité.

BRIGADE DE LA CYBERCRIMINALITÉ : Bougane Gueye Dany convoqué ce mercredi à 9h

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Tract-S’adressant au peuple sénégalais, via sa page Facebook d’où il a tenu un live Bougane a confirmé l’information selon laquelle, ce matin, des agents de la division de la cybercriminalité, conduit par l’adjudant Barro se sont rendus à son bureau et dans ses maisons pour lui remettre une convocation.

Dans un poste accompagné d’une photo du document le leader de Gueum Sa Bopp informe avoir reçu la convocation pour aujourd’hui mercredi.

« Je viens de recevoir la convocation de la Police pour Mercredi à 9h Cybercriminalité Corniche face mosquée Omarienne. Je quitterais la cité Keur Gorgui à 8h30 pour répondre à la convocation », a -t-il indiqué.

L’HOROSCOPE DE CE MERCREDI 02 OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : cette journée vous mobilise pleinement : les autres, vos relations de cœur ou de travail !

Taureau : essayez de rester en dehors des histoires autour de vous, restez concentré sur vos objectifs !

Gémeaux : c’est une très belle journée ! Super valorisante pour votre ego !

Cancer : la famille est d’actualité, il y a du nouveau et vous devez assurer !

Lion : un déplacement, un appel ou un courrier, changent, en bien, quelque chose à votre vie !

Vierge : votre trésorerie est un domaine qui vous occupe ou qui vous préoccupe. Vous négociez !

Balance : tout n’est pas rose, mais vous avez la chance de pouvoir faire bouger les choses !

Scorpion : côté sentiments, il y a des nuages, patientez un peu avant que le ciel ne s’éclaircisse !

Sagittaire : une journée qui vous donne des occasions d’avancer, vite, et ça vous adorez !

Capricorne : une période qui met l’accent sur tout ce qui a trait à votre vie professionnelle !

Verseau : journée distrayante, certains voyagent pour affaires, ou pour le plaisir !

Poissons : vous faites en sorte de vous sentir mieux, et d’améliorer votre bien être !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE MERCREDI 02 OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides du Sénégal de ce jour !

• 2 Octobre 2021
Ouverture à Thiès de l’assemblée générale constitutive de la Mutuelle sociale nationale des artisans du Sénégal en présence de 155 délégués venus de toutes les régions du Sénégal. Assane GUÈYE de la région de Kolda a été choisi par ses camarades comme président du Conseil d’Administration de la Mutuelle.

• 2 Octobre 2009
Six militaires de l’armée nationale sont tués dans une embuscade tendue par des rebelles du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) près de la localité de Nianga, dans la région de Sédhiou, à environ 120 km à l’est de la ville de Ziguinchor.

• 2 Octobre 2006Naissance du parti politique Rewmi dirigé par Idrissa SECK, ancien premier ministre et maire de la ville de Thiès. Dissident du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), le Front pour le Progrès et la Justice (FPJ) a pris le nom de Rewmi à l’issue de son premier congrès ordinaire.

• 2 Octobre 2000
Décès à Dakar à l’âge de 87 ans d’Amadou Karim GAYE, ancien ministre des affaires étrangères (1968-1972). Il a occupé, entre 1975 et 1979, le poste de Secrétaire général de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) avec résidence à Djeddah. Il avait remplacé à ce poste l’égyptien Hassan TOUHAMI. Il est le père du général Babacar GAYE et de l’artiste plasticienne Anta Germaine GAYE.

• 2 Octobre 1865
Par décret impérial, le pont de Sor à Saint-Louis, inauguré le 2 juillet de la même année, prend le nom de Pont FAIDHERBE au moment où son principal artisan et parrain, le gouverneur Louis FAIDHERBE, était retourné en France pour des raisons de santé. Son intérim était assuré par le capitaine de frégate Armand ROBIN.

BRIGADE DE LA CYBERCRIMINALITÉ: Cheikh Yerim Seck serait convoqué selon Madiambal Diagne

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Tract-Le journaliste Cheikh Yerim Seck est convoqué ce mardi à 15 h à la Brigade de la Police en charge de la cybercriminalité, selon une information partagée par Madiambal Diagne Diagne sur son compte X.

Ces derniers jours, Cheikh Yerim Seck a multiplié les interventions concernant la situation du pays. Pour l’heure, le motif de cette convocation reste inconnu.

CNRA : Babacar Diagne rend son tablier !

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Tract-Babacar a fait ses adieux. Il quitte la Présidence du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) au terme de son mandat de six ans. Il en a fait l’annonce ce lundi, dans un texte que nous vous proposons ci-dessous.

Ce 30 septembre 2024, j’ai eu l’honneur d’échanger avec des responsables représentatifs des autorités actuelles sur ma volonté de respecter la loi par laquelle, en 2018, le Président de la République me confiait les charges de président du Conseil national de Régulation de l’audiovisuel.

Selon la loi portant création du CNRA :  » La durée du mandat des membres du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel est de six ans. Ce mandat n’est ni renouvelable, ni révocable « .

