Tract – Le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang a organisé une conférence de presse ce dimanche pour évoquer le renvoi de l’affaire Sweet Beauté devant la Chambre criminelle, mais aussi le procès en diffamation qui l’oppose à Sonko dans le dossier Prodac.
«Combien de fois devra-t-il encore mentir, manipuler et se renier avant de comprendre que le niveau de crédulité supposé qu’il veut installer au Sénégal, s’est dégrossi car les sénégalais l’ont démasqué et vomi et seul les esprits faibles qui, heureusement sont minoritaires et minorisés, suivent ses inepties. Il ira au procès contre Adji Raby Sarr qui fera un récit certes, salace mais vrai de ses nombreuses virées au lupanar sweet beauté spa car étant seul responsable de cette situation, guidé par ses sombres vices. Qu’il soit pour une fois un homme en assumant ses responsabilités et en allant répondre à la justice pour laver son honneur », a affirmé Mame Mbaye Niang.
Avant d’en venir à son face à face programmé au tribunal avec le leader de Pastef. «Retiens bien Ousmane, le 02 février, cette date que tu redoutes tant, car incapable de produire un rapport fictif que tu es le seul à détenir, j’ose espérer que tu ne te déroberas pas cette fois ci, comme à ton habitude. Oui, le procès pour propos diffamatoires et mensongers à mon encontre, un sujet que tu feins d’évoquer dans tes sorties, aura bien lieu. De quoi as-tu peur ? ne détiens-tu plus tous les documents ? N’es-tu plus l’homme le plus informé du pays? Pourquoi te caches tu des huissiers de justice?», s’interroge-t-il.
Mame Mbaye Niang indique qu’«au vu de la tournure des événements, les choses semblent prendre les voies idoines pour faire maintenir la paix publique et appliquer impartialement la loi. Il ira répondre à toutes les plaintes qui seront déposées contre lui car tu n’étant ni plus ni moins qu’un justiciable et aucune mouche ne bougera à plus forte raison la République».
Mame Mbaye Niang appelle «la jeunesse, la diaspora et le peuple sénégalais à ne pas être actionnaire de cette entreprise maléfique et diabolique de destruction de notre pays hérité de nos valeureux ancêtres. Oui, barrer la route à Ousmane Sonko ne constitue plus un acte politique mais un acte civique et citoyen, sacerdoce de tout sénégalais épris de justice et de valeurs républicaines».