Mon mandat, en qualité de Président du CNRA est arrivé à terme au cours de ce mois de septembre 2024.
Selon la loi portant création du CNRA :  » La durée du mandat des membres du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel est de six ans. Ce mandat n’est ni renouvelable, ni révocable « .

Mon mandat, en qualité de Président du CNRA est arrivé à terme au cours de ce mois de septembre 2024.

Je voudrais remercier vivement le Chef de l’État et son Gouvernement d’avoir bien voulu donner une suite favorable à ma demande exprimée de quitter la présidence du CNRA, conformément à la réglementation.

Le mandat de six ans, arrivé à expiration ce 30 septembre, j’ai tenu au strict respect de la durée. Aussi ai-je sollicité et obtenu la compréhension et l’accord de l’Autorité qui m’a accordé de ne pas aller au-delà de la durée légale de mes fonctions à la présidence du CNRA.

DIPLOMATIE : L’ancien Président du Niger Mahamadou Issoufou reçu ce mardi par Diomaye

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Tract-Le Président de la République a reçu ce mardi l’ancien président de la République du Niger, Mahamadou Issoufou.

Ce dernier a saisi cette occasion pour féliciter le Président Bassirou Diomaye Faye pour sa brillante élection.
Selon la présidence, les deux hommes ont également discuté des questions sécuritaires dans la sous-région.

A noter que M. Issoufou est le Président du Panel Indépendant de Haut Niveau sur la Sécurité et le Développement au Sahel.

TER : La Seter annonce des changements

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Tract-C’est une nouvelle qui ne plairait pas du tout aux nombreux usagers quotidiens du Train Express régional. En effet, la Seter vient d’annoncer de grands changements dans la fréquence des rotations, le temps d’attente et sur les axes qui seront desservis.

Les fortes pluies tombées sur Dakar ont sérieusement impacté le Train Express régional. C’est du moins, ce qu’a déclaré la Seter ce lundi.

«Le TER de Dakar connait une situation perturbée suite aux très fortes pluies du 25 septembre. Les premiers résultats du diagnostic effectué ce week-end montrent un nombre important d’équipements électroniques impactés», indique la société dans un communiqué de presse.

Elle informe que la situation nécessitera, pour des raisons de sécurité, des délais de traitement importants et incompressibles. Conséquence : les temps d’attente en gare et sur les quais, les durées des trajets, les horaires et la fréquence des trains sont impactés.

Ainsi, du lundi au samedi, dans les deux sens, de Dakar à Yeumbeul, les usagers n’auront droit qu’à un Train toutes les 20 minutes, avec un temps de trajet identique à la normale. De Dakar à Diamniadio, là aussi dans les deux sens, ce sera un Train toutes les 30 minutes, avec un temps de trajet rallongé de 15 à 30 min.
Pour ce qui est des dimanches et jours fériés, «les horaires d’ouverture et la fréquence des trains, toutes les 20 minutes, restent inchangés.»

Aussi, informe le communiqué de presse, la direction et les équipes de la Senter travaillent sur une solution permettant, de manière définitive, et conformément aux standards de sécurité de mettre hors de portée des inondations toutes les installations sensibles du TER.

LÉGISL’HÂTIVES : Moussa Tine quitte Taxawu de Khalifa Sall

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Tract-Absent des listes de Taxawu de Khalifa, Moussa Tine claque la porte. L’homme politique réputé proche de Khalifa Sall a annoncé son départ ce lundi dans un post sur Facebook.

« Notre chemin avec TAXAWU s’arrête là. J’y laisse de très bons amis et un frère », a lancé le membre de Pencoo.

Il a pris cette décision des instants après le dépôt des listes de la coalition SAMM SA KADDU.

Un coup dur pour Khalifa Sall en cette veille des élections législatives anticipées. Mais Moussa Tine a également précisé que bien qu’il ait quitté Taxawu, il votera pour la coalition SAM SA KADDU dont Taxawu fait partie. « Pour ma part, je vote SAME SA KADDU ».

JUSTICE : Kader Dia de la SenTv placé en garde à vue

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Tract-Le chroniqueur de la Sen Tv Kader Dia en garde à vue. C’est une information du journal Liii Quotidien. Dans sa parution du jour, le journal a indiqué que monsieur Dia est inculpé pour fausses accusations. Le chroniqueur était hier lundi à la Division spéciale de cybercriminalité (DSC).

PAr ailleurs, le canard nous apprend également que trois( 03 ) suspects dans cette affaire ont été présentés au procureur.

Rappelons que, monsieur Dia, sur le plateau de la Sen Tv donnant son avis sur la pirogue retrouvée au large des Mamelles avec des dizaines de cadavres, avait fait allusion à une affaire de corruption incriminant des éléments de la police sénégalaise.

 » il faut que la police scientifique nous édifie sur cette affaire. Et il se peut que ces personnes sont victimes d’empoisonnement. ..En discutant avec quelqu’un tout à l’heure, il m’a fait comprendre qu’après leur départ une des unités de la police les avait interpellés pour demander qu’on leur donne quelque chose. Les audios sont avec moi », avait -il déclaré sur le plateau de la Sen TV.

[LÉGISL’HÂTIVES] Ousseynou Nar Gueye investi sur les listes de la Coalition Pôle Alternatif 3ème Voie

Tract – « Prolonger le dépôt des listes uniquement jusqu’à minuit ce dimanche est une sage décision du ministre de l’intérieur Général Tine », a déclaré ce week-end Ousseynou Nar Gueye.

Ousseynou Nar Gueye (O.N.G) est Directeur de la Task Force Communication de la « Coalition Pôle Alternatif 3ème Voie » , listes
candidates aux Legisl’Hâtives du 17 novembre 2024 avec leur leader et tête de liste nationale Ministre Birima Mangara, Président du Parti UDP – Kiraay.

« Chez Coalition Pôle Alternatif 3ème Voie, nous sommes la Voie et la Voix de la médiété entre pouvoir et opposition, et entre pôles de pouvoir (Exécutif, Législatif, Judiciaire, Presse) pour la stabilité politico – confessionnelle et socio-économique de notre pays, le Sénégal, Pirogue Sunugaal que personne ne doit faire tanguer, ni en percer la coque.

Nous sommes pour la protection et la préservation du #talibéïsme, qui caractérise nos valeurs, de toutes les religions au Sénégal, et de toutes les tarikhas : de talibé Muriid Sadikh en passant pas Talibé Laye et Talibe Baay Niass…jusqu’à Talibe Yéesu Christa » a precisé ONG.

Bien qu’ayant été membre de la Coalition Diomaye Président pour faire advenir le changement le 24 mars 2024 , la Coalition de Birima Mangara, ex-Ministre du Budget pendant 5 ans (2014-2019) a repris sa liberté et l’indépendance de ses marges de manœuvres: ONG dit « rester assez bien disposé envers le PR Diomaye », mais il déclare que  » 3ème Voie ne lui donnera pas un chèque en blanc, ni un soutien aveugle ».

« Pastef fait cavalier seul. Nous n’avions pas vu venir cela. C’est une surprise et une déception. A cette gifle de Pastef, Nous répondons par une gifle-riposte : pèssum kanam, borom à koy fajal bopam »* indique ONG, avant de préciser que  » [son] courant de pensée politique, au sein de UDP- Kiraay de son leader le Minsitre Birima Mangara, est O.N.G (Options Nouvelles Générations), qui en wolof est : Woorna Niu Gérer.

Par Damel Mor Macoumba Seck

Tract.sn Tract hebdo

L’HOROSCOPE DE CE MARDI 1er OCTOBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : aujourd’hui, tentez de vous organiser au mieux, demain vous aurez à faire !

Taureau : une journée particulière, avec des hauts et des bas ! Vous ferez face !

Gémeaux : vous êtes ennuyé par ce début de semaine, quelque chose bloque, c’est passager !

Cancer : ne restez pas isolé, n’hésitez pas à demander de l’aide et des conseils !

Lion : ah l’argent ! Et bien oui, vous comptez vos sous. Envisagez-vous de faire une dépense ?

Vierge : en vous interrogeant sur ce qui est vraiment essentiel à votre vie, ça ira beaucoup mieux !

Balance : demain, vous serez à votre aise pour agir. Aujourd’hui, prenez le temps pour tout !

Scorpion : il ou elle vous fait une proposition, et vous ne savez que répondre ? Rendez-vous ce week-end !

Sagittaire : ce n’est pas une journée idéale, mais vous pourriez gagner des points côté job !

Capricorne : ce n’est pas si mal, il y a de l’évasion dans l’air !

Verseau : l’avenir vous appartient à condition de ne pas négliger votre vie spirituelle !

Poissons : écoutez votre intuition, vous êtes parfois trop sensible à l’influence de vos proches !

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE MARDI 1er OCTOBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides de ce jour !

• 1 Octobre 2022
Invitée au tournoi COSAFA Cup de Beach Soccer en Afrique du Sud, l’équipe nationale du Sénégal, championne d’Afrique en titre, remporte le tournoi en battant en finale l’Égypte par 5 buts à 3. La COSAFA Cup est une compétition opposant les équipes nationales d’Afrique australe. Des équipes des autres régions africaines sont invitées à y participer. La compétition a été créée en 1997 après la réintégration de l’Afrique du Sud à la Coupe d’Afrique des Nations de football en 1996.

• 1 Octobre 1985
Le président Abdou DIOUF, Président en exercice de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), quitte Dakar pour un périple à travers les pays de la ligne de front contre l’Apartheid en Afrique du Sud (Angola, Botswana, Mozambique, Zambie, Zimbabwe). Pour lui témoigner sa reconnaissance, le leader de l’African National Congress (ANC) Nelson MANDELA, libéré de prison en 1990 par le régime sud-africain après 27 ans de détention, effectuera une visite au Sénégal en novembre 1991. Il est la première personnalité de race noire élue Président de l’Afrique du Sud en 1994.

• 1 Octobre 1980
Dissolution de l’Office National de Coopération et d’Assistance pour le Développement (ONCAD) créé en 1966 pour encadrer les coopératives et les groupements pré-coopératifs, assurer aux communautés rurales les prestations de services nécessaires et gérer les semences. Une partie de sa mission est dévolue à la Société Nationale d’Approvisionnement du monde Rurale (SONAR) créée le 25 août de la même année.

• 1 Octobre 1936Inauguration de l’hôtel de la chambre de commerce de Saint-Louis lors du passage de Marius MOUTTET, Ministre français des colonies. La chambre de commerce de Saint-Louis est, avec celle de Gorée, l’une des deux premières chambres de commerce du Sénégal fondées en 1869. Avant l’avènement des chambres de commerce au Sénégal un comité de commerce avait été créé à Saint-Louis le 7 novembre 1825 et une commission commerciale instituée à Gorée le 25 septembre 1828.

• 1 Octobre 1912
L’Escadron de Spahis Sénégalais qui existe depuis 1845 prend le nom d’Escadron de Spahis Sénégalais du Maroc. Il restera au Maroc jusqu’en 1922, année de sa dissolution. L’escadron a notamment participé, sous les ordres du colonel Charles MANGIN, aux opérations pour dégager Marrakech, occupé par El-Hiba qui s’est proclamé sultan.

• 1 Octobre 1902
Transfert de la capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF) de Saint-Louis à Dakar, Ernest ROUME étant gouverneur général. Les fonctions de gouverneur général de l’AOF et celles de gouverneur du Sénégal sont dissociées. Le gouvernement de la colonie du Sénégal reste à Saint-Louis. Créée le 16 juin 1895, l’AOF est une fédération qui regroupe autour du Sénégal les autres colonies françaises de la côte occidentale d’Afrique.

• 1 Octobre 1846
Intronisation à Nder de Ndaté Yalla MBODJ comme Reine du Walo aux côtés du Brack Mambodj Malick Mbodj. Elle est la fille du Brack Amar Fatim Borso Mbodj et de la Linguère Fatim Yamar Khouriyaye Mbodj. Ndaté Yalla est la sœur cadette de Ndieumbeut Mbodj à qui elle succède sur le trône du Walo.

• 1 Octobre 1833Décès à Saint-Louis de Jean DARD, premier instituteur français à y exercer depuis 1817, date d’ouverture de son école mutuelle où les premiers formés devaient enseigner à leurs cadets.

LÉGISL’HÂTIVES : Ousmane Sonko investi tête de liste nationale de Pastef

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Tract-Le président du parti Pastef et non moins Premier ministre, Ousmane Sonko, a été désigné tête de liste nationale dudit parti.

C’est du moins ce qu’a révélé le mandataire national, Ayib Daffé, dimanche soir, lors du dépôt de leur liste à la Direction générale des élections (Dge). Accompagné du député Amadou Bâ, il a souligné que leur liste est « inclusive » et reflète le Sénégal dans sa diversité.

« Nous n’allons pas donner tous les détails. Vous en saurez plus lorsque les listes des départements seront publiées. Mais ce que nous pouvons dire, c’est que la liste regroupe des responsables, des militants, des alliés, c’est une liste qui est inclusive qui reflète le Sénégal dans sa diversité, dans sa pluralité. Sans surprise et à l’unanimité, la tête de liste c’est Ousmane Sonko », a déclaré M. Daffé.

DÉCLARÉE RECHERCHÉE PAR LA POLICE : Diéguy Diop hausse le ton !

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Tract-Mme Diéguy Diop vient de régir pour répondre à ceux qui disent qu’elle aurait fui, puisque recherchée par la Police.

Diéguy Diop vient de réagir. En effet, depuis quelques heures, un document attribué au Directeur de la police et adressé aux commissariats spéciaux, aux secteurs frontaliers et au centre de ciblage et de profilage, la présente comme recherchée par les services de la Police.

Le même document déclare que l’ex Directrice générale de la Promotion de l’Économie Sociale et Solidaire est poursuivie «pour escroquerie sur les deniers publics». Elle vient de se signaler: «J’ai vu une convocation, un mandat d’arrêt ou je ne sais quoi, circuler sur les réseaux sociaux. Ils disent que j’ai fui. C’est faux», a-t-elle précisé.

Diéguy Diop informe qu’elle est actuellent chez elle, pour ceux qui la chercheraient : «Je suis ici chez moi avec ma famille et mon mari. Je ne fuirai jamais, je ne me cacherai jamais. Si Sonko et Diomaye me cherchent ils savent où me trouver. Car je n’ai rien fait pour me cacher», indique l’ex Directrice de l’Économie sociale et solidaire. Elle dénonce une persécution.

JUSTICE : Me Moussa Diop porte plainte contre son propre mandataire !

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Tract-L’odeur du soufre se dégage du côté du parti And Gor Jotna, la formation politique de Me Moussa Diop. La robe noire a déposé une plainte contre son mandataire pour « abus de confiance ». Sur la plainte déposée au Commissariat central de Dakar, il est reproché au sieur Boubacar Camara d’avoir outrepassé ses devoirs.

« Après avoir formalisé le jeudi 26 novembre 2024 auprès de la Direction générale des élections notre déclaration de candidature, le sieur Camara attendu le dimanche 29 septembre 2024 ( pour procéder au dépôt physique de nos listes) ne s’est pas présenté le jour le dépôt fixé à 10 h 45 et sans plus donner de ses nouvelles », peut-on lire sur la plainte dont Tract détient copie.

Le comble dans cette affaire relate l’avocat. C’est quand « à 12 h 25 ce dimanche qu’une vidéo postée sur youtube m’est parvenue montrant le sieur Boubacar Camara en train de tenir une conférence de presse pour s’opposer à la candidature du Parti prise démocratiquement à la majorité de ses responsables ». C’est cette attitude de monsieur Camara qui, a en quelque sorte, motivé la plainte de l’ancien directeur de Dakar Dem Dikk.

Toujours, sur la plainte l’avocat dit solliciter la poursuite de son mandataire pour les faits suivants : confiscation arbitraire  » des listes et dossiers devant être déposés ce jour (29 septembre 2024).

ASSASSINAT DE NASRALLAH : La signature sanglante de Barnea ( Babacar Justin Ndiaye)

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Tract-L’élimination du chef politique et charismatique du Hezbollah, Hassan Nasrallah, est un coup direct du directeur du Mossad : David Barnea alias Dadi.

Une signature sanglante qui intensifie le débat en cours dans les milieux du Renseignement international, autour de la supériorité voire de la primauté de la recherche humaine (collecte d’informations par des agents de terrain) sur les prouesses technologiques.

Chef du « Deuxième Bureau » français pendant la guerre d’Indochine, le Colonel Armand Boussarie donna la définition la plus courte et la plus dépouillée du renseignement : « connaître les intentions de l’ennemi ».

Cette définition à cheval sur l’intelligence militaire et l’intelligence politique trouve un écho pratique et élargi dans la doctrine du Mossad qui, au-delà de la lecture des « intentions de l’ennemi », cible et pulvérise tous ceux qui harcèlent Israël.

Sous cet angle, la mort de Hassan Nasrallah, met en exergue la parfaite combinaison des deux facteurs (humain et technique) qui sont les moteurs du renseignement. Son assassinat met aussi en relief le profil de celui qui règne sur le Mossad depuis 2021.

En effet, David Barnea est un spécialiste de l’infiltration et du ciblage. Ce qui valorise la place de l’homme (agent, honorable correspondant et traitre) dans le dispositif du Mossad. Et prouve que le cheval de Troie et la Cinquième colonne (la paternité de l’expression revient au Général Franco, vainqueur de la guerre civile espagnole de 1936) restent les moyens qui surclassent souvent les performances technologiques.

Avant Nasrallah (la mort du chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, à Téhéran en est une illustration), et tout au long de l’interminable conflit israélo-arabe, le Mossad a révélé un niveau de noyautage très élevé des organes vitaux des États arabes et des Mouvements palestiniens ou pro-palestiniens.
Rappelons que l’opération de collecte de renseignements la plus audacieuse et la productive pour Israël fut effectuée entre 1961 et 1965 par l’agent Eli Cohen qui, quelques jours avant son arrestation et sa pendaison, était pressenti pour occuper le Ministère de l’Information de la Syrie. Donc membre d’un Gouvernement en belligérance avec Israël.

Aujourd’hui, il est évident que l’anéantissement de la presque totalité de la hiérarchie militaire du Hezbollah et l’engloutissent de Hassan Nasrallah dans un bunker camouflé de Beyrouth ont été rendus possibles par la présence d’une myriade d’agents doubles et de traitres dans l’entourage immédiat du chef de la Milice chiite.

Et probablement par la complicité active et décisive d’officiers de l’armée libanaise, très dérangés par l’État dans l’État du Liban que constitue le très lourdement armé Hezbollah (chiite) dans un espace multiconfessionnel : sunnite, maronite, druze et autres catholiques liés à Rome.

Dans le même ordre d’idées, une interrogation susceptible d’amoindrir la gloire du directeur du Mossad affleure : la CIA américaine a donné oui ou non un coup de pouce à Israël ? La réponse clair-obscur sort des entrailles de l’Histoire de la collaboration entre les deux « Maisons ».

En 1954, Hisser Harel, alors directeur du Mossad, rend visite à son collègue américain, le très célébre Allen Dulles. D’après l’Historien du renseignement Gordon Thomas, l’Américain a dit son visiteur israélien : « comptez sur moi pour avoir l’œil ouvert avec vous ».

De toute les façons, Israël compte d’abord sur lui-même. Et, surtout, sur le Mossad dont la limpide devise est tirée d’une citation biblique (Psaume 21) : « Voici le gardien d’Israël qui ne somnole ni ne dort ».

AGRESSION DE GUY MARIUS SAGNA : Mimi Touré crie au scandale

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Tract-Aminata Touré, alias, mimi, a réagi à l’agression de Guy Marius Sagna au Togo, précisément à Lomé. Dans un post sur X, elle condamne cet « acte lâche » et souhaite prompt rétablissement à Guy.

« J’ai appris par la presse l’agression de mon ami le député Mohamed Guy Marius Sagna. J’exprime mon indignation face à cet acte lâche. Que les auteurs soient rapidement identifiés et traduits en Justice ! Je souhaite un rétablissement très rapide à notre cher député du Peuple », lit-on sur le post.

TOGO : Le député Guy Marius Sagna agressé !

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Tract-Le député Sénégalais et membre du parlement de la CEDEAO, Guy Marius Sagna, a été agressé ce dimanche après-midi à Lomé. Selon un confrère Togolais sur place, Guy Marius Sagna assistait à une rencontre citoyenne avec le peuple togolais dans le cadre de sa mission parlementaire en marge de la session du parlement de la CEDEAO.

La même source, rapporte que les choses ont dégénéré, une dizaine de minutes après le début de la réunion, à peine le député sénégalais, avait demandé à l’assistance de se lever pour chanter l’hymne national du Togo. Des chaises en plastique qui étaient disposées pour l’assistance ont été lancées en direction de la table d’honneur autour de laquelle se trouvaient les députés Guy Marius Sagna, Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, Targone.

Le député Guy Marius Sagna, le visage ensanglanté a été transporté à dos par deux militants et conduit dans une clinique proche, rapporte la source.

« Dehors, des voitures et motos qui étaient garées ont été caillassées. Des responsables de la dynamique pour la majorité du peuple (DMP) notamment le député Targone et un autre dont nous ignorons le nom sont battus à sang. Nous n’avons pas pu voir la député Adjamagbo pour savoir dans quel état elle se trouvait. Des militants sont également battus et blessés », a indiqué le confrère qui souligne également que parmi, les blessées figurent des journalistes et certains ont vu leurs portables confisqués.

« Pendant que les nervis, comme on les appelle au Sénégal, agressaient les militants de la DMP, la voiture de la police faisait la ronde sur le boulevard Félix Houphouët Boigny. Aucun agent n’est sorti pour ramener le calme », a- t-il dénoncé.

LES ÉPHÉMÉRIDES DU SÉNÉGAL DE CE LUNDI 30 SEPTEMBRE

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Tract-Découvrez les éphémérides de ce lundi 30 septembre

• 30 Septembre 2021
Marche autorisée contre la vie chère organisée à Dakar par la Confédération des Syndicats Autonomes (CSA). Les travailleurs mobilisés se plaignent de l’impact de la pandémie du COVID-19 sur leurs conditions de travail et le pouvoir d’achat.

• 30 Septembre 1989
Dissolution de la Confédération Sénégambienne (Sénégal et Gambie) créée le 17 décembre 1981 à la faveur du pacte signé à Kaur en Gambie et qui était entré en vigueur le 1er février 1982. La confédération avait d’abord été gelée par la partie sénégalaise le 23 août 1989.

• 30 Septembre 1980
Signature à Dakar d’un accord de coopération scientifique et technique entre le Sénégal et les Etats-Unis d’Amérique. Cet accord sera ratifié le 2 juillet 1981.Les relations entre le Sénégal et les Etats-Unis d’Amérique remontent à 1883, avec l’ouverture, sous la colonisation française, d’un consulat sur l’île de Gorée. Ce fut le quatrième ouvert en Afrique après ceux de Zanzibar, Pretoria et Libreville.

• 30 Septembre 1971
Suppression de l’Office de Commercialisation Agricole du Sénégal (OCAS) créé le 15 janvier 1960 pour le monopole de la commercialisation agricole, l’exportation des arachides, l’approvisionnement du pays en céréales importées et la promotion du milieu rural par le biais des coopératives.. Ses missions seront confiées à l’Office National de Coopération et d’Assistance au Développement (ONCAD) créé en 1966.

• 30 Septembre 1887
Signature du décret qui appliquait au Sénégal le Code de l’indigénat. Elaboré en marge du régime judiciaire, ce code permettait aux administrateurs coloniaux de réprimer d’une peine de 15 jours de prison et/ou d’une amende de cent francs toute une gamme d’infractions spéciales aux sujets indigènes (non citoyens). Des infractions telles que le « manque de respect envers un représentant de l’autorité française » ou le « non-paiement des impôts et non-accomplissement du travail obligatoire ». En outre, une procédure exceptionnelle donnait aux gouverneurs la possibilité d’interner pour une durée de dix ans tout individu suspecté de menacer la sûreté de l’Etat colonial.

• 30 Septembre 1855Les chefs du Khasso s’allient aux Français pour combattre El Hadj Omar TALL et signent avec eux un traité de paix, de commerce et d’alliance. Le royaume du Khasso était constitué sur un territoire aujourd’hui à cheval sur le Sénégal et la région de Kayes au Mali.

L’HOROSCOPE DE CE LUNDI 30 SEPTEMBRE

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Tract-Vient découvrir ton horoscope du jour !

Bélier : le travail, est-ce la santé ? Peut-être, mais n’abusez pas de vos forces !

Taureau : une journée sentimentale ! Réjouissante pour certains, plus douloureuse pour d’autres !

Gémeaux : la famille est une préoccupation, mais, ouf, une solution est en vue !

Cancer : une personne que l’on appréciera d’avoir à ses côtés !

Lion : ne vous mettez pas la pression ! Notamment au sujet de vos finances !

Vierge : cette fin de mois vous met sur le devant de la scène et ce sera très encourageant !

Balance : aujourd’hui, vous aspirez au calme, au recul, et vous sélectionnez vote entourage !

Scorpion : l’amitié sera un vrai réconfort, vous comprendrez à quel point certains vous apprécient !

Sagittaire : en cas de difficulté côté travail, faites appel à votre belle qualité, votre esprit d’équipe !

Capricorne : vous pourriez remporter une victoire dans les jours prochains !

Verseau : une seule chose à laquelle penser, c’est à vous protéger, afin de préserver votre bien être !

Poissons : un lundi qui vous apporte des satisfactions sur le plan relationnel, soyez attentif aux messages des autres !

[TRIBUNE] ‘Notre pays, le Sénégal, challengé pour restaurer la confiance des Bailleurs internationaux’ (Par Moussa Thiam, Communicant, Enquêteur, Homme politique)

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Tract-La situation économique actuelle du Sénégal, telle que décrite par le Premier ministre Ousmane Sonko, révèle des inquiétudes croissantes sur la transparence des finances publiques, la viabilité de l’endettement et la confiance des partenaires internationaux. Cette situation s’inscrit dans un contexte plus large de défis économiques et politiques, souvent observés dans des pays en développement, où la stabilité financière et la crédibilité des institutions sont constamment scrutées par les investisseurs et les bailleurs de fonds. Analysons les implications et les potentielles conséquences de ce contexte.

 

  1. Déficit Budgétaire et Endettement : Véracité et Transparence

 

Ousmane Sonko a pointé du doigt un décalage inquiétant entre les chiffres d’endettement annoncés officiellement et ceux qu’il considère comme réels. Si ces accusations de falsification des écritures publiques s’avèrent fondées, elles pourraient sérieusement compromettre la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale, notamment vis-à-vis des institutions telles que le Fonds monétaire international (FMI). Les investisseurs ont besoin de transparence et de confiance avant de s’engager, et des données fausses pourraient non seulement réduire l’accès aux financements internationaux, mais aussi entraîner des sanctions ou un retrait des partenariats.

 

Le ministre de l’Économie a tenté de rassurer les partenaires en affirmant que “la signature du Sénégal ne devrait pas inquiéter”. Toutefois, pour que cette déclaration soit crédible, il est nécessaire d’adopter des mesures concrètes de transparence, comme des audits financiers indépendants, et de maintenir une communication régulière avec les parties prenantes. Le ministre de la Justice a également indiqué que la justice ferait son travail “dans le respect des principes”, soulignant ainsi la volonté du gouvernement de rétablir la confiance publique et internationale.

 

  1. Conséquences d’une Situation d’Endettement Élevé

 

Avec un endettement estimé à 83,7 % du PIB, le Sénégal s’approche dangereusement de la limite critique fixée par les institutions financières internationales, généralement de 70-75 % du PIB pour des économies en développement. Un tel niveau d’endettement présente plusieurs risques :

 

  • Augmentation des coûts de financement : Plus l’endettement est élevé, plus les taux d’intérêt augmentent, rendant le service de la dette plus coûteux et alourdissant le budget de l’État.
  • Diminution des capacités d’investissement public : Un endettement élevé limite les capacités du gouvernement à investir dans des secteurs essentiels tels que les infrastructures, la santé et l’éducation, ce qui peut freiner la croissance économique.
  • Impact social et politique : La suppression de subventions, souvent adoptée dans le cadre de mesures d’ajustement budgétaire, peut susciter des mécontentements populaires et des tensions sociales, surtout si ces subventions concernent des biens de première nécessité comme l’énergie et les produits alimentaires.

 

  1. Impact sur les Partenaires Internationaux et le Fonds Monétaire International

 

Dans ce contexte, le recours au FMI pourrait être une option pour aider à stabiliser la situation économique. Cependant, ce type de soutien est généralement assorti de conditions strictes visant à rétablir l’équilibre budgétaire, telles que la réduction des subventions et l’augmentation des recettes fiscales.

 

Ces réformes, bien qu’essentielles pour restaurer la stabilité macroéconomique, risquent de provoquer des tensions sociales en raison de leur impact direct sur le niveau de vie des populations. Le Sénégal doit donc s’efforcer de préserver sa crédibilité en mettant en œuvre des mesures pour améliorer la transparence financière et en renforçant ses institutions afin de minimiser le besoin de recourir à des ajustements trop brutaux.

 

  1. Est-ce une Bonne ou Mauvaise Chose pour le Sénégal ?

 

La situation actuelle présente à la fois des défis et des opportunités :

 

  • Négative : Les accusations de falsification des comptes publics et le niveau d’endettement élevé sont des signaux inquiétants qui risquent de miner la crédibilité du Sénégal et de limiter sa capacité à accéder aux financements internationaux. Le recours à des conditionnalités du FMI peut également avoir des répercussions négatives sur le plan social, notamment pour les populations les plus vulnérables.
  • Positive : Si les problèmes sont abordés de manière transparente et résolus rapidement, ils peuvent renforcer les institutions et encourager la mise en œuvre de pratiques de gouvernance plus rigoureuses. Une telle crise pourrait également être un catalyseur pour engager des réformes structurelles qui renforcent la gestion des finances publiques et améliorent la confiance des citoyens et des investisseurs.

 

Le fait que le Premier ministre et les ministres aient pris la parole sur ce sujet est un signe de prise de conscience, mais cela doit être suivi d’actions concrètes et mesurables pour redresser la situation et assurer une reprise économique durable.

 

  1. Comparaison avec d’Autres Pays

 

Des situations similaires ont été observées ailleurs dans le monde. Par exemple :

 

  • Grèce (2010) : Une sous-estimation des déficits budgétaires a entraîné une grave crise de la dette souveraine, des mesures d’austérité sévères, et une intervention de l’Union européenne et du FMI, impactant durablement l’économie du pays.
  • Mozambique (2016) : Le scandale de la “dette cachée” a révélé des emprunts massifs non déclarés, provoquant une suspension des aides et une crise économique grave.
  • Argentine : L’Argentine a régulièrement fait face à des crises d’endettement, souvent liées à un manque de transparence dans la gestion des finances publiques, entraînant des périodes de forte instabilité économique.

 

Ces exemples montrent que le manque de transparence et une mauvaise gestion de l’endettement ont des conséquences graves et durables. Toutefois, dans certains cas, la mise en place de réformes crédibles et une coopération étroite avec les institutions financières internationales ont permis de restaurer la stabilité.

 

 

 

En definitive nous pouvons retenir que la situation actuelle au Sénégal est préoccupante, mais elle est loin d’être irrémédiable. La clé réside dans la capacité des autorités à répondre de manière proactive et transparente aux préoccupations soulevées. Le Sénégal doit s’engager à améliorer la transparence, rassurer ses partenaires par des audits financiers indépendants, et mener des réformes structurelles visant à réduire la dépendance aux subventions non ciblées. Le gouvernement doit également s’assurer que l’État de droit est respecté, en garantissant que la justice fasse son travail de manière impartiale.

 

Les conséquences potentielles d’une telle situation peuvent être graves, allant de la perte de crédibilité sur les marchés financiers à des troubles sociaux. Cependant, une réponse adaptée et une gestion proactive de la crise pourraient transformer cette situation en une opportunité de renforcer les institutions sénégalaises et de bâtir une base plus solide pour une croissance durable.

Moussa Sow Thiam

Communicant enquêteur

ÉTAT DES COMPTES PUBLICS: Le Mouvement Y’en à marre réagit aux révélations du Premier ministre 

TRACT – Suite au déballage du Premier ministre Ousmane Sonko sur l’état des comptes publics, le coordonnateur du mouvement Y’en à marre s’est prononcé à ce sujet lors d’un entretien qu’il a accordé au Journal l’Enquête.

 

Aliou Sané, dans un franc parlé, a estimé que les faits sont d’une extrême gravité:

“C’est à la justice de nous éclairer, de faire son travail dans la sérénité comme l’a dit le ministre de la Justice Ousmane Diagne dont nous apprécions la posture », a-t-il soutenu.

L’activiste, se montrant respectueux des droits de l’homme, insiste sur « le respect des droits de la défense »:

“On se rappelle de ce que nous avons pu voir avec le dossier de la traque des biens dits mal acquis. Il faut éviter de commettre les mêmes erreurs », a-t-il suggéré.

Puis d’ajouter :

« Pour cela, il faut laisser la justice faire son travail comme il se doit. Si on ne le fait pas, on décrédibilise encore l’institution judiciaire, alors qu’il faut tourner la page sombre d’une justice aux ordres », prévient-t’il.

Le coordonnateur du mouvement Y’en à marre, au cour dans cet entretien a également jugé que:

“La priorité à laquelle les nouvelles autorités doivent s’atteler, est de commencer par supprimer les agences budgétivores », a-t-il soutenu.

Hadj Ludovic

 

INTERNATIONAL: Le vice-président iranien menace de détruire Israël après l’assassinat du chef du Hezbollah

TRACT – Le chef du mouvement islamiste libanais Hezbollah, Hassan Nasrallah, a été tué hier par une frappe israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth.

 

En réponse, le premier vice-président iranien n’a pas tardé à déclaré aussitôt que l’assassinat de leur chef entraînerait la « destruction » d’Israël.

« Nous avertissons les dirigeants du régime d’occupation que l’effusion de sang injuste, en particulier celle du secrétaire général du Hezbollah, le martyr Sayyed Hassan Nasrallah, entraînera leur destruction », a déclaré Mohammad Reza Aref.

Hadj Ludovic

